Après la mort d’un collégien suite au Gardasil, il est urgent de stopper la campagne de vaccination à l’école

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Le 19 octobre dernier, un jeune garçon a reçu le vaccin Gardasil dans son collège, près de Nantes.

Il faisait partie des milliers de garçons et filles de 5ème appelés à se faire vacciner à l’école contre les papillomavirus.

C’est Emmanuel Macron lui-même qui avait pris cette décision de vacciner massivement les collégiens, à partir de la rentrée 2023.

Il s’était même rendu personnellement dans un établissement charentais, le 28 février dernier, pour l’annoncer.

C’est donc cette décision présidentielle, que j’avais à l’époque qualifiée de « honteuse »[1], qui a conduit à la mort de ce jeune garçon.

Voici ce qui s’est passé.

Après son injection, le collégien retourne s’asseoir.

15 minutes plus tard, il s’écroule, victime d’un malaise brutal.

En tombant, sa tête heurte le sol, ce qui provoque un traumatisme crânien.

Il est donc rapidement hospitalisé.

Mais dans les jours qui suivent, « la situation se dégrade dans tout son organisme »[2].

Une semaine après, l’Agence régionale de Santé annonce son décès.

Dans la foulée, le Parquet de Nantes ouvre une enquête pour « homicide involontaire ».

On devrait donc en savoir davantage prochainement.

Une chose est certaine : comme on pouvait le prévoir, c’est le début d’un nouveau scandale vaccinal à l’école, 25 ans après celui de l’hépatite B.

Vous vous souvenez peut-être qu’en 1998, le ministre de la Santé Bernard Kouchner avait stoppé en catastrophe la vaccination contre l’hépatite B dans les collèges.

Ce vaccin avait causé – je cite un rapport officiel – « l’une des plus grandes séries d’effets indésirables recueillis par la pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 »[3].

Pour le Gardasil, la mort d’un adolescent conduira-t-elle à stopper la campagne de vaccination à l’école ?

Espérons-le, car il est manifeste que le milieu scolaire n’est pas adapté à la vaccination.

C’est d’autant plus évident que le Gardasil est connu pour provoquer des syncopes (évanouissements).

En effet, la « syncopeparfois accompagnée de mouvements tonico-cloniques » (une forme d’épilepsie) est un effet indésirable reconnu officiellement par l’Agence européenne du médicament[4].

C’est aussi écrit noir sur blanc sur le site de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS)[5] : « La pharmacovigilance a permis de recenser un certain nombre de cas de syncope chez les adolescentes ».

L’OMS prend même la peine de préciser ceci : « il est possible que le taux de syncope soit plus élevé lorsque le vaccin anti-VPH est administré dans le cadre d’un programme de vaccination à l’école ».

Et pour enfoncer le clou : « les personnes qui procèdent à l’administration du vaccin devraient mettre en place des mesures de prévention de la syncope et des dommages qui en résultent ».

C’est une preuve supplémentaire que la vaccination n’a pas sa place à l’école.

Une étude australienne a aussi montré que les garçons ont trois fois plus de risques de faire une syncope après le Gardasil s’ils sont vaccinés à 12-13 ans plutôt qu’à 14-15 ans[6].

Voilà pourquoi j’avais écrit ceci, au printemps dernier :

Emmanuel Macron a annoncé hier après-midi la généralisation d’un programme d’injections dans les collèges, avec les vaccins contre les papillomavirus.

Cela s’est passé hier, à Jarnac – et c’est un très mauvais coup porté à nos enfants.

Voici le genre de scène que l’on risque de voir désormais régulièrement, en France :

Donc, l’évanouissement brutal du jeune garçon après son injection est tout sauf une surprise.

C’était écrit.

Il était écrit, aussi, que cette campagne de vaccination causerait des morts.

Car si vous lisez la notice américaine du Gardasil, vous verrez que, parmi les effets indésirables graves, on trouve le risque de décès.

Parmi les effets secondaires reconnus : la MORT

Je rappelle que les notices des médicaments sont réalisées sous le contrôle des agences de santé. Les effets indésirables mentionnés dans les notices sont toujours vraisemblablement causés par le produit.

Donc, d’après l’agence de santé américaine, la FDA, le Gardasil peut tuer.

Cela a été confirmé par le programme d’indemnisation vaccinale aux Etats-Unis : les familles de deux adolescents décédés suite au vaccin ont été officiellement indemnisées, ce qui signifie que la mort de leur enfant a été considérée par un tribunal comme liée au Gardasil[7].

Autre confirmation indirecte : en Inde, le programme de vaccination a été suspendu en 2010, suite au décès suspect de plusieurs adolescentes (sur 14 000 vaccinées au Gardasil)[8].

En Angleterre, un cas déchirant de décès post-vaccinal avait été décrit dans la presse[9].

C’était en 2016, à Manchester : une jeune fille de 13 ans, Shazel Zamman, est morte 4 jours après sa deuxième injection de Gardasil.

Jusqu’à ce vaccin, elle était en parfaite santé.

Mais après son injection, elle a commencé à souffrir de violents maux de tête, avec vertiges et vomissements.

Ses parents ont fini par la conduire à l’hôpital. Mais le médecin qui l’a pris en charge a refusé de mettre en cause le vaccin et l’a renvoyée chez elle, invoquant une simple « gastro ».

Peu après son retour à la maison, Shazel a de nouveau perdu connaissance – définitivement. Les secours n’ont pas réussi à la réanimer[10].

Donc, vacciner un adolescent revient à jouer à la roulette russe.

La probabilité de tuer un ado est certes faible.

Mais en appuyant sur la gâchette, on prend quand même le risque.

Le jeu en vaut-il la chandelle ?

Pour les garçons, c’est clairement « non ».

ZÉRO mort de cancers liés aux papillomavirus chez les garçons

Je rappelle qu’au départ, le Gardasil visait uniquement les filles.

La promesse était de leur éviter un cancer du col de l’utérus (la théorie officielle est qu’en prévenant les infections à papillomavirus, on pourrait empêcher ce type de cancer de se développer).

Mais pour Merck et Sanofi, vacciner uniquement les jeunes filles était un « manque à gagner ».

Ils ont donc cherché à doubler leur chiffre d’affaires, en visant aussi les garçons.

La « raison » qu’ils ont trouvée, c’est que les papillomavirus pourraient aussi causer des cancers de l’anus ou du pénis chez les garçons.

Sauf que ces cancers, extrêmement rares, ne causent aucun décès[11].

Quant aux cancers oropharyngés (gorge), soupçonnés également d’être liés aux papillomavirus, ils sont essentiellement liés au tabac et à l’alcool. On voit mal comment un vaccin contre un virus pourrait en réduire le risque de façon significative (et il n’y a de toutes façons pas la moindre preuve scientifique en ce sens).

C’est pourquoi, en France, le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) avait clairement déconseillé d’élargir la vaccination aux adolescents de sexe masculin, en 2016[12].

Mais trois ans plus tard, une autre instance sanitaire a donné un autre avis[13], et c’est ainsi que tous les adolescents, filles ET garçons, sont maintenant appelés à recevoir le Gardasil.

Et c’est ainsi qu’un collégien de 12 ans est mort, vendredi 27 octobre.

Voilà pour les garçons.

Pour les filles, face au risque de décès, l’opportunité du vaccin n’est pas beaucoup plus évidente.

Aucune jeune fille ne meurt du cancer du col de l’utérus à 12 ans

Le cancer du col de l’utérus cause environ 1 000 décès par an, en France – soit 1 décès sur 300 environ (ou 0,3 % des décès féminins).

Ajusté par âge, ce cancer tue environ 2,2 personnes pour 100 000 habitants, chaque année[14].

Ces chiffres, très faibles, montrent que ces cancers ne sont pas un problème de santé publique. A minima, ils ne justifient pas de prendre des risques inconsidérés pour la santé de nos adolescentes.

Et même si on admet (ce qui n’est pas prouvé) que le Gardasil permet d’éviter une partie de ces décès, il n’est pas sûr du tout que le jeu en vaille la chandelle.

Car les décès liés au cancer du col de l’utérus touchent essentiellement des femmes de plus de 40-50 ans, généralement atteintes du SIDA (ou au minimum grandes fumeuses de tabac).

Ce sont aussi des femmes qui ont négligé de se faire dépister régulièrement (le frottis permettant de repérer et d’éliminer les lésions pré-cancéreuses).

Dans un calcul bénéfice-risque, il est donc délicat de comparer ces décès évitables d’adultes responsables avec le risque de faire mourir brutalement des adolescents de 12 ans en pleine santé.

« D’abord ne pas nuire », disait Hippocrate, le père de la médecine.

Surtout que ces vaccins causent aussi des effets indésirables graves, qui, à défaut de tuer, peuvent ruiner une vie entière.

Mais ça, je vous en parlerai dans une prochaine lettre.

D’ici là, transmettez cette lettre aux parents de jeunes enfants et adolescents que vous connaissez.

Aucun parent ne devrait laisser son enfant se faire injecter un produit qui peut tuer.

Bonne santé,

Xavier Bazin

Sources

[1] https://www.xavier-bazin.fr/vaccin-hpv-monsieur-macron-votre-decision-est-honteuse/

[2] Déclaration du Ministre Aurélien Rousseau à l’Assemblée nationale https://videos.assemblee-nationale.fr/video.14178741_653fb3630a00f.1ere-seance–deux-motions-de-censure-art-49-al-3-de-la-constitution-discussion-commune-et-vo-30-octobre-2023

[3] https://medias.vie-publique.fr/data_storage_s3/rapport/pdf/024000604.pdf

[4] https://www.ema.europa.eu/en/documents/product-information/gardasil-9-epar-product-information_fr.pdf

[5] https://iris.who.int/bitstream/handle/10665/254586/9789242549768-fre.pdf

[6] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0264410X20308252

[7] https://www.judicialwatch.org/hpv-vaccine-injuries-and-deaths-is-the-government-compensating/

[8] https://frontline.thehindu.com/other/article30180131.ece ; https://main.icmr.nic.in/sites/default/files/reports/HPV_PATH_final_report.pdf#page=23. Comme toujours, il est précisé que ces morts ne sont « probablement pas liées au vaccin », mais deux d’entre elles sont particulièrement suspectes : une hémorragie cérébrale, et une « fièvre virale ». La fille tombée dans le puits a par ailleurs peut-être eu une syncope causée par le vaccin, au moment où elle tirait de l’eau.

[9] https://www.manchestereveningnews.co.uk/news/greater-manchester-news/teenage-girls-dies-hpv-vaccine-11308240

[10] Comme souvent, le vaccin a été « innocenté » par l’enquête médicale, qui a attribué le décès à un « kyste cérébral non diagnostiqué ». La mauvaise foi de cette conclusion est patente, dans la mesure où ce genre de problème est rarissime chez les adolescents, ce qui rend la coïncidence temporelle plus que troublante. Et surtout, rien ne leur permet d’affirmer que le vaccin n’a pas pu causer (ou amplifier) ce problème de santé. https://www.burytimes.co.uk/news/15557800.schoolgirl-shazel-zaman-did-not-die-as-a-result-of-cervical-cancer-jab-coroner-told/

[11] Santé Publique France, Estimations nationales de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine entre 1990 et 2018

[12] Dans le contexte actuel de la vaccination HPV en France, la vaccination universelle des garçons selon des modalités comparables à celles des filles n’est pas pertinente d’un point de vue santé publique. En effet : la faible adhésion actuelle des jeunes filles à cette vaccination ne permet pas d’espérer une couverture vaccinale élevée chez les garçons ; les condylomes ne constituent pas un problème de santé publique (incidence modérée ; absence de gravité) ; le cancer anal reste rare (incidence faible notamment chez les hommes hétérosexuels). https://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?

[13] https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2019-12/recommandation_vaccinale_elargissement_de_la_vaccination_contre_les_papillomavirus_aux_garcons.pdf

[14] https://cancerstatisticscenter.cancer.org/#!/cancer-site/Cervix

28 Commentaires

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28 réponses

  1. Bonjour Monsieur Bazin,
    j’ai lu beaucoup d’articles d’analyses au sujet de la vaccination anti-HPV au cours de ces derniers mois. Avec les collectifs « les parents en colère » j’ai transmis beaucoup d’informations aux associations des familles, fédérations de parents d’élèves, aux représentants des Guides et scouts de France,…
    Mais il est difficile de toucher tous les parents!
    Félicitations pour votre travail, votre lettre est vraiment très bien faite, et avec tous ces liens de toutes ces références, merci.
    Je crois que vous avez fait un livre sur l’ensemble des vaccins, sur l’aluminium exetera il faut que je me le procure….
    je vous souhaite une bonne fête de la Toussaint

  2. Honte à vous de publier de telles infos.
    J’ai vu mourir une jeune femme de 22 ans d’un cancer du col de l’utérus. Ma fille a été traité pour un cancer de l’anus. Ces cancers d’origine virale c’est à dire engendrés par un virus sont évités par le vaccin.
    Pareil pour le virus de l’hépatite B. Combien de cancers du foie sont évités ?
    Le cancer du poumon rapidement mortel ! Si demain on trouve un virus responsable vous serez encore anti vaccin ?
    L’innocuité des vaccins comme des traitements n’est jamais évidente à 100% par contre votre lettre est totalement dangereuse car vous allez persuader des gens une population sans cervelle dont un petit nombre aura un cancer de l’anus, du col ou du foie qui aurait pu être évité.
    Laissez votre voiture au garage, il n’y a pas de vaccin contre les chauffards.

  3. vos commentaires sont toujours très intéressant le problème est que personne ne parle du décès de ce jeune garçon. suite à une injection à l’école
    il est inadmissible que les parents n’aient pas leur mot à dire…. moi ça me fait beaucoup de peine de voir qu’un gamin est mort parce que nous avons un président incompétent qui essaie par tous les moyens de nous mettre à genoux

  4. C’est l’éternelle bataille entre Béchamp et Pasteur…. Ce dernier un fanatique du tout microbe et Béchamp qui disait que la maladie est une question de terrain…. Bien entendu, le  » terrain » ne rapporte rien tandis que les injections, des milliards …. surtout, pour les fabricants avec la complicité des Etats qui arrosent copieusement « les fidèles » !….. Tant pis pour les dégâts dit « collatéraux »..

  5. Bonjour
    Triste évènement, scandaleux.
    Les médias ont-ils fait état ? Tu cet évènement qu’il fait froid dans le dos.
    Comment les parents peuvent-ils se faire prendre au piège de la vaccination ?
    Bien cordialement.
    Message dicté

  6. Se faire piquer quand on est un garçon pour éviter le cancer de l’utérus… Un peu de bon sens, que diable !
    Maintenant, attendre de le compassion de la part de macron pour qu’il arrête les injections, c’est comme demander à une punaise de lit de devenir végétarienne.

  7. je me demande ce que ce connard de macron vient foutre là-dedans il n’est même pas capable de gérer la france

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