Je vous propose de relire mon analyse du projet de vaccin anti-Covid datant de mars 2020… tout au début de l’épidémie !

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Le 22 mars 2020, une semaine après le début du premier confinement, j’ai publié cet article :

Je vous invite à le lire intégralement, en cliquant ici.

De mon point de vue, ce que je prévoyais s’est hélas largement confirmé.

Les plus fragiles ne pouvaient pas être protégés

Je ne nie pas que ces vaccins ont peut-être protégé, pendant 3 ou 4 mois, certaines personnes d’une forme grave du Covid – au risque toutefois de subir de lourds effets indésirables (AVC, embolie pulmonaire, myocardite, etc.).

Mais il y a un fait incontesté : c’est qu’énormément de vaccinés sont morts du Covid.

En Grande-Bretagne, 9 décès sur 10 étaient vaccinés, en mars 2022 (derniers chiffres publiés). En France, en juin 2022, 75 % des décès Covid étaient vaccinés.

Il est donc clair que le vaccin n’a pas du tout protégé la plupart des personnes vulnérables.

Comme je vous le disais dans ma lettre, c’était prévisible depuis le début, pour une raison simple :

« Les personnes âgées ont souvent un système immunitaire affaibli, et beaucoup d’entre eux ne développent pas ou peu d’anticorps au moment du vaccin.

Donc, ceux qui gagneraient le plus à être protégés sont aussi ceux pour lesquels la vaccination fonctionne le moins bien ! »

Et cela a été reconnu depuis, officiellement.

Car il n’y a pas que les personnes très âgées qui peuvent avoir un système immunitaire défaillant.

Il y a aussi un autre groupe, très à risque face au Covid-19, et pour qui la vaccination fonctionne toujours très mal : les « immunodéprimés ».

En dehors des malades du Sida, les immunodéprimés sont ceux qui reçoivent des traitements médicaux qui « suppriment » le système immunitaire : après une greffe d’organe, pour certains malades du cancer ou certaines maladies auto-immunes.

Or début janvier 2022, le journal Le Monde a reconnu l’échec vaccinal dans cette population, dans un article intitulé « Covid-19 : les immunodéprimés, l’autre population de patients en réanimation » :

« Ils sont pour la plupart triplement vaccinés – voire plus – contre le Covid-19, ont théoriquement accès à des traitements préventifs, mais restent parmi les plus exposés aux formes sévères d’infection du SARS-CoV-2. Transplantés, traités par des médicaments immunosuppresseurs puissants pour une tumeur ou une maladie auto-immune…, les patients avec des défenses immunitaires affaiblies sont de plus en plus inquiets. »[a]

C’était évident depuis le départ : les personnes qui ont le plus à craindre du Covid sont aussi celles qui ne pouvaient pas être protégées correctement par la vaccination.

Donc, en faire l’alpha et l’oméga de la politique contre le Covid était une erreur grave, comme je l’expliquais dès le début (à lire ici).

« En cas de mutation, le vaccin peut devenir inutile, voire dangereux ! »

Début 2020, je vous avais aussi mis en garde très sérieusement : il faut être très prudent avec de nouveaux vaccins, car ils peuvent rendre la maladie plus dangereuse… surtout en cas de mutations du virus !

Et c’est exactement ce qui semble se passer, avec Omicron[b].

Au printemps-été 2022, les vaccinés avaient beaucoup plus de risques d’être testés « positifs » que les non-vaccinés.

De fait, plusieurs études commençaient à pointer une efficacité négative de ces vaccins :

  • Une étude publiée dans le prestigieux Journal of the American Medical Association (JAMA) a montré qu’après quatre mois, des adolescents vaccinés avaient plus de risques d’attraper le Covid que les non-vaccinés[c].
  • Une étude conduite par une équipe de Harvard a suggéré que, face au variant BA-1, les vaccinés mettent plus de temps à se débarrasser du virus que les non-vaccinés[d].

Heureusement, les variants Omicron, BA-1, BA-4 et BA-5 étaient particulièrement peu graves.

Si un variant plus méchant devait apparaître cet hiver, les triples ou quadruples vaccinés pourraient se retrouver en grande difficulté.

Bref, je vous invite à lire mon article de mars 2020, au tout début de l’épidémie, en cliquant sur le lien ci-dessous :

https://www.xavier-bazin.fr/epidemie-covid-19-le-vaccin-est-il-la-solution-miracle/

Personne ne doit pouvoir dire que l’échec de la vaccination de masse anti-Covid était « imprévisible ».

Sources

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54 réponses

  1. J ai toujours fait confiance au professeurs Raoul et Perrone mais devant voyager pour mon travail j ai accepté les trois doses , la dernière en décembre 2020 et maintenant médecin et neurologue recherchent pourquoi j’ai eu des vertiges paroxystiques en février 2022 et maintenant un déséquilibre énorme qui m handicape fortement et je suis persuadée que cela vient du vaccin. Je suis encore jeune je n’ai que 72 ans … je cherche de l aide car IRM, ECG… ‘ ont pas démontré la cause.
    Je remercie Mr BAZÎN pour son article
    Cordialement a tous

  2. j’approuve vos explications, elles correspondent à mes convictions.
    il me plairait par contre de connaître vos suggestions de protection naturelle
    merci

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