C’est la débâcle en Israël.
Ce pays confine toute sa population depuis plus d’un mois (le 27 décembre).
C’est un confinement strict : même les écoles sont fermées (contrairement au confinement français de l’automne).
Et comme on le sait, Israël a massivement vacciné sa population.
La vaccination a commencé dès le 19 décembre, à un rythme effréné :
-
- Le 27 décembre, l’immense majorité des 350 000 résidents de maisons de retraite avaient déjà reçu leur première dose ;
-
- Au 1er janvier, la moitié des plus de 60 ans avaient eu leur vaccin.
Et au moment où je vous écris, plus de 90 % des plus de 70 ans ont été vaccinés, dont la majorité avec 2 doses.
En termes de vitesse de vaccinations, Israël est le modèle que tout le monde admire :
Israël, premier pays au monde de très loin en termes de doses de vaccin injectées à sa population
Donc, Israël était l’élève modèle, le premier de classe.
Ils ont appliqué la « recette magique » de nos décideurs : CONFINEMENT + VACCINATION.
Résultat ? Eh bien…
Houston, Houston, il y a un problème.
Dans les chiffres, on ne voit pas le début du commencement d’un effet positif de la vaccination !
Au contraire, c’est l’affolement général en Israël :
- Le 24 janvier, Israël a décidé précipitamment d’étendre le programme de vaccination au 16-18 ans, et prévoit déjà de vacciner les enfants aussi ;
- Le 26 janvier, le Parlement a doublé les amendes pour les contrevenants du confinement ;
- Le confinement devait être levé le 31 janvier… il a été reconduit pour 5 jours… puis encore 2 jours de plus… et les écoles sont toujours fermées
- Le Premier Ministre Netanyahu a même dû annuler sa visite prévue cette semaine à Abu Dhabi pour une rencontre historique… tout ça pour maintenir l’aéroport international fermé (il l’est depuis 1 mois).
Le 1er février, le Pr Eli Waxman, expert auprès du gouvernement, faisait cette terrible confession :
« Le pays n’est pas près de battre le virus. Le programme de vaccination a été mis en œuvre avec succès, mais ne va pas suffire à résoudre la crise, à court terme. »[1]
Mais c’est pire que ça.
Fin janvier, on a cru que l’effet de la vaccination se faisait sentir… et puis non, les contaminations sont légèrement reparties à la hausse :
Ce graphique montre l’évolution du nombre de cas en Israël de début septembre 2020 à début février 2021 : ni le confinement, ni la vaccination n’ont à ce jour causé de chute massive du nombre de cas
Comment expliquer ça, alors qu’on nous a promis monts et merveilles avec le vaccin ?
Si le vaccin était vraiment la « solution miracle » pour sortir de la crise sanitaire, cela devrait se voir clairement en Israël.
On aurait dû observer une chute spectaculaire du nombre de contaminations, d’hospitalisations et de morts.
Mais non… et cela, malgré un confinement strict.
Dans les pays voisins d’Israël (Palestine, Jordanie, Liban), qui n’ont pas ou peu vacciné, la situation est même plutôt meilleure :
Ce graphique montre l’évolution du nombre de cas positifs en Israël (bleu) et ses voisins non vaccinés : Liban (rouge), Jordanie (violet) et Palestine (vert), de début septembre 2020 à aujourd’hui
Il y a deux grandes explications possibles à cet échec apparent de la vaccination :
- Les mutations et variants ont peut-être déjà rendu le vaccin inefficace (voire contre-productif) ;
- Les essais cliniques étaient trafiqués et les 90 % d’efficacité qui nous ont été annoncés n’ont jamais été réels.
Je vous parle tout de suite de la « farce » de ces essais cliniques – et vous verrez que le mot n’est pas trop fort.
Mais d’abord, un mot sur les fameux variants :
VARIANTS : on savait depuis le début que c’était un problème !!
Le 22 mars 2020, il y a près d’un an, au tout début de l’épidémie, je vous écrivais un article intitulé Épidémie COVID-19 : le vaccin est-il la solution miracle ?[2]
Ma réponse était « non », et mon principal argument était le suivant :
« Le coronavirus chinois peut parfaitement muter d’ici la confection du vaccin.
Une légère mutation du virus pourrait rendre le vaccin inutile… ou même contre-productif »
C’est exactement ce qui s’est passé, avec les nouveaux « variants », britanniques ou sud-africains.
Moderna a déjà reconnu que son vaccin fonctionnait mal, et a promis une troisième dose adaptée au nouveau variant pour l’automne prochain !
Cela ressemble à l’énergie du désespoir, car d’ici-là, on peut être sûr que d’autres variants auront déjà rendu cette troisième dose obsolète.
Pourquoi ? Mais parce qu’on sait que la vaccination va encore accélérer la production de nouveaux variants, qui échappent au vaccin !
Là encore, je vous l’ai écrit noir sur blanc le 19 mai dernier :
« A force d’utiliser les vaccins, les germes s’adaptent, mutent et résistent.
On l’observe déjà avec la coqueluche : la vaccination classique contre la bactérie B. Pertussis a laissé la voie libre à une autre souche bactérienne, B. Parapertussis, qui provoque également la coqueluche[9].
A chaque fois, la réponse des scientifiques est une « fuite en avant » du Progrès : il faut de nouveaux vaccins… »
Et c’est EXACTEMENT ce qui est en train de se passer.
Après vous avoir dit que le vaccin était la solution miracle, on commence à reconnaître qu’il faudra revacciner en permanence contre les nouveaux variants.
Le Professeur Caumes l’a encore reconnu récemment, chez Jean-Jacques Bourdin, sur BFM-TV et RMC :
« Le problème de la vaccination, c’est que des variants vont émerger, c’est inéluctable, et contre ces variants, la vaccination ne fonctionnera peut-être pas (…)
Il va probablement falloir se revacciner contre les variants contre lesquels le vaccin n’est plus efficace. »
(Entre parenthèses, on se demande bien pourquoi en France, il faudrait se vacciner maintenant, alors qu’on approche de la fin de l’épidémie hivernale et qu’il faudra de toute façon se revacciner à l’automne prochain contre les nouveaux variants.)
Bref, les variants étaient un gros problème pour le vaccin, prévisible depuis le départ.
Maintenant, parlons des essais cliniques.
Car il n’est même pas certain que les variants soient responsables de l’inefficacité du vaccin observé en Israël.
Il est vraisemblable que le vaccin était peu efficace dès le début, contre le virus d’origine !
Pourquoi les essais cliniques n’ont rien à voir avec la réalité
Car il y avait depuis le départ de sérieux doutes sur la fiabilité des essais cliniques.
Il faut bien comprendre une chose : les personnes qui ont testé le vaccin n’ont presque rien à voir avec ceux qui sont hospitalisés et meurent de la Covid-19.
Déjà, la moitié des morts de la Covid-19 ont plus de 85 ans… or les plus de 85 ans étaient exclus des essais cliniques !
Il est assez hallucinant de ne pas avoir fait d’essai clinique en maisons de retraite.
C’était voulu de la part des laboratoires, pour ne pas dévoiler la faible efficacité de leur vaccin.
Car on sait parfaitement que les vaccins sont rarement efficaces chez les plus de 80 ans, qui n’ont pas un système immunitaire performant.
D’ailleurs, non seulement il n’y avait aucun patient de plus de 85 ans dans les études… mais il y avait très peu de patients de 75 à 85 ans.
Et ceux qui étaient inclus n’étaient pas du tout représentatifs de ceux qui sont le plus vulnérables à la maladie !
Parmi les 75-85 ans des essais cliniques, il n’y avait pas d’immuno-déprimés, pas de cancéreux… et pas de patients en Ehpad !
Car je rappelle quand même qu’on peut être en Ehpad à 75 ans, notamment en cas de maladie dégénérative.
Mais dans les essais cliniques, bien sûr, aucun n’était dans ce cas, alors que ce sont des patients particulièrement vulnérables à la Covid-19.
Faut-il vraiment être surpris que la vaccination n’apparaisse pas efficace dans les Ehpad – voire contre-productive ?
Écoutez ce cri du cœur de cet expert en gérontologie auprès du gouvernement britannique, le Pr Martin Vernon :
« Je suis profondément inquiet de voir des flambées d’infections chez des résidents de maisons de retraite vaccinés avant et après 21 jours »[3].
En France, c’est le cas par exemple de l’Ehpad de la ville d’Eu, avec 60 cas positifs malgré une vaccination massive depuis au moins deux semaines[4].
Encore une fois, c’était parfaitement prévisible, quand on sait que les personnes âgées et dépendantes réagissent peu ou pas au vaccin, quel qu’il soit.
Maintenant, parlons des patients diabétiques et en hypertension qui étaient inclus dans les essais cliniques, quel que soit leur âge.
N’étaient-ils pas, eux, représentatifs des personnes vulnérables à la Covid-19 ?
Eh bien pas vraiment.
En réalité, les plus à risques de mourir de la Covid-19, ce sont plutôt les diabétiques mal équilibrés, ceux qui ne prennent pas vraiment soin de leur santé…
…et beaucoup moins ceux qui sont parfaitement suivis par leur médecin… comme l’étaient les volontaires des essais cliniques !
Quant aux moins de 65 ans, ceux qui ont intégrés les essais cliniques, ils n’étaient pas non plus représentatifs.
Figurez-vous que 25 % des patients testés étaient des soignants… or il n’y a pas 25 % de soignants dans la population !
C’est important, car les soignants sont beaucoup plus attentifs à leur santé que les autres !
Pour prendre un cas extrême, mais parlant, il n’y avait pas, dans les essais cliniques, les populations fragilisées et vulnérables aux infections que sont les toxicomanes, les SDF, les prostituées, les migrants, les alcooliques, etc.
Bref, rien qu’avec tout cela, il fallait être prudent avec ces essais cliniques.
Mais il faut aussi ajouter à cela les risques de manipulation en tout genre :
Les Mille et Une façons de TRUQUER les chiffres des essais
Les laboratoires sont passés maîtres dans l’art de trafiquer leurs résultats.
C’est en particulier le cas du laboratoire Pfizer, condamné en 2009 à 2,3 milliards de dollars « pour publicité mensongère relative à plusieurs médicaments ».
Vous voyez le gag, quand on sait que ce sont les laboratoires eux-mêmes, comme Pfizer, qui ont organisé les essais cliniques de A à Z, donc sans observateur indépendant…
…et qu’ils n’avaient aucune obligation de transmettre aux autorités de santé la totalité de leurs résultats !
« Ce qui se passe vraiment, c’est que ces agences sanitaires n’ont accès qu’aux chiffres que les laboratoires veulent bien leur donner. Or si vous êtes Pfizer ou Moderna, vous n’allez tout de même pas vous tirer une balle dans le pied en transmettant des données défavorables à votre vaccin », avait parfaitement expliqué le Dr de Lorgeril, du CNRS.
De toute façon, même s’il n’y a pas eu truquage, il y avait un gros problème dès le début avec le protocole de ces essais cliniques.
Comme l’avait expliqué le Dr Doshi, dès le mois d’octobre, dans le British Medical Journal, ces essais avaient deux énormes limites :
- Ils ne pouvaient pas conclure quoi que ce soit sur la capacité du vaccin à éviter les hospitalisations et les morts – il aurait fallu faire un essai dans une maison de retraite, ce que les labos ont soigneusement évité de faire !
- Et ils ne pouvaient pas conclure non plus sur la capacité du vaccin à empêcher les transmissions, donc à freiner la circulation du virus dans la population !
Mais alors, que pouvaient bien nous dire ces essais ?
Uniquement la capacité du vaccin à éviter à des personnes en bonne santé 3 à 4 jours de symptômes un peu pénibles de la Covid-19.
C’est là-dessus qu’on nous a annoncé 90 % de réussite.
Mais même sur ce point, on peut avoir des doutes énormes !
Comme l’a relevé le Dr Doshi, dans le British Medical Journal, il y a une grosse bizarrerie dans les chiffres de Pfizer.
Si l’on regarde bien le nombre de cas suspects de Covid-19, il y en avait
- 1800 dans le groupe placebo
- Contre 1600 dans le groupe vacciné
Si l’on s’en tient aux cas suspects (symptômes), après 7 jours de vaccination, on arrive à efficacité de 29 % seulement, loin des 90 % promis !
Alors d’où viennent les 90 % ? Des cas confirmés par PCR : 8 dans le groupe vacciné, contre 162 dans le groupe placebo.
Mais peut-être Pfizer s’est-il arrangé pour faire plus de tests PCR dans le groupe placebo, pour aboutir à plus de résultats positifs ?
C’est très possible, car les effets secondaires permettaient de repérer ceux qui ont reçu le vaccin plutôt que le placebo… et il suffisait donc de multiplier les tests PCR chez ceux qui n’ont eu aucun effet secondaire !
Et les patients eux-mêmes, s’ils savaient avoir reçu le vaccin (du fait des effets secondaires), ont certainement moins cherché à être testés, car ils se pensaient protégés et ne pouvaient pas attribuer leurs symptômes à la Covid-19.
Bref, vous voyez comment il est facile de truquer ou biaiser un essai !?
Voilà pourquoi il faut absolument regarder l’efficacité du vaccin dans la « vie réelle ».
Et les chiffres israéliens nous le disent clairement : le vaccin ne vaut pas grand-chose.
Dans le meilleur des cas, il pourrait réduire un peu le nombre de cas et d’hospitalisations.
Dans le pire des cas, il pourrait être contre-productif.
Mais dans tous les cas, le vaccin n’est certainement pas la « baguette magique » espérée.
Et de toute façon, il y avait encore un autre problème avec cette illusion vaccinale :
Le vaccin arrive-t-il trop tard ?
Là encore, je le pense depuis le début : un vaccin, même efficace, arriverait forcément trop tard.
Le 28 octobre dernier, encore, je vous écrivais ceci :
« Même si la recherche scientifique fait un petit miracle en accouchant d’un vaccin sûr et efficace en 18 mois, il arrivera trop tard.
Car tout indique que l’essentiel de l’épidémie sera terminé, à l’été prochain.
Déjà aujourd’hui, même avec le retour de la saison hivernale, on n’assiste pas à une vague exponentielle, comme en mars dernier.
Si le coronavirus circule largement cet hiver, l’immunité collective sera certainement acquise au printemps.
Cela ne veut pas dire que le coronavirus disparaîtra totalement.
Simplement, il s’ajoutera aux 200 virus de l’hiver et aux infections respiratoires habituelles, sans « faire de vague », si j’ose dire.
C’est clairement le scénario le plus crédible.
A la sortie de l’hiver, on aura donc atteint le même résultat qu’avec un vaccin efficace : la majorité des gens devraient être immunisés contre la Covid-19.
Donc, si cela se confirme, même le plus parfait des vaccins ne servira à rien. »
Aujourd’hui, la Covid-19 recule un peu partout dans le monde.
Regardez les courbes de contaminations en Europe, Amérique du Nord et Amérique du Sud :
Ce graphique montre la baisse du nombre de cas, depuis début janvier, dans les continents les plus touchés : Amérique du nord (rouge), Europe (bleu) et Amérique du Sud (vert)
Cela baisse un peu partout, probablement parce qu’un début d’immunité collective a été atteint.
Quand bien même le vaccin serait efficace, il arrive trop tard, comme on pouvait l’anticiper.
Et je rappelle qu’on a mis 40 milliards d’euros dans cette « solution »…
…et quasiment RIEN sur la prévention (vitamine D, quercétine, zinc…) et les traitements (protocole Raoult, ivermectine, colchicine, etc.).
Sentez-vous libre de transmettre cette lettre autour de vous.
Car si on continue à faire n’importe quoi, voici ce qui risque de nous arriver (humour vu sur Internet) :
PS : voici le genre de courbe qu’on aurait dû observer en Israël, si le vaccin fonctionnait.
Il s’agit d’une chute brutale du nombre d’hospitalisations pour Covid-19 à Mexico depuis début janvier…
…date à laquelle toute personne testée positive a reçu de l’ivermectine (2 fois 12mg) !
88 Responses
Bonjour. Pouvez-vous nous donner la source de la courbe des hospitalisations de la ville de Mexico en rapport avec le traitement à l’Ivermectine. Merci.
Je suis tout à fait d’accord, dans ce cas pourquoi ne pas faire signer une pétition avant que l’on soit TOUS obligés de se faire vacciner ?
Où peut on se procurer de l’ivermectine?
Merci pour votre réponse.
Bonjour et merci pour votre info-lettre.
Toutefois je m’insurge contre ce genre de vérité et contre-vérité.
De cette façon vous contribuez massivement à entretenir un climat de peur, de doute et d’informations anxiogènes…
Vos lettres sont trop longues et c’est lassant… on ne peut dignement pas les lire jusqu’au bout de manière objective et concentrée.
Faîtes court (très court) et précis (sans chichi).
Merci d’avance
Jocelyne WALTHER
C’est pourtant simple de s’informer et de comprendre qu’il s’agit d’une plan émie
nul besoin d’être expert e tcompétent pour comprendre qu’un vaccin est rarement efficace, surtout donnée en pleine épidémie
ce qui est frappant, c’est de constater que dans les pays voisins, c’est mieux SANS VACCIN.
Et le même phénomène se passe en Angletterre… toujours autant de morts.. ou du moins pas mal. Sauf les contaminations
MAIS nos médias vont vous dire : ON ASSISTE a une chute des contaminations et des morts, le vaccin a marché dans l’ensemble
sAUF QU en fin d’épidémie, il est NORMAL que ça baisse QUE TOUT BAISSE.
7 février 2021 La professeure Orna Baron-Epel de l’École de santé publique de l’Université de Haïfa est optimiste quant à une amélioration dans certaines régions du pays. « Il ne fait aucun doute que nous voyons l’effet des vaccinations. Nous nous attendons à le voir encore plus fortement maintenant qu’il y a des options ouvertes pour que toutes les parties de la population soient vaccinées – les régions dans lesquelles nous constatons régulièrement plus d’infections. »
Le Professeur Eli Waxman est un professeur de physiques à l’Institut Weizmann. S’exprimant “ la levée des restrictions imposées dans le cadre du troisième verrouillage d’Israël entraînerait un « effondrement des unités de soins intensifs. Une grande partie des patients dans un état grave ne recevront pas de traitement approprié, de sorte que davantage de personnes pourraient mourir.”
«Nous sommes dans un état de marge de confiance nulle. Nous sommes à la limite de la capacité du système d’hospitalisation. Ouvrir [le système éducatif] aujourd’hui est une mesure irresponsable qui nous mènera au-delà les marges »,
«S’il y a une flambée incontrôlée de la maladie, le vaccin n’apporte pas de solution complète, 90% des vaccinés sont nécessaires et nous en sommes loin», a-t-il déclaré. »
Lundi 8 février 2021 matin, Israël comptait 67631 cas actifs de coronavirus. Avec 1 121 cas, le nombre de personnes gravement malades a diminué et est maintenant le plus bas depuis le 9 janvier. Parmi ceux qui sont actuellement dans un état grave, 316 étaient sous respirateurs.
D’autres ministres ont appelé à la prudence, les responsables du ministère de la Santé faisant valoir que les jeunes groupes d’âge pourraient développer une maladie grave et provoquer des inondations dans les hôpitaux
Le professeur Manfred Green, directeur de l’École de santé publique de l’Université de Haïfa, estime que pour atteindre un équilibre entre les nouveaux cas de virus sans aucune restriction globale, en particulier avec la variante britannique désormais dominante, Israël doit vacciner 80 à 85% des sa population.
Objection : Tout ce que vous ramenez ici ne constitue absolument pas une preuve crédible ; En effet, pour tous ceux que vous citez, « Em Nog’im BaDavar! » (en hébreu en substance : « ils sont partie prenante! »)
Vous ne vous attendriez tout de même pas que Macron par exemple, annonce que le vaccin est une fumisterie?
Et bien là, c’est pareil!
Or justement ici, leurs propos alimentent ce qui est de plus en plus dénoncé : Entretenir la peur pour mieux vendre des vaccins !!
C’est honteux, une honte, et encore une grande honte! (= Zé Boucha, ‘Herpa VéKélima Gdola!)
Encore une fois, BRAVO les labos pharmaceutiques !!!! et nos chers dirigeants!!!
Et peut-être une nouvelle farce…
J’ai vu une vidéo sur Youtube dans laquelle on voyait notre cher (très cher !) si/ministre de la santé se faire vacciner.
N’y a-t-il pas eu trucage?
Qu’y avait-il dans la seringue?
Ma question est celle-ci:
Peut-on injecter une liquide, de l’eau ou autre chose dans notre corps sans danger?.. ceci car il s’est peut-être fait « vacciner!! » avec tout sauf vraiment un vaccin.
Voilà également une façon de faire « avaler » aux gens qu’il faut se faire vacciner… le sieur Véran le fait bien lui, donc allez-y faites-vous vacciner sans crainte… PROPAGANDE
merci docteur de toutes ces informations mais sachez que vous prêchez une convaincue. j’en ai parlé avec mon médecin qui ne veut rien savoir et me conseille de me faire vacciner ce que je refuse. par contre il à accepter de me prescrire de l’ivermectine. je prenais déjà de la quercétine et du zinc. dois-je arrêter pour prendre l’ivermectine ainsi que vous l’avez prescrit???? sachant que l’ivermectine sert à lutter contre le ténia, dois-je en conclure que la COVID-19 est un parasite car la chloroquine est également anti-parasitaire. merci de me répondre.
Cher Monsieur, auteur de la dernière lettre d’info sur le désastre en Israël avec la vaccination, confinement etc…
Je pense sérieusement que tous les labos fabricants de vaccins savent tout ça, mais il n’est plus possible à présent d’occulter le fait que ce qui importe aux labos et par conséquent à leurs zélateurs politiques, dont les campagnes sont financées par ces mêmes labos, n’est pas le rétablissement de la santé mais la vente massive de vaccins au maximum de pays. Il en va de leurs grasses marges de profit et leurs manœuvres ne visent rien d’autre que ça.
L’autre problème – en France en particulier – est l’évangile Pasterien qui continue son désastre. Il consiste en une croyance quasi religieuse en l’aseptisation maximale censée protéger un organisme humain de toute maladie. On connait la bataille qu’il y eut entre Pasteur (esprit opportuniste ayant déjà compris la nécessité d’être près du politique pour sa carrière) et Béchamp qui n’eut de cesse d’évoquer l’importance du terrain, donc de la prévention par le rétablissement d’un efficace système immunitaire.
Les vaccins n’ont jamais démontré de manière indiscutable leur effet sur une quelconque épidémie. La majorité des études en ce sens (sur la polio, la coqueluche, la variole aussi, etc…) a démontré que la vaccination n’avait jamais de relation avec le déclin d’une épidémie. La vie d’un virus avance bel et bien en « cloche » et sa virulence décroît et disparait selon ce principe. Idem pour la coronavirus requalifié habilement en « covid19 » dès l’année 2019 – bien avant l’annonce d’une supposée « pandémie » – dont les mutations sont effectivement connues des infectologues et autres toubibs spécialisés.
Même constat en effet pour le confinement qui, jamais nulle part, n’a démontré son impact sur un quelconque déclin épidémique.
Nous avons ni plus ni moins affaire à un coup d’état économique global dont l’objectif n’est en aucun cas le sauvetage d’une humanité soudainement en danger, mais celui d’une gravissime récession économique dont les effets réduiraient quasiment à néant le principe même d’enrichissement boursiers et le « trading » haute fréquence pratiqués par et pour une ultra minorité nommée « oligarques ».
Le « covid » n’est rien d’autre qu’un rideau permettant d’aliéner intégralement les peuples et les forcer à accepter un mode de vie, non plus selon l’insupportable « american way of life » de l’après 45, mais le mode de vie chinois qui est une combinaison redoutable d’un communisme dirigiste et d’un hyper capitalisme gérés par un état omnipotent. Ce mode de vie convient aux chinois dont l’obsession est de s’enrichir par le commerce. L’Europe n’a pas cette obsession, elle est culturellement adepte d’un confort de vie dans lequel, pour les français, en particulier, c’est un certain art de vivre qui prend le pas. Ce que les anglo-américains ont longtemps aimé chez nous tout en imposant pourtant partout leur « pragmatisme » raide et leur goût de toute puissance financière. Protestantisme et messianisme se combinent depuis plus de 70 ans.
Klaus Schwab, le « dark vador » de Davos, n’a pas hésité à rédiger sans ambage les détails de son nouvel évangile, aidé d’un certain Thierry Malleret, dans son ouvrage : « Covid19 – Great Reset » (téléchargeable en ligne en anglais !) et dans lequel tout est exposé crument.
La peur de la mort est le levier principal de cette gigantesque prise en otage de tous les peuples d’occident et accessoirement du reste du monde puisque la mondialisation est l’instauration d’un filet emmaillotant le globe entier dans un seul et unique système : celui de l’enrichissement virtuel d’une ultra minorité sur le dos du reste du monde. Les nomades de la « mondialisation heureuse », chère à Minc et Attali, sont les quelques gagnants de cette guerre déclarée envers les peuples massifiés.
Les états nation sont depuis longtemps défaits de leur souveraineté et soumis intégralement aux diktats bruxellois où des technocrates grassement payés reçoivent leurs ordres de Washington, lieux où les GAFAMs et autres BLACK ROCK, VANGUARD lancent leurs opérations de vampirisation intégrale sur chaque vulgum pecus profilé via le net. Derrière ce profilage global, une autre guerre en cours : celle de la vente des données de chaque individu. Le démantellement en cours d’EDF par la macronie fait partie de ce plan consistant à remettre la totalité des canaux de pompage des « datas individuelles » aux multinationales ad hoc. L’installation forcée des compteurs Linky, Gazpar et Téléo n’ont d’autre objectif que celui de la collecte totale des données de chaque foyer pour les vendre aux sociétés de profilage commercial utilisant pour cela des algorithmes distribuant ensuite des millions de pub-propagande sur-mesure sur chaque smartphone et ordinateur. C’est l’ambition affichée par le PDG d’ENGIE dont la guerre (une de plus) envers les peuples n’a aucune limite.
Nous subissons la plus gigantesque guerre à mort livrée envers tous les peuples du monde par les titans que sont les empires actuels : le titan mourant est l’Amérique qui se désunit stratégiquement sous nos yeux et dont le « deep government » lance sa contre attaque contre le nouvel empire qu’est la Chine. Ce dernier titan montant est le seul qui soit adapté en réalité au modèle pourtant inventé par les EU… l’empire chinois ne cherche pas la guerre comme le font depuis un siècle les EU en mode « conflits classiques chauds » mais tout simplement à gagner la guerre économique commerciale totale. Et ils sont en train d’y parvenir… d’où la contre attaque de Whashington en se servant de son propre peuple et de ceux d’une Europe vassalisée qu’elle sacrifie sur l’autel du dieu de la Guerre Financière Totale.
Tant que les peuples d’Europe, France en tête, n’auront pas réalisé la réalité de cette guerre mondiale d’un genre nouveau et dévastateur, l’horizon demeurera mortifère comme il l’est déjà depuis un an. Il y a encore trop d’espritS conditionnés aux croyances sanitaires d’une époque aux pratiques scientifiques parfaitement grossières et dépassées. La majorité des français croit toujours au miracle vaccinal, elle ne pige toujours pas que le monde du vivant dont font partie les virus et autres bactéries sont en totale intrication avec notre organisme et que seule la restauration du système immunitaire permet de traverser les épisodes virales sans conséquence gravissime.
Le covid19 est, semble-t-il, bel et bien modifié par deux inserts (là aussi, on trouve les brevets de dépôts officiels téléchargeables sur le site du Pr Fourtillan : vérité-covid19. On y découvre l’un des brevets qui émane bien de l’Institut Pasteur !). Pourtant, malgré ses deux inserts que les manipulateurs de paillasse nomment « gains de fonction » (!) et qui sont d’une part un insert génomique de la… malaria et d’autre part un insert génomique extrait des pathologies du VIH, tous ceux qui possèdent un bon SI s’en sortent. L’on comprend du coup mieux pourquoi l’hydroxychloriquine (vériété de quinine) est en effet efficace au début de l’infection ! J’ai moi-même avalé de la quinine pendant 15 ans de ma vie passée en Afrique et ni moi ni ma famille n’avons jamais eu d’effets indésirables !
Il apparait également que dans cette guerre surréaliste qu’on nous inflige, la Loi du Vivant demeure souveraine et reine. Car si ce sont bien les plus de 80 ans qui meurent majoritairement dans cette épidémie, c’est aussi parce que le cycle dit « de moisson » (qui dure trois ans et se manifeste très régulièrement) déclenche une surmortalité naturelle parmi une population (en l’occurrance celle des « babyboomers ») dont la prolongation de vie à produit une augmentation anormale des sur-vivants qui, dans le cycle normal de vie, « auraient du disparaitre. Par conséquent, au moment où une épidémie frappe les plus âgés, si ces derniers sont surnuméraires, meurent évidemment en grande quantité au moment de l’épidémie ! C’est quasi mathématique en regard des grands cycles du Vivant sur lesquels s’assoient allégrement les labos mondialisés.
Ce qui sauvera le monde, non pas en terme de sur-vivance artificielle, mais du délire collectif dans lequel il glisse, c’est l’éveil des esprits. La mort fait partie de la vie et les « modernes », tous occupés à croire en l’immortalité que le transhumanisme leur promet, ont rejeté cette Loi qui pourtant les concerne sans exception.
La qualité d’une vie ne tient nullement en sa prolongation indéfinie mais en sa qualité faite de joies, de relation sociale, de partage, de soutien, de créativité et de contemplation… exactement tout ce que la gestion calamiteuse du coronavirus nous a confisqué. On cesse d’avoir peur de la mort lorsqu’on a vécu une vie pleine de tout cela…
Avec tout mon soutien
SD
Bravo pour ce clair exposé d’un tas de vérités et de réflexions pertinentes. Grand MERCI
MERCI ! Que cela fait du bien de lire, ce que l’on pense tout bas depuis des années et dont notre entourage arrive mal à comprendre. Cette destruction de civilisation, cette mondialisation , cette dictature sournoise, cette « araignée chinoise » le fameux jeu de GO mis en application dans la structure financière et commerciale, dans nos vies.
Je refuse le vaccin « expérimental », je me soigne avec les plantes (dont j’ai hérité des mes aïeux leurs recettes), cela me vaut des réflexions pas trop « sympa », je suis « une arriérée » , mais je sais que j’ai raison…. Quand j’ai proposé en discussion, que tous nos anciens fassent don de leur vaccin à tous nos étudiants, car l’avenir c’est : les campus pleins, et non des étudiants séquestrés, des zombies..
L’être humain comme une boite de conserve dès sa sortie d’usine est affublé d’une date de péremption , et il faut l’admettre pour vivre HEUREUX;
BRAVO pour votre article, et relisons les lettres de Berlicche de CS Lewis (quel visionnaire..) S.E.
Commentaire admirable! …et qui fait chaud au cœur car il prouve qu’il existe encore des « humains » qui se servent de leur cerveau.
Kudos to you, Sangmelila! 🙂
Bravo tout est dit SANGMELIMA. On se sent moins seul quand les choses que l’on pense sont exprimées clairement par d’autres.
Pouvez vous donner la reference pour le graphe sur chute brutale du nombre d’hospitalisations pour Covid-19 à Mexico depuis début janvier et l’Ivermectine