Jour de deuil : 15 septembre 2021, mise à mort de la vraie médecine

Aujourd’hui, les médecins non vaccinés ne pourront plus exercer leur métier.

C’est officiel : pour eux, la médecine est finie, tant qu’ils ne se vaccinent pas.

Et tant pis pour leurs patients, qui resteront sur le carreau.

Aujourd’hui, aussi, de nombreux soignants vont être suspendus, sanctionnés.

Dans les hôpitaux et les Ehpad, les infirmières et personnels soignants non vaccinés vont être suspendus à partir d’aujourd’hui, sans salaire.

De même, les ostéopathes, kinés et infirmiers libéraux non vaccinés ne pourront plus soigner.

C’est un jour terrible pour eux.

Car ils ont des familles à nourrir (à ce sujet, BioSanté lance une petite initiative pour soutenir les soignants suspendus sans salaire, voir ci-dessous).

Car soigner est bien souvent une vocation – et changer de métier est très difficile.

Au-delà des cas personnels, dramatiques humainement, c’est aussi un jour de deuil pour la médecine.

Car il y a quelque chose de commun à tous ces soignants qui ne se vaccinent pas.

Quoi qu’on pense de leur choix, une chose est certaine :

  • Ces soignants réfléchissent par eux-mêmes ;
     
  • Ils savent qu’il y a une différence entre la vérité scientifique et la propagande de Big Pharma relayée par les autorités et les médias ;
     
  • Et bien souvent, ils sont favorables aux approches de soins « alternatifs et complémentaires » efficaces.

Et vous savez quoi ? 

Je suis convaincu que leur indépendance d’esprit est précisément la raison pour laquelle on leur interdit de soigner. 

Si l’objectif était de lutter contre l’épidémie, on les obligerait uniquement à faire des tests régulièrement.

Se tester est un moyen beaucoup plus efficace de protéger les autres que de se vacciner, puisque le vaccin n’empêche pas d’être infecté et de transmettre le virus autour de soi.

Donc cette obligation vaccinale a un autre but :

Les entendez-vous JUBILER de se débarrasser d’un coup de tous ces médecins et soignants libres et indépendants ?

Pour Olivier Véran, pour les autorités et les médecins scientistes et sectaires, ce 15 septembre est un jour GLORIEUX.

Cela fait des années qu’ils en rêvaient.

Dès leur arrivée au pouvoir, ils ont imposé 11 vaccins obligatoires aux nourrissons, dont 8 contenant de l’aluminium, une substance très dangereuse pour le cerveau.

Quelques pédiatres bien informés et incorruptibles ont alors dévissé leur plaque, pour ne pas être complices de ces injections aluminiques contestables.

Puis, ils se sont attaqués à l’homéopathie, et aux milliers de médecins qui la pratiquent officiellement.

Ils ont qualifié l’homéopathie (et l’acupuncture) de « fausse médecine », exercée par des « charlatans ».

Ils ont déremboursé les médicaments homéopathiques, pour assécher financièrement les patients, et les forcer à se tourner vers les médicaments de synthèse.

Ils ont même interdit aux nouveaux médecins de se présenter sur leur plaque comme « homéopathe »[1].

Ils savaient que c’était un signe distinctif éclatant pour les patients.

Même les sceptiques vis-à-vis de l’homéopathie en elle-même savent parfaitement que les médecins homéopathes pratiquent généralement de la vraie médecine :

  • Focalisée d’abord sur la santé et la prévention, et non pas seulement sur la maladie ;
     
  • Décidée à attaquer les problèmes à la racine, plutôt que de traiter les symptômes ;
     
  • Consciente de l’importance centrale de l’alimentation pour la santé, ainsi que du respect des besoins naturels du corps humain (activité physique, sommeil, soleil, gestion du stress et des émotions, etc.) ;
     
  • Et capable d’utiliser de nombreuses méthodes de soins alternatives fondées scientifiquement : nutrithérapie, phytothérapie, aromathérapie, etc.

Ils ne visaient pas seulement l’homéopathie ; ils s’attaquaient d’abord à la vraie médecine : intégrative, ouverte, humaine et indépendante de l’industrie pharmaceutique.

Mais toutes ces mesures n’ont pas freiné l’engouement des patients pour cette médecine intégrative et centrée sur l’humain.

Elles n’ont pas empêché les « médecines douces » de devenir de plus en plus populaires.

C’est alors que l’épidémie de coronavirus est arrivée. Puis les vaccins.

Et c’était l’occasion ou jamais de faire un « great reset » de la médecine.

En boutant hors de l’hôpitalhors des cabinets, les thérapeutes et soignants qui réfléchissent, qui ont de l’esprit critique, et qui soignent différemment.

L’obligation vaccinale des soignants est contre-productive face à l’épidémie

Répétons-le : l’obligation vaccinale n’a aucun intérêt sanitaire.

Quoi qu’on pense du bénéfice-risque de ces vaccins, une chose est certaine : ils n’empêchent pas la transmission du virus.

La preuve avec ce qui s’est passé en Israël, un pays dont la population adulte était vaccinée à 85 % avant l’été :

Ou avec l’Islande, un pays encore plus vacciné qu’Israël avant la troisième vague : 

Ces graphiques ne disent pas que les vaccins ne marchent pas du tout – ils peuvent protéger les plus vulnérables contre les formes graves.

Mais ils ne fonctionnent pas pour stopper la chaîne des contaminations.

Et il est donc inutile d’obliger les soignants à se vacciner.

C’est même contre-productif, car cela les dispense de se faire tester, alors qu’ils peuvent être infectés et transmettre le virus, comme les non-vaccinés !

Il faut donc chercher ailleurs les raisons de l’obligation vaccinale.

Il n’y a aucune bonne raison sanitaire à cette obligation (comme il n’y avait pas de raison sanitaire à l’interdiction de l’hydroxychloroquine, l’obligation du masque à l’extérieur, les confinements à répétition, l’imposition du pass sanitaire, la vaccination des adolescents, la vaccination de ceux qui ont déjà eu le virus, etc, etc.).

La vraie raison de l’obligation, c’est de faire une PURGE.

De purger, une bonne fois pour toutes, ces médecins et soignants :

  • Qui osent réfléchir par eux-mêmes, plutôt que de suivre aveuglément les avis des autorités sanitaires ;
     
  • Qui ont le toupet de prendre du temps avec leurs patients, plutôt que d’expédier leur cas avec un remède chimique ;
     
  • Qui ont l’audace de se former à des disciplines « non rentables par Big Pharma », comme la nutrition ou les huiles essentielles.

Et bien sûr, de purger d’abord et avant tout les médecins qui demandent quelques preuves scientifiques, et un peu de recul pour s’injecter un produit expérimental dans le corps.

Il fallait purger ceux qui ne se prosternent pas automatiquement devant le DIEU VACCIN[2] :

Le tort de ces soignants, c’est d’exercer leur esprit critique et de refuser de rejoindre automatiquement le nouveau culte suprême de la médecine moderne.

Attention : je ne dis pas que tous les soignants vaccinés font partie de ce « culte » – au contraire, je connais énormément d’excellents médecins et thérapeutes qui se sont fait vacciner, certains parce qu’ils pensaient avoir de bonnes raisons médicales de le faire, d’autres pour nourrir leur famille, et beaucoup pour ne pas laisser tomber leurs patients, ce qui est parfaitement honorable.

Mais il est clair que ceux qui refusent le vaccin, au prix d’une suspension de salaire ou d’une interdiction d’exercer, sont manifestement les soignants les plus critiques et sceptiques vis-à-vis des dérives de la médecine moderne.

Ceux-là, au moment où je vous écris, ont un pistolet sur la tempe – et le gouvernement s’apprête à presser la détente.

Alors en ce jour très grave pour l’avenir de la médecine, j’en appelle à la solidarité.

SOLIDARITÉ ! Ce que vous et moi pouvons faire, dès maintenant

La solidarité peut être d’abord familiale et amicale, avec ses proches : si vous avez dans votre entourage des soignants suspendus, sans salaire, merci de faire un geste pour les aider, si vous le pouvez.

La solidarité peut être aussi collective : j’attire votre attention sur la création d’un syndicat dont les fondateurs sont des personnes de confiance : https://www.syndicat-liberte-sante.com/

Vous pouvez y adhérer en tant que soignant en cliquant ici.

(D’ailleurs, si vous êtes soignant non vacciné, je vous invite à suivre le conseil de l’excellente association AIMSIB et d’écrire à votre ARS la lettre suivante).

Si vous n’êtes pas soignant, vous pouvez faire un don à la caisse de solidarité, qui viendra en aide aux soignants suspendus en vous rendant ici.

J’ai aussi vu passer sur Internet un appel invitant les employeurs à proposer des contrats « free-lance » de quelques mois aux soignants suspendus.

Et je suis heureux de vous annoncer que BioSanté Editions a décidé d’ouvrir aux soignants sans salaire plusieurs contrats, pour un travail de journaliste de terrain (interview de collègues, compte-rendu des mobilisations, suivi des communications des hôpitaux, etc.) – si vous êtes concerné et intéressé, envoyez-nous un message avec votre cv à soignants@editions-biosante.com.

Nous devons tous essayer de faire quelque chose, à notre niveau.

Car il ne faut pas se voiler la face. 

Notre droit à nous soigner librement, naturellement et efficacement n’a jamais été autant menacé.

Il faut agir avant qu’il ne soit trop tard.

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  1. Suis complètement en accord avec tout ce qui a été dit, je ne suis pas française mais belge mis ici notre gouvernement suit de près tout se qu’il se fait chez vous et applique juste derrière les même décisions. J’ai déjà essayé de transmettre os courriels à des amis du sud de la france mais sans succès, le message me revient avec des codes erreurs malheureusement . Selon mon expérience auprès des gens vaccinés, ils se sentent pratiquement totalement protégés, ils ont l’air de savoir que même vaccinés ils peuvent toujours être contagieux mais ils se nient de l’info car ils accusent les non vaccinés. n’étant pas vaccinée je pense que je vais prendre de réelle distance avec les vaccinés car en final je pense que c’est nous qui sommes le plus en danger. Je pense également qu’il faudra bien encore attendre la moitié de l’année prochaine pour retrouver quelque chose de plus serein mais à quel prix????
    Merci pour votre travail et de faire votre maximum pour nous tenir informés de ce qu’il se passe réellement avec cette vaccination que je juge totalement infondée. Voilà Bonne soirée et bonne continuation. Avec tout mon respect

  2. C’est curieux: tous ces gens qui subitement ne veulent pas se faire vacciner!!! y en a-t-il 1 seul qui n’a pas eu au moins 6 vaccins pour aller a l’ecole? c’est vrai qu’a l ‘epoque ce n’etait pas « moderne » de tout contester……………..

  3. Bonjour
    Je ne comprend pas que l’on ne puis pas se soignies naturellement et sa devrais être tendance puis qu’il ne faut plus polluer la nature et ni utiliser de désherbante insecticide et pesticide c’est trop grave

  4. OK, ne les laissons pas se faire vacciner!!!… mais les malades du COVID car il y en aura, bien sur, devront rembourser tous les frais a la Securite Sociale, ainsi que les traitements pour tous ceux qu’ils auront contamines.

  5. On continue à devenir une république bananière et perdre en démocratie. Nos dirigeants sont malhonnêtes avoir jouer Gilead contre Raoult. Avoir des soignants qui ont touchés des sommes importantes de la part de Gilead nous sommes arrivés bien bas. On continue après l’homéopathie c’est le toute de la HE de lavande .
    Que vont ils trouver pour gagner encore plus d’argent !!
    Nous vivons une période pratiquement plus grave qu’une guerre…

  6. C’est malheureux d’être arriver à ce point , et c’est très malheureux que le monde se fait conduire comme un troupeau vers une destinée que seule les grandes firmes pharmaceutique détiennent les arènes.
    Ce faire soigner par des moyens naturels c’est aussi efficace et seins que d’utiliser des moyens chimiques avec des effets secondaires.
    J’espère que les non vacciné quoi que leurs nombre démunis de plus en plus, vu l’imposition du vaccin dans plusieurs secteur, peuvent toujours tenir le coup, et rester comme preuve tangible que le vaccin n’est qu’une propagande sanitaire que les grandes firmes se cachent derrière

  7. Merci pour ce courrier et cette vidéo du Dr Ménat qui font que je me sens moins seule devant le refus de mon obligation vaccinale en tant que sage-femme. Mon activité actuellement suspendue a été relativement acceptée par mes patientes qui ont compris l’enjeu de l’importance de ma santé et plus généralement de la santé de tous avec tous les conseils que je pouvais leur partager. Leur soutien est important et la manifestation de leur reconnaissance encore plus grande à l’annonce de mon départ. Mon seul regret est de constater encore dans cette crise sanitaire qu’il y a toujours ces « deux » médecines qui ne sont pas solidaires et qui ont du mal à travailler ensemble dans l’intérêt du patient. Même en tant que professionnels de santé nous sommes toujours le patient d’un médecin. Où va notre médecine? Que devient la charte du patient? que devient le serment que nous avons fait avec cette pression de l’Etat? On se plaint du manque de professionnels de santé mais l’Etat ne fait rien pour encourager les études de médecine. Quand se posera-t-on les bonnes questions pour une médecine raisonnée et raisonnable?
    Dans l’attente d’une réaction positive de la Haute et la reprise de mon activité, je souhaite bon courage à tous ceux qui se retrouvent sans activité.
    Florence

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