C’est la débâcle en Israël.
Ce pays confine toute sa population depuis plus d’un mois (le 27 décembre).
C’est un confinement strict : même les écoles sont fermées (contrairement au confinement français de l’automne).
Et comme on le sait, Israël a massivement vacciné sa population.
La vaccination a commencé dès le 19 décembre, à un rythme effréné :
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- Le 27 décembre, l’immense majorité des 350 000 résidents de maisons de retraite avaient déjà reçu leur première dose ;
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- Au 1er janvier, la moitié des plus de 60 ans avaient eu leur vaccin.
Et au moment où je vous écris, plus de 90 % des plus de 70 ans ont été vaccinés, dont la majorité avec 2 doses.
En termes de vitesse de vaccinations, Israël est le modèle que tout le monde admire :
Israël, premier pays au monde de très loin en termes de doses de vaccin injectées à sa population
Donc, Israël était l’élève modèle, le premier de classe.
Ils ont appliqué la « recette magique » de nos décideurs : CONFINEMENT + VACCINATION.
Résultat ? Eh bien…
Houston, Houston, il y a un problème.
Dans les chiffres, on ne voit pas le début du commencement d’un effet positif de la vaccination !
Au contraire, c’est l’affolement général en Israël :
- Le 24 janvier, Israël a décidé précipitamment d’étendre le programme de vaccination au 16-18 ans, et prévoit déjà de vacciner les enfants aussi ;
- Le 26 janvier, le Parlement a doublé les amendes pour les contrevenants du confinement ;
- Le confinement devait être levé le 31 janvier… il a été reconduit pour 5 jours… puis encore 2 jours de plus… et les écoles sont toujours fermées
- Le Premier Ministre Netanyahu a même dû annuler sa visite prévue cette semaine à Abu Dhabi pour une rencontre historique… tout ça pour maintenir l’aéroport international fermé (il l’est depuis 1 mois).
Le 1er février, le Pr Eli Waxman, expert auprès du gouvernement, faisait cette terrible confession :
« Le pays n’est pas près de battre le virus. Le programme de vaccination a été mis en œuvre avec succès, mais ne va pas suffire à résoudre la crise, à court terme. »[1]
Mais c’est pire que ça.
Fin janvier, on a cru que l’effet de la vaccination se faisait sentir… et puis non, les contaminations sont légèrement reparties à la hausse :
Ce graphique montre l’évolution du nombre de cas en Israël de début septembre 2020 à début février 2021 : ni le confinement, ni la vaccination n’ont à ce jour causé de chute massive du nombre de cas
Comment expliquer ça, alors qu’on nous a promis monts et merveilles avec le vaccin ?
Si le vaccin était vraiment la « solution miracle » pour sortir de la crise sanitaire, cela devrait se voir clairement en Israël.
On aurait dû observer une chute spectaculaire du nombre de contaminations, d’hospitalisations et de morts.
Mais non… et cela, malgré un confinement strict.
Dans les pays voisins d’Israël (Palestine, Jordanie, Liban), qui n’ont pas ou peu vacciné, la situation est même plutôt meilleure :
Ce graphique montre l’évolution du nombre de cas positifs en Israël (bleu) et ses voisins non vaccinés : Liban (rouge), Jordanie (violet) et Palestine (vert), de début septembre 2020 à aujourd’hui
Il y a deux grandes explications possibles à cet échec apparent de la vaccination :
- Les mutations et variants ont peut-être déjà rendu le vaccin inefficace (voire contre-productif) ;
- Les essais cliniques étaient trafiqués et les 90 % d’efficacité qui nous ont été annoncés n’ont jamais été réels.
Je vous parle tout de suite de la « farce » de ces essais cliniques – et vous verrez que le mot n’est pas trop fort.
Mais d’abord, un mot sur les fameux variants :
VARIANTS : on savait depuis le début que c’était un problème !!
Le 22 mars 2020, il y a près d’un an, au tout début de l’épidémie, je vous écrivais un article intitulé Épidémie COVID-19 : le vaccin est-il la solution miracle ?[2]
Ma réponse était « non », et mon principal argument était le suivant :
« Le coronavirus chinois peut parfaitement muter d’ici la confection du vaccin.
Une légère mutation du virus pourrait rendre le vaccin inutile… ou même contre-productif »
C’est exactement ce qui s’est passé, avec les nouveaux « variants », britanniques ou sud-africains.
Moderna a déjà reconnu que son vaccin fonctionnait mal, et a promis une troisième dose adaptée au nouveau variant pour l’automne prochain !
Cela ressemble à l’énergie du désespoir, car d’ici-là, on peut être sûr que d’autres variants auront déjà rendu cette troisième dose obsolète.
Pourquoi ? Mais parce qu’on sait que la vaccination va encore accélérer la production de nouveaux variants, qui échappent au vaccin !
Là encore, je vous l’ai écrit noir sur blanc le 19 mai dernier :
« A force d’utiliser les vaccins, les germes s’adaptent, mutent et résistent.
On l’observe déjà avec la coqueluche : la vaccination classique contre la bactérie B. Pertussis a laissé la voie libre à une autre souche bactérienne, B. Parapertussis, qui provoque également la coqueluche[9].
A chaque fois, la réponse des scientifiques est une « fuite en avant » du Progrès : il faut de nouveaux vaccins… »
Et c’est EXACTEMENT ce qui est en train de se passer.
Après vous avoir dit que le vaccin était la solution miracle, on commence à reconnaître qu’il faudra revacciner en permanence contre les nouveaux variants.
Le Professeur Caumes l’a encore reconnu récemment, chez Jean-Jacques Bourdin, sur BFM-TV et RMC :
« Le problème de la vaccination, c’est que des variants vont émerger, c’est inéluctable, et contre ces variants, la vaccination ne fonctionnera peut-être pas (…)
Il va probablement falloir se revacciner contre les variants contre lesquels le vaccin n’est plus efficace. »
(Entre parenthèses, on se demande bien pourquoi en France, il faudrait se vacciner maintenant, alors qu’on approche de la fin de l’épidémie hivernale et qu’il faudra de toute façon se revacciner à l’automne prochain contre les nouveaux variants.)
Bref, les variants étaient un gros problème pour le vaccin, prévisible depuis le départ.
Maintenant, parlons des essais cliniques.
Car il n’est même pas certain que les variants soient responsables de l’inefficacité du vaccin observé en Israël.
Il est vraisemblable que le vaccin était peu efficace dès le début, contre le virus d’origine !
Pourquoi les essais cliniques n’ont rien à voir avec la réalité
Car il y avait depuis le départ de sérieux doutes sur la fiabilité des essais cliniques.
Il faut bien comprendre une chose : les personnes qui ont testé le vaccin n’ont presque rien à voir avec ceux qui sont hospitalisés et meurent de la Covid-19.
Déjà, la moitié des morts de la Covid-19 ont plus de 85 ans… or les plus de 85 ans étaient exclus des essais cliniques !
Il est assez hallucinant de ne pas avoir fait d’essai clinique en maisons de retraite.
C’était voulu de la part des laboratoires, pour ne pas dévoiler la faible efficacité de leur vaccin.
Car on sait parfaitement que les vaccins sont rarement efficaces chez les plus de 80 ans, qui n’ont pas un système immunitaire performant.
D’ailleurs, non seulement il n’y avait aucun patient de plus de 85 ans dans les études… mais il y avait très peu de patients de 75 à 85 ans.
Et ceux qui étaient inclus n’étaient pas du tout représentatifs de ceux qui sont le plus vulnérables à la maladie !
Parmi les 75-85 ans des essais cliniques, il n’y avait pas d’immuno-déprimés, pas de cancéreux… et pas de patients en Ehpad !
Car je rappelle quand même qu’on peut être en Ehpad à 75 ans, notamment en cas de maladie dégénérative.
Mais dans les essais cliniques, bien sûr, aucun n’était dans ce cas, alors que ce sont des patients particulièrement vulnérables à la Covid-19.
Faut-il vraiment être surpris que la vaccination n’apparaisse pas efficace dans les Ehpad – voire contre-productive ?
Écoutez ce cri du cœur de cet expert en gérontologie auprès du gouvernement britannique, le Pr Martin Vernon :
« Je suis profondément inquiet de voir des flambées d’infections chez des résidents de maisons de retraite vaccinés avant et après 21 jours »[3].
En France, c’est le cas par exemple de l’Ehpad de la ville d’Eu, avec 60 cas positifs malgré une vaccination massive depuis au moins deux semaines[4].
Encore une fois, c’était parfaitement prévisible, quand on sait que les personnes âgées et dépendantes réagissent peu ou pas au vaccin, quel qu’il soit.
Maintenant, parlons des patients diabétiques et en hypertension qui étaient inclus dans les essais cliniques, quel que soit leur âge.
N’étaient-ils pas, eux, représentatifs des personnes vulnérables à la Covid-19 ?
Eh bien pas vraiment.
En réalité, les plus à risques de mourir de la Covid-19, ce sont plutôt les diabétiques mal équilibrés, ceux qui ne prennent pas vraiment soin de leur santé…
…et beaucoup moins ceux qui sont parfaitement suivis par leur médecin… comme l’étaient les volontaires des essais cliniques !
Quant aux moins de 65 ans, ceux qui ont intégrés les essais cliniques, ils n’étaient pas non plus représentatifs.
Figurez-vous que 25 % des patients testés étaient des soignants… or il n’y a pas 25 % de soignants dans la population !
C’est important, car les soignants sont beaucoup plus attentifs à leur santé que les autres !
Pour prendre un cas extrême, mais parlant, il n’y avait pas, dans les essais cliniques, les populations fragilisées et vulnérables aux infections que sont les toxicomanes, les SDF, les prostituées, les migrants, les alcooliques, etc.
Bref, rien qu’avec tout cela, il fallait être prudent avec ces essais cliniques.
Mais il faut aussi ajouter à cela les risques de manipulation en tout genre :
Les Mille et Une façons de TRUQUER les chiffres des essais
Les laboratoires sont passés maîtres dans l’art de trafiquer leurs résultats.
C’est en particulier le cas du laboratoire Pfizer, condamné en 2009 à 2,3 milliards de dollars « pour publicité mensongère relative à plusieurs médicaments ».
Vous voyez le gag, quand on sait que ce sont les laboratoires eux-mêmes, comme Pfizer, qui ont organisé les essais cliniques de A à Z, donc sans observateur indépendant…
…et qu’ils n’avaient aucune obligation de transmettre aux autorités de santé la totalité de leurs résultats !
« Ce qui se passe vraiment, c’est que ces agences sanitaires n’ont accès qu’aux chiffres que les laboratoires veulent bien leur donner. Or si vous êtes Pfizer ou Moderna, vous n’allez tout de même pas vous tirer une balle dans le pied en transmettant des données défavorables à votre vaccin », avait parfaitement expliqué le Dr de Lorgeril, du CNRS.
De toute façon, même s’il n’y a pas eu truquage, il y avait un gros problème dès le début avec le protocole de ces essais cliniques.
Comme l’avait expliqué le Dr Doshi, dès le mois d’octobre, dans le British Medical Journal, ces essais avaient deux énormes limites :
- Ils ne pouvaient pas conclure quoi que ce soit sur la capacité du vaccin à éviter les hospitalisations et les morts – il aurait fallu faire un essai dans une maison de retraite, ce que les labos ont soigneusement évité de faire !
- Et ils ne pouvaient pas conclure non plus sur la capacité du vaccin à empêcher les transmissions, donc à freiner la circulation du virus dans la population !
Mais alors, que pouvaient bien nous dire ces essais ?
Uniquement la capacité du vaccin à éviter à des personnes en bonne santé 3 à 4 jours de symptômes un peu pénibles de la Covid-19.
C’est là-dessus qu’on nous a annoncé 90 % de réussite.
Mais même sur ce point, on peut avoir des doutes énormes !
Comme l’a relevé le Dr Doshi, dans le British Medical Journal, il y a une grosse bizarrerie dans les chiffres de Pfizer.
Si l’on regarde bien le nombre de cas suspects de Covid-19, il y en avait
- 1800 dans le groupe placebo
- Contre 1600 dans le groupe vacciné
Si l’on s’en tient aux cas suspects (symptômes), après 7 jours de vaccination, on arrive à efficacité de 29 % seulement, loin des 90 % promis !
Alors d’où viennent les 90 % ? Des cas confirmés par PCR : 8 dans le groupe vacciné, contre 162 dans le groupe placebo.
Mais peut-être Pfizer s’est-il arrangé pour faire plus de tests PCR dans le groupe placebo, pour aboutir à plus de résultats positifs ?
C’est très possible, car les effets secondaires permettaient de repérer ceux qui ont reçu le vaccin plutôt que le placebo… et il suffisait donc de multiplier les tests PCR chez ceux qui n’ont eu aucun effet secondaire !
Et les patients eux-mêmes, s’ils savaient avoir reçu le vaccin (du fait des effets secondaires), ont certainement moins cherché à être testés, car ils se pensaient protégés et ne pouvaient pas attribuer leurs symptômes à la Covid-19.
Bref, vous voyez comment il est facile de truquer ou biaiser un essai !?
Voilà pourquoi il faut absolument regarder l’efficacité du vaccin dans la « vie réelle ».
Et les chiffres israéliens nous le disent clairement : le vaccin ne vaut pas grand-chose.
Dans le meilleur des cas, il pourrait réduire un peu le nombre de cas et d’hospitalisations.
Dans le pire des cas, il pourrait être contre-productif.
Mais dans tous les cas, le vaccin n’est certainement pas la « baguette magique » espérée.
Et de toute façon, il y avait encore un autre problème avec cette illusion vaccinale :
Le vaccin arrive-t-il trop tard ?
Là encore, je le pense depuis le début : un vaccin, même efficace, arriverait forcément trop tard.
Le 28 octobre dernier, encore, je vous écrivais ceci :
« Même si la recherche scientifique fait un petit miracle en accouchant d’un vaccin sûr et efficace en 18 mois, il arrivera trop tard.
Car tout indique que l’essentiel de l’épidémie sera terminé, à l’été prochain.
Déjà aujourd’hui, même avec le retour de la saison hivernale, on n’assiste pas à une vague exponentielle, comme en mars dernier.
Si le coronavirus circule largement cet hiver, l’immunité collective sera certainement acquise au printemps.
Cela ne veut pas dire que le coronavirus disparaîtra totalement.
Simplement, il s’ajoutera aux 200 virus de l’hiver et aux infections respiratoires habituelles, sans « faire de vague », si j’ose dire.
C’est clairement le scénario le plus crédible.
A la sortie de l’hiver, on aura donc atteint le même résultat qu’avec un vaccin efficace : la majorité des gens devraient être immunisés contre la Covid-19.
Donc, si cela se confirme, même le plus parfait des vaccins ne servira à rien. »
Aujourd’hui, la Covid-19 recule un peu partout dans le monde.
Regardez les courbes de contaminations en Europe, Amérique du Nord et Amérique du Sud :
Ce graphique montre la baisse du nombre de cas, depuis début janvier, dans les continents les plus touchés : Amérique du nord (rouge), Europe (bleu) et Amérique du Sud (vert)
Cela baisse un peu partout, probablement parce qu’un début d’immunité collective a été atteint.
Quand bien même le vaccin serait efficace, il arrive trop tard, comme on pouvait l’anticiper.
Et je rappelle qu’on a mis 40 milliards d’euros dans cette « solution »…
…et quasiment RIEN sur la prévention (vitamine D, quercétine, zinc…) et les traitements (protocole Raoult, ivermectine, colchicine, etc.).
Sentez-vous libre de transmettre cette lettre autour de vous.
Car si on continue à faire n’importe quoi, voici ce qui risque de nous arriver (humour vu sur Internet) :
PS : voici le genre de courbe qu’on aurait dû observer en Israël, si le vaccin fonctionnait.
Il s’agit d’une chute brutale du nombre d’hospitalisations pour Covid-19 à Mexico depuis début janvier…
…date à laquelle toute personne testée positive a reçu de l’ivermectine (2 fois 12mg) !
88 Responses
A force de marteler sans cesse les mêmes choses, vous devenez progressivement, vous même, contre productif car je dois presque me forcer pour vous lire. Triste !
Pardon
Mais je pense que votre argument d’Israël n’est pas valable.
Vous savez que les juifs orthodoxes veulent se rassembler dans leur synagoge … corona ou no corona …
Nous l’avons ici aussi … à Anvers, ils ont dû fermer la synagoge à cause de cela.
Donc, si nous avons cela, c’est la Belgique, vous aurez cela en Israël.
Et c’est pourquoi Covid 19 est si lourd d’aller là-bas … pas à cause du vacin … mais à cause de la religion
et se rassembler … et (peut-être) parce que ces gens veulent être malades à la maison et non à l’hôpital.
entre la famille et les proches …
Ce que vous dites n’est pas correct … vous devez tout dire et tout rechercher …
Cordialement
Fred
c’est très bien de mettre au courant la population sur ivermectine etc.. mais encore faudrait-il avoir un dr Raoult comme médecin traitant! car hélas nos médecins ne cherchent pas plus loin que les traitements proposes par les laboratoires. J’ai 83 ans et j’ai peur que si je suis contaminée, mon sort ne soit que la mort, alors que dans l’ensemble je suis en bonne santé.Sinon de l’ hypertension que je soigne avec des compléments alimentaires qui me réussissent très bien depuis 3 ans selon les conseils du Dr Willem.
Chiffres très révélateurs, tandis que la campagne de propagande suit son cours, avec des alarmes constantes et croissantes. Intéressant de voir la fin du chapitre et les réactions des populations.
Eh alors, vous proposez quoi, Monsieur BAZIN ?
Vous qui avez dit que ce virus n’était rien, ou presque, vous qui avez dit que la pandémie était finie, vous qui avez dit qu’il n’y aurait pas de deuxième vague ?
Il faut faire mettre en prison notre ministre de la santé qui a fait écarter le professeur Raoult Peronne et d’autres et qui a empêché les médecins de prescrire
Que nous reste il a faire ,
Cher docteur
Je veux bien vous croire et je ne suis pas disposé à me faire vacciner bien que je puisse le faire ayant 75 ans depuis trois semaines. J’ai aperçu sur la newsletter du Point un article sur les anti-vaccins en Israël dont je n’ai pu lire que le début n’étant pas abonné mais où il est dit que la vaccination commence à porter ses fruits. Désinformation?
Cordialement
Jean-Pierre Hilaire
Bonjour. Idem un des commentaires : Pouvez-vous nous donner la source de la courbe des hospitalisations de la ville de Mexico. Merci.
Qui croire ?
J’ai vu ce soir sur France 2 une autre interprétation des chiffres Israéliens et l’observation d’une baisse significative des nouveaux cas, qui sont en moyenne plus jeunes car il y a proportionnellement bien plus de personnes âgées vaccinées que de personnes jeunes.
J’attends votre réponse sans tarder.
Merci d’avance.
François DUSSAUGE
Les jeunes meurent très rarement de la Covid-19. L’efficacité du vaccin devrait apparaître de façon éclatante dans les chiffres de mortalité, ce qui n’est pas le cas pour l’instant.