Le 18 mars dernier, un jeune Français de 24 ans est mort à cause du vaccin AstraZeneca.
Il s’appelait Anthony, il était étudiant en médecine… et était en parfaite santé.
Quelques jours après s’être fait vacciner, il a développé une thrombose à l’estomac, et est décédé d’une grave hémorragie.
L’autopsie a confirmé que c’est bien le vaccin qui a causé sa mort[1].
C’est tragique, car il n’avait strictement aucun risque de mourir du coronavirus.
Et il n’est pas le seul dans ce cas.
Le 29 mars, une assistante sociale toulousaine de 38 ans est morte d’une thrombose, quelques jours après avoir été vaccinée par AstraZeneca.
Sa famille a porté plainte pour « homicide involontaire ». Le Pôle de santé du parquet de Paris a été saisi[2].
Combien y a-t-il de cas comme ceux-là ?
On ne sait pas.
Mais ces deux cas ne sont que la partie émergée de l’iceberg.
Car il ne faut pas croire que le vaccin AstraZeneca est le seul vaccin en cause.
On a toutes les raisons de penser que Pfizer et Moderna causent autant de morts, car ce sont des vaccins basés sur la protéine S, comme AstraZeneca – et cette protéine cause des dégâts sanguins et cardiaques à elle-seule[3,4].
Ainsi, une étude a trouvé autant de thromboses suite à AstraZeneca que suite aux vaccins Pfizer/Moderna[5].
Récemment, les Israéliens ont détecté un lien entre le vaccin Pfizer et les myocardites, l’inflammation du cœur, chez les moins de 30 ans[6].
Donc, ces vaccins peuvent causer des morts, liées à des dégâts cardiaques.
Le problème est que les autorités font TOUT pour ne pas les détecter.
Dès le mois de janvier, au tout début de la vaccination en France, un homme en bonne santé de 75 ans est mort 2 heures après l’injection de Pfizer.
Conclusion des autorités de santé ? Cela n’a rien à voir avec le vaccin !
Ce serait drôle si ce n’était pas si tragique.
Avec les thromboses d’AstraZeneca, les autorités ont utilisé la même technique, au départ : « circulez, il n’y a rien à voir » ont-elles dit.
Puis, devant les preuves écrasantes, les autorités européennes ont dû reconnaître que ce vaccin causait bien des thromboses mortelles.
Mais elles l’ont fait pour une seule raison : il est rarissime d’avoir des thromboses à l’estomac ou dans le cerveau – c’est pourquoi les autorités ont été obligées de reconnaître l’évidence.
Ces thromboses mortelles étaient donc hyper « spécifiques », rares, et faciles à lier au vaccin.
Le problème est que les vaccins ne tuent pas forcément de façon aussi « caractéristique ».
On sait par exemple que le vaccin Pfizer peut causer des hausses brutales de tension[7].
Et il est probable qu’une forte poussée de tension sur un cœur fragile puisse causer un arrêt cardiaque.
Mais si le patient vacciné meurt d’un « banal arrêt cardiaque », même 2 heures après son vaccin, les autorités diront que c’est une « coïncidence ».
Simplement parce qu’il n’est pas mort de façon « caractéristique », d’une façon qui pourrait être liée directement au vaccin, sans contestation possible.
Des coïncidences comme celle-là, il y en a beaucoup, à travers le monde :
- Une Américaine de 16 ans en pleine santé, Kamrynn Thomas, morte d’arrêt cardiaque 10 jours après avoir reçu le vaccin Pfizer[8] ? Une coïncidence !
- Une Japonaise d’une soixantaine d’années morte après le vaccin Pfizer d’une hémorragie cérébrale[9] ? « Pas de lien prouvé » !
- Un enfant handicapé de 20 ans est mort 12 heures après avoir reçu le vaccin Pfizer[10] ? Une coïncidence !
- Drene Keyes, une femme de 58 ans, morte d’un caillot sanguin dans les heures qui ont suivi son vaccin Pfizer ? Une mort « naturelle » ![11]
- Sonia Acevedo, une Portugaise de 41 ans en pleine santé, mère de 2 enfants, morte subitement 2 jours après le vaccin Pfizer[12] ? Un hasard !
Alors, comment en avoir le cœur net ?
Comment savoir si ce sont des « coïncidences »… ou si ces vaccins causent des morts ?
Eh bien il faut prendre les chiffres globaux… et ils sont à mon avis dévastateurs.
Les indicateurs sont EXTRÊMEMENT inquiétants
Aux États-Unis, il existe un système de notification des accidents graves après des vaccinations.
Ce qui est intéressant, c’est de comparer les vaccins entre eux.
Après le vaccin contre la grippe, donné à 165 millions d’Américains chaque année, le système enregistre la notification de 100 à 200 morts en moyenne.
On ne sait pas si ces morts sont dues aux vaccins ; tout ce qu’on sait c’est qu’elles sont « suspectées » d’être liées au vaccin.
C’est peut-être une coïncidence, on ne sait pas. Mais le chiffre de 100 à 200 morts sur 165 millions est plutôt faible.
Problème : avec les vaccins contre la Covid-19, les chiffres ne sont pas du tout aussi rassurants[13] !
Sur 95 à 100 millions d’Américains vaccinés à la mi-avril, le système de notifications avait déjà rapporté… 3 500 décès[14] !!
Cela fait au moins 50 fois plus de décès « suspects » par rapport au vaccin contre la grippe !
Voilà un indice très clair que ces vaccins causent beaucoup plus de morts qu’on ne le dit !
Et en Europe, alors ?
Eh bien c’est à peu près la même chose… en pire.
Le système EudraVigilance a reçu plus de 10 000 notifications de décès après une vaccination.
Plus de 4 000 de ces décès étaient liés au vaccin Pfizer. Plus de 2 000 au vaccin Moderna.
Là encore, les autorités vous diront que ces décès post-vaccinaux sont des « coïncidences ».
Mais ce n’est pas crédible, car cela n’explique pas pourquoi on enregistre 50 à 100 fois plus de décès après un vaccin Covid qu’après un vaccin contre la grippe !
Et en plus, il faut savoir que ces morts « notifiées » ne sont probablement qu’une petite partie de l’iceberg !
Une étude de 2010 avait conclu que 1 à 13 % seulement des effets indésirables graves des vaccins étaient notifiés aux autorités[15].
Donc la plupart des morts après vaccination ne sont jamais enregistrées nulle part !
La preuve, avec ce qui est arrivé à Laetitia, 23 ans.
C’est le journaliste Yves Rasir, qui a raconté son histoire, dans une excellente infolettre[16].
Je la cite ici en quasi-intégralité, car cette affaire est emblématique :
Un cas d’école : une joggeuse noyée dans son sang – par Yves Rasir
« Laetitia était une étudiante française de 23 ans accomplissant ses études dans la bonne ville wallonne de Liège.
Le 2 mai dernier, cette jeune fille a voulu profiter des premiers « assouplissements » du confinement et elle a participé à une course à pied de 15 km dans un parc de la Cité Ardente. Quelques mètres après la ligne d’arrivée, elle s’est écroulée inanimée et les sauveteurs n’ont pas réussi à relancer son cœur.
Le drame a été relaté dans cet article de la presse locale. Par le plus grand des hasards, il se trouve que l’organisateur de ce jogging populaire n’est autre qu’un de mes amis journalistes, Gilles Goetghebuer, rédacteur en chef des magazines Zatopek et Sport & Vie. Il se trouve aussi que Gilles est le capitaine de mon équipe de foot et que, dans un message ému au groupe, il nous a raconté l’événement choquant auquel il avait assisté aux premières loges puisque Laetitia a quasiment expiré dans ses bras.
Deux détails ne figurant pas dans le journal m’ont immédiatement fait sursauter: d’abord la jeune Française terminait des études d’infirmière, et ensuite son « arrêt cardiaque » n’était pas un infarctus. La vraie cause de sa mort est une « dissection aortique », autrement dit une déchirure de la grosse artère quittant le cœur et traversant le thorax. Comme Gilles en a été le témoin éclaboussé, la malheureuse joggeuse s’est littéralement noyée dans son sang et le défibrillateur n’a été d’aucun secours.
Une infirmière ? Une dissection aortique ? Vérification faite sur le site d’Eudravigilance, cette urgence médicale a été rapportée 11 fois en Europe après l’administration du seul vaccin Pfizer. Et pour 10 de ces cas, la victime était un « professionnel de santé ». Deux cas mortels ont été recensés en France, comme en atteste cette publication de l’ANSM.
Ayant découvert cette relation éventuelle, j’ai demandé à Gilles si Laetitia, qui faisait des stages en hôpital, avait déjà été vaccinée contre le covid comme beaucoup de soignants. Renseignements pris auprès de son frère, elle avait effectivement accepté le vaccin et elle avait reçu sa deuxième dose du Pfizer un mois avant le jogging fatidique. C’est ce que la médecine vaccinaliste appelle une « coïncidence temporelle » mais dont on peut sérieusement mettre en doute le caractère fortuit si l’on possède un minimum d’honnêteté intellectuelle.
C’est juste que les médecins accourus sur place n’ont pas fait le lien et que ni les autorités judiciaires ni les journalistes liégeois n’ont fait leur boulot en enquêtant sur ce décès inopiné et cette pathologie insolite chez une jeune fille sportive. L’affaire a été classée sans même avoir été instruite !
Enquête éloquente – la réalité de la « pharmacovigilance »
Laissez-moi vous raconter aussi la petite enquête menée par mon ami Gilles car elle est édifiante. (…) Ne voulant pas lâcher le morceau, il a alors contacté l’AFMPS, l’agence belge de pharmacovigilance, pour demander si le drame survenu à Liège leur avait été signalé et, le cas échéant, ce qu’il était advenu de ce signalement.
À son grand étonnement renouvelé, le journaliste a encore une fois été éconduit et envoyé sur les roses. Ses interlocuteurs n’ont rien voulu dire et ont tenu des propos l’assimilant également à un fouineur malveillant, voire à un dangereux complotiste conspirant contre l’État. « Cette réaction m’a vraiment choqué car je me faisais une toute autre idée d’un service public récoltant les effets secondaires des vaccins et médicaments. En principe, cette administration doit agir en procureur, défendre la société et demander des comptes au secteur pharmaceutique lorsqu’il est fautif. Ici, j’ai eu plutôt le sentiment qu’elle se comportait en avocat de Big Pharma ».
Pour en avoir souvent discuté avec lui, je peux certifier que Gilles Goetghebuer n’a rien d’un antivax comme moi. Il est d’avis que certains vaccins doivent susciter méfiance et prudence mais il ne remet nullement en cause la médecine pasteurienne dans son ensemble. Cet homme est la nuance et l’équidistance incarnées.
Cette fois-ci, derrière son agacement, j’ai cependant perçu qu’il prenait conscience d’une indéniable réalité : le système est ainsi fait que les accidents et les décès suspects ne sont pas toujours rapportés comme ils le devraient.
Combien de Laetitia ?
Gilles a donc fait chou blanc auprès de l’AFMPS mais il y avait un autre moyen de ponctuer son enquête avortée. En fouillant sur le site de l’Agence, j’ai trouvé que la Belgique n’avait introduit aucun cas de dissection aortique dans le système de pharmacovigilance européen. Elle a répertorié plus de 500 effets secondaires post-vaccinaux, dont certains gravissimes comme des myocardites, des thromboses cérébrales et des thromboses oculaires ayant entrainé la cécité, ainsi que 38 cas de … covid sévères, mais pas une seule déchirure de l’artère principale du corps humain. Indirectement, nous avons ainsi la preuve que la tragique disparition de Laëtitia a échappé aux radars et que son dossier n’a même pas été ouvert par les instances chargées d’évaluer les dangers de la campagne vaccinale anti-covid.
On peut par conséquent et légitimement se poser la question : n’y a-t-il pas beaucoup d’autres drames ignorés et faussement attribués à la fatalité ? Laetitia est-elle la pointe d’un iceberg dissimulé aux regards ? Combien de victimes du vaccin sont-elles ainsi enterrées ou incinérées en catimini sans autopsie ?
Comme je l’ai déjà écrit, certaines analyses scientifiques laissent à penser que les effets indésirables des vaccinations sont largement sous-notifiés. C’est notamment le cas de ce rapport établi aux États-Unis en 2007. Dans ce document, les auteurs estiment qu’à peine 0,3 % des « réactions adverses » aux vaccins et aux médicaments sont rapportées à la Food and Drug Administration américaine. Et seulement 1 à 13% des effets graves lui sont signalés.
Si ces proportions sont correctes et transposables en Europe, ça signifie que le nombre de morts réellement survenues après vaccination anti-covid se situe peut-être entre 100 000 et 1 million ! Bien sûr, de nombreux décès peuvent raisonnablement être attribués à d’autres causes. Tout comme une écrasante majorité de covidécédés sont morts de vieillesse et de leurs morbidités préalables, et non par la faute du virus, beaucoup de vaccinés âgés sont vraisemblablement morts avec le vaccin et pas du vaccin.
Il n’empêche que ses funestes effets à court terme sont fort probablement supérieurs à ce qui est officiellement admis par les vaccinateurs. Et c’est sans parler des effets à moyen et long terme, que le système de surveillance est encore moins capable de repérer.
Hommage à Laetitia, à toutes les autres victimes récentes et à toutes celles qui vont malheureusement mourir prématurément dans les mois et les années qui viennent, sans que leur assassinat par injection létale soit reconnu. À la libération, lorsque la dictature covidiste aura été renversée, il faudra songer à leur dresser un monument commémoratif. Et il faudra juger tous ceux qui auront fermé les yeux. » – fin de l’article de Yves Rasir
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Merci Yves pour cette enquête.
Il est grand temps d’ouvrir les yeux.
161 réponses
parfait je ne sais pas si je vais pouvoir me procurer le livre
je suis abonnée a la revue sante corps esprit depuis lontemps
moyennant retribution pourrai je le recevoir aec mon abonnement
Excellent j ‘ai lu de bonnes appreciations sur le WEB
bonjour, je pense moi même être une victime des effets secondaires du 1er vaccin AstraZeneka, J’ai fait une déclaration sur pharmaco vigilance, on m’a écouté poliment, mais comme j’ai été hospitalisé en service neurologie dans un hôpital, 3 semaines après avoir eu des symptômes d’AVC ou de thrombose, mais non avéré par les examens IRM et scanner, et qui à conclu plutôt à état psychosomatique. Alors que j’ai rencontré lors de mon hospitalisation, des cas similaire au mien ( repartis chez eux avec le même diagnostique) et alors que j’ai fait un gros malaise respiratoire grave, avec transport par Samu et hospitalisation, suivi 2 jours plus tard d’un ralentissement total, pour marcher, parler, pour mémoriser, écrire, avec des troubles visuels, des maux de tête, et des espèces de vertiges, et une grosse fatigue. j’ai eu ma première injection le 26 février 2021. A ce jour, je vais un peu mieux, mais il m’a fallu 2 mois pour retrouver un peu d’autonomie, et a ce jour, je nais pas pu conduire ma voiture, hormis un petit trajet pour vérifier si j’avais encore tous mes réflexes. je ne suis encore pas prêt à conduire, j’ai encore des troubles neurologiques et maux de têtes lorsque je suis fatigué. Malgré tout, la plupart des médecins m’on proposé de faire la 2ème injection AstraZénéka, et un peu plus tard proposé le vaccin Fhyzer, ou Moderna, mais à ce jour, je me refuse à faire un 2ème vaccin, n’ayant pas trouvé la cause exacte de mon état, ne croyant pas à un effet psychosomatique, n’étant absolument pas dépressif, et ayant toute mes facultés mentales et physique avant mon malaise respiratoire, suivi d’un ralentissement idéomoteur. Mon malaise s’étant produit 3 semaine après mon 1er vaccin, j’ai trouvé personne dans le milieu médicale qui relie mon état de santé avec le vaccin. Alors que la semaine suivant le vaccin, je notais déjà des troubles de mémoire, de la vue, et des migraines. Etant volontaire au départ pour cette vaccination ( j’ai 65 ans et une maladie chronique, notamment, une apnée respiratoire, et le syndrome d’Ehlers-Danlos), je n’ai de suite pas voulu moi même admettre un lien de cause à effet quelconque avec le vaccin, croyant plus à une grosse apnée respiratoire. Mais étant appareillé et contrôlé à distance avec mon appareil, il s’avère que je n’ai pas fait d’apnées respiratoire. Je pense que sans l’utilisation immédiate après mon blocage respiratoire du 21 mars 2021, de mon appareil à oxygène, qui m’est prescrit pour les douleurs de ma maladie SED, je n’aurai peut être pas survécu à ce malaise. Mais voilà, je suis sans doute le seul à penser cela, et bien isolé médicalement, pour prouver ma version des faits, hormis mes preuves d’hospitalisation, et les comptes rendus neurologiques et ophtalmologique (quoique, pour l’Angio-scanner et les examens ophtalmologique, l’hôpital à fourni simplement des résultats de conclusion mais a refuse à me donner des documents imagés de ces examens pour la raison, que ce sont des examens programmés pendant hospitalisation ou en service urgence, et que soit disant dans ce cas, il ni à pas de dossier imagé transmis au patient. je pense tout de même qu’on ne peut me mentir sur les résultats d’examens, mais il y à des coïncidences troublantes dans mon dossier, et des coïncidences troublantes avec les personnes que j’ai pu côtoyer pendant mon hospitalisation en neurologie, et pendant mes examens ophtalmologiques. VOILA mon témoignage, et j’ai aussi un numéro d’enregistrement avec l’organisme pharmacovigilance de TOURS.
Bonjour , En guise de transparence de l’ANSM on à vu beaucoup mieux.
J’ai flirté avec la mort avec le vaccin contre la grippe quand il était encore expérimental (cobaye à l’armé) ça fait longtemps que je constate que le système de santé pro-vaccin freine des deux pieds pour faire remonter quoi que ce soit en effet secondaire du bas de l’échelle au haut de l’échelle il y a une espèce de complicité implicite « du tant pis pour toi si tu es parti à l’abattoir ! » En comparaison des CDL dans un métro qui assisterait à un viol à 2 mètres d’eux sans bouger d’un pouce de leur coin. Le Covid (sois-disant chinoix) même s’il est apparu là bas fera moins de mort que les vaccins génocidaire mondial. Le fait que les labos se dédouanent en vendant leur cochonnerie n’a mis la puce à l’oreille que de trop peu de monde . Effectivement le monde ne sera plus comme avant.
Rebonjour qu’un certain nombre de personnes ne fasse pas remonter les effets secondaires pour des raisons plus ou moins avouables « ordre , consignes , recommandation etc. Mais là message aux système de « soi-disant santé » Nul n’est besoin d’avoir fait des études de santé pour savoir faire 1 et 1 égale deux , pour faire une relation de Effets après une cause même si vous ne faite rien remonter les gens, parents, , familles, amis eux feront remonter tout par les réseaux sociaux , donc ça laissera des traces de ce qui se passe et – de vos turpitudes –
je vois dans tout ces commentaires que plein de gens ne savent pas faire un et un égale deux et relation de cause à effet , je ne m’inquiète pas , beaucoup ne chanterons que une fois impliqué dans leurs propre chaire . et Tant mieux pour ceux pour qui , au lieu de casser ça passe
Bravo et Merci pour vos commentaires que je suis régulièrement. Continuer à nous informer et laisser de côté tous ces menteurs
Merci pour vos informations très utiles ! Je visite souvent ce site pour regarder quelques références (vous êtes malin!) et j’ai aussi lu votre livre : Excellent, encore une fois avec de bonnes références (et mieux écrit que vos lettres).
Maintenant je fais une évaluation personnelle des risques/bénéfices des vaccins ; mon gouvernement me conseille de le faire MAIS il ne m’a pas donné les moyens de le faire ! J’ai trouvé quelques sources pour cela grâce à vous, l’info me vient au bon moment. Par exemple votre réf.10 mène à une comparaison utilisable comme point de départ dans une autre site, etc. https://wintoncentre.maths.cam.ac.uk/news/latest-data-mhra-blood-clots-associated-astra-zeneca-covid-19-vaccine/
Entièrement d’accord avec vous sur tout…Mais,à quand l’explosion de la vérité…!!!En attendant la dictature sanitaire progresse l’obligation vaccinale approche y compris pour les jeunes enfants . Les traitements simples sont confisqués on ne traite pas mais on vaccine…!!! Les liens sociaux et familiaux sont quasi abolis!!! Conflit entre les disciplinés qui acceptent pour le bien collectif et les irresponsables complotistes!!!!Structurons la résistance dans un vaste mouvement …Mais il ne faut plus rester isolés.Qu’en dites vous?.
Bonjour, lettre très intéressante mais il est dommage que nous n’ayons pas les liens (chiffres entre parenthèses) qui relient aux sources des informations données sur le nombre de décès …dû au vaccin afin étoffer mes connaissances et avoir des arguments non réfutables sur la vaccination covid
Cordialement
Merci
Bonjour Xavier, je pense qu’il y a une erreur:
« Ainsi, une étude a trouvé autant de thromboses suite à AstraZeneca que suite aux vaccins Pfizer/Moderna[5] »
Je viens de lire Ref.5. D’abord, ils n’ont pas pu faire une comparaison directe. Mais ils suggèrent environ une facteur 10 de différence :
« L’incidence la plus récente signalée de [thromboses cérébrales] après l’administration de la première dose du vaccin Oxford-AstraZeneca, selon l’Agence européenne des médicaments, environ 5 par million de personnes vaccinées ».
et
« L’incidence observée de [thromboses cérébrales] dans la cohorte appariée de personnes ayant reçu un vaccin à ARNm est compatible avec l’estimation la plus basse du taux de base aux États-Unis, soit 0,53 par million de personnes sur une période de deux semaines. »
Merci