La vaccination Covid a-t-elle échoué AUSSI à empêcher les hospitalisations et les décès ?

Cher(e) ami(e) de la Santé,

« Les chiffres sont des êtres fragiles qui, à force d’être torturés, finissent par avouer tout ce qu’on veut leur faire dire », disait le démographe Alfred Sauvy.

Eh bien, sur les chiffres d’efficacité des vaccins Covid, les instruments de torture ont tourné à plein régime !

Dans mes dernières lettres, j’ai montré pourquoi il était clair dès le début que les vaccins anti-Covid ne seraient pas en mesure d’empêcher les vaccinés d’être infectés ni de contaminer les autres.

Au contraire, ces vaccins risquaient de favoriser l’apparition de variants et donc faire perdurer l’épidémie.

Ce risque était tellement connu qu’il a été écrit noir sur blanc par le président du Conseil scientifique lui-même, le Pr Delfraissy, dans une tribune rédigée pour The Lancet, en février 2021[1] :

« Si un échappement immunitaire se produit, les vaccins offriront probablement encore un bénéfice individuel. Mais au niveau de la population, ils pourraient induire une sélection virale et un échappement immunitaire, ce qui rendrait encore plus éloignée la perspective d’une immunité collective ».

Et c’est exactement ce qui s’est produit, en particulier avec les variants Delta et Omicron ! L’échec de ces vaccins pour arrêter l’épidémie est donc flagrant.

Alors, le discours public a changé. On s’est contenté de vous dire que ces vaccins ont permis d’éviter des millions de formes graves.

C’est la position de « repli » des défenseurs des vaccins Covid : échec sur l’épidémie, mais succès sur les formes graves.

(Si c’était vrai, ce serait déjà une bonne nouvelle pour les personnes les plus vulnérables. Mais cette position de repli est aussi l’aveu qu’il était inutile de pousser les jeunes à la vaccination ! Si ces vaccins sont une protection personnelle, et non pas collective, chacun aurait dû pouvoir décider librement de se « protéger » ou non[2].)

Mais même la capacité de ces vaccins à protéger des formes graves est discutable.

Pas de preuve scientifique formelle que les vaccins évitent les formes graves

Je sais que cela peut paraître surprenant, étant donné les chiffres qu’on nous a martelés sur le nombre de personnes non vaccinées à l’hôpital et en réanimation.

Mais on va voir que ces données sont très fragiles d’un point de vue scientifique. Et que la « torture des chiffres » dont parlait Alfred Sauvy a beaucoup joué dans cette affaire.

En médecine, quand il y a une controverse sur l’efficacité d’un produit, le seul juge de paix capable de mettre tout le monde d’accord, ce sont des essais cliniques bien conduits.

Or sur les formes sévères de Covid, les essais cliniques étaient muets. La fameuse efficacité à 90-95 %, annoncée en grande pompe à l’automne 2021, ne concernait que les « infections symptomatiques » (c’est-à-dire un simple état grippal).

Ce qui veut dire que sur les formes graves, on ne savait absolument pas à quoi s’attendre avec ces vaccins ! « Le taux de protection contre les formes sévères ne peut être estimé à partir des données disponibles »[3], reconnaissait le journal Libération en décembre 2020, à la veille de la vaccination de masse.

Il y avait même de bonnes raisons d’être sceptique. Car dans les essais cliniques Pfizer et Moderna, il y avait autant de morts, toutes causes confondues, dans le groupe vacciné et dans le groupe placebo. Cela aurait dû être une bonne raison de ne pas attendre de miracle de ces vaccins.

Mais là encore, « l’espoir » a remplacé la science. On « espérait » que ces vaccins protègent des formes graves.

Vaccinés et non-vaccinés : sont-ils comparables ?

Et dans les premiers mois de vaccination, cet espoir a semblé se concrétiser.

À première vue, les chiffres semblaient implacables : la plupart des patients à l’hôpital et en réanimation étaient non vaccinés ! Et ceux qui mourraient du Covid étaient de façon disproportionnée des non-vaccinés !

De quoi fermer le clapet à tous les « antivax », n’est-ce pas ? Eh bien, pas tout à fait.

Car tous ces chiffres souffrent de sérieux biais. C’est un poil technique, mais cela vaut vraiment la peine de comprendre pourquoi.

Ce n’est pas un hasard si les fameux « essais cliniques randomisés contre placebo » sont considérés comme le niveau de preuve scientifique le plus fiable en médecine.

C’est parce que c’est le seul moyen d’être certain que l’on compare des choses comparables – plutôt que des fraises et des carottes, par exemple. Quand vous prenez un groupe de patients, et que vous le divisez en deux par tirage au sort, vous avez toutes les chances d’avoir deux groupes qui se ressemblent parfaitement. Résultat : si le groupe qui a reçu le vaccin s’en sort mieux que le groupe qui a reçu le placebo, c’est certainement grâce au vaccin. Il n’y a pas d’autre explication possible.

Mais dans la « vraie vie », c’est très différent. Il y a au contraire de gros risques que ceux qui se vaccinent soient très différents de ceux qui ne se vaccinent pas.

Ainsi, peut-être ceux qui se décident de se vacciner sont-ils majoritairement de grands angoissés, qui restent cloîtrés chez eux pour éviter tout risque de contamination. Tandis que ceux qui refusent le vaccin sont peut-être majoritairement de grands insouciants, qui ne changent rien à leur façon de vivre. Si c’est le cas, il y aura certainement plus d’infections chez les non-vaccinés, simplement parce qu’ils rencontrent plus de monde, et pas parce qu’ils sont non vaccinés !

À l’inverse, on peut aussi imaginer que les non-vaccinés ont moins tendance à aller se faire tester au moindre symptôme, tandis que les vaccinés se ruent à la pharmacie au moindre soupçon de Covid. Si c’est le cas, les vaccinés seront plus souvent testés « positifs » que les non-vaccinés, mais cela ne veut pas dire qu’ils sont plus souvent contaminés !

Bref, les vaccinés et non-vaccinés ne sont pas forcément comparables !

Et comme on va le voir, la forte proportion de « non-vaccinés » en réanimation peut s’expliquer par des raisons qui n’ont rien à voir avec l’efficacité du vaccin !

Mais cette subtilité a totalement échappé aux médias et médecins de plateau. Les chiffres de non-vaccinés à l’hôpital et en réanimation ont été assenés comme des mantras définitifs d’efficacité vaccinale, pour pousser la population à la vaccination.

Il n’y a qu’au début de l’année 2022 qu’on a commencé à entendre parler de ce problème de « biais statistique » : au moment où les chiffres sont devenus défavorables à la vaccination ! Il est amusant de lire cet article de Libération de janvier 2022, qui cherche à justifier le fait que les vaccinés écossais ont plus de risque de se retrouver à l’hôpital que les non-vaccinés :

« Sollicité par CheckNews, Public Health Scotland (PHS) alerte contre les interprétations fallacieuses qui pourraient être faites de ces chiffres. Le statut vaccinal des cas, des patients hospitalisés et des décès ne doit pas être utilisé pour évaluer l’efficacité du vaccin en raison de différences de risque, de comportement et de tests dans les populations vaccinées et non vaccinées ».[4]

Bref, c’est exactement ce que j’ai écrit plus haut : il faut faire attention quand on compare le taux d’hospitalisation des vaccinés et non-vaccinés, parce qu’ils peuvent avoir des risques et des comportements différents !

Et quand on y regarde de plus près, ces différences sont puissantes et révélatrices.

Les non-vaccinés étaient-ils plus vulnérables au départ ?

Et si les non-vaccinés se retrouvaient davantage à l’hôpital en cas de Covid… parce qu’ils étaient en moins bonne santé à la base ?

Pensez à ceux qui se préoccupent le moins de leur santé. À ceux qui se droguent ou multiplient les comportements risqués pour leur santé. À ceux qui fument comme des cheminées, boivent beaucoup trop, ou mangent n’importe comment. Pensez aussi aux personnes en errance sociale, loin de la médecine, qui ne savent même pas qu’ils ont de l’hypertension ou du diabète.

Croyez-vous que ces personnes-là ont été les premiers à aller se faire vacciner contre le Covid ? Pensez-vous qu’ils se sont dépêchés d’aller chez leur médecin ou dans un vaccinodrome ? C’est peu probable, évidemment. Donc les plus vulnérables sont aussi ceux qui ont le plus de chances d’être… non vaccinés. Or, vu leur état de santé fragile, ce sont eux qui risquent le plus de se retrouver à l’hôpital et en réanimation, en cas de Covid !

Si vous avez encore un doute, lisez cette conclusion intéressante d’une étude britannique, passée largement inaperçue : « les patients avec des maladies mentales sévères et des difficultés d’apprentissage avaient le plus grand risque d’être hospitalisés et de mourir du Covid »[5].

Ainsi, ceux qui ont des troubles mentaux et cognitifs ont beaucoup plus de risques que les autres de faire une « forme grave » de Covid – et cela a été observé avant l’arrivée du vaccin[6]. Or croyez-vous que cette population-là s’est précipitée pour se faire vacciner au début de l’année 2021 ? Non, bien sûr, car cela demande d’avoir « toute sa tête » pour être au courant des recommandations officielles et s’organiser pour prendre rendez-vous (et quand on connaît la réticence de beaucoup de psychotiques/paranoïaques à avaler leurs médicaments, on peut imaginer leur réticence à accepter une injection).

Donc, les plus vulnérables ont été moins nombreux à se faire vacciner contre le Covid ! Et ce seul fait peut suffire à expliquer pourquoi les non-vaccinés étaient plus nombreux à l’hôpital et en réanimation !

La preuve par le vaccin contre la grippe

Ainsi, une bonne partie de l’efficacité apparente des vaccins anti-Covid est simplement liée à un biais statistique : les non-vaccinés meurent plus souvent du Covid, non pas parce qu’ils ne sont pas vaccinés, mais parce qu’ils étaient déjà très fragiles !

Ce n’est pas une simple supposition. Cela a été prouvé avec le vaccin contre la grippe, recommandé aux plus de 65 ans. Comme pour le Covid, de nombreuses études ont observé que les non-vaccinés meurent davantage que les vaccinés, et en ont conclu (imprudemment !) à l’efficacité du vaccin contre la grippe.

Mais c’est largement une illusion statistique, comme l’a parfaitement montré une belle étude de 2006, publiée dans le très respecté International Journal of Epidemiology[7].

Les auteurs ont eu l’intelligence de regarder la mortalité des vaccinés et non-vaccinés avant la saison grippale, donc au moment où il n’y avait encore aucun cas de grippe. Résultat : le taux de mortalité des non-vaccinés était déjà supérieur à celui des vaccinés. Les non-vaccinés mourraient davantage que les vaccinés, alors qu’il n’y avait pas de grippe ! Cela ne peut donc pas être lié au vaccin contre la grippe.

En réalité, comme le concluent les auteurs de l’étude, « cela indique que les seniors âgés de plus de 65 ans qui choisissent le vaccin sont en meilleure santé » au départ. Et ces auteurs ont même montré que ce biais statistique explique entièrement l’efficacité apparente du vaccin ! Quand on enlève ce biais, on ne trouve plus aucune efficacité du vaccin grippe sur la mortalité !

Avons-nous des raisons de penser que le même biais a eu lieu pour le Covid ? Tout à fait !

La preuve avec une étude officielle américaine, publiée par l’organisme spécialisé dans les maladies infectieuses (les CDC)[8]. Elle montre que les non-vaccinés ont beaucoup plus de risques de mourir que les vaccinés… y compris pour des motifs qui n’ont rien à voir avec le Covid[9] !

C’est particulièrement évident pour les jeunes adultes de moins de 44 ans, qui meurent majoritairement d’accident de voiture, de suicide et d’homicide aux États-Unis. Or selon l’étude des CDC, les non-vaccinés de ce groupe d’âge ont 64 % de risque en plus de mourir, par rapport aux vaccinés[10] ! Est-ce à dire que le vaccin serait un produit magique qui protège également contre les accidents de voiture, les suicides et les meurtres ? Non bien sûr.

En réalité, ces chiffres sont une preuve flagrante que, parmi les non-vaccinés, il y a davantage de personnes en mauvaise santé, en rupture sociale et psychologique, qui ont dès le départ un risque plus élevé de se retrouver à l’hôpital et de mourir[11].

Donc, c’est un biais énorme, qui devrait suffire à être prudent sur l’efficacité vaccinale. Mais ce n’est pas le seul. Il y a un autre biais, qui relève presque du « tour de magie ».

Restez connecté, je vous en parle la semaine prochaine.

Bonne santé,

Sources

[1] https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext

[2] Le Pr Delfraissy lui-même rappelait, dans la même tribune que « 96 % des morts additionnelles liées au Covid-19 en Europe ont porté sur des patients âgés de plus de 70 ans ». Autant dire qu’il était inutile de pousser les moins de 50 ans en bonne santé à se faire vacciner !

[3] https://www.liberation.fr/checknews/2020/12/15/vaccin-pfizer-est-il-vrai-que-le-taux-de-formes-severes-de-covid-est-plus-important-chez-les-vaccine_1808371/

[4] https://www.liberation.fr/checknews/covid-19-pourquoi-y-a-t-il-plus-dinfectes-et-d-hospitalises-chez-les-vaccines-que-chez-les-non-vaccines-en-ecosse-20220124_S5L6MDAAP5EDRJ4WMNNQM3J6FI/

[5] https://www.nature.com/articles/s41467-022-29880-7

[6] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33059790/

[7] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16368725/

[8] https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7043e2.htm

[9] https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7043e2.htm

[10] https://roundingtheearth.substack.com/p/proof-of-statistical-sieves-in-vaccine

[11] Le même genre de biais a d’ailleurs été détecté dans les chiffres officiels français : la dose 1 semble déjà protéger les patients à 76% dès la première semaine, alors que ces vaccins ne sont pas censés protéger immédiatement : https://twitter.com/ChrisCottonStat/status/1521193393367523331

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  1. j’ai appris il y a 8 jours le décès d’un de mes neveux à 61 ans , très sportif, les gendarmes ont retrouvé son corps sur un chemin de randonnée dans le sud de la France. Mort d’une crise cardiaque et vacciné.

  2. Que de monstrueuses conneries , au même titre que celles que nous avons entendu venant des pro où des anti du vaccins . C’est pathétique .
    Que faire pour être lu et reconnu ?

  3. il n’y a pas de non vaccinés ou vaccinés. Pourquoi dit cela parce que une évolution humaine, humainement parlant, n’existe pas ( voir Jiddu krishnamurti ) l’humain n’a pas évolué humainement depuis le singe, il et toujours violent, en guerre, et esclaves qui laisse voir la misère, les famines ect. donc des chiffres, c’est comme dit la chanson de Jacques Brel,  » s’ai ces gens la ont ne pense pas ! ont comptes… »

    En notes, certains résultats du Dr Geert Vanden Bossch :

    Les conséquences immuno-épidémiologiques de l’expérience de vaccination de masse – résumé Geert Vanden Bossche Juil 7 Commentaire Partager Chers tous, Au cours des deux dernières semaines, j’ai travaillé sur un document résumant mes conclusions sur les conséquences immuno-épidémiologiques de l’expérience de vaccination de masse. Le résultat est encore plus effrayant que je ne l’avais prédit. J’ai donc joint un résumé de mon manuscrit par le biais de « l’alerte au tsunami ». En un mot, voici ce dont je suis sûr à 100%: La pandémie actuelle de SC-2 continue de s’étendre car il s’agit d’une pandémie de variantes « plus infectieuses » et renforce ainsi la susceptibilité des vaccinés à l’infection (anticorps améliorant l’infection) tout en diminuant la susceptibilité des non-vaccinés (entraînement médié par l’infection de l’immunité innée à médiation cellulaire). Dans l’ère pré-Omicron, nous avons vu plus de variantes infectieuses devenir dominantes; cependant, grâce aux anticorps neutralisants, les vaccinés étaient toujours protégés contre les maladies. Cependant, avec l’avènement d’Omicron et sa résistance croissante aux anticorps neutralisants, les vaccinés sont devenus plus sensibles à l’infection; ce que nous voyons maintenant, c’est que des variantes plus virulentes deviennent dominantes (sous-variantes d’Omicron BA.4 et BA.5).

    cependant, grâce aux anticorps neutralisant la virulence (qui sont les mêmes que ceux qui améliorent l’infection des voies respiratoires supérieures!), les vaccinés étaient toujours protégés contre les maladies graves (par exemple, dans le cas de BA.1 et BA.2). Je n’ai aucun doute, cependant, qu’avec la résistance croissante de BA.4 et BA.5 aux Abdominaux neutralisant la virulence, les vaccinés deviendront rapidement plus sensibles à la virulence. En raison de l’activation répétitive du système immunitaire chez les vaccinés C-19, plusieurs maladies infectieuses peuvent maintenant être propagées de manière asymptomatique par les vaccinés. En raison de la transmission asymptomatique généralisée dans les pays fortement vaccinés et de l’augmentation subséquente de la pression infectieuse, l’immunité médiée par l’infection dans certains sous-ensembles de la population ne suffit plus à prévenir une infection productive. Cela déclenche maintenant essentiellement la propagation mondiale d’un certain nombre d’infections microbiennes aiguës et auto-limitantes.

    p. ex., variole du singe, grippe pandémique [aviaire H5N1]). De plus, l’épuisement des lymphocytes T CD8 cytotoxiques en raison de cycles répétitifs de réinfection a également entraîné une augmentation du taux de récidive/réactivation des infections chroniques (p. ex. herpétiques + CMV, EBV, CMV, VIH, tuberculose..) et de rechute ou de métastase de certains cancers chez les vaccinés. Dans le résumé ci-joint, je partage mes prédictions éclairées sur l’impact sur la santé que ces pandémies entraîneront dans différents sous-groupes d’une population hautement vaccinée. Alors que ces nouvelles pandémies se développent, la super pandémie de C-19 dont j’ai mis en garde arrive bientôt. Dans les pays fortement vaccinés, il va certainement remanier les pandémies mentionnées ci-dessus. En effet, le remplacement massif de l’immunité « naturelle acquise par infection » par SC-2 par une immunité « imparfaite » induite par le vaccin est maintenant à l’origine de l’évolution de la pandémie de C-19 dans les pays fortement vaccinés. Ce ne sera pas le cas chez les personnes mal vaccinées
    Enfin, j’aimerais répéter mon conseil : · Si vous êtes vacciné contre le C-19 : Assurez-vous d’avoir accès à des antiviraux et à des antibiotiques et d’avoir établi un contact avec un médecin en qui vous pouvez avoir confiance. Si vous n’êtes pas vacciné contre le C-19 : Vous ne devriez en aucun cas vous faire vacciner contre la grippe saisonnière, car la vaccination avec des vaccins inactivés contre la grippe augmentera considérablement le risque d’attraper l’ADEI si vous êtes exposé à la grippe aviaire. En aucun cas, vous ne devriez recevoir un vaccin antivariolique non répliquant. [i] Étant donné que les protéines de surface de la variole (utilisant la variole de la vache comme immunogène vivant atténué) sont différentes de celles qui décorent la variole du singe, et que le vaccin non réplicant induit principalement des anticorps (Abs),

    vous pourriez vous exposer à un risque réel d’ADEI. Cependant, les personnes non vaccinées au C-19 n’ont pas du tout besoin d’un vaccin contre la variole (et elles n’ont pas non plus besoin d’un vaccin contre la grippe aviaire – au cas où l’industrie proposerait un vaccin contre la grippe pandémique!) peu importe s’ils ont reçu le vaccin contre la variole dans le passé. Formation

    L’entraînement de notre système immunitaire inné contre le coronavirus (c.-à-d. SC-2) pendant la pandémie de C-19 fournira non seulement une forte protection immunitaire innée contre le virus de la grippe et les poxvirus, mais aussi contre d’autres virus glycosylés causant une infection aiguë et auto-limitante (p. ex., VRS, autres CoV du rhume). Je peux expliquer cela, mais cela prendrait un peu plus de temps. Lors d’une exposition à la variole ou à la grippe aviaire, une personne non vaccinée au C-19 qui est en bonne santé et qui a présenté des symptômes légers ou modérés du C-19 à la suite d’une infection naturelle antérieure (« grâce » à la pandémie de C-19) peut encore contracter une maladie bénigne, mais c’est tout! Cela ne fera qu’induire des anticorps supplémentaires pour vous protéger complètement la prochaine fois, à peu près comme le fait un vaccin viral vivant atténué. Il y a même une forte probabilité qu’il n’y ait pas de « prise de vaccin » lorsque vous serez vacciné contre la variole vivante atténuée, car vos cellules NK entraînées peuvent expulser le virus vaccinal immédiatement. Cependant, l’entraînement immunitaire inné contre le CoV (p. ex., SC-2) ne protégera pas contre la rougeole, les oreillons, la rubéole ou la varicelle (M, M, R, V). Donc, je continue simplement à vous recommander de vacciner votre enfant contre ces maladies infantiles avant que des épidémies locales ne se produisent. Ce n’est jamais une bonne idée, et cela pourrait être dangereux pour l’enfant, de se faire vacciner contre le RROV dans une situation de pression infectieuse élevée. En outre, il n’est pas recommandé de vacciner les enfants plus âgés / adultes / personnes âgées avec ces vaccins vivants atténués s’ils n’ont pas été vaccinés contre ces maladies auparavant. Ainsi, ceux qui n’ont pas reçu ces vaccins infantiles et n’ont pas acquis une immunité naturelle à la suite d’une infection naturelle antérieure risquent de contracter la maladie en cas d’épidémie.

    Les personnes âgées non vaccinées et les personnes vulnérables (p. ex., avec des comorbidités) ont un risque de contracter une maladie modérée à grave due à la grippe ou au VRS. La probabilité de développer une maladie grave augmente lorsque le système immunitaire inné est affaibli, en particulier en cas d’exposition à une pression infectieuse élevée (cette dernière pourrait, par exemple, s’accumuler rapidement dans les zones à forte densité de population telles que les maisons de retraite. Je recommanderais donc de retirer vos parents / grands-parents des maisons de soins infirmiers dès que possible. Le vaccin vivant atténué contre la variole ne fonctionnera pas chez les vaccinés C-19 parce que les cellules hôtes infectées par le virus vaccinal seront facilement reconnues et tuées par les lymphocytes T CD8 cytotoxiques qui sont continuellement activés en raison de l’amélioration de la
    des vaccinés à la réinfection. La vaccination des enfants au titre du traité C-19 doit cesser immédiatement. Non seulement les vaccins C-19 empêcheront complètement les anticorps innés de neutraliser le virus, mais ils empêcheront également de manière irréversible les anticorps innés (en association avec le virus) d’éduquer le système immunitaire inné à base de cellules (par exemple, les cellules NK). Au lieu de cela, les anticorps vaccinaux amélioreront l’infectiosité virale et permettront au virus de souffler directement à travers la défense immunitaire innée, provoquant ainsi une maladie C-19 grave. Cela empêchera également l’enfant d’éduquer son système immunitaire inné (une pierre angulaire de l’immunité naturelle!) à reconnaître plusieurs autres agents pathogènes (glycosylés) tout en discriminant ceux des auto-antigènes. Cela pourrait conduire à une maladie grave causée par plusieurs autres agents pathogènes (glycosylés) contre lesquels l’enfant n’a pas été vacciné ainsi qu’à une pathologie immunitaire sévère! Il ne sera également plus possible de vacciner les enfants avec d’autres vaccins vivants atténués pour enfants.

    les enfants avec d’autres vaccins vivants atténués pour enfants une fois qu’ils ont reçu le vaccin Covid-19 pour ces vaccins pourraient maintenant causer une maladie grave. Ainsi, le vaccin C-19 pourrait être une condamnation à mort pour un jeune enfant! Vous trouverez plus de détails sur ces recommandations mises en évidence dans le manuscrit complet sur lequel je travaille toujours. En ce qui concerne l’évolution de la pandémie de C-19, voici ce que vous devez suivre si vous voulez savoir quand la super pandémie de C-19 est sur le point de commencer: Lorsque le rapport entre les personnes vaccinées et non vaccinées du groupe d’âge 10-60 ans, hospitalisées à cause du Covid-19, commencera à augmenter rapidement, nous saurons que la pandémie de super C-19 a commencé. C’est le critère le plus sensible !
    commence à augmenter rapidement, nous saurons que la super pandémie de C-19 a commencé. C’est le critère le plus sensible ! Je suis de tout cœur avec les personnes vaccinées. La seule façon de contourner l’amorçage malveillant du C-19 est d’éduquer correctement les cellules effectrices immunitaires innées du vaccin en l’absence de réplication du virus. Il sera essentiel de les traiter dès l’apparition précoce des symptômes. Le traitement par des antiviraux peu de temps après l’infection pourrait éventuellement entraîner leur système immunitaire inné sans stimuler leurs anticorps améliorant l’infection.

    https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2022.05.26.493539v1.full.pdf

    [2] https://www.voiceforscienceandsolidarity.org/scientific-blog/q-a-17-what-advice-could-one-offer-to-vaccinees-in-the-event-that-an-immune-escape-sars-cov-2-variant-adapts-to-the-highly-vaccinated-population-such-as-to-enable-high-infectiousness-combined-with-high-virulence

    [i] For more info on approved replicating and non-replicating smallpox vaccines: https://www.bavarian-nordic.com/pipeline/mva-bn.aspx;https://www.cdc.gov/smallpox/clinicians/vaccines.html

    The original article can be found on TSN TrialSite News https://www.trialsitenews.com/a/immuno-epidemiologic-ramifications-of-the-c-19-mass-vaccination-experiment-individual-and-global-health-consequences.-1935ddcf

  4. … et les non vaccinés ont fait souvent le choix des médecines alternatives depuis de nombreuses années, avec l’hygiène de vie qui va avec… D’où confiance dans leur immunité =). Merci pour votre article

  5. Tout à fait d’accord. L’autre grand biais statistique est le comportement des soignants vis à vis des patients qui arrivent à l’hôpital : personnel épuisé, à cran, qui trouve un exutoire à son mal être en culpabilisant les malades non vaccinés : c’est souvent très violent : l’effet pygmalion joue à fond : les malades sont emportés par une vague de stress qui favorise l’emballement du système immunitaire : on sait que le taux de cortisol est un marqueur des formes graves

  6. Les gens injectés n’étaient-ils pas considérer comme « non vaccinés » pendant un certain laps de temps après leur injection (14 jours après la première injection)?
    Ainsi donc, en cas d’hospitalisation pendant ce laps de temps, n’étaient-ils pas comptabilisés comme « non vaccinés » alors même qu’ils avaient reçu le produit délétère?

  7. Ci-dessous ma dernière feuille d’information (en complément de votre article mais qui comprend quand même beaucoup de suppositions) :

    Feuille d’informations pour ceux qui veulent vivre – BR 280622

    La société commence à changer : les provaxx commencent à se rendre compte d’une réalité qui leur avait jusqu’ici échappée et que je résume ci-dessous en 8 points :

    1- les vaccins sont toujours expérimentaux jusqu’en 2023 voire 2024 et obliger les gens à se vacciner dans une expérience est un crime contre l’humanité (plusieurs lois en ce sens).

    2- les vaccins ne protègent de rien et certainement pas des formes graves. Cela a été inventé pour ceux qui avaient compris qu’ils ne protégeaient ni de la contamination ni de la transmission, pour leur trouver quand même une utilité. En effet avec les variants omicron et suivants qui ne donnent presque plus jamais de forme grave, l’argument est impossible à vérifier.

    3 – les vaccins forcent vos cellules à créer génétiquement des protéines de pointe toxiques du virus (spike) qui vont ensuite se greffer sur vos cellules et qui vont être ensuite éliminées par vos anticorps, créés pour l’occasion (discours officiel). Au début on (ceux qui ne comprennent pas) croyait que quand c’était dans le muscle de l’épaule ce n’était pas grave, le muscle détruit se reconstruit assez vite. Mais depuis il a été démontré que les nano capsules d’ARN sortaient du muscle par de multiples canaux (lymphe, sang) car le muscle en se contractant et se dilatant va « expulser » les nano capsules dans les réseaux liquides du corps (c’est pour cette raison que de nombreux sportifs de haut niveau tombent raides morts pendant la sollicitation maximum de leurs muscles). Ces nano capsules vont investiguer d’autres organes dont certains vitaux… et les détruire par le même mécanisme.
    D’où la grande diversité d’effets secondaires car TOUS les endroits du corps peuvent être touchés. Il est donc possible d’affirmer, preuves à l’appui, que les provaxx sont au centre de la plus gigantesque et monstrueuse expérience d’OGM jamais réalisée sur des êtres humains…

    4- Les effets indésirables graves ou non apparaissent dans les 3 premières semaines (souvent liés aux adjuvants des vaccins) puis 1, 2, 3, 4 ans après quand la destruction méthodique des cellules « spikées » crée des lésions irréversibles. À noter que jusqu’à 15 jours après sa dernière dose, le provaxx est toujours considéré volontairement comme non vacciné dans les statistiques (ce qui permet au gouvernement d’affirmer que les problèmes graves sont liés aux non-vaccinés…).

    5- Il a été démontré par plusieurs laboratoires que des nano capsules d’oxyde de graphène se trouveraient dans les injections. Cela aurait un effet magnétique sur les globules rouges qui s’agglomèrent en « paquets » dans le sang des provaxx. De plus l’analyse sanguine des provaxx serait totalement déstructurée (Analyse sanguine : D-Dimères, CRP, CPK, Troponine, Ferritine…).

    6- Il a été démontré que les injections ARN créaient une immunité « acquise » au détriment de l’immunité « naturelle ». Cela signifie que les provaxx ont une forte immunité pour le covid de mars 2020 (celui de Wuhan qui n’existe plus) mais plus aucune pour les variants, et pire, plus aucune non plus pour les autres maladies qu’ils pourraient rencontrer. C’est le double effet covid cool : attaque en règle des cellules « spikées » à n’importe quel endroit du corps et impossibilité de se défendre devant n’importe quel microbe qui passe, variants covid compris.
    Aujourd’hui le covid ne tue plus mais le vaccin décime (dans le discours officiel c’est dû au covid).

    7- Les labos ont fait signer des clauses de non-responsabilité pour les effets secondaires de leurs vaccins. Les gouvernements sont donc seuls responsables en cas de problèmes graves ou non. Pour cette raison des consignes nationales ont été données à tout le corps médical, aux médias et aux politiques pour relativiser le plus possible les effets secondaires, pour ne pas les lier au vaccin mais au covid et dans la majorité des cas, pour ne pas les remonter aux instances compétentes. Les bases de données gouvernementales VAERS et EUDRA Vigilance et d’autres encore ont pourtant des remontées très importantes d’effets secondaires graves, chiffres qu’il faudrait multiplier par 10 ou 20 pour seulement approcher de la vérité. Plus d’1 milliards d’effets secondaires graves dans le monde et des centaines de milliers de décès.
    L’analyse bénéfices/risque a depuis longtemps crevé les plafonds en faveur du risque, mais connaissez-vous un seul politique assez honnête pour se remettre en question et rester visible dans les médias ? Les vaccins sont rentables à 20 pour 1 pour les labos, et pour qui d’autre ?

    8- 44 milliards de doses commandées (à 20€) par l’Europe (Ursula van der Leyen) pour la rentrée, soit 7 doses pour chaque européen. Les obligations vaccinales (pass y compris) vont-elles reprendre pour écouler le stock ? La santé est-elle devenue un jackpot à la mainmise de quelques-uns ? Chaque injection correspond à une balle de plus dans la roulette russe du Covid.

  8. Mais aussi il y a un élément qui n’est pas pris en compte dans toutes ces stats ;
    c’est
    le nombre de Non Vaccinés ..par choix personnel ..(tant pour la grippe que pour le covid)) qui
    a) Etaient (/sont toujours) en Excellente santé (tant pour la grippe que pour le covid) avant les vagues épidémiques
    b) ont choisi de Developper leurs défenses immunitaires
    c) ont conservé depuis + de 2 ans (& de même avant pour la grippe) Une EXCELLENTE SANTE…
    et ceci tout en ETANT … AGES….!!
    toute catégorisation par critère d’âge seul.. n’a aucune valeur..
    SVP Parlez-en… aussi..
    Ras le bol des stigmatisations ségrégations induites par le gouvernement
    ****NB :
    la publication par votre icône sur facebook ne fonctionne pas.. j’ai fait 1 « copier /coller..

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