Cher(e) ami(e) de la Santé,
Avez-vous un avis sur ces remèdes présentés par certains comme « miraculeux » ?
- Dioxyde de chlore
- Bleu de méthylène
- Fenbendazole (antiparasitaire)
- Peroxyde d’hydrogène
- Naltrexone à faible dose
Si vous avez expérimenté l’un de ces remèdes, dites-le-moi en commentaire !
Personnellement, je n’ai aucune certitude, car je n’ai pas (encore) creusé la question.
Mais une chose est claire.
J’ai plutôt un « a priori » favorable vis-à-vis de ce genre de traitements.
Il y a encore 10 ans, je les aurais balayés d’un revers de main, faute d’études scientifiques.
Mais aujourd’hui, dès que je vois un remède bénéficiant de nombreux témoignages favorables de patients et de médecins, cela pique ma curiosité.
Il faut dire que je suis encore sidéré par les résultats de mon enquête sur la vitamine C.
Je rappelle que la vitamine C est une des molécules les moins toxiques au monde – dans l’histoire de la médecine, aucun patient n’est mort d’une surdose de vitamine C !
Et administrée à hautes doses, elle a montré des résultats exceptionnels sur la plupart des maladies infectieuses (et d’autres types de maladies encore !).
Et pourtant, la vitamine C à hautes doses est toujours méprisée par notre système de santé !
Il y a quelques jours, un ami médecin m’en a encore donné un exemple flagrant.
Alors qu’il voulait prescrire des hautes doses de vitamine C à un patient victime d’une mauvaise grippe, une collègue lui a demandé s’il « voulait faire uriner à son patient de la vitamine C pendant 5 jours ».
Pour sa collègue médecin, il ne faisait aucun doute que la vitamine C ne servait à rien.
Alors que toutes les preuves scientifiques suggèrent qu’elle peut être salvatrice en cas d’infection !
Je le dis avec beaucoup de confiance car, dans le cas de la vitamine C, on dispose de beaucoup d’études scientifiques publiées (je vous en reparlerai très bientôt, je vous dois encore les conclusions de mon enquête sur la vitamine C).
Mais que faire quand il n’existe aucune étude, simplement des témoignages époustouflants ?
Prenez le chlorure de magnésium, dont je vous parlais la semaine dernière.
Chlorure de magnésium : « si c’était vrai, ça se saurait » ?
On dispose depuis 50 ans de très nombreux témoignages de patients et de thérapeutes qui jurent que ce remède guérit rapidement les infections virales.
Lors de l’épidémie du chikungunya, à la Réunion en 2006, de très nombreux patients ont témoigné de l’efficacité étonnante du chlorure de magnésium contre cette infection.
Mais souvenez-vous du « combat de boxe » entre deux journalistes scientifiques dont je vous parlais la dernière fois.
En 2014, quand Pierre L. a eu le malheur d’écrire que le chlorure de magnésium pourrait être une piste intéressante contre Ebola…
… Thierry S. a vertement répliqué qu’il n’y avait pas l’ombre d’une preuve scientifique.
De fait, il n’y avait aucune preuve scientifique.
Mais cela suffit-il à balayer un remède prometteur (et non toxique) d’un revers de main ?
Pour moi, la réponse est clairement NON.
Les témoignages de guérison ne sont pas une « preuve », mais je suis aujourd’hui convaincu qu’ils valent quelque chose !
Cela m’éloigne de ceux qui ne jurent que par la « recherche scientifique ».
Si j’ai changé d’avis, c’est pour une raison simple : je n’ai plus confiance dans l’honnêteté globale de la recherche scientifique.
C’est ce qui me sépare désormais de personnes comme Thierry, lequel semble maintenir une certaine confiance dans le système, comme le montre ce passage très révélateur :
« Selon Pierre L., l’indigence de la recherche anti-infectieuse sur le chlorure de magnésium s’expliquerait par l’absence de perspectives financières pour les laboratoires, voire les pressions du « complexe pharmaco-industriel ».
Je veux bien, mais alors comment expliquer qu’on ait conduit des milliers d’études sur tant d’autres substances naturelles non-brevetables ? Sur le sulfate de magnésium dans les maladies cardiaques. Sur la N-acétyl-cystéine et son potentiel anti-toxique, en particulier dans la protection du rein. Sur la vitamine C, le sélénium dans le cancer. Toujours sur la vitamine C dans le rhume. Sur la vitamine B1 dans l’encéphalopathie de Wernicke-Korsakoff. Sur le calcium dans les fractures d’ostéoporose. Sur la vitamine B9 dans la prévention des malformations fœtales. Sur la choline dans le traitement d’Alzheimer. Sur l’acide alpha-lipoïque dans le diabète. Sur la vitamine E dans la prévention des infarctus ou le traitement d’Alzheimer, etc., etc…
Il y a une raison plus vraisemblable. Au-delà des effets connus du magnésium, quel qu’en soit le sel, sur les fonctions physiologiques, au-delà de la nécessité de compenser des déficits en un micronutriment essentiel pour restaurer des fonctions normales, les suppléments de chlorure de magnésium ne jouent probablement qu’un rôle mineur dans la lutte contre les pandémies virales. »
Je résume : pour Thierry S, s’il n’y a pas de recherche scientifique sur le chlorure de magnésium contre les infections, c’est vraisemblablement que ce remède ne sert pas à grand-chose.
J’en déduis que Thierry S a encore une certaine « foi » dans notre système scientifique et médical.
« Si c’était vrai, ça se saurait », pense-t-il peut-être.
Oui, plus exactement « si c’était si miraculeux, il y aurait bien eu une équipe de chercheurs quelque part qui s’y serait intéressé ».
Et c’est ce que je pensais, moi-même, il y a encore quelques années.
Mais depuis l’épisode Covid, j’ai radicalement évolué.
Mon premier grand choc : la vitamine D ignorée contre le Covid
Car depuis 4 ans, j’ai vu des traitements efficaces et sans risque contre le Covid-19 mis de côté par le système médical…
… alors même qu’il existait de nombreuses études scientifiques qui prouvaient leur efficacité !
C’est le cas, en particulier, de la vitamine D.
À ce jour, trois méta-analyses ont été publiées dans des revues médicales (je rappelle que les méta-analyses sont généralement considérées comme le plus haut niveau de preuve en médecine).
Ces trois publications présentent une synthèse des principaux essais cliniques contrôlés contre placebo. Et leurs conclusions sont sans appel :
- La vitamine D réduit nettement le risque d’infection Covid (de 60 % en moyenne)[1];
- La vitamine D divise par deux la mortalité et réduit de 72 % le risque de passer en réanimation[2];
- Même donnée tardivement, en soins intensifs, la vitamine D réduit encore la mortalité ainsi que la durée de ventilation mécanique[3].
Ce sont d’excellents résultats. Mais le potentiel de la vitamine D est encore meilleur.
Car dans ces méta-analyses, on mélange du « bon » et du « mauvais » – le « mauvais » étant des essais où la vitamine D était donnée à des doses insuffisantes ou sous une forme sous-optimale.
Moi qui ai passé des dizaines d’heures à lire de près tous les essais cliniques sur ce sujet, ma conclusion est encore plus favorable :
- Il suffisait de prendre en prévention 2 000 à 4 000 UI de vitamine D tous les jours (avec un taux de vitamine D dans le sang supérieur à 50 ng/mL), pour avoir, en cas d’infection Covid, un risque d’en mourir à peu près égal à ZÉRO ;
- Pour les patients infectés qui n’avaient pas pris de vitamine D en prévention et qui étaient en carence, il suffisait de leur donner dès les premiers symptômes une forme « rapide » de la vitamine D (calcifédiol) pour réduire à peu près à zéro leur risque de mourir du Covid (quand cette vitamine D est donnée à l’entrée à l’hôpital, c’est-à-dire assez tardivement, la réduction de la mortalité est encore considérable, de l’ordre de 80 %[4]).
Donc, il est évident qu’il n’y a jamais eu aucun besoin de :
- Confinement
- Masque
- Vaccin
Il n’y avait même pas besoin d’hydroxychloroquine (même si elle a sauvé des vies[5]).
Bien sûr, quantité d’autres remèdes naturels se sont révélés très utiles contre le Covid-19 (vitamine C, zinc, sélénium, quercétine, N-acétyl-cystéine, gargarismes, spray nasal, oméga-3, propolis, probiotiques, huile de nigelle, huiles essentielles, etc.)
Mais la seule vitamine D, en prévention et traitement, aurait suffi à nous permettre de traverser l’épidémie comme une année de « mauvaise grippe » !
C’est désormais prouvé et publié dans des revues scientifiques…
… et pourtant, le système médical s’en moque éperdument !
Donc, s’ils sont capables de négliger les résultats d’études scientifiques publiées…
… croyez-vous vraiment qu’ils soient incapables de passer totalement « à côté » d’un remède comme le chlorure de magnésium ?
Moi je ne le crois plus. D’autant qu’il y a pire :
Contre les molécules naturelles, les opérations « sabotage » existent !
Thierry ne semble pas faire grand cas des « pressions du complexe pharmaco-industriel ».
Pourtant, la crise Covid a montré à quel point ce « complexe » jouait un rôle ravageur.
Les Big Pharma ne se contente pas d’organiser une « omerta » sur les traitements pas chers (comme pour la vitamine D)…
Ils vont bien plus loin, en essayant par tous les moyens possibles d’étouffer des traitements prometteurs.
Tenez-vous bien : ils vont même jusqu’à financer des essais cliniques faussés !
C’est ce qui s’est passé à plusieurs reprises sur l’hydroxychloroquine : on a organisé des essais où l’on donnait ce médicament au mauvais moment et/ou à des doses toxiques, pour faire croire qu’il ne « marche pas »[6].
Même chose avec l’ivermectine, autre traitement très efficace contre le Covid[7].
Et ce que j’ai découvert depuis quelques années, c’est que ces opérations de sabotage sont monnaie courante depuis près d’un siècle contre les remèdes naturels !
Il ne suffit pas, comme le fait Thierry S., de lister les remèdes naturels qui ont fait l’objet d’une importante recherche scientifique – encore faut-il que les études soient honnêtes !
Or, dans les exemples qu’il donne lui-même, je peux vous affirmer qu’il y a eu plusieurs cas de sabotage manifeste !
Son premier exemple – le sulfate de magnésium – en est un cas d’école !
Dans les années 1980, des essais randomisés contrôlés ont montré que la perfusion de sulfate de magnésium, juste après un arrêt cardiaque (infarctus), pouvaient sauver la vie d’un nombre important de patients[8].
Mais que s’est-il passé après ce succès retentissant d’un traitement naturel (publié à l’époque dans The Lancet) ?
Eh bien on a organisé un nouvel essai clinique géant… qui a conclu, lui, que le magnésium ne marchait pas !
Et c’est tout ce que la profession médicale a retenu.
Sauf que… quand on regarde de plus près cet essai clinique, on s’aperçoit que le protocole à base de magnésium qui sauvait des vies n’a pas été reproduit à l’identique : il a même été franchement trahi, tant sur le dosage que sur le moment d’administration[9]… comme si on cherchait à le saboter !
Et j’exagère à peine en vous disant que ça se passe toujours comme ça, s’agissant des remèdes naturels les plus prometteurs !
Ainsi, Thierry S. rappelle qu’il y a eu des études sur la vitamine C contre le cancer.
C’est vrai, mais il oublie de dire que les essais cliniques « officiels » qui ont conclu à l’inefficacité de la vitamine C avaient totalement trahi le protocole prometteur du prix Nobel Linus Pauling[10] !
Linus Pauling et le cancérologue Ewan Cameron administraient dans un premier temps la vitamine C en intraveineuse… mais dans les essais cliniques « officiels », la vitamine C a été donnée uniquement par voie orale… et le système médical en a retenu que cela ne « marchait pas » !
Je pourrais aussi vous parler des essais cliniques sur la vitamine E… dans lesquels on a choisi non pas la forme naturelle de cette vitamine, mais sa forme « synthétique » qui peut être toxique[11] !
Dernier exemple : la N-acétyl-cystéine, un acide aminé tout ce qu’il y a de plus naturel, a effectivement fait l’objet d’études scientifiques favorables. Elle est même utilisée par les médecins dans certaines indications (notamment l’empoisonnement au paracétamol).
C’est déjà très bien… mais elle pourrait être utilisée de manière plus large encore !
Ainsi, le Pr Vivien et son équipe de l’INSERM ont démontré son potentiel exceptionnel pour dissoudre les caillots en cas d’AVC[12] et sauver des vies en cas d’opérations du cœur[13].
Eh bien malgré ces études plus que prometteuses, ce remède naturel n’est pas près d’entrer dans les « protocoles officiels » de cardiologie !
Au total, je ne nie pas qu’il existe encore des chercheurs indépendants, honnêtes et courageux qui font des recherches prometteuses sur des molécules naturelles. Encore heureux !
Il est vrai, également, que des molécules naturelles ont réussi à se frayer un chemin dans certains protocoles médicaux – mais ce sont généralement des niches dans lesquelles il n’existe aucun médicament brevetable.
En réalité, dès que de gros intérêts financiers sont en jeu, les opération sabotage se mettent en branle et les remèdes naturels sont écartés !
On ne peut donc pas faire une confiance aveugle à la recherche médicale, largement phagocytée par l’industrie pharmaceutique…
… et le fait que le chlorure de magnésium n’ait pas été étudié scientifiquement ne nous dit donc rien de son efficacité potentielle !
Bonne santé,
Xavier Bazin
PS : Comme je vous l’ai dit, tout ceci m’amène à regarder d’un œil nouveau des remèdes présentés comme « miraculeux » alors qu’il existe peu ou pas d’étude scientifique, comme :
- Le dioxyde de chlore
- Le bleu de méthylène
- Le fenbendazole (antiparasitaire)
- Le peroxyde d’hydrogène
- La naltrexone à faible dose
N’hésitez pas à me dire en commentaire si vous avez un avis ou témoignage sur ces remèdes (ou sur d’autres remèdes que vous jugez « miraculeux » et dont on ne parle pas assez).
127 Responses
Bravo pour votre évolution fructueuse pour vous ….. et nous.
Avez-vous au moins « picoré » » dans les deux tomes résumant le travail de recherches et synthèses impressionnant de Dawn LESTER et David PARKER « Qu’est-ce qui nous rend réellement malade ? Pourquoi tout ce que nous croyons savoir sur la maladie est faux » aux Éditions Nouvelle Terre. 1184 pages, mais avec une table des matières très détaillée ?.
Il y a une aguichante statue de celui qui n’a pas cherché un vaccin contre sa rage de se faire mousser quel que soit le statut de la France sur la couverture du premier tome. Mais un imprimeur sans doute complotiste a décapité ce « Grand Bienfaiteur de l’Humanité » sur la couverture du deuxième tome.
Merci de vos articles pertinents et de vos observations sur l’attitude du secteur médical.
Cela m’a donné envie de partager un concept encore plus étonnant avec des milliers de témoignages et une reconnaissance en Allemagne.
https://www.youtube.com/watch?v=CZ5GWVQx3ng&pp=ygUSc3VwZXIgcGF0Y2ggcm9sYW5k
on peut en parler par mail
Pour le bleu de methylène , mon grand père qui avait fait les colonnies ( j’ ai 73 ans) l’ utilisait beaucoup contre toutes infections sur la peau ou autres et cela fonctionnait parfaitement !
J’ en demande moi même en comprimés contre les cystites en pharmacie , c’ est super et rapide
quand j étais jeune(il y a 50 ans) ma mère me badigeonnait la gorge au bleu de méthylène en cas d angine .C était fini en 2 jours . Dommage que l on en trouve plus c était très efficace
Bonjour Docteur !
Tout d’abord 🙏 pour tous vos conseils judicieux et efficaces !je suis une fidèle abonnée je veux ici témoigner de l’efficacité de la vit D en protection du Covid ayant 78 ans et ne l’ayant pas subi prenant 4000 UI par jour pour mon traitement depuis 2012…
Continuez d’éclairer nos lanternes ! Nous avons besoin de votre savoir
Bonjour,
C’est à propos du bleu de méthylène. Quand j’étais jeune (dans les années 60) une angine par inflammation des amygdales était traitée par un badigeonnage au bleu de méthylène (c’est très mauvais au goût) et ça semblait bien fonctionner. Malheureusement, vu le nombre d’angines à répétition que je faisais, le médecin de famille a décidé qu’il fallait effectuer une ablation des amygdales.
Le bleu de methylène est excellent pour les angines, c’était le remède miracle du temps de ma jeunesse, j’avoue qu’il a changé des, plus de bouteilles où tremper le coton tige mais des cotons tiges imbibés nettement moins efficaces
On utilisait le bleu de méthylène pour les maux de gorge à la pouponnière.
Il y a plus de 45 ans . Cela fonctionnait bien .
Ancienne Auxiliaire de Puériculture.
Il y a un groupe sur Facebook MMS dioxyde de chlore DMSO , où je suis inscrite il y a des témoignages, mon mari ayant un cancer du poumon j’y suis allée pour y trouver des renseignements et témoignages une personne a témoigné de son protocole très stricte et chimio immunothérapie aussi , elle est en rémission mais il n’est pas prouvé que le protocole du Dr Swartch qui a fonctionné .Pour ma part je cherche un traitement pour aider mon mari a supporter la chimio et qui est prouvé .
Bonjour, Je vous conseil de regarder cette vidéo de dr. Vincent Castronovo (il exerce en Belgique), PHYTO ONCOLOGIE , 7 ème colloque Un Autre Regard sur le cancer 2023, voici le lien : https://www.youtube.com/watch?v=4rHH-dAUGLw , la vidéo est longue , avec bcp d’explications sur le fonctionnement physiologique des différents suppléments pour mieux supporter la chimio : https://www.youtube.com/watch?v=4rHH-dAUGLw , a la fin de la vidéo (vers 1h ) il nous donne ses conseils – : pendant la chimio
1. Curkumin 3x 2000mg /jour
2. BERBERIN GOJA 3x 500 mg na dan
3. betulinska kiselina iz kore breze 2x 200 mg n /jour
4. VITAMIN E , DELTA TOCOTRIENOL , gama tokotrienoL
5. GENISTEINE ekstrakt Bixa orellana , Anato https://bonapeti.rs/n8-93744-Bixa_orellana
6. huile d’olive 1ere presion a froid
7. SAUCE TOMATE lycopène, sauces cuites
la vitamine D oit etre entre 60 à 80 nanogrammes par millilitre.dans le sang si non fortes doses de la vit D
cherchez aussi les renseignements sur Fenbendazol Capsules 444mg – Fenben Lab. C’est difficile de trouver , j’ai trouvé en Angleterre, via le site « amaz… » (je ne veux pas écrire en entier)
cherchez aussi les nouvelles études sur l’ivermectin et cancer , et aussi l’importance de la Régime Keto. JE vous souhaite le meilleure , courage à tous le deux
Même pour les animaux,… le bleu de méthylène à soigné une maladie de peau ( la teigne) de mon cheval
Bonjour
je ne connais pas les substances chimiques que vous citez, excepté le chlorure de magnesium sur lequel au contraire de que vous affirmez, il existe une littérature certaine. il y a aussi le sérum de Quinton utilisé en France jusqu’au début des années 60 dans les dispensaires et hôpitaux pour soigner avec succès l’athrepsie. Itou pour la bioelectronique, un appareil qui donne à voir l’invisible physiologique mieux qu’un labo, machine tellement performante que les labos d’analyse mettraient la clef sous la porte. Elle fut également utilisée dans les hôpitaux français jusqu’au milieu des années 60 avant d’être interdite. Enfin bref… des « trucs » qui soignent, il y en a une pléthore, mais si peu chers et efficaces que ce n’est pas rentable pour Big Pharma