Ce médecin qui a courageusement défendu la vitamine C a été doublement CONDAMNÉ par l’Ordre des Médecins – soutenez-le ! 

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Jean-Philippe Labreze n’est pas un médecin ordinaire.

Pas seulement parce qu’il est aussi naturopathe.

Pas seulement parce qu’il rayonne d’humilité et d’humanité.

Mais aussi, et surtout parce qu’il a un courage hors du commun.

Ce courage lui a d’ailleurs déjà valu de sérieux ennuis, il y a une quinzaine d’années.

Il était président d’une association de défense des droits fondamentaux des patients en psychiatrie.

Fidèle à son engagement, il est intervenu pour s’opposer à des internements abusifs. Il s’est aussi opposé à la décision d’administrer à un patient, contre sa volonté, des électrochocs.

Et il s’est même opposé frontalement à un de ses confrères qui avait prescrit deux médicaments neuroleptiques à un enfant qui, abusivement retiré à ses parents, s’était mis à casser ses jouets. L’un de ces deux produits était en plus contre-indiqué chez l’enfant (!).

Évidemment, les psychiatres concernés n’ont pas apprécié ses « interventions », et des signalements ont été réalisés auprès du Conseil de l’Ordre, qui s’en est emparé pour déposer plainte contre le Docteur Labreze.

Ni son engagement associatif, ni sa pratique de naturopathe, ni ses convictions religieuses n’ont, bien entendu, joué en sa faveur.

Mais il s’est sorti de toutes ces plaintes, après des années de procédure.

C’est donc parfaitement conscient des dangers du non-conformisme en médecine qu’il s’est manifesté de nouveau, en mars 2020.

C’était en pleine épidémie Covid.

Si le Dr Labreze est sorti de sa réserve, c’est qu’il savait qu’un remède pouvait aider les patients.

Un remède qu’il connaît parfaitement, pour l’utiliser et le prescrire depuis des décennies.

Un remède inoffensif, connu pour aider à lutter contre les infections et même pour sauver des vies en service de réanimation.

Ce remède, c’était la vitamine C.

Ainsi, en pleine épidémie Covid, le Dr Labreze a communiqué à de nombreux collègues, un protocole de soin à base de vitamine C en intraveineuse, destiné aux malades gravement atteints du Covid.

L’auteur de ce protocole médical n’était pas n’importe qui.

Il s’agissait du Pr Paul Marik, l’un des plus grands spécialistes au monde des soins intensifs (c’est le second auteur le plus cité au monde dans ce domaine de la médecine, et le manuel de référence en soins intensifs est signé de son nom).

Le Pr Marik avait réalisé personnellement plusieurs études sur la vitamine C en intraveineuse, montrant qu’elle sauve des vies en cas d’infection généralisée (sepsis), quand elle est administrée au bon moment, avec de la vitamine B1 et des corticoïdes.

Dès le début de l’épidémie, le Pr Marik était en contact étroit avec les autorités médicales de la ville de Shanghai, en Chine, qui ont recommandé la perfusion de vitamine C en cas de Covid graveavec de très bons résultats[1]

Donc, le Dr Labreze avait mille fois raison de diffuser le protocole du Pr Marik à ses collègues, quelques jours avant la décision d’Emmanuel Macron de confiner tous les Français !

Condamné pour avoir écrit à ses confrères que la vitamine C pouvait agir contre le Covid !

Comme il le dira plus tard, pour sa défense :

« Dans une période aussi critique (tout début d’une épidémie présentée comme particulièrement redoutable), la vitesse de diffusion de l’information était un point clé pour sauver davantage de vies, et que connaissant la très grande fiabilité de la source de ces informations, le grand intérêt de la vitamine C pour le traitement des problèmes infectieux, puisque je l’étudie depuis plus de 40 ans et la prescris depuis plus de 30 ans, je considère non seulement n’avoir pris aucun risque, mais que, ce faisant, j’assumais ma responsabilité de médecin et de citoyen. (…)

Je redis ici, pour ma part, ma ferme conviction que la prise en compte immédiate des informations dont le Professeur Marik demandait une large et rapide diffusion aurait effectivement permis de sauver un grand nombre de vies. »

C’est parfaitement exact.

De fait, dans l’hôpital du Pr Marik, le taux de mortalité Covid à 28 jours était de 6,1 %, contre 15 à 30 % en moyenne dans les autres hôpitaux occidentaux[2].

Mais pour avoir communiqué à ses confrères ce protocole salvateur, le Dr Labreze a été condamné par le conseil régional de l’Ordre des Médecins à 6 mois de suspension !

C’est absolument scandaleux, invraisemblable.

Notez bien que le Dr Labreze n’avait même pas diffusé ce protocole auprès du « grand public ».

Croyez-le ou non : on lui reproche d’avoir communiqué le protocole Marik aux autorités sanitaires et à ses confrères…

ce qui signifie que l’Ordre des médecins estime que les professionnels de la médecine ne sont pas assez « grands » pour interpréter par eux-mêmes des informations de nature médicale !

Le Dr Labreze a bien sûr contesté ce jugement inique. Le procès en appel aura lieu mardi 20 février prochain à Paris, dans une salle du Conseil national de l’Ordre des médecins.

Vous pouvez le soutenir en visitant le site Internet consacré à sa défense : https://justicepourledocteurlabreze.info.

Et si vous habitez à proximité, je vous invite à vous rassembler devant le bâtiment (à 14h15, 4 Rue Léon Jost), afin de manifester votre soutien pacifique à ce médecin qui reste intègre et combatif alors même qu’il est persécuté.

Oui, persécuté.

Car en 2018, déjà, le Dr Labreze avait été condamné par l’Ordre des Médecins… pour avoir administré de la vitamine C !

Il avait même été très lourdement condamné : 3 ans de suspension, dont 2 avec sursis !

Pourquoi ? Accrochez-vous bien, car cette histoire est difficile à croire.

Condamné pour avoir tenté de SAUVER LA VIE d’une vieille dame !

Une dame de 80 ans, Mme S, était victime d’une grave infection nosocomiale (contractée à l’hôpital).

Une infection « impossible à contrôler », selon ses médecins, qui décident de la laisser mourir en soins palliatifs, après deux mois passés à l’hôpital.

Mme S est donc transférée dans un service de soins palliatifs, où elle reçoit du sérum physiologique et de la morphine.

Donc, absolument rien qui puisse l’aider à s’en sortir.

Notez aussi qu’elle n’est plus alimentée ! Ce qui veut dire qu’elle n’a plus que quelques jours à vivre.

Mais Mme S n’a pas envie de mourir. Elle a toujours clairement communiqué son désir de vivre, « pour faire toutes les choses qu’elle a encore à faire ». 

Sa meilleure amie, patiente du Dr Labreze et personne de confiance de la patiente lors d’hospitalisations antérieures, décide alors de lui demander de l’aide.

Elle a plusieurs fois entendu le Docteur Labreze dire que la vitamine C en intraveineuse pouvait faire des « miracles » dans des cas apparemment désespérés (ce qui est exact, je vous en reparlerai).

Et de toute façon, il n’y avait strictement « rien à perdre » à essayer, sachant que la vitamine C en intraveineuse n’a jamais causé le moindre inconfort à personne (au contraire, dans le cas du cancer par exemple, il est prouvé qu’elle améliore nettement la qualité de vie des malades).

Au pire, donc, Mme S vivra un peu mieux ses derniers instants. Et, sait-on jamais, elle pourrait même s’en sortir et survivre !

Appelé à l’aide, le Dr Labreze fait alors son devoir de médecin.

Il va voir Mme S une première fois à l’hôpital, juste avant son transfert en soins palliatifs. Elle est dans un état de grande faiblesse mais il perçoit son désir de vivre.

Puis il prend soin d’expliquer au Dr G, le médecin des soins palliatifs en charge de Mme S, pourquoi il serait pertinent d’essayer la vitamine C. Le Dr Labreze pense alors être tombé sur quelqu’un de compréhensif puisque le Dr G lui dira ensuite avoir « commandé les produits ».

Mais vu la situation, il n’est pas question d’attendre un jour de plus.

Alors, le Dr Labreze retourne voir Mme S avec seringues et flacons de vitamine C.

Il lui administre 3 grammes de vitamine C en intraveineuse – une dose probablement inférieure à ce dont la patiente aurait réellement besoin, mais suffisamment forte néanmoins pour pouvoir espérer un effet bénéfique.

Après la deuxième perfusion, Mme S demande ses gâteaux et ses tricots !

Le lendemain, le Dr Labreze retourne voir Mme S. et constate qu’elle ne reçoit toujours aucun traitement ni alimentation (seulement du sérum physiologique et de la morphine). L’infirmière présente lui dit n’avoir reçu aucune consigne de la part du Dr G.

Comprenant qu’il a été trompé, le Dr Labreze administre à nouveau 3 grammes de vitamine C puis contacte le Dr G. pour clarifier la situation.

L’entourage quant à lui constatera les effets très positifs de cette perfusion et témoignera par écrit de l’amélioration incontestable de l’état de santé de Mme S.

Après la seconde perfusion, alors qu’elle ne parlait plus depuis presque 2 mois et paraissait inconsciente, Mme S. a maintenant les yeux ouverts dans son lit, demande ses gâteaux et ses tricots et plaisante même avec sa meilleure amie.

Aurait-elle pu être tirée d’affaire avec quelques jours de plus de perfusion de vitamine C ?

C’est possible, mais on ne le saura jamais, car lorsque le Dr Labreze revient le jour suivant, un vigile lui interdit l’accès à la chambre.

Et une semaine plus tard, Mme S décède – ce qui était inévitable sans apport de nourriture et sans traitement curatif.

On l’a donc privée d’un soin inoffensif qui l’avait indiscutablement aidée et qui représentait pour elle des chances de survie.

C’était la conviction du Docteur Labreze et c’est ce qu’il m’a clairement indiqué lorsque nous avons échangé à ce sujet.

Et comme si l’affaire n’était pas suffisamment scandaleuse, le Dr Labreze a été condamné à 3 ans de suspension pour avoir fait son devoir de médecin !

J’ai lu attentivement la décision de condamnation[3], pour être certain que je ne « ratais » pas quelque chose.

Mais non. Je suis convaincu que le Dr Labreze a eu raison de bout en bout.

Il a certes agi avec détermination et célérité, contournant au passage quelques règles techniques, mais cela se justifiait amplement par la situation d’extrême urgence.

Ainsi, on lui reproche :

  • De ne pas avoir recueilli le consentement écrit de Mme S… alors que lui agissait pour la sauver et que l’hôpital la poussait vers la mort !
  • De ne pas avoir contacté la « personne de confiance » officielle de Mme S ;
  • Et de ne pas avoir recueilli le consentement explicite du Dr. G, le médecin de soins palliatifs… alors que celui-ci lui avait dit avoir commandé les produits, ce qui équivalait à un accord !

Pour vous donner une idée de la mauvaise foi du jugement, on lui reproche même de ne pas avoir eu accès au dossier médical de Mme S (alors que sa discussion avec le Dr G suffisait pour comprendre qu’elle souffrait d’une infection incontrôlable, ce qui est une indication tout à fait adaptée pour administrer de la vitamine C).

Voici encore quelques « perles » que l’on peut lire dans le jugement :

  • « La circonstance qu’elle aurait manifesté son désir de continuer à vivre ne saurait être regardée comme un consentement» ;
  • « La circonstance que Mme S aurait été plus lucide le lendemain de la première injection ne saurait constituer une preuve de ce que l’injection aurait été efficace».

Vous le voyez, le Dr Labreze n’aurait JAMAIS dû être condamné à une telle sanction !

Si vous voulez mon avis, il aurait plutôt dû être remercié, voire félicité pour son action.

Et c’est le Dr G. qui devrait être condamné pour avoir empêché sa patiente de bénéficier de la vitamine C.

Mais tel n’est pas le monde dans lequel nous vivons.

Dans une prochaine lettre, je vous raconterai l’histoire hallucinante d’Alan Smith.

Ce patient, condamné par la médecine, s’apprêtait à être « débranché » de la machine qui le maintenait en vie. Mais sa famille a obtenu, en dernier recours, qu’on essaie d’abord la vitamine C en intraveineuse.

Ce qui s’est passé après est tout simplement « dingue », à tous points de vue.

Restez connecté, je vous raconte très bientôt.

Bonne santé,

Xavier Bazin

Sources

[1] C’est ce que montre le compte-rendu d’une réunion du 17 mars 2020, animée par le Docteur MAO, Chef du département de médecine d’urgence de l’hôpital Ruijin, l’un des principaux hôpitaux de Shanghaï, affilié à l’université de médecine de Jiao- Tong, et membre de l’équipe d’experts séniors du Centre de Santé Publique de Shanghaï.

[2] https://doyourownresearch.substack.com/p/academic-narrative-enforcers-the

[3] https://justicepourledocteurlabreze.info/wp-content/uploads/2022/11/Piece-N19-Jugement-Conseil-national-Appel-10-05-2022.pdf

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  1. Il est médecin donc responsable de ses actes. Personne n’a à lui dicter ce qu’il doit faire et en aucun cas les collabos de Big Pharma.

  2. Ou après le professeur Raoult, comment faire taire ceux qui trouvent des solutions qui ne font pas parties des grands groupes pharmaceutiques, ont les fait taire à tout prix, on paie ses collègues pour qu’il le dénonce, on le déshonneur et le spolie en place publique, on le démet de ses fonctions et comme ça ne fonctionne toujours pas, on le traîne comme on le ferait pour un voleur, un assassin, en justice et on lui enlève son droit à exercer son métier, donc à détruire sa vie, sans avoir aucune compassion sur la vie de sa femme, ses enfants sa belle famille et sa famille.
    Je trouve ça honteux, parce qu’une fois qu’ils auront affaibli les classes moyennes, les pauvres et les plus pauvres, ils ne sauront pas faire le 1/4 de ce que nous faisons.
    Mais tant que l’Homme (en général hein) arrêtera de se prendre pour « Dieu », tout leur argent ne suffira pas de les sauver des dégâts que nous réserve la nature.

  3. Apres connaissance des commentaires je declare haut et fort
    N’ayez plus confiance envers la MEDECINE qui vous tueras au lieu de vous guerir.

  4. Le Dr Labreze est mon medecin traitant. Il est un medecin extrzordinaire de bon sens. Cet acharnement sur lui est intolerable. Le Dr Labreze doit être délesté de ce carcan qui dure depyis trop longtemps. Suis révoltée de voir cette chasse aux sorcières qui ne dessert que les interets d une industrie pharmaceutique corrompue. Stop cela suffit. La conscience professionnelle et les incontestables compétences du Dt Labreze doivent être reconnues garanties et respectées.

  5. que dire… c’est affolant heureusement qu’il y a encore de bons medecins mais ce n’est pas facile pour eux et surement je soutiens le docteur Labrèze

  6. Il faudrait vraiment supprimer ce conseil du désordre. Un ramassis de notables à la botte des laboratoires avec forcément des conflits d’intérêts au point d’en oublier le serment d’hypocrate pour celui d’hypocrites.

  7. N’y a-t-il personne de compétent pour déposer plainte contre ce désOrdre des Médecins pour complicité de non-assistance à personne en danger, complicité de tentative de meurtre et complicité de meurtre et même d’assassinat ?

    Ces Conseils, de médecins et de pharmaciens, grassement rétribués par l’industrie pharmaceutique (qui, elle, ne fait presque plus de recherche) doivent être dissous ou bien à tout le moins, qu’on ne puisse y élire ceux qui touchent de l’argent de Big Pharma, enquêtes financières approfondies à l’appui. On fait ch… le pékin moyen quand il retire 2000 € de son compte, il est temps d’emm… les pourris (oui, je parle de la majorité des membres de ces désOrdres).

  8. Bravo à ce médecin qui a pris ces responsabilités pour tenter de sauver une malade qui n’intéressait plus certains à cause de son âge. C’est une honte pour ceux qui l’ont laissé mourir ainsi et pour la justice.

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