Cher(e) ami(e) de la Santé,
Avez-vous un avis sur ces remèdes présentés par certains comme « miraculeux » ?
- Dioxyde de chlore
- Bleu de méthylène
- Fenbendazole (antiparasitaire)
- Peroxyde d’hydrogène
- Naltrexone à faible dose
Si vous avez expérimenté l’un de ces remèdes, dites-le-moi en commentaire !
Personnellement, je n’ai aucune certitude, car je n’ai pas (encore) creusé la question.
Mais une chose est claire.
J’ai plutôt un « a priori » favorable vis-à-vis de ce genre de traitements.
Il y a encore 10 ans, je les aurais balayés d’un revers de main, faute d’études scientifiques.
Mais aujourd’hui, dès que je vois un remède bénéficiant de nombreux témoignages favorables de patients et de médecins, cela pique ma curiosité.
Il faut dire que je suis encore sidéré par les résultats de mon enquête sur la vitamine C.
Je rappelle que la vitamine C est une des molécules les moins toxiques au monde – dans l’histoire de la médecine, aucun patient n’est mort d’une surdose de vitamine C !
Et administrée à hautes doses, elle a montré des résultats exceptionnels sur la plupart des maladies infectieuses (et d’autres types de maladies encore !).
Et pourtant, la vitamine C à hautes doses est toujours méprisée par notre système de santé !
Il y a quelques jours, un ami médecin m’en a encore donné un exemple flagrant.
Alors qu’il voulait prescrire des hautes doses de vitamine C à un patient victime d’une mauvaise grippe, une collègue lui a demandé s’il « voulait faire uriner à son patient de la vitamine C pendant 5 jours ».
Pour sa collègue médecin, il ne faisait aucun doute que la vitamine C ne servait à rien.
Alors que toutes les preuves scientifiques suggèrent qu’elle peut être salvatrice en cas d’infection !
Je le dis avec beaucoup de confiance car, dans le cas de la vitamine C, on dispose de beaucoup d’études scientifiques publiées (je vous en reparlerai très bientôt, je vous dois encore les conclusions de mon enquête sur la vitamine C).
Mais que faire quand il n’existe aucune étude, simplement des témoignages époustouflants ?
Prenez le chlorure de magnésium, dont je vous parlais la semaine dernière.
Chlorure de magnésium : « si c’était vrai, ça se saurait » ?
On dispose depuis 50 ans de très nombreux témoignages de patients et de thérapeutes qui jurent que ce remède guérit rapidement les infections virales.
Lors de l’épidémie du chikungunya, à la Réunion en 2006, de très nombreux patients ont témoigné de l’efficacité étonnante du chlorure de magnésium contre cette infection.
Mais souvenez-vous du « combat de boxe » entre deux journalistes scientifiques dont je vous parlais la dernière fois.
En 2014, quand Pierre L. a eu le malheur d’écrire que le chlorure de magnésium pourrait être une piste intéressante contre Ebola…
… Thierry S. a vertement répliqué qu’il n’y avait pas l’ombre d’une preuve scientifique.
De fait, il n’y avait aucune preuve scientifique.
Mais cela suffit-il à balayer un remède prometteur (et non toxique) d’un revers de main ?
Pour moi, la réponse est clairement NON.
Les témoignages de guérison ne sont pas une « preuve », mais je suis aujourd’hui convaincu qu’ils valent quelque chose !
Cela m’éloigne de ceux qui ne jurent que par la « recherche scientifique ».
Si j’ai changé d’avis, c’est pour une raison simple : je n’ai plus confiance dans l’honnêteté globale de la recherche scientifique.
C’est ce qui me sépare désormais de personnes comme Thierry, lequel semble maintenir une certaine confiance dans le système, comme le montre ce passage très révélateur :
« Selon Pierre L., l’indigence de la recherche anti-infectieuse sur le chlorure de magnésium s’expliquerait par l’absence de perspectives financières pour les laboratoires, voire les pressions du « complexe pharmaco-industriel ».
Je veux bien, mais alors comment expliquer qu’on ait conduit des milliers d’études sur tant d’autres substances naturelles non-brevetables ? Sur le sulfate de magnésium dans les maladies cardiaques. Sur la N-acétyl-cystéine et son potentiel anti-toxique, en particulier dans la protection du rein. Sur la vitamine C, le sélénium dans le cancer. Toujours sur la vitamine C dans le rhume. Sur la vitamine B1 dans l’encéphalopathie de Wernicke-Korsakoff. Sur le calcium dans les fractures d’ostéoporose. Sur la vitamine B9 dans la prévention des malformations fœtales. Sur la choline dans le traitement d’Alzheimer. Sur l’acide alpha-lipoïque dans le diabète. Sur la vitamine E dans la prévention des infarctus ou le traitement d’Alzheimer, etc., etc…
Il y a une raison plus vraisemblable. Au-delà des effets connus du magnésium, quel qu’en soit le sel, sur les fonctions physiologiques, au-delà de la nécessité de compenser des déficits en un micronutriment essentiel pour restaurer des fonctions normales, les suppléments de chlorure de magnésium ne jouent probablement qu’un rôle mineur dans la lutte contre les pandémies virales. »
Je résume : pour Thierry S, s’il n’y a pas de recherche scientifique sur le chlorure de magnésium contre les infections, c’est vraisemblablement que ce remède ne sert pas à grand-chose.
J’en déduis que Thierry S a encore une certaine « foi » dans notre système scientifique et médical.
« Si c’était vrai, ça se saurait », pense-t-il peut-être.
Oui, plus exactement « si c’était si miraculeux, il y aurait bien eu une équipe de chercheurs quelque part qui s’y serait intéressé ».
Et c’est ce que je pensais, moi-même, il y a encore quelques années.
Mais depuis l’épisode Covid, j’ai radicalement évolué.
Mon premier grand choc : la vitamine D ignorée contre le Covid
Car depuis 4 ans, j’ai vu des traitements efficaces et sans risque contre le Covid-19 mis de côté par le système médical…
… alors même qu’il existait de nombreuses études scientifiques qui prouvaient leur efficacité !
C’est le cas, en particulier, de la vitamine D.
À ce jour, trois méta-analyses ont été publiées dans des revues médicales (je rappelle que les méta-analyses sont généralement considérées comme le plus haut niveau de preuve en médecine).
Ces trois publications présentent une synthèse des principaux essais cliniques contrôlés contre placebo. Et leurs conclusions sont sans appel :
- La vitamine D réduit nettement le risque d’infection Covid (de 60 % en moyenne)[1];
- La vitamine D divise par deux la mortalité et réduit de 72 % le risque de passer en réanimation[2];
- Même donnée tardivement, en soins intensifs, la vitamine D réduit encore la mortalité ainsi que la durée de ventilation mécanique[3].
Ce sont d’excellents résultats. Mais le potentiel de la vitamine D est encore meilleur.
Car dans ces méta-analyses, on mélange du « bon » et du « mauvais » – le « mauvais » étant des essais où la vitamine D était donnée à des doses insuffisantes ou sous une forme sous-optimale.
Moi qui ai passé des dizaines d’heures à lire de près tous les essais cliniques sur ce sujet, ma conclusion est encore plus favorable :
- Il suffisait de prendre en prévention 2 000 à 4 000 UI de vitamine D tous les jours (avec un taux de vitamine D dans le sang supérieur à 50 ng/mL), pour avoir, en cas d’infection Covid, un risque d’en mourir à peu près égal à ZÉRO ;
- Pour les patients infectés qui n’avaient pas pris de vitamine D en prévention et qui étaient en carence, il suffisait de leur donner dès les premiers symptômes une forme « rapide » de la vitamine D (calcifédiol) pour réduire à peu près à zéro leur risque de mourir du Covid (quand cette vitamine D est donnée à l’entrée à l’hôpital, c’est-à-dire assez tardivement, la réduction de la mortalité est encore considérable, de l’ordre de 80 %[4]).
Donc, il est évident qu’il n’y a jamais eu aucun besoin de :
- Confinement
- Masque
- Vaccin
Il n’y avait même pas besoin d’hydroxychloroquine (même si elle a sauvé des vies[5]).
Bien sûr, quantité d’autres remèdes naturels se sont révélés très utiles contre le Covid-19 (vitamine C, zinc, sélénium, quercétine, N-acétyl-cystéine, gargarismes, spray nasal, oméga-3, propolis, probiotiques, huile de nigelle, huiles essentielles, etc.)
Mais la seule vitamine D, en prévention et traitement, aurait suffi à nous permettre de traverser l’épidémie comme une année de « mauvaise grippe » !
C’est désormais prouvé et publié dans des revues scientifiques…
… et pourtant, le système médical s’en moque éperdument !
Donc, s’ils sont capables de négliger les résultats d’études scientifiques publiées…
… croyez-vous vraiment qu’ils soient incapables de passer totalement « à côté » d’un remède comme le chlorure de magnésium ?
Moi je ne le crois plus. D’autant qu’il y a pire :
Contre les molécules naturelles, les opérations « sabotage » existent !
Thierry ne semble pas faire grand cas des « pressions du complexe pharmaco-industriel ».
Pourtant, la crise Covid a montré à quel point ce « complexe » jouait un rôle ravageur.
Les Big Pharma ne se contente pas d’organiser une « omerta » sur les traitements pas chers (comme pour la vitamine D)…
Ils vont bien plus loin, en essayant par tous les moyens possibles d’étouffer des traitements prometteurs.
Tenez-vous bien : ils vont même jusqu’à financer des essais cliniques faussés !
C’est ce qui s’est passé à plusieurs reprises sur l’hydroxychloroquine : on a organisé des essais où l’on donnait ce médicament au mauvais moment et/ou à des doses toxiques, pour faire croire qu’il ne « marche pas »[6].
Même chose avec l’ivermectine, autre traitement très efficace contre le Covid[7].
Et ce que j’ai découvert depuis quelques années, c’est que ces opérations de sabotage sont monnaie courante depuis près d’un siècle contre les remèdes naturels !
Il ne suffit pas, comme le fait Thierry S., de lister les remèdes naturels qui ont fait l’objet d’une importante recherche scientifique – encore faut-il que les études soient honnêtes !
Or, dans les exemples qu’il donne lui-même, je peux vous affirmer qu’il y a eu plusieurs cas de sabotage manifeste !
Son premier exemple – le sulfate de magnésium – en est un cas d’école !
Dans les années 1980, des essais randomisés contrôlés ont montré que la perfusion de sulfate de magnésium, juste après un arrêt cardiaque (infarctus), pouvaient sauver la vie d’un nombre important de patients[8].
Mais que s’est-il passé après ce succès retentissant d’un traitement naturel (publié à l’époque dans The Lancet) ?
Eh bien on a organisé un nouvel essai clinique géant… qui a conclu, lui, que le magnésium ne marchait pas !
Et c’est tout ce que la profession médicale a retenu.
Sauf que… quand on regarde de plus près cet essai clinique, on s’aperçoit que le protocole à base de magnésium qui sauvait des vies n’a pas été reproduit à l’identique : il a même été franchement trahi, tant sur le dosage que sur le moment d’administration[9]… comme si on cherchait à le saboter !
Et j’exagère à peine en vous disant que ça se passe toujours comme ça, s’agissant des remèdes naturels les plus prometteurs !
Ainsi, Thierry S. rappelle qu’il y a eu des études sur la vitamine C contre le cancer.
C’est vrai, mais il oublie de dire que les essais cliniques « officiels » qui ont conclu à l’inefficacité de la vitamine C avaient totalement trahi le protocole prometteur du prix Nobel Linus Pauling[10] !
Linus Pauling et le cancérologue Ewan Cameron administraient dans un premier temps la vitamine C en intraveineuse… mais dans les essais cliniques « officiels », la vitamine C a été donnée uniquement par voie orale… et le système médical en a retenu que cela ne « marchait pas » !
Je pourrais aussi vous parler des essais cliniques sur la vitamine E… dans lesquels on a choisi non pas la forme naturelle de cette vitamine, mais sa forme « synthétique » qui peut être toxique[11] !
Dernier exemple : la N-acétyl-cystéine, un acide aminé tout ce qu’il y a de plus naturel, a effectivement fait l’objet d’études scientifiques favorables. Elle est même utilisée par les médecins dans certaines indications (notamment l’empoisonnement au paracétamol).
C’est déjà très bien… mais elle pourrait être utilisée de manière plus large encore !
Ainsi, le Pr Vivien et son équipe de l’INSERM ont démontré son potentiel exceptionnel pour dissoudre les caillots en cas d’AVC[12] et sauver des vies en cas d’opérations du cœur[13].
Eh bien malgré ces études plus que prometteuses, ce remède naturel n’est pas près d’entrer dans les « protocoles officiels » de cardiologie !
Au total, je ne nie pas qu’il existe encore des chercheurs indépendants, honnêtes et courageux qui font des recherches prometteuses sur des molécules naturelles. Encore heureux !
Il est vrai, également, que des molécules naturelles ont réussi à se frayer un chemin dans certains protocoles médicaux – mais ce sont généralement des niches dans lesquelles il n’existe aucun médicament brevetable.
En réalité, dès que de gros intérêts financiers sont en jeu, les opération sabotage se mettent en branle et les remèdes naturels sont écartés !
On ne peut donc pas faire une confiance aveugle à la recherche médicale, largement phagocytée par l’industrie pharmaceutique…
… et le fait que le chlorure de magnésium n’ait pas été étudié scientifiquement ne nous dit donc rien de son efficacité potentielle !
Bonne santé,
Xavier Bazin
PS : Comme je vous l’ai dit, tout ceci m’amène à regarder d’un œil nouveau des remèdes présentés comme « miraculeux » alors qu’il existe peu ou pas d’étude scientifique, comme :
- Le dioxyde de chlore
- Le bleu de méthylène
- Le fenbendazole (antiparasitaire)
- Le peroxyde d’hydrogène
- La naltrexone à faible dose
N’hésitez pas à me dire en commentaire si vous avez un avis ou témoignage sur ces remèdes (ou sur d’autres remèdes que vous jugez « miraculeux » et dont on ne parle pas assez).
127 Responses
Dans le cadre de récidive du cancer du sein (métastase osseuse sur l4/L5) je prends du bleu de méthylène 100mg depuis 1 mois et autres compléments spécifiques prescrits..
J’ai terminé mes thérapies ciblées depuis décembre 2023. J’attends des résultats d’un TEPSCAN demain.
🙏
Dioxyde de chlorE
oui testé durant 2 ans
cela dope , mais attention à ne pas trop en prendre
tres bien pour les grippes
merci pour votre ouverture d esprit
je savais une bonne partie dece que vous écrivez.je sais que ce que vous écrivez est vrai sans conteste ,mais big pharma est trop présent et ment très souvent pour se faire du fric et tant pis pour les malades.
quel triste monde
Bonjour monsieur Bazin,
Ayant perdu également toute confiance dans le système de santé actuel principalement depuis 4 ans, je me suis tourné depuis une vingtaine d’années vers les thérapies alternatives. L’information pour moi est fondamentale. Aussi ce petit billet est tout simplement fait pour vous remercier de publier cette lettre et vous encourager à persévérer !
Encore merci pour la qualité et l’honnêteté de vos informations. Bravo !
J’étais naturothérapeute à LYON durant des années. J’ai eu plusieurs fois des effets »bonheur » avec le fenbendazole. Des patients venaient me voir avec des ordonnances (recto/verso). Après une écoute approfondie, j’expliquais pourquoi j’allais commençer par un traitement anti-parasitaires (surtout chez les patients qui chez eux avaient des animaux). Cette simple méthode m’a permis parfois d’être confondu avec Jésus Christ ..! Quant au chlorure de Mg , c’est effectivement un bon complément lorsqu’il y a infect.
André Girard 29 pl Jean MOULIN à 03000.moulins s/allier.
Page F.B : andre girard andre
-www.lecolenergie.centerblog.net/ et/ou sant’énergie
J’utilise le chlorure de magnesium chaque année (nov à avril) depuis environ 35 ans.
Depuis : plus un seul rhume, ni quoi que ce soit d’autre ! Aucun vaccin ! je me porte
très bien et j’ai … 88 ans !
Merci et bonne journée !
Bonjour, Monsieur Bazin
Vous avez des documents sur le bleu de méthylène et la dose correspondante. Je l ‘ai vu mais perdu dans la pile des brochures.
merci à l’avance
Portez vous bien.
Bravo Mr BAZIN pour votre courage et votre travail de recherches.
Je pense malheureusement exactement comme vous, l’argent corrompt tous les systèmes donc pourquoi celui de la recherche de l’industrie pharmaceutique ferait-il exception ?
Merci de nous éclairer et encore bravo pour vos travaux !
Fabrice
intéressant tout ça mais où se procurer de la V C en quantité à un tarif acceptable? parce que, c’est un epu la jungle!
Bonjour Xavier
Je suis abonné a votre lettre d’information et je me retrouve tellement dans la dernière…
Depuis la période Covid j’ai ouvert les yeux sur l’existence de traitements dont la presse mainstream ne parlait pas voire qu’elle ridiculisait ou déconseillait, pour ne citer que quelques exemples :
le CDS évoqué un temps par Trump mais tourné en ridicule (« eau de javel »)
L’ivermectine qualifiée de vermifuge a chevaux
La Vitamine D qu’ils essaient de requalifier en perturbateur endocrinien !
Les antibiotiques interdits (en France) ou dont on organise la pénurie
Les huiles essentielles qu’ils essaient de sortir de la vente libre, même la lavande, pour laquelle en plus ils donnent des primes à l’arrachage.
La N Acetyl Cystéine (NAC) qu’ils ont aussi envisagé de retirer de la vente libre un temps (je me suis donc fait un stock de 1 kg de NAC en vrac au cas où pendant le covid!)
L’artémisinine et l’artemisia interdite de vente.
Trop c’est trop, il y a vraiment un pattern, là.
Plus récemment, je me suis intéressé au cancer parce qu’une amie proche et une connaissance était atteinte, et j’ai intensifié mes recherches car ma vieille maman (97) s’est découvert un cancer du sein bien avancé (elle a négligé de se surveiller et son généraliste aussi).
Elle est top âgée/fragile pour une opération (le cœur ne tiendrait pas) ni pou une chimio , et une immunothérapie ne fonctionne plus a cet âge avancé. Elle ne veut rien de tout ça en plus et d’ailleurs, la sécurité sociale n’interviendrait probablement plus dans les frais. (on peut certes comprendre au plan de la population, mais quand c’est votre mère )
Je me suis donc mis à fabriquer et titrer du CDS dans ma cuisine et elle en prend tant en per os (à boire 30 ppm) que en application sur la peau (1000 ppm ), dans ce cas avec du DMSO 70% pour augmenter l’absorption a travers la peau et les tissus. J. ça doit faire 2 mois mais elle ne suit pas le traitement de très près.
je lui donne depuis peu de l’ivermectine que j’ai pu trouver par un contact twitter a prix raisonnable. (en Belgique ou je réside, c’est sur ordonnance et 15 EUR pour 4 comprimés de 3 mg. Une honte commerciale). J’ai d’ailleurs du mal a trouver la bonne dose a donner, si vous avez des sources infos je suis preneur..
J’ai trouvé du fenbendazole 500 mg, vendu dans les pharmacies en ligne comme antiparasitaire pour chiens (si, si..)
12.000 de vitamine D / jour (le Dr L K m(‘a dit qu’il y avait une compétition avec le Zinc au niveau de l’intestin donc prendre à une heure d’intervalle, si possible le soir)
De la vitamine C pers os (version retard) et j’ai trouvé une personne (infirmière ?) qui propose des séances de vitamine C en I.V. (je ne sais pas comment la personne s’arrange avec la légalité mais soit je suis content d’avoir localisé un prestataire car le généraliste m’enverrait certainement paître)
Je vais essayer du Bleu de méthylène. J’essaie déjà sur moi-même comme nootropique pour la concentration. Je prends 70 mg de bleu de méthylène en poudre que je mets dans une gélule (quel chipotage !). Malheureusement je prends des autres nootropiques en même temps (tyrosine, huperzine, NADH, phosphatidylsérine, bacopa, gingko, pois mascate, parmi d’autres) donc il est difficile d’isoler l’effet du BL. Je devrais essayer de le prendre seul quelques jours pour voir mais la concentration dépend tellement de la qualité du sommeil de la (les) nuit(s) précédente(s) que c’est très difficile a évaluer.
J’ai acheté quelques grames de BM de qualité dite « médicale », à un prix exorbitant (40 livres le gramme), et ensuite un pot de 100 grammes a la pharmacien prévue pour l’usage en laboratoire mais je n’ai pas de garantie qu’elle est vraiment médicale. Apparemment il faut faire gaffe a la pollution par les métaux lourds. (le BM en poudres des aquariophiles est évidemment proscrit !). Certaines le vendent déjà dilué dans l’eau mais cela reste hors de prix, de plus il n’est alors plus possible de l’ingérer sans se tacher la langue voire les dents.
J’envisage aussi d’acheter un panneau irradiant qui émet de la lumière rouge et infra rouge pour stimuler la production de mélatonine (antioxydant puissant)
Il est également question de traitement par l’ozone et par l’hydrogène moléculaire (a creuser, j’en saurai bientôt plus) et aussi par le froid (cryothérapie (on séjourne qq minutes dans des tentes alimentées en gaz très froid), méthode type wim hof mais bon.. je ne me vois pas tremper ma maman dans une baignoire de glaçons)
Il est égaement question d(argent colloidal , ou mieux or colloidal dixit De Laurence Kauser. Je n’ai pas exploré. L’argent colloidal je ne m’en suis servi qu’en débullisat pendant le covid, avec un chouilla d’iode en plus)
Concernant le Peroxyde d’hydrogène Naltrexone à faible dose je be connaissais pas, merci du tuyau, je vais chercher.
Le chlorure de magnésium je en sais pas si c’est la combinaison des deux qui est active, ou le fait que la version chlorure de Mg est très bien résorbé. Vu les effets laxatifs, je privilégie pour ma maman du thréonate de MG (celui qui franchit le mieux la barrière hémato encéphalique) dans sa version liposomale, et du taurinate de MG . Plus chers évidemment
En parlant de liposomes, j’ai acheté de quoi essayer de fabriquer moi-même de la curcumine liposomale : curcumine pure e poudre, lécithine de tournesol, appareil de nettoyage a ultrasons. On verra bien .. je compte aussi essayer avec de l’acide ascorbique pour faire de la vit C liposomale.
J’ai également entendu parler d’acide alpha lipoïque et hydroxycitrate, qui sont censés booster ou « nourrir » les mitochondries, comme l’ubiqinol, la vit C, D, le NAC, Carnitine, Carnosine ; Resvératrol, …
Il y a également tout un sujet sur le jeune (intermittent qu’on essaie actuellement de dénigrer dans certains articles.., ou de longue durée) ou du régime cétogène. (voir chaine eatFat2beFit sur YT, le gars est très très à la pointe des dernières études)
Peut-être aussi des choses a trouver du côté du citrate de potassium (pas encore creusé)
Je donne également (et je prends pour moi-même) de la berbérine, 1 cure à haute dose de 3g/j pendant 7 jours consécutifs par mois. D’après mon médecin fonctionnel la prise continue induirait une « sorte » de résistance
Je vous cite enfin quelques autres compléments de mon « programme » personnel
Apigénine (extraite du céleri)
Artémisinine
Astragaloside
Champignon Chaga
Champignon Cordyceps
Champignon Mesima
Zinc, sélénium, Thréonate de Mg, Iode
EGCG de thé vert
Glycine (acide aminé)
Mélatonine
Quercétine
Spermidine
Sulphoraphane Liposomal
Vit C D, E, B(dont 9 et 12 en version plus assimilable), K2
Peut-être trouverez-vous quelques pistes intéressantes dans tout cela.
Je n’ai malheureusement pas de mesure objective de l’effet sur ma maman, sa mammographie + prise de sang date de mi janvier, Elle a eu assez mal durant l’échographie (entre autres a cause de la tumeur, comme un petit oeuf quand même ) je ne suis pas sur qu’elle y retournerait avec plaisir.. et il faudrait que la médecine accepte de rembourser. Peut-être pourrais-je quand même lui faire refaire une prise de sang mais à ce stade d’avancement je ne suis pas sur que les valeurs des marqueurs seraient très significatives. De plus à cet age le cancer évolue lentement donc il est plus difficile de mesurer l’effet d’une thérapie. Je n’ai qu’une maman donc je ne peux pas non plus me permettre d’essayer un truc à la fois… je donne tout en même temps
Je renseigne volontiers tout ce que je tesnte, et j’essaie d’avoir des infos sur les dosages optimaux (pas toujours faciles a trouver), sur les éventuelles interactions négatives entre traitements (exemple pas de CDS dans les 8 heures qui suivent prise de vit C et pas de Vit C dans l’heure qui suit le CDS. Cela complique le traitement de ma maman je ne vous raconte pas le casse tête.. et pour l’ Interaction CDS et bleu de méthylène par exemple je ne sais pas ? ils ont apparemment un mode d’action similaire mais bon..) ? Je suis également preneur de tous tuyaux sur d’autres compléments ou techniques intéressantes.
C’est un peu brut de décoffrage, désolé c’est écrit sans relecture ou quasi (sorry pour les coquilles)
Au plaisir d’échanger de manière plus approfondie avec vous si cela vous dit.
Louis-Guy SERVOTTE