En octobre 2020, quelques mois avant la mise sur le marché des vaccins contre le Covid, j’ai commencé à sonner l’alarme sur la dangerosité de ces produits, dans une lettre intitulée Vaccin anti-Covid : Je suis TRÈS inquiet.
« Des sommes colossales sont en jeu, ce qui ne présage rien de bon pour notre santé », avais-je alerté.
Depuis, toutes les craintes exprimées dans cette lettre se sont réalisées, hélas.
Et notamment celle-ci : je m’étonnais qu’AstraZeneca ait caché sous le tapis le cas d’une myélite transverse apparue dans son essai clinique.
J’expliquais qu’il n’y avait absolument aucun doute que cette maladie grave avait bien été causée par le vaccin AstraZeneca…
…et je m’étonnais que les autorités britanniques aient autorisé la reprise des essais cliniques, comme si de rien n’était.
Et puis, il y a quelques jours (soit quatorze mois après !), les autorités ont fini par le reconnaître : oui, le vaccin AstraZeneca cause bien des myélites transverses[1] – ce qui était évident depuis le début.
Malheureusement, on a découvert entre-temps que cet indésirable était bien le moindre des dégâts graves causés par AstraZeneca.
Tout récemment, les autorités françaises, avec l’étude EpiPhare, ont reconnu officiellement que ce vaccin causait des infarctus du myocardes (crises cardiaques) et des embolies pulmonaires, donc des morts[2].
Maintenant, voici la question à 1 000 euros.
Pourquoi ai-je été l’un des seuls à parler de myélite transverse et, plus généralement, à m’inquiéter des effets indésirables des vaccins anti-covid ?
Est-ce parce que je suis un indécrottable « anti-vax », qui a eu raison « par hasard » ?
Ou bien est-ce parce que j’avais une vision éclairée des réalités de la vaccination – et de la façon dont les autorités de santé se comportent sur ce sujet ?
Eh bien si, la vaccination, « ça se discute » !
Dans ma dernière lettre, j’ai commencé à répondre à cette question.
Loin d’être « antivax » par principe, j’étais dans ma jeunesse un pro-vaccin convaincu.
Puis, ma réflexion a évolué quand j’ai découvert ces deux faits majeurs :
- C’est grâce aux progrès économiques et sociétaux, et non pas grâce à la vaccination, que les grandes maladies infectieuses ont disparu ou sont devenues peu mortelles en Occident ;
- Beaucoup de vaccins n’ont rien « d’altruistes », c’est-à-dire qu’ils ne protègent personne d’autre que les vaccinés : c’est notamment le cas du vaccin DTP, pourtant imposé à tous les enfants français depuis un demi-siècle.
Je vous invite à relire ma lettre si vous n’en êtes pas convaincu.
Car ces deux faits sont essentiels pour avoir une discussion sereine : critiquer la vaccination ne pose aucun risque majeur pour la santé publique.
Certains vaccins ont peut-être une balance « bénéfice-risque » favorable pour certains patients ou certaines populations – c’est une discussion passionnante à avoir, vaccin par vaccin.
Mais il est urgent de sortir du terrorisme intellectuel qui nous est imposé depuis des années.
« La vaccination, cela ne se discute pas », avait résumé la ministre de la Santé française, en 2015.
Au contraire, il est urgent d’exercer son esprit critique sur la vaccination.
Car cela n’a rien d’une « baguette magique ».
Quand on creuse un peu ce sujet, on se rend compte que la plupart des vaccins causent beaucoup plus de problèmes qu’on ne l’imagine… et en résolvent beaucoup moins qu’on ne le croit.
Je voudrais ici partager avec vous les grandes « vérités indésirables » que j’ai découvertes, au fil de mes enquêtes sur les vaccins.
Et je prétends que c’est ce genre de connaissance qui m’a permis d’avoir eu plus de clairvoyance que la plupart des « experts » sur les vaccins anti-Covid :
Choquant : la science des vaccins est quasiment… inexistante !
D’abord, il faut bien comprendre un point essentiel.
Le niveau de qualité de la science sur les vaccins – en particulier les « vieux vaccins » – est ridiculement faible.
Vous vous souvenez qu’on a critiqué le Pr Raoult car il ne voulait pas faire d’étude randomisée contre placebo pour tester son traitement (alors qu’on était en pleine épidémie et que l’urgence était de soigner les malades).
Tenez-vous bien : pour les 11 vaccins obligatoires imposés aux bébés français, il n’y a jamais eu d’étude randomisée contre placebo !
Vous avez bien lu : on a rendu obligatoires 11 vaccins, injectés à des bébés en pleine santé, avec 2 à 3 doses de rappel chacun… sans le moindre essai clinique fiable.
Les vaccinolâtres vous diront peut-être qu’il ne serait pas « éthique » de faire un essai clinique dans lequel des enfants ne seraient pas vaccinés.
Mais c’est le serpent qui se mord la queue : on se refuse à étudier sérieusement l’efficacité et les risques de nombreux vaccins… parce qu’on présuppose qu’ils sont sûrs et efficaces !
Et pourtant, si on veut avoir la moindre conviction sérieuse, il faudrait impérativement faire des essais cliniques de grande ampleur, vaccin par vaccin.
C’est ce que martèle le Dr Michel de Lorgeril, un des plus grands épidémiologistes au monde, dans son excellente série de livres sur les vaccins[3] – si le sujet vous intéresse, jetez-vous dessus.
A minima, je serais très curieux de voir ce que donnerait une grande étude randomisée comparant un groupe d’enfants non-vaccinés avec un groupe d’enfants vaccinés avec ces 11 vaccins obligatoires, en regardant en particulier :
- Le nombre de morts subites de nourrissons[4] et le nombre de décès, toutes causes confondues ;
- Le nombre de maladies – pas seulement celles censées être évitées par les vaccins, mais aussi toutes les autres maladies, notamment auto-immunes et neurologiques(troubles du spectre autistique, hyperactivité et troubles de l’attention, etc.) ;
- Et le nombre de problèmes immunitaires: allergies, eczéma, intolérances alimentaires, etc.
Car les résultats d’une telle étude pourraient en surprendre plus d’un :
Les enfants non-vaccinés sont-ils en meilleure santé ? Possible !
De fait, plusieurs études montrent que les enfants non-vaccinés sont en meilleure santé que les autres[5], et notamment moins victimes d’allergies, d’asthme et de troubles neurologiques[6],[7].
Troublant, non ?
Certes, ce n’est pas une preuve définitive, car les enfants vaccinés et non-vaccinés ne sont pas forcément comparables !
Par exemple, il est probable que les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants leur donnent aussi moins d’antibiotiques, dont on connaît les dégâts sur le microbiote et la santé en général.
C’est pourquoi il faudrait de grands essais cliniques, financés par l’État, pour trancher le débat.
Mais cela n’arrivera jamais.
D’abord parce que le lobby pharmaceutique est trop puissant…
…mais aussi parce qu’il faudrait conduire l’étude sur énormément d’enfants… et sur une période de temps considérable !
Par exemple, pour savoir combien de cas d’hépatite B – une maladie d’adultes – sont réellement évités par la vaccination des nourrissons, il faudrait un recul de 30 ans minimum !
Et pour détecter correctement les effets indésirables, il faudrait des centaines de milliers de patients !
Car si un produit cause la mort d’1 bébé sur 100 000, cela passe toujours inaperçu dans les statistiques, à moins de faire un essai randomisé sur des centaines de milliers d’enfants !
Avec 800 000 naissances par an en France, pour avoir des certitudes absolues, il faudrait donc ne pas vacciner la moitié des bébés, par tirage au sort, puis évaluer l’état de santé des vaccinés et non-vaccinés dans les 10 à 20 ans qui suivent.
Autant vous dire que cela ne se fera pas.
Mais du coup, en l’absence d’étude définitive, il est anti-scientifique d’afficher la moindre certitude que les « vaccins sont sûrs et efficaces », comme le font pourtant les autorités de santé.
Surtout que dans les très rares cas où l’on a fait des études de grande ampleur, elles ne sont pas franchement favorables au vaccin !
C’est le cas par exemple du BCG, le vaccin contre la tuberculose, pourtant obligatoire en France de 1950 à 2007.
Des scientifiques indiens ont publié en 1999 une méga-étude randomisée, en double aveugle contre placebo, sur près de 300 000 enfants, menée sur 15 ans…
…et n’ont trouvé aucune efficacité de ce vaccin contre la tuberculose[8].
Zéro, rien, nada.
Il n’y a plus qu’à espérer que ce vaccin totalement inefficace n’a pas causé de dégâts parmi les millions d’enfants qui l’ont reçu.
Mais nos autorités prennent-elles vraiment au sérieux la question des effets indésirables des vaccins ?
Les recherches sur les dangers de la vaccination sont systématiquement ignorées ou étouffées
Il y a quelques années, j’ai raconté (ici) comment le Pr Gherardi avait découvert par hasard la dangerosité de l’aluminium vaccinal… et comment ses travaux ont été étouffés.
Plus récemment, j’ai découvert via Michel de Lorgeril une série d’études choquantes sur le vaccin DTp utilisé en Afrique et en Asie, contenant de l’aluminium.
Le DTp n’est pas tout à fait « notre » DTP occidental[9] : il contient bien le vaccin contre la diphtérie et le tétanos, mais à la place du vaccin contre la polio, il contient celui contre la coqueluche (p comme pertussis).
Mais dans les deux vaccins, il y a de l’aluminium. Beaucoup d’aluminium.
Et on sait maintenant que l’impact du DTp sur les enfants africains est catastrophique.
Cela a été démontré par une prestigieuse équipe scientifique danoise, connue jusqu’alors pour ses positions « pro-vaccins ».
Cette équipe est dirigée par le Dr Peter Aaby, un chercheur présenté par le gouvernement danois comme l’une des personnalités les plus importantes dans la lutte contre la pauvreté mondiale[10].
Après des études très précises réalisées en Guinée-Bissau, lui et son équipe ont découvert que les enfants vaccinés par le DTp meurent au moins 2 fois plus que les enfants non vaccinés[11] !
Il ne s’agissait pas d’étude randomisée, contre placebo, avec des enfants comparables.
Mais c’est encore plus inquiétant, car les enfants non-vaccinés étaient en moins bonne santé que les enfants vaccinés !
Et ce sont les enfants en bonne santé mais vaccinés qui avaient deux fois plus de risques de mourir que les enfants non-vaccinés et souffrant de malnutrition.
C’est pourquoi les chercheurs concluent que le vaccin multiplie probablement par 5 le risque de mourir (et non seulement par 2) [12].
Exemple à peine croyable : des dizaines de milliers de morts causés par le DTp en Afrique… et personne ne réagit !
Et d’après vous, qu’ont fait l’ONU et la communauté scientifique, après la publication de ces résultats effarants ?
Rien du tout !
Choquée, l’une des chercheuses de l’équipe danoise, Christine Stabell Benn, a publié un appel à l’aide dans un journal reconnu mondialement, The Independent[13] :
« Le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTp) est un vaccin contre trois maladies graves. Donc on pensait qu’il permettrait de réduire la mortalité.
Mais quand nous avons examiné ce qui s’est passé lors de l’introduction du vaccin DTp en Guinée-Bissau, nous avons été très surpris. Malgré la protection contre ces maladies, les enfants vaccinés avaient une mortalité 5 fois supérieure à ceux qui n’avaient pas reçu le vaccin.
Cette découverte a été confirmée à plusieurs reprises. La protection contre la diphtérie, le tétanos et la polio a une lourde contrepartie : elle augmente le risque de mourir d’autres infections, comme les infections respiratoires, surtout pour les femmes.
En chiffres absolus, ces résultats indiquent que l’utilisation du DTp en Afrique sub-saharienne pourrait coûter des dizaines de milliers de vies de petites filles chaque année. »
Oui, des dizaines de milliers de morts seraient donc causées par ce vaccin chaque année !
Et c’est une équipe très pro-vaccins qui le dit (cette chercheuse recommande par ailleurs fortement le vaccin contre la rougeole en Afrique) !
Avec de tels résultats, on aurait pu s’attendre à un moratoire immédiat sur ces vaccins en Afrique.
Et dans la mesure où l’aluminium est le grand suspect[14], on devrait aussi immédiatement se poser des questions en France… car 8 des 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons contiennent de l’aluminium !
Mais il ne s’est rien passé.
La réputation de la vaccination est restée « intacte » dans l’opinion.
Pourtant, les signaux d’alerte se multiplient.
Tout récemment, des chercheurs indiens ont comparé ce vaccin DTp… à un vaccin « combiné » contenant en plus la méningite (Hib) et l’hépatite B (contenant de l’aluminium)[15].
Leur conclusion est effarante : avec le vaccin « combiné », il y avait deux fois plus d’enfants morts dans les 72h qui suivent la vaccination !
Or ce vaccin combiné ressemble fortement au vaccin injecté aux nourrissons français, le fameux « hexavalent », qui contient ces 5 mêmes vaccins + celui de la polio.
Et je rappelle qu’un Prix Nobel de Médecine, le Pr Luc Montagnier, avait publiquement exprimé son inquiétude à ce sujet :
« La somme des vaccins, utilisés trop tôt chez les nouveau-nés, peut déclencher une réponse inflammatoire puissante, pouvant entraîner la mort subite du nourrisson »[16].
Voilà une raison de plus d’encourager les études sérieuses sur le « bénéfice-risque » réel des 11 vaccins obligatoires pour les bébés !
Et ce n’est pas tout.
Car il n’y a pas que les chiffres, dans la vie.
Les témoignages des familles sont niés, même lorsqu’ils sont flagrants
Écoutez ce que dit ici le Dr de Lorgeril, qui, habituellement, ne jure pourtant que par les statistiques et les essais cliniques :
« Quand vous avez une maman dont le bébé est tombé malade le jour où son bébé a reçu sa vaccination, qui s’est plaint au vaccinateur, aux spécialistes… et à qui ont dit, non non, c’est une coïncidence, cela n’a rien à voir, il est devenu autiste mais ce n’est pas la faute du vaccin.
Mais attendez, est-ce qu’il y a une personne mieux placée que cette maman pour dire, il allait très bien mon bébé, le jour où il a été vacciné, il est tombé malade et n’est jamais redevenu normal ?
Comment un bureaucrate, un ministre ou un industriel peut venir lui dire que c’est une coïncidence ? C’est tragique ».
Je suis d’autant plus touché par le bon sens de ces paroles que j’ai découvert récemment avoir un cas dramatique dans ma propre famille.
Le frère de mon père, Dominique (mon deuxième prénom, un hasard ?) est mort à 22 mois… mais j’ignorais dans quelles circonstances.
C’est ma tante Blanche, par ailleurs fidèle lectrice, qui me l’a raconté récemment :
« Le soir même de son vaccin contre la variole, Dominique a eu une fièvre importante, qui a duré deux jours. Après il est devenu apathique. C’était le lendemain de ses 3 mois. Avant ça, il était très éveillé et très joyeux, il riait aux éclats quand maman lui faisait coucou derrière la capote de son landau.
Son développement s’est arrêté, il n’a même jamais pu s’asseoir. Il a végété jusqu’à sa mort.
Maman m’a raconté qu’elle avait fait le tour de tous les médecins et neurologues qu’elle avait pu trouver.
Je ne me rappelle pas d’autres détails mais quand mes enfants étaient petits, maman m’a toujours dit : fais attention aux vaccins ! Petite, j’ai failli mourir du vaccin contre la variole, j’ai eu un énorme abcès dans la cuisse, qui était très rouge et avait doublé de volume, et j’ai été malade longtemps. »
À combien de famille des drames de cette nature sont-ils arrivés ?
Certes, le vaccin anti-variolique est l’un des plus toxiques jamais administré aux enfants – il faut dire que la maladie était elle-même redoutable.
Mais ce seul exemple montre bien que les soi-disant « anti-vax » du 20ème siècle n’avaient probablement rien d’illuminés, contrairement à ce qu’on essaie de faire croire.
Peut-être que le vaccin anti-variolique avait plus d’avantages que d’inconvénients, à une certaine époque… mais des drames comme celui vécu par ma grand-mère étaient bien réels, et devaient nourrir une méfiance qui n’avait rien d’irrationnelle.
Pour vacciner en masse avec sérénité, il faut un niveau de preuves scientifiques que nous n’avons pas à ce jour !
Il faut le dire haut et fort : il n’est jamais « banal » d’injecter un vaccin à qui que ce soit.
Sans même parler du contenu « normal » des seringues, l’histoire des vaccins est émaillée d’accidents industriels catastrophiques :
- A Lübeck, en 1930, des vaccins BCG contre la tuberculose ont causé la mort de 72 enfants, car contaminés par une souche virulente de la maladie ;
- Aux États-Unis, en 1955, des vaccins contre la polio ont causé la mort d’au moins 5 enfants et 113 cas de paralysie, contaminés par le virus vivant ;
- En 2018, 250 000 doses de vaccins DTp défectueux ont été injectées à des enfants chinois, ce qui a causé plusieurs morts[17] ;
- Et tout récemment, le Japon a suspendu plus d’1 million de doses du vaccin anti-covid Moderna, parce qu’il contenait des particules métalliques anormales[18] !
Pour vacciner massivement, à fortiori de manière obligatoire, il faut donc un « bénéfice-risque » incontestable, démontré par un haut niveau de preuve scientifique… ce qu’on n’a pas pour la plupart des vaccins !
Je rappelle que les risques des vaccins sont encore moins acceptables que ceux des médicaments, pour deux raisons :
- On administre le vaccin à des personnes en bonne santé – surtout les bébés ;
- Et les effets de l’injection sont irréversibles, contrairement à la plupart des traitements, qui peuvent être arrêtés.
Et pourtant, malgré tout cela, les autorités scientifiques et la communauté scientifique ne se posent pas vraiment de question sur la vaccination de masse… et, pire, n’acceptent pas qu’on s’en pose.
Voilà pourquoi je suis devenu plus sceptique que la moyenne sur la vaccination, bien avant le Covid.
Enfin, voilà une partie de mes raisons.
Car j’ai beau avoir été long, je n’ai pas du tout fini de vous raconter mes découvertes sur la vaccination !
Il y a encore bien d’autres vérités indésirables à parcourir, ensemble !
Suite au prochain épisode !
Bonne santé.
143 réponses
Rien a Rajouter ! Bravo et merci !
Suite a un vaccin tétanos … à trente ans j ai eu une spondylarthrite ankylosante !! Alors que j’étais une splendeur de la nature !!!
Et de terribles effets indésirables lorsque j’étais petites suite également aux vaccins….dans le déni le plus total de la médecine …
La vaccination semble intéressante mais ne constitue pas une réponse définitive aux problèmes de santé rencontrés.
Il est bon de s’interroger sur tout ce qui est proposé pour soigner, c’est de notre vie dont on parle, c’est du domaine privé et aussi publique quand il y a possibilite de contagion.
Donc les vérités ne sont pas uniques mais multiples.
Bonjour,
Vos articles sont très intéressants. Je ne parviens cependant pas à voir où sont données vos références bien mentionnées dans les texte : [1], [2], …
Merci
Très cordialement
Entièrement d’accord avec Xavier Bazin. !!!
C’est la Nature qui a raison!!!
Enfant, dans les années 50, l’injection du vaccin contre la polio. m’a laissée paralysée pendant 2-3 j., à ma grande frayeur et à celle de ma famille… On n’a pas fait de signalement, à l’époque cela ne se faisait pas.
Cela n’a pas fait de moi une anti-vax… mais je suis peut-être plus sensible que d’autres aux effets indésirables potentiels… et attachée à la liberté de choix de chacun, surtout quand le vaccin ne protège que soi-même… et le système de santé, que nos gouvernants en profitent pour continuer de mettre à mal…
Nous ne devrions servir de cobayes ni de variables d’ajustement !
Bonjour
La lettre m a plu je suis contre le vaccin depuis le debut et je duis tout à fait d accord avec vous merci
Cordialement K. Facilasoldore dur youtube et les autres
En tant qu’assistant maternelle j’ai la chance d’accueillir des enfants non vaccinés et je peux vous dire qu’ils sont en pleine forme, sont allaités tardivement et leurs dents sortent comme une lettre à la poste. Par contre les autres développent énormément d’inflammations en tout genre. Donc je suis sûre de la toxicité des vaccins. J’ai moi-même été empoisonnée par un vaccin et le pire c’est que j’ai empoisonnée mon bébé à l’époque. Plus jamais un vaccin n’entrera dans mon corps.
Un nouvel effet secondaire lié au vaccin contre la Covid-19 aurait été détecté. Il aurait provoqué chez certaines personnes une maladie bulleuse de la peau.
Selon une étude publiée dans le Journal of Dermatology, des problèmes de peau pourraient être liés au vaccin anti-Covid. Ce dernier pourrait provoquer une maladie rare, appelée pemphigoïde bulleuse. Mon époux (+ 90 ans), vacciné Pfizer a présenté un vilain bouton sur la cuisse que le dermato n’a su nommé, mais qui a finalement nécessité une ablation chirurgicale. J’ai fait des recherches et mes photos s’avèrent en tous points correspondre aux photos liées à cet article. Cette maladie de la peau, selon le National Health Service (NHS) est une infection cutanée qui se forme dans un premier lieu comme une éruption cutanée en relief. Puis, elle se transforme et prend l’apparence de cloques remplies de sang ou de pus. Crèmes stéroïde ou des antibiotiques n’y ont rien fait. La pemphigoïde bulleuse est souvent détectée chez les personnes âgées de plus de 60 ans mais peu de gens le savent. Cependant, lors d’une étude réalisée par des scientifiques turcs, cette maladie de peau a été détectée chez des patients qui avaient reçu le vaccin anti-Covid. Toutes les personnes présentant des cloques sont des personnes âgées. Cette maladie est détectée plusieurs semaines après le vaccin. Lors d’une vaccination, il n’est pas rare de voir apparaître des réactions cutanées comme des rougeurs, des gonflements ou des douleurs au niveau de l’injection. Toutefois, les effets secondaires plus graves comme la pemphigoïde bulleuse, sont plus rares. Dans l’étude, on découvre que sur 7 personnes, 4 auraient développé la maladie pour la première fois après la vaccination. Selon les confrères d’Oh! My Mag UK, tous ces patients avaient reçu le CoronaVac pour leurs 2 premières doses, puis trois d’entre elles le vaccin Pfizer et une, le vaccin CoronaVac pour la dose de rappel. L’étude a aussi mis en lumière la « période de latence » nécessaire pour que la maladie de peau ne se déclare : elle serait d’une semaine à un mois et demi. À noter, les scientifiques turcs n’ont pas encore établi un lien définitif entre cette maladie bulleuse de la peau et les vaccins anti-Covid mais moi j’y crois. Avez-vous d’autres expériences ?
merci pour votre engagement qui nous ouvre les yeux et nous protège ! C’est honteux ce qui se passe en France ; notre moral et notre santé physique sont bien atteints.