Cher(e) ami(e) de la Santé,
Cette phrase du Dr D. résonne encore dans ma tête :
« C’est un traitement extrêmement controversé, et c’est interdit en France.
De mon expérience personnelle, c’est quelque chose de très intéressant et ce n’est pas dangereux.
Personnellement, si j’ai un cancer demain, j’en ferai. »[1]
Ce « traitement » contre le cancer, c’est la vitamine C en intraveineuse.
Cela fait 50 ans qu’il a été « découvert », par un prix Nobel.
Et cela fait 50 ans qu’il est combattu par l’establishment médical, malgré une accumulation de preuves en sa faveur.
Tout récemment, un essai clinique a encore montré des résultats TRÈS impressionnants sur la survie des patients.
Je vous en parle tout de suite – mais revenons d’abord aux origines de cette affaire :
Quelle chance que ce génie se soit intéressé à la vitamine C !
L’histoire commence grâce à l’immense chercheur Linus Pauling, couronné d’un Prix Nobel de chimie en 1954.
Comme beaucoup de visionnaires de la santé naturelle, il a lui-même été frappé par la maladie.
À 40 ans, il a découvert qu’il était atteint d’une forme grave de la maladie de Bright. Une maladie potentiellement mortelle… et jugée incurable par les médecins de l’époque.
Mais Linus Pauling trouve sur sa route un médecin providentiel, qui lui prescrit un régime alimentaire ciblé, ainsi que des vitamines et des minéraux. Résultat, il vivra très bien, jusqu’à l’âge de 93 ans !
Voilà comment est née sa passion pour les vitamines… et en particulier la vitamine C.
Après de longues recherches, il publie un livre décrivant les effets impressionnants de cette vitamine en prévention du rhume.
Mais très vite, il s’attaque à un sujet beaucoup plus lourd : l’effet de la vitamine C contre le cancer.
Le « traitement » anti-cancer qui dérange l’establishment (et l’industrie)
Dans les années 1970, Linus Pauling s’allie avec le cancérologue écossais Ewan Cameron pour tester ce « traitement » sur des patients frappés par le cancer, en phase terminale.
Ils leur donnent 10 grammes de vitamine C par jour, en intraveineuse pendant les 10 premiers jours, puis par voie orale (des comprimés à avaler).
Résultat : ces patients se sentent mieux, souffrent moins… et vivent plus longtemps que les autres[2] !
Cette étude fait sensation… si bien que l’Institut National du Cancer (NCI) des Etats-Unis décide de lancer 2 essais cliniques randomisés contre placebo en 1978.
Le problème, c’est que les autorités choisissent de donner la vitamine C par voie orale uniquement, ce qui trahit le protocole de Linus Pauling.
Une manœuvre délibérée pour plomber un traitement jugé trop « alternatif » ?
Une chose est sûre : la vitamine C par intra-veineuse n’a rien à voir avec la vitamine C que l’on avale. À dosage égal, la concentration dans le sang est au moins 100 fois plus élevée en intraveineuse !
Sans surprise, donc, la vitamine C par voie orale n’a pas donné les résultats attendus sur le cancer.
Et voilà comment ce traitement prometteur a été enterré pendant de longues années !
(Entre parenthèse : cela rappelle fortement ce qui est arrivé à l’hydroxychloroquine et l’ivermectine pendant le Covid : après des premières études montrant l’efficacité de ces remèdes, de grandes études biaisées ou frauduleuses sont venues « enterrer » ces solutions peu coûteuses, juste à temps pour permettre à l’industrie pharma de bénéficier du jackpot des vaccins ARNm).
Mais 50 ans après, la vitamine C est en train de faire son grand retour.
Manifestement efficace, la vitamine C revient en catimini !
Depuis une vingtaine d’années, de nombreux scientifiques honnêtes et indépendants se sont à nouveau intéressés à ce traitement anticancer.
D’abord, des chercheurs ont établi que la vitamine C réduit les tumeurs cancéreuses in vitro[3]. L’efficacité de la vitamine C a aussi été confirmée « in vivo », sur des souris[4].
Puis, de petits essais cliniques de phase I ont montré que la vitamine C n’avait pas ou peu d’effets indésirables chez les patients cancéreux (à part des calculs rénaux chez ceux qui en avaient déjà eu dans le passé)[5].
C’est un point capital, car les chimiothérapies, comme chacun sait, sont extrêmement toxiques.
Avoir sous la main un traitement non toxique serait donc une bénédiction – y compris si ce traitement ne devait pas fonctionner « tout seul » et devait être utilisé de façon « complémentaire » aux traitements conventionnels.
D’autant que l’ensemble des essais cliniques réalisés montrent que la vitamine C en intraveineuse réduit les effets indésirables de la chimiothérapie et améliore la qualité de vie des patients (moins de fatigue, de nausées, de dépression, etc.)[6] !
Voilà d’excellentes raisons d’essayer ce traitement, en plus des soins conventionnels.
Voilà pourquoi, aux Etats-Unis, la plupart des praticiens exerçant dans des cliniques de médecine alternative utilisent la vitamine C en intraveineuse[7].
D’autant qu’il est possible que la vitamine C fasse mieux que « limiter les effets indésirables ».
C’est la question taboue (pour l’industrie) :
Se pourrait-il que ce traitement puisse guérir certains cas de cancer ? Pourrait-il améliorer la survie des malades ?
Et se pourrait-il – je vous écris ces mots en tremblant, vu le totalitarisme médical actuel – qu’il puisse remplacer, dans certains cas, les chimiothérapies ?
À ce jour, nous n’avons malheureusement pas de réponses définitives à ces questions, faute d’études en nombre suffisant.
Mais il y a tout de même des signaux très prometteurs :
Regardez le taux de survie, sur ce type de cancer quasi incurable !
En 2020, des cancérologues chinois ont publié les résultats d’un essai clinique randomisé contre placebo sur 97 patients[8].
Ces patients étaient victimes du cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC), un des cancers les plus difficiles à soigner, surtout lorsqu’il est à un stade avancé.
Ils avaient déjà été traités par les méthodes conventionnelles, sans résultat.
Dans l’essai clinique, la moitié d’entre eux ont reçu les soins habituels, donnés en cas de cancer réfractaire et très avancé.
L’autre moitié a reçu, en plus, de la vitamine C en intraveineuse (ainsi qu’un traitement d’électrohyperthermie modulée – encore un traitement complémentaire très prometteur, dont je vous reparlerai).
Le résultat est ahurissant.
Voici les courbes de survie des patients – en vert, ceux qui ont bénéficié de vitamine C en intraveineuse et de l’électrohyperthermie :
C’est bien simple : parmi les malades qui ont reçu les soins habituels (en violet), tous sont morts dans l’année.
Ce n’est pas très étonnant pour des malades d’un cancer grave, très avancé, et réfractaire aux traitements conventionnels.
Mais dans le groupe qui a reçu en plus les traitements complémentaires, dont la vitamine C, la moitié était encore vivant après 12 mois… et ils étaient encore près de 30 % à être encore vivants après 3 ans !
Pour moi, c’est un signal spectaculaire, extrêmement prometteur !
Et ce n’est pas une étude isolée.
Déjà en 2017, un petit essai clinique randomisé avait montré que la vitamine C en intraveineuse pouvait améliorer la survie de malades d’un cancer des ovaires par rapport à ceux qui s’étaient contentés des traitements conventionnels[9].
Cette étude avait aussi confirmé la capacité de la vitamine C en intraveineuse à atténuer les dégâts de la chimio et à améliorer la qualité de vie des patients.
La conclusion des chercheurs américains était claire et nette :
« Étant donné son potentiel bénéfice et sa faible toxicité, il est justifié de tester la vitamine C en intraveineuse, en conjonction avec la chimiothérapie standard, dans de plus grands essais cliniques ».
C’était… en 2014, il y a 10 ans.
Depuis, ces « grands essais cliniques » n’ont pas eu lieu.
C’était couru d’avance, car seule l’industrie pharmaceutique a les moyens d’organiser de grands essais cliniques… et il est évident qu’elle ne dépensera jamais le moindre centime sur un traitement qui pourrait lui faire perdre des dizaines de milliards d’euros chaque année[10].
Vous le voyez : contre le cancer, des traitements efficaces et peu toxiques existent.
Je vous ai déjà parlé des résultats prometteurs de la vitamine D et de la mélatonine comme traitement du cancer, et il y en a encore d’autres.
Tous ces traitements ne demandent qu’à être validés par de grandes études honnêtes et indépendantes…
… mais celles-ci ne seront pas réalisées, tant que notre système de santé sera prisonnier de l’influence tentaculaire de Big Pharma.
Ainsi va la médecine, en 2023.
Bonne santé,
Xavier Bazin
30 réponses
Bravo pour votre courage, M. Bazin. A part aux États-Unis dans les cliniques de médecine intégrative, dans quels pays en Europe est-il possible d’avoir accès à ces traitements de vitamine C par intraveineuse ? A quel coût et à quelle fréquence faut-il y recourir ?
L’interdiction par la France de ce traitement s’apparenterait à de la non-assistance à personne en danger si l’efficacité était avérée. Et il semble qu’elle le soit. La résistance de l’industrie pharmaceutique et des autorités sanitaires est en ce sens des plus suspectes.
Il est scandaleux que l’avancement de la science soit stoppée par l’avidité de Big Pharma et la complicité des gouvernements.
Autre information non négligeable. La promotion des hormones et des interventions chirurgicales (mutilations irréversibles) pour les enfants et adolescents, souffrant de dysphorie ou victimes de prosélytisme très agressif sur les médias sociaux s’explique en partie par le fait qu’un enfant qui transitione rapporte davantage à l’industrie pharmaceutique patients du cancer car il doit prendre des hormones à vie!
On marche sur la tête ! Et en plus on veut nous emprisonner et nous mettre à l’amende pour seulement tenter de vouloir lancer un débat public sur toutes ces problématiques médicales!!!
Je me réjouis de la remise en cause de la pertinence des statines et la mise en garde contre des dangers qui a réussi à percer dans les médias grâce aux livres d’Asseem Malhotra et Philippe Evin.
Sincèrement Hervé,
Ce n’est pas BIG FARMA ou big pharma qui a tord, je travaille dans des entreprises privées équivalentes et dont on est dans le collimateur pour pollution, mais on est en règle puisque la loi ne nous interdisait pas de polluer avec ce produit incriminé. Le plus gros problème ce n’est pas big Pharma qui cherche à se faire un max de fric mais nos législateurs qui doivent toucher « corruption cachée déguisée » pour ne pas changer les règles du jeu…
A partir du moment ou la vitamine C permet par injection de prolonger d’au moins 12 mois la vie de cancéreux s’il est est injectée EN PLUS des traitement de BIG PHARMA, la sécurité sociale rembourse le traitement à BIG pharma et si ce n’est pas le cas BIG pharma n’est pas remboursé ! big pharma ne fournirait leur traitement de base que si BIG pharma est certain d’être remboursé. Faites vous pas de soucis BIG PHARMA paiera les études de la vitamine C pour fourguer ces autres médicaments associés à la vitamine C ! sans vitamine C en plus il ne serait pas remboursé! évidemment big pharma prendrai en charge tous les patients pendant 12 mois et a le droit de doubler ses prix. pas de soucis, car si il n’ajoute pas la vitamine C il perd tout chance d’avoir le moindre remboursement des frais engagés pour soigner les malades. Big pharma va vite comprendre son intérêt et les malades survivront bien plus longtemps avec chance d’être guéri définitivement il valideront la vitamine C en plus et exigerons qu’elle soit ajoutée en plus de leur médoc. Amélie que fais tu ?
J’aimerais bien faire des intraveineuses de vit C… Mais où ??? puisque c’est interdit en France…
Bonjour,
Si cela est encore possible d’avoir le rapport sur la vitamine C en intraveineuse, en Allemagne cela se pratique ?
J’ai mon correspondant allemand qui malheureusement a un cancer de la Thyroïde…en plus de la vitamine C j’ai entendu parler de traitement à base d’onde scalaire avec des HE. Est ce que cela vous parle ?
Pour l’aider je voudrais tellement lui fournir une adresse chez qui aller en Allemagne pour ces 2 thérapies,
Merci pour lui <3