Le courage de la vérité, la vertu du doute

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Il y a maintenant quatre ans que la folie Covid a commencé.

Cette période très spéciale me fait penser à deux citations du grand Soljenitsyne.

La première concerne nos gouvernements et médias :

« Nous savons qu’ils mentent. Ils savent qu’ils mentent. Ils savent que nous savons qu’ils mentent. Nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent. Et, pourtant, ils persistent à mentir. »

Je pourrais multiplier les exemples – et je suis sûr que vous en avez en tête, vous aussi.

Je me contenterai de cette phrase récente de l’ex-ministre de la Santé, Aurélien Rousseau :

« On a un vaccin (Covid) qui est plus efficace que celui de l’an dernier et on a maintenant trois ans de recul, on sait qu’on n’a pas d’effets secondaires, et donc il faut y aller » – 3 octobre 2023, sur France Inter.

C’est tellement énorme que même les pseudo « fact-checkers » de Libération ont été obligés de reconnaître que cette déclaration était « évidemment » fausse[1].

De toutes façons, les Français ne sont pas dupes.

Parmi les plus de 65 ans, une personne sur quatre seulement a tendu le bras cet automne pour recevoir une nouvelle dose de vaccin Covid[2].

Cela veut dire que les trois quarts des personnes âgées n’ont pas suivi la recommandation du gouvernement – malgré toute la communication déployée dans les médias complaisants.

Les Français ont parfaitement compris que ces vaccins n’empêchaient pas la maladie et pouvaient causer d’épouvantables effets indésirables.

Les soignants aussi l’ont compris.

Ils sont à peine 10 % à s’être vaccinés contre le Covid à l’automne !

Donc, 9 soignants sur 10 sont des « antivax », « anti-science », à en croire nos autorités.

En réalité, presque tout le monde a compris que, sur ce sujet-là, le gouvernement a menti et continue de mentir (étonnamment, le gouvernement voit que nous ne sommes plus dupes mais persiste à mentir).

Ce qui m’amène à la deuxième citation de Soljenitsyne :

« Je n’ai pas la force, tout petit individu que je suis, de m’opposer à l’énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux au moins faire en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge ».

C’est un point capital.

On doit éviter de participer au mensonge, d’une manière ou d’une autre.

Or il existe une façon très insidieuse de « participer au mensonge ».

C’est de tourner la page.

De lâcher l’affaire.

De faire comme si rien ne s’était passé.

D’oublier.

Non !

Il ne faut surtout pas oublier ce qui s’est passé, c’est trop grave !

Gardons toujours garder en tête ces huit éléments factuels sur cette période Covid :

  1. Le coronavirus de Wuhan n’est pas un virus naturel issu de la romance entre une chauve-souris et un pangolin. C’est un virus qui a été trafiqué en laboratoire pour le rendre plus infectieux, dans le cadre des recherches scientifiques de « gain de fonction » ;
  2. Ce virus n’a jamais été une menace existentielle: on a su dès le début qu’il touchait essentiellement les personnes très âgées et vulnérables – comme les « mauvaises grippes », ni plus, ni moins ;
  3. Les confinements n’ont eu globalement aucun effet sur la gravité de l’épidémie, mais ont eu des conséquences catastrophiques à tout point de vue : médical (retards de soin), économique (dette, faillites), sociétal (isolement, dépression, etc.) et scolaire (retard d’apprentissage des enfants), etc.
  4. L’hôpital n’a jamais été menacé « d’implosion» : certains hôpitaux ont été effectivement débordés, comme chaque hiver, mais beaucoup sont restés désespérément vides pendant le confinement – et sur l’ensemble de l’année 2020, les hospitalisations Covid n’ont représenté que 2 % du total des hospitalisations ;
  5. Il existait dès le début des protocoles de prévention et de traitement précoce efficaces – comme le protocole Raoult, la vitamine D ou l’ivermectine – qui nous auraient permis de passer cette « mauvaise grippe » sans le moindre drame ;
  6. Les obligations généralisées de port du masque n’ont pas eu le moindre impact sur la gravité de l’épidémie ni la circulation du virus (elles ont en revanche contribué à maintenir la population sous psychose) ;
  7. Les vaccins anti-Covid, tels qu’ils étaient formulés, ne pouvaient pas empêcher la transmission du virus (biologiquement, un vaccin injecté dans le muscle ne peut pas éviter la multiplication du virus dans la cavité nasale ni sa transmission à autrui). Les passes sanitaires et vaccinaux étaient donc bâtis sur un énorme mensonge ;
  8. La vaccination de masse a été une expérimentation médicale géante, avec des milliards d’êtres humains qui ont servi de cobayes sans s’en rendre compte – et le bilan de cette expérimentation, avec le recul, est catastrophique (le Covid circule toujours, les effets indésirables graves sont fréquents et les pays les plus vaccinés connaissent une surmortalité inédite depuis 2021).

Je ne vais pas vous faire de longues démonstrations sur tous ces points – je l’ai fait suffisamment dans mes lettres et mes livres, ces dernières années.

Et peut-être avez-vous encore des divergences avec moi sur l’un ou l’autre de ces éléments.

Ce n’est pas grave : l’important, c’est que nous soyons d’accord pour dire qu’il y a eu beaucoup de mensonges éhontés, qui perdurent encore aujourd’hui.

Ce qui doit nous interroger.

S’ils nous ont menti de manière aussi manifeste sur le Covid, sur quoi d’autres nous mentent-ils ?

Je sais bien que c’est une question à se faire traiter de « complotiste ».

Mais si le complotiste est celui qui se pose des questions, alors il faut ne faut pas craindre d’être complotiste.

Au contraire, il est capital de cultiver le doute, sur tout ce que l’on nous raconte (y compris sur ce que JE vous écris !)

Laissez-moi vous raconter ce qui s’est passé quand j’ai soumis le manuscrit de mon livre Big Pharma démasqué à un premier éditeur.

Je connaissais l’éditeur personnellement.

Un homme ouvert et intelligent, qui a reconnu l’intérêt et la crédibilité du propos. Et un professionnel aguerri, qui a perçu dans ce livre un potentiel « best-seller ».

Mais il a refusé de l’éditer.

Le problème de ce livre, m’a-t-il dit, est qu’il « sème le doute ».

Eh bien, oui… c’était précisément mon intention !

Oui, il est dangereux de croire « sur parole » nos autorités, sans vérification !

Oui, le meilleur rempart contre les « mensonges officiels », c’est bien l’esprit critique – et donc le doute.

Voilà pourquoi j’aimerais que nous soyons nombreux à cultiver le doute en 2024.

Ou mieux, que nous essayons de « semer le doute » autour de nous, chacun à notre niveau !

Pas seulement sur les vaccins.

Mais aussi sur la façon dont la médecine conventionnelle (mal)traite beaucoup de patients souffrant de maladies chroniques.

Sur la façon dont les médias nous (dés)informent sur les médecines naturelles, alternatives ou complémentaires.

Oui, il est bon de douter de ce que nous disent les autorités. Il ne faut pas hésiter à vérifier, faire ses propres recherches. Il faut se diriger vers des sources fiables et indépendantes… et faire davantage confiance à son bon sens.

C’est mon vœu pour sortir de la spirale dangereuse dans laquelle nous sommes plongés depuis quatre ans.

Et je pense que nous sommes sur la bonne voie.

J’ai le sentiment que de plus en plus de citoyens sont en train de se « réveiller ».

C’est sans doute mon côté « optimiste » qui vous parle.

Mais l’optimisme fait du bien.

J’ai bon espoir que la lumière sera au bout du tunnel.

Alors je vous souhaite à tous une très belle année 2024, remplie de joie, de beauté et de santé.

Amicalement,

Xavier Bazin

Sources

[1] https://www.liberation.fr/checknews/peut-on-affirmer-comme-aurelien-rousseau-quil-ny-a-pas-deffets-secondaires-avec-les-vaccins-anti-covid-20231004_MI4NIZHAXBGBJNREEXGJFHV4AQ/

[2] https://x.com/nicolasberrod/status/1735957266245795850?s=20

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111 réponses

  1. merci pour cette réflexion pleine de bon sens et pour toutes celles qui nous ont accompagné durant ces 3 années de mensonges éhontés. ça nous a aidé à tenir le coup et à assumer avec fierté la qualification de  » complotiste. « 

  2. En effet, à l’instar des ouvriers qui travaillaient dans les usines allemandes pendant la guerre, il faut faire du sabotage, chacun à son niveau, désobéir, traîner la patte pour toutes leurs injonctions, semer le doute autour de soi, montrer l’exemple.

  3. Oui, il faut mettre en doute c’est notre liberté et notre libre arbitre contre l’influence de masse ! Merci pour vos recherches et vos informations qui me paraissent objectives contrairement à ceux qui sont dans l’excès d’influence dans l’autre sens et qui discréditent les infos objectives.

  4. Félicitations pour cette analyse fondamentale!
    Vous exprimez très clairement qu’il faut « faire davantage confiance à son bon sens. »
    Je dirais qu’il s’agit aussi d’être attentif aux signaux que nos sens et notre sensibilité nous donnent. Trop souvent, le mental prend le dessus et empêche la conscience de percevoir les informations que nos sensations ou nos sentiments nous offrent.

  5. Très bonne analyse de la situation.
    Je partage complètement votre point de vue que j’essaie aussi de partager dans mon entourage. Vous m’aidez à trouver les mots pour le faire et vous en remercie.

    Bonne année, bonne santé pour 2024 !

  6. Comment se fait-il que les 2 liens aux sources de votre article ne marchent pas , ce qui interdit d’en apprécier la pertinence ? Mais qui favorise en revanche l’instillation d’un « doute » , comme vous en faites la juste apologie , mais ici à votre endroit !

  7. merci pour cette réflexion. merci pour l’accompagnement et l’éclairage depuis le début de cette folie..Meilleurs voeux à vous et toute votre équipe

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