Deux grands mythes historiques sur les vaccins – et les leçons qu’il faut en tirer

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Je ne sais pas pour vous, mais ce qui s’est passé sur les vaccins Covid a fragilisé ma confiance dans les vaccins en général.

Certes, dès avant cette crise, j’avais déjà un certain esprit critique sur la vaccination. Mais le niveau d’aveuglement et de propagande qu’on a subi depuis près de 2 ans m’a conduit à me replonger dans l’histoire des vaccins.

Et j’ai découvert beaucoup, beaucoup de choses troublantes. Notamment sur le premier grand vaccin, le vaccin contre la variole.

Je vous ai déjà parlé du mythe de l’éradication de la variole par la vaccination.

En réalité, le vaccin seul n’a pas suffi à éliminer le virus de la variole. Le succès final n’a pu être obtenu que par des mesures de santé publique « basiques ».

Rappel : ce n’est pas le vaccin qui a éradiqué la variole

C’est ce qu’a écrit noir sur blanc l’Organisation mondiale de la santé en 1980, quand elle a publié un rapport sur les raisons du succès de l’éradication de la variole[1] :

« Les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays, mais échouèrent dans la plupart des cas. Pour extirper la variole de ces pays avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie. (…) La stratégie n’était plus exclusivement axée sur la vaccination de masse, mais privilégiait également la surveillance. »

Donc, la vaccination généralisée n’aurait jamais pu à elle seule venir à bout de la variole.

Pire, on comprend entre les lignes du rapport que la focalisation sur la vaccination comme « seule solution » a probablement retardé l’éradication de la variole. Pour réussir, il fallait « changer de stratégie » et s’appuyer sur des mesures simples comme la surveillance des cas et l’isolement des malades.

Voilà qui casse un peu le mythe, non ? La leçon majeure de l’éradication de la variole est… qu’il ne faut pas tout miser sur la vaccination. Et pourtant, on en a retenu exactement le contraire !

Mais si je vous écris aujourd’hui, c’est que j’ai découvert un autre grand mythe sur ce vaccin-là.

Leicester en 1885 : comme la Suède en 2020 ?

Au milieu du 19ème siècle, le vaccin contre la variole est rendu obligatoire partout en Angleterre. Mais le nombre de cas de variole ne semble pas diminuer. Et beaucoup d’Anglais commencent à se poser des questions. 

En 1885, une ville entière commence à se rebeller : la ville industrielle de Leicester.

Après de grandes manifestations, les citoyens ont aboli la vaccination obligatoire contre la variole. Ils étaient persuadés que des mesures simples pouvaient suffire à éviter les épidémies : assainissement des eaux, règles d’hygiène, et, en cas de variole, isolement des malades, mises en quarantaine de leurs contacts et désinfection de leur habitat.

L’élite médicale britannique s’est alors indignée de cet affront contre le Progrès. Et Leicester s’est retrouvée stigmatisée comme un vilain petit canard qui refuse la « science » et met en danger sa population. Exactement comme la Suède en 2020, quand ce pays a refusé les confinements stricts contre le Covid. Or, comme on le sait maintenant, la suite a donné raison à la Suède. Et l’expérience suédoise a été d’utilité publique, car sans elle, il aurait été plus difficile de mesurer à quel point les confinements ont été inutiles et contre-productifs.

De même, l’expérience de Leicester nous donne de précieux enseignements. Dans cette ville, la fin de l’obligation vaccinale contre la variole n’a produit aucune catastrophe. Au contraire : dans les cinquante ans qui ont suivi, Leicester a connu plutôt moins de cas et moins de morts de la variole que les autres grandes villes industrielles anglaises[2].

Au départ, le corps médical a attribué cette résistance inattendue à la bonne « couverture vaccinale », liée aux vaccinations ayant eu lieu avant 1885. Mais même au début du 20ème siècle, quand une proportion importante d’habitants de Leicester n’était plus vaccinée, la situation est restée favorable à la ville minière.

En 1914, un article du New York Times explique encore que la catastrophe à Leicester est imminente, vu l’absence de vaccination[3]. Mais la catastrophe ne se produira jamais.

En fait, ce n’est pas le New York Times qui a eu raison, mais un médecin critique sur la vaccination, le Dr Killick Millard, qui a publié en 1914 un livre avec cette conclusion visionnaire.

« Depuis quarante ans, ce qui correspond à peu près à l’avènement de ‘’l’ère sanitaire’’, la variole a progressivement, mais sûrement quitté le pays (l’Angleterre). On peut raisonnablement croire qu’avec le perfectionnement et la généralisation des méthodes modernes de contrôle, ainsi qu’avec l’amélioration de l’hygiène, la variole sera complètement bannie de ce pays comme cela a été le cas pour la peste, le choléra et la fièvre typhoïde »[4].

Et en effet, au 20ème siècle, la variole recule partout, à Leicester comme ailleurs, et au début des années 1950, l’Angleterre abandonne la vaccination obligatoire contre la variole.

L’ironie de l’histoire est que la variole a fini par être éradiquée sur l’ensemble de la planète, dans les années 1970, parce qu’on a suivi le modèle de Leicester – surveillance et endiguement – plutôt que de tout miser sur la vaccination.

Mais au 21ème siècle, on n’a toujours pas retenu la leçon.

Dans les années 2010, ça recommence, avec le choléra !

En 2010, une épidémie de choléra éclate en Haïti, juste après le terrible tremblement de terre.

Pour éteindre cette épidémie, il y a une solution simple : à chaque fois qu’un malade est identifié, il faut envoyer une petite équipe pour isoler les malades, protéger la famille, distribuer du savon, des comprimés de chlore pour assainir l’eau, etc. Dès que cette stratégie a été mise en place à grande échelle en Haïti, en 2016, le choléra a été presque éradiqué en 2 ans.

Et pourtant, des organisations internationales ont pesé de tout leur poids pour que la vaccination soit au cœur de la réponse sanitaire[5]

En 2018, alors qu’il ne reste plus que quelques cas résiduels de choléra, la Fondation de Bill Gates choisit de donner 10 millions de dollars pour vacciner massivement les Haïtiens[6].

Cette fondation est même allée jusqu’à financer une étude qui conclut en 2020 à la nécessité d’une vaccination massive en Haïti… alors qu’il n’y a plus aucun cas de choléra en Haïti !

Des épidémiologistes français se sont insurgés contre cette étude « bidon », dans un courrier incendiaire envoyé à la revue médicale qui l’a publiée[7] :

« En résumé, cette étude donne une image déconnectée de la réalité en Haïti et aboutit à une recommandation infondée d’organiser une campagne de vaccination nationale pour éradiquer le choléra. »

Ceci illustre bien l’obsession, contre tout bon sens, à considérer le vaccin comme la seule réponse valable en cas d’épidémie.

Ce qui s’est passé avec le Covid remonte à loin, dans l’imaginaire collectif.

C’est pourquoi il est urgent de regarder la réalité vaccinale en face.

Après l’échec vaccinal contre le Covid, et les milliers d’effets indésirables graves, on ne peut plus se permettre de croire à la « baguette magique » vaccinale, sans esprit critique.

C’est pourquoi je prépare un livre, sur le sujet. Un livre qui va « déménager ».

Je vous en reparle très vite.

Sources

[1]https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/191019/WHA33_3_fre.pdf;jsessionid=0DBEAFA9E95E4BDBA4097784E740F61E?sequence=1

[2] Les chiffres sont détaillés au chapitre 6 du le chef d’œuvre de Suzanne Humphries et Roman Bystrianyk, Vaccination, la grande désillusion ! Maladies infectieuses, épidémies et vaccins : la réalité des chiffres officiels, Résurgences, 2006.

[3]Vaccins, la grande désillusion, page 187.

[4]Vaccins, la grande désillusion, page 187.

[5] Dès le milieu des années 2010, une campagne de vaccination contre le choléra est lancée, modeste dans son ambition (un million de doses, pouvant vacciner 6 % de la population haïtienne) https://www.gavi.org/news/media-room/cholera-vaccination-campaign-kicks-haiti

[6] https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sciences-et-ethique/En-Haiti-victoire-silencieuse-contre-cholera-2019-09-03-1201044891

[7] Ils expliquent que les « 4 modèles épidémiologiques utilisés échouent à expliquer l’effondrement du choléra en Haïti » observé depuis 2 ans. Et concluent : « Cela pose question, dans la mesure où six des auteurs sont affiliés à 4 institutions soutenues par la Fondation Bill et Melinda Gates – une organisation qui recommande fortement le vaccin contre le choléra, en a financé la production et le stockage, et proposé 10 millions de dollars pour une campagne en Haïti. Ce conflit d’intérêts évident aurait dû être mentionné ». https://www.thelancet.com/journals/langlo/article/PIIS2214-109X(20)30430-7/fulltext

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  1. vous parlez de la variole, mais non seulement ce vaccin est inutile mais il est aussi nocif, car il provoque , comme beaucoup de vaccins une barrière dans le corps, et il est bien difficile aprés de la faire sauter. J’ai été vacciné pour le BCG enfant qui m’a provoqué une maladie cardiaque de ce fait toute ma vie je n’ai eu aucun vaccin, hormis cette fameuse variole,imposé a l’école, et j’ai 80 ans . merci pour tous vos écrits

  2. Confondant de vérité !
    Quel dommage que des « excités » DE LA VACCINATION à outrance (qu’elle soit COVID ou autres), que l’on peut lire sur Opéra News, du genre @CastilleDePellichy/MoniqueDeRemetter/edouardlouis…. Ne lisent pas vos lettres !
    Par contre, leurs critiques et commentaires sur toutes personnes OSANT émettre des doutes quant à l’efficacité de ce « pseudo vaccin » (???) Covid… Au même titre que les effets secondaires s’y rapportant… Sont UN VÉRITABLE FESTIVAL de réponses insultantes (Q.I.-0-/IGNARES/etc) envers les auteurs…
    Je conseille (amicalement) à l’éditeur, ainsi que les lecteurs de cette revue, d’aller regarder l’étendue de l’endoctrinement, si ce n’est de l’autosuggestion dont peuvent faire preuve ces tristes personnages.
    Pour ma part, je prends toujours autant de plaisir à découvrir les « mensonges éhontés » provenant d’études de personnes se disant « Scientifiques »…. Et dont l’on découvre que bien souvent… ILS/ELLES sont « noyées » dans les conflits d’intérêts avec BIG PHARMA !
    Bonne journée à tous

  3. Bonjour Mr Bazin, j’ai apprécié votre article, ainsi que votre livre par rapport au Covid « Big pharma démasqué ». J’étais aussi « provax », totalement confiante et heureuse que la vaccination existe, d’ailleurs éduquée ainsi comme tout un chacun. Mais depuis Covid, et avant H1N1, je me pose des questions. Egalement je suis devenue méfiante à cause de l’attitude de Big pharma et ses scientifiques et médecins attitrés. Ce qui m’amène à remettre même en question, d’après certains articles lus, la crédibilité à accorder aux exploits de Mr Pasteur par rapport à la vaccination. On nous apprend que c’est lui qui a inventé le principe de la vaccination, par rapport à la Rage : cela est-il exact ? Si cela était le seul moyen de sauver les patients atteints de cette terrible maladie, pourquoi alors, non la vaccination, mais le principe vaccinal, n’est-il plus aussi efficace ? Présenté en effet comme seul salvateur possible, est-il en réalité une fake-news (dont on nous a instruits à gogo) du temps de Mr Pasteur ? Ou le problème vient-il seulement de la qualité des produits vaccinaux ? (Pasteur avait-il créer un produit vraiment fiable dans son principe comme dans son action ? Et ensuite la fabrication des vaccins a-t’elle dégénéré ou dévié dans son principe ?) Je crois qu’il faut remonter à la source pour démêler tout cela. Pouvez-vous m’éclairer, ainsi que vos lecteurs sur tout cela ? Parce que je ne sais plus quoi croire. Je vous remercie du travail d’information que vous faites. Cela doit vous prendre du temps et de la peine. Je vous remercie de la réponse et de l’éclaircissement apportés à ce sujet, et vous souhaite bonne journée.

  4. Bonjour,

    Remarque :
    Dans mon service de plus de 30 personnes, nous sommes 2 à ne pas sommes être fait vacciner et nous sommes 2 à ne pas avoir contractée le Covid !

    Bonne journée

  5. Votre analyse lucide et objective sur la vaccination est criante de bon sens et devrait être lue et comprise par les peuples du monde entier et surtout par nos dirigeants obtus ,cyniques et malveillants

  6. Je suis tout a fait d’accort avec cet exposé . Moi même , n’étant pas médecin, je l’avais déjà pensé ?
    Je suis d’ailleurs entièrement opposé aux vaccins. A part les vaccins infantiles dont je n’avais pas mon mot à dire, je ne me suis jamais vacciné . J’ai 85 ans ?

  7. Je suis entièrement d accord avec vous bien que je ne suis pas contre tous les vaccins , j ai eu le covid je ne suis pas vacciné et après 8 jour d hôpital ou j étais sous oxygène ( juste un peu) je suis ressorti sans aucune séquelles et je suis toujours contre ce vaccin qui n en est pas un ( juste un médicament liquide ……),par contre tout les jours on me proposait du paracetamol et je ne sais toujours pas pourquoi , je leur est demande s il ne savait à quoi en faire lol j ai 65 ans et ma santé est bonne ( pour l instant MDR)
    cordialement vidal francis

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