Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a annoncé s’être fait vacciner.
C’est glaçant.
Si c’est vrai, cela veut dire que le Président lui-même est totalement désinformé !
Et les décisions qu’il prend pour notre santé risquent donc d’être désastreuses !
Je rappelle qu’Emmanuel Macron a été testé positif à la Covid le 17 décembre dernier.
(Il a eu des symptômes, donc c’était bien le coronavirus, et pas un « faux positif »).
Il possède donc la meilleure des immunités contre la Covid-19 : l’immunité naturelle liée à l’infection !
Il est donc absurde dans son cas, de se faire vacciner.
Car il ne retire aucun bénéfice du vaccin… et s’expose à ses risques !
Pire : quand on a déjà eu la Covid, on risque même d’avoir encore plus d’effets indésirables (voir ci-dessous) !
Pour Emmanuel Macron, se faire vacciner est donc contraire à la science et au bon sens.
Trois semaines plus tôt, il avait pourtant expliqué qu’il n’était pas question pour lui de se faire vacciner tout de suite : « comme vous le savez, j’ai attrapé le virus et j’ai encore des anticorps », avait-il dit à la presse[1].
Aurait-il perdu tous ses anticorps d’un coup, en 3 semaines ?
Évidemment non : toutes les études montrent que l’immunité naturelle, après une infection, est solide, durable… et bien meilleure que celle du vaccin !
Pour les sceptiques, je vais le démontrer dans la section ci-dessous, mais si vous me faites confiance, vous pouvez directement passer à la suite :
Grand MENSONGE de l’épidémie : le vaccin serait « plus efficace » que l’infection
Dans cette épidémie, la science médicale a été largement pervertie par les intérêts de l’industrie pharmaceutique et des lobbys vaccinaux.
L’un des pires mensonges « scientifiques », c’est celui selon lequel le vaccin produirait une meilleure réponse que l’infection.
Cette contre-vérité a été répétée récemment par le Pr Caumes sur BFM TV : « On a des vaccins probablement plus efficaces que l’immunité naturelle ! »[2].
Voyons ce qu’il en est réellement.
D’abord, le bon sens : dans la plupart des maladies connues, l’infection est davantage immunisante que la vaccination.
C’est logique, car le vaccin est généralement une forme « atténuée » ou « inactivé » du virus.
Il ne peut donc pas stimuler une réponse immunitaire aussi robuste que la maladie « normale ».
La rougeole est l’exemple type : la maladie procure une immunité toute la vie, alors que la vaccination requiert au moins deux injections, et l’immunité s’affaiblit au fil du temps[3].
Dans le cas des vaccins expérimentaux contre la Covid-19, la supériorité de l’immunité naturelle était encore plus évidente a priori.
D’abord parce que la réponse vaccinale ne porte que sur un petit bout du virus (la protéine S), alors que l’immunité naturelle porte sur l’ensemble du virus.
Or il est clair qu’il vaut mieux avoir une panoplie d’anticorps diversifiés, capables d’agir contre plusieurs parties du virus.
C’est encore plus vrai avec les variants, car la protéine S générée par les vaccins est celle qui mute le plus – il vaut donc mieux avoir des anticorps contre l’ensemble du virus que contre une protéine seule, qui pourrait être modifiée d’un variant à l’autre.
L’autre désavantage du vaccin est qu’il n’active que l’immunité humorale (dans le sang), car il est injecté dans le muscle. L’infection, elle, produit également une immunité muccosale (dans le nez et la gorge), là où le virus entre dans le corps et se multiplie.
L’infection naturelle produit ainsi une première barrière à l’entrée, dès le nasopharynx, qui évite d’être contaminé et contaminant… ce que ne permet pas la vaccination (d’où les craintes que le vaccin soit incapable d’empêcher les contaminations).
En fait, le seul « scénario » possible où le vaccin serait supérieur à l’infection, c’est celui d’une infection balayée tellement vite par votre corps que les anticorps n’auraient pas eu le temps de se former.
Mais dans ce cas, cela veut dire que votre système immunitaire est particulièrement performant… et donc que vous n’aurez pas besoin du vaccin pour vous débarrasser de l’infection !
Voilà pour le bon sens.
Et les études, les unes après les autres, le confirment : l’immunité naturelle est très solide !
« Ne croyez pas les autorités, l’infection produit une immunité solide » (Dr Makary) !
Des médecins courageux commencent à hausser le ton, face à la désinformation généralisée.
C’est le cas du Dr. Marty Makary, professeur de médecine à la très prestigieuse université John Hopkins, aux États-Unis :
« Je n’aurais jamais pensé que je devrais dire cela, mais n’écoutez pas les autorités (les CDC). Si vous avez eu l’infection, vous pouvez vivre une vie normale, sans vaccin »
L’immunité naturelle fonctionne. Nous devons respecter ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner.
Les réinfections sont extrêmement rares, et quand elles se produisent, les symptômes sont légers ou inexistants »[4].
En fait, l’efficacité de l’immunité naturelle n’est plus contestée par personne.
Même le très médicalement correct New York Times a publié un article au titre définitif : « L’immunité naturelle pourrait durer des années, selon des scientifiques »[5].
Il faut dire qu’une étude publiée dans Nature révèle la découverte d’anticorps contre le coronavirus dans la moelle osseuse de la plupart des patients qui ont eu la Covid-19[6].
C’est une preuve massive en faveur de l’immunité naturelle, car la moelle osseuse est le réservoir de long terme des anticorps.
Quelques mois après l’infection, vous pouvez ne plus avoir d’anticorps détectables dans le sang… mais vous en avez encore dans votre moelle osseuse, prêts à agir !
Et on ne parle ici que des lymphocytes B… qui ne sont qu’une partie de votre système immunitaire !
Les autres « grands soldats » de la réponse immunitaire, ce sont les lymphocytes T.
Ils sont un peu moins étudiés que les « B » (car plus difficiles à mesurer), mais ils sont essentiels contre la Covid-19 et ses variants.
La preuve : la présence de ces lymphocytes T serait la raison pour laquelle que certaines personnes n’ont aucun symptôme du coronavirus !
Les « asymptomatiques » ont probablement été en contact avec d’autres coronavirus avant l’épidémie et ont développé des lymphocytes T qui les ont protégé aussi contre la Covid-19.
C’est ce qu’on appelle « l’immunité croisée » : ceux qui ont eu affaire à un coronavirus « banal » de l’hiver pourraient être protégés contre le nouveau coronavirus par leur lymphocytes T.
C’est dire si la protection par les lymphocytes T peut être puissante, durable et efficace contre tous les variants !
Or les quelques études sur le sujet sont claires : l’infection à Covid produit bien une « immunité robuste et durable basée sur les lymphocytes T »[7].
Ce qui n’est pas le cas des vaccins, qui ne stimulent pas aussi efficacement nos lymphocytes T !
Pour une raison simple : les lymphocytes T sont majoritairement générés par des éléments du virus qui ne font pas partie du vaccin !
Voilà une preuve de plus, s’il en fallait, que l’immunité naturelle est bien SUPÉRIEURE à l’immunité vaccinale !
Et pourtant, à l’image d’Emmanuel Macron, on conseille à ceux qui ont déjà été infectés de se faire vacciner !
Ce qui n’est pas seulement inutile… mais dangereux !
Pourquoi faire prendre le risque du vaccin à ceux qui sont déjà immunisés ?!
Toute procédure médicale comporte des risques – et doit donc être évitée si elle n’est pas manifestement utile.
Dans le cas des vaccins expérimentaux comme Pfizer ou AstraZeneca, c’est encore plus évident.
Non seulement on n’a aucune idée de leurs effets indésirables de long terme… mais les conséquences à court terme sont de plus en plus inquiétantes, avec de plus en plus de morts, d’AVC, d’arrêts cardiaques et de caillots dangereux liés à ces vaccins (j’y reviendrai).
Mais il y a aussi des preuves que les effets indésirables sont plus graves chez ceux qui ont déjà eu la Covid-19… donc chez ceux qui – comme E. Macron – n’ont aucun bénéfice à attendre du vaccin !
Ainsi, une enquête internationale sur 2 000 personnes a conclu que le nombre et la gravité des effets indésirables du vaccin étaient « plus importante » chez ceux qui étaient déjà infectés[8].
Un neurochirurgien respecté aux États-Unis, le Dr Hooman Noorchashm, a écrit plusieurs fois aux autorités pour leur dire d’arrêter d’urgence de vacciner les patients guéris du Covid :
« C’est un principe immunologique de base que vacciner quelqu’un qui a été récemment infecté peut réactiver une réponse inflammatoire dangereuse. Ce n’est pas un risque théorique.».
« Pire, les autorités connaissent des cas spécifiques de maladie inflammatoire causée par la vaccination de personnes déjà infectées. Ce ne sont pas des anomalies statistiques »[9] .
Bref, il n’y a vraiment aucune raison valable de vacciner les déjà infectés.
A qui profite le crime ?? vaccin vs ivermectine
Qui, sinon Big Pharma et le lobby vaccinal, ont pu décider une chose pareille, en imposant leur loi à nos « autorités de santé », corrompues ou incompétentes ?
Si vous en doutez, regardez la comparaison avec l’ivermectine, c’est frappant.
A ce jour, on a plus de 20 essais cliniques randomisés qui montrent l’incroyable efficacité de l’ivermectine, en prévention et traitement de la Covid-19.
Mieux : partout où ce médicament a été utilisé massivement, l’épidémie a été balayée en quelques semaines – comme au Mexique[10]…
…et en Inde tout récemment, malgré un pic temporaire causé par un dangereux variant[11].
Regardez ce qui s’est passé dans l’État indien d’Uttar Pradesh (230 millions d’habitants), qui depuis un an maintenant soigne à l’hydroxychloroquine et l’ivermectine dès les premiers symptômes :
Avec cet exemple indien, toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine sont là… et on sait que cette molécule, connue depuis plus de 40 ans, est une des plus sûres au monde !
Donc, le rapport bénéfice-risque est éminemment favorable à l’ivermectine – mais nos autorités de santé déconseillent ce médicament.
Maintenant, prenez le choix de vacciner des personnes déjà infectées :
- Il n’y a aucun essai clinique randomisé (ceux réalisés n’incluaient pas de patients déjà infectés par le coronavirus) ;
- Il n’y a aucune preuve scientifique de son efficacité – et plutôt des preuves de ses risques pour le patient.
Et malgré cela, la plupart des autorités occidentales déconseillent l’ivermectine pour prévenir et traiter la Covid-19… et conseillent la vaccination de ceux qui ont déjà été infectés !!
IL EST TEMPS D’OUVRIR LES YEUX SUR CETTE DÉRIVE CRIMINELLE DE NOS SYSTÈMES DE SANTÉ !
Transmettez ce message autour de vous.
143 réponses
Merci infiniment pour le courriel que vous m’avez fait parvenir, qui d’ailleurs je vais envoyer à tous mes contacts sur FB, afin qu’une majorité d’êtres humains puissent prendre connaissance de votre écrit.
Personnellement je ne suis pas vaccinée et cela n’est nullement dans mes projets, pour le motif que depuis mon enfance j’ai un panel d’allergies trop importantes.
D’autre part, à titre personnel, je trouve que le ou les vaccins ont été fabriqués dans un temps record donc avec la possibilité de laisser prendre énormément de risques allant jusqu’à la mort.
On me dit que la Covid tue, effectivement et ceci est un fait réel, …., mais il me plairait savoir également combien de personnes ont succombé après avoir été vaccinées?
Ceux qui tiennent les commandes manquent de clartés dans informations transmise.
Si seulement un vaccin pouvait être fabriqué pour combattre les cancers d’une manière radical, alors ma maman serait encore en vie, victime collatérale de la Covid, car l’année passée les traitements ambulatoires ont été suspendus car « tous » le monde était focalisé sur la Covid, le traitement de ma maman a été suspendu, le domaine médical est resté sourd et muet à nos hurlements de SOS, du jour au lendemain ma maman a été mise sous sédation avec du Fentanyl et du Dormicum, après une agonie de 9 jours son cœur s’est arrêté et elle n’avait pas la Covid.
Pour terminer, je vous remercie encore une fois pour votre éclairage, et dès demain je vais m’offrir votre livre et en offrir deux autres.
« …, nous ne sommes pas des moutons ouvrons les yeux ».
Mr Bazin, dont je suit avec grand intérêt ses lectures !
J’ai contracté ainsi que mon épouse le covid 19 , en avril 21 … vu mes antécédents de sante ( avc 2 ) les médecins contactés me preconisent de me faire vacciner dans les 3 mois voir 6 mois au plus tard . Pour avoir été vacciné hépatite b , fièvre jaune , choléra dans les années 80/90 etc…je suis carrément reticent notamment pour avoir gardé des séquelles du vaccin hépatite b. vous me conforter dans ma décision de ne pas me faire vacciner ! A l’occasion confirmez-moi ma bonne décision .je vous remercie et à votre équipe de vous investir pour le bien d’autrui.
Je suis en train de lire votre livre, obtenu auprès D’Amazon,( pourtant,comme vous, je n’apprécie pas outre mesure ce service),je commence le scandale numéro 2, je consomme de la vitamine D3, par précaution le premier paragraphe est déjà très explosif, je pense que la suite doit être du même genre.
En parallèle je lis également le livre du professeur Perronne (il y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise) sur Amazon également. À conseiller sans limite.
A DIFFUSER TRÈS LARGEMENT.
Bravo pour cette analyse.
Bon courage
Je suis très inquiète car on parle de plus en plus du vaccin obligatoire,comme je suis retraitée je ne risque pas d’être licenciée mais pour ma fille enseignante cela présente des inquiétudes et de la colère aussi .Elle est allergique à beaucoup de médicaments(d’ailleurs un l’a rendu gravement malade )Que faire ? Merci pour votre réponse.
merci pour vos informations , si plus de gens vous lisaient on en serait pas là!
Bonjour,
Si j’ai bien compris, les vaccins Pfizer et Moderna agissent par ARN messager de manière que le virus ne puisse pénétrer la cellule pour s’y reproduire.
J’imagine donc que si une personne ayant développé des anticorps est à nouveau infectée, la protection de la cellule interdira au virus de se multiplier et de ce fait, les anticorps auront plus de facilité à se débarrasser de l’intrus puis que celui-ci restera en quantité limitée dans le corps.
Ainsi, ne devrait-on pas considérer que le patient ayant développé des anticorps sera plus facilement capable d’éliminer une nouvelle attaque s’il reçoit a posteriori une vaccination basée sur le principe du ARN messager ?
Bien cordialement
Philippe Angeloni
Cessez vos inepties ridicule, il est bien evident que macron n’a ni eu le.covid ( qui est inexistant, ni eu le vaccin, etant au courant des risques grave de.celui ci.) …alors de grace si vous y croyez ? , cessez vos abonnements sur la medecine naturel, car là c’est de la moquerie pur envers le peuple…si tel est votre croyance a la bêtise….
j ai ete tres interessee par ce texte je l ai partage sur facebook
Mon corps ne produit la protéine S – oui j’ai un déficit S – déja il la fallu supprimer tout ce qui de la vitaline K – cela a éte diagnoctiqué par le labo pasteur en 2006 – donc en medications je prend ( préviscan – kardégic 75 mg – béta blocant ) opéré d’un anévrisme aortique supérieur en 2015 au CHU de Limoges Pr. Cornue – – et j’en ai un autre anévrisme sous rénale découvert les deux en 2014 – j’ai fait un AVC et une embolie pulmonaire en 2012 – et pas mal autres petits inconvéniants – ha au faite dans 3 mois j’aurai 80 ans – quand oensez vius –
Merci pour tout ces renseignements, très instructifs, tout le monde, adultes et ados, devraient en prendre connaissance