Les médecins n’ont presque plus le droit d’en parler – c’est donc ma mission que de vous écrire sur les sujets les plus « dangereux »

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Les médecins sont fliqués.

De plus en plus, ils doivent se tenir à carreau : 

  • ne pas critiquer frontalement les traitements « officiels » ;
  • et ne pas trop faire la promotion de traitements « alternatifs ».

Et c’est encore pire s’agissant du cancer.

C’est le sujet tabou par excellence.

Officiellement, ce tabou serait « pour notre bien ».

On nous dit qu’il faudrait protéger les patients contre une « perte de chance ».

Si des malades refusent la chimio, au profit de soins alternatifs, ils perdraient une chance de guérir leur cancer.

C’est sans doute vrai pour certains cancers, comme le cancer des testicules, le cancer du col de l’utérus, les lymphomes et le cancer des ovaires. Pour ces cancers-là, la chimio améliore la survie des patients[1].

Mais dans la majorité des cancers, la chimiothérapie peine à prouver son efficacité pour prolonger la vie.

Une étude australienne a montré que la contribution globale de la chimiothérapie à la survie ne serait que de 2 % en moyenne[2]. Et dans 90 % des cas, la durée de « vie gagnée » par la chimio ne serait que de 3 mois[3].

Bref, il y a un besoin urgent de trouver des solutions alternatives – ou au minimum complémentaires – à la chimio !

Et de ce point de vue, la vitamine C en intraveineuse fait partie des solutions prometteuses !

Si vous en doutez, je vous invite à lire ma lettre de la semaine dernière à ce sujet[4].

Le problème est que la vitamine C a deux ÉNORMES défauts, pour l’establishment médical :

  • Elle n’est « pas assez chère» – la vitamine C ne coûte quasiment rien et risque de nuire à l’énorme business de la chimiothérapie (les traitements actuels coûtent plus de 100 000 euros par patient) ;
  • Et elle n’est « pas assez médicale» : élever la banale vitamine C au rang des instruments majeurs de lutte contre le cancer risquerait de crédibiliser l’ensemble des « médecines naturelles et alternatives » – ce qui est la dernière chose que souhaitent la majorité des médecins, formatés dès leurs études pour détester ces médecines soi-disant « non scientifiques ».

Résultat : en France, les traitements de vitamine C en intraveineuse sont purement et simplement interdits, alors que 40 ans d’études scientifiques ont montré leur intérêt et leur absence de danger.

Pire : tout est fait pour faire taire les médecins qui osent parler de ce genre de traitement !

Voilà pourquoi je tiens à aborder ce sujet en détail avec vous !

En tant que citoyen, j’ai encore le droit d’écrire à peu près ce que je veux.

N’appartenant pas au corps médical, je ne risque pas d’être radié par l’Ordre des médecins !

C’est pourquoi ma priorité est de vous écrire sur les sujets que mes amis médecins sont obligés d’éviter (mais dont ils me parlent en OFF) !

Voilà pourquoi je vous parle moins souvent de nutrition, des plantes qui soignent, des huiles essentielles…

Vous l’avez sans doute remarqué : depuis quelques temps, je consacre l’essentiel de mon temps à enquêter sur :

  • Les vaccins, leurs effets indésirables et les doutes sur leur efficacité (comme le Gardasil cet automne) ;
  • Les traitements alternatifs ou complémentaires contre le cancer (comme la vitamine D cet été).

Ce n’est pas un hasard.

Les vaccins et le cancer sont devenus les deux secteurs les plus juteux pour l’industrie pharmaceutique.

Et comme par hasard, ce sont les deux sujets les plus tabous en médecine – ceux sur lesquels les médecins qui osent exprimer une voix dissonante sont le plus harcelés.

Sur d’autres sujets de santé, il est encore « permis » aux médecins et thérapeutes de proposer des stratégies naturelles : contre l’arthrose, l’hypertension, les maladies hivernales, les problèmes digestifs, le déclin cognitif, etc.

Et vous, cher lecteur, avez encore accès à ces solutions : vous pouvez les retrouver dans les revues et formations dont je vous parle ici régulièrement.

Du coup, mon devoir à moi est d’aller sur les terrains les plus tabous !

Surtout que le temps m’est peut-être compté.

Je vous rappelle que l’article 4 d’une loi discutée bientôt au Sénat vise précisément à interdire à des lanceurs d’alerte comme moi de vous parler des traitements alternatifs du cancer (avez-vous signé la pétition ?)

Donc, tant que cela m’est possible, je tiens à vous informer des sujets les plus « dangereux ».

Ceux qui conduisent un médecin à se faire radier, définitivement.

Ceux qui pourraient, pourtant, faire une énorme différence pour votre santé.

En vous informant, par exemple, sur les vrais dégâts des vaccins anti-Covid.

Ou en vous parlant de traitements « interdits » qui pourraient changer la donne en cas de cancer.

Mon devoir est d’aller là où « ça chauffe ».

Et s’il y a un sujet « chaud », c’est bien la vitamine C contre le cancer… pour une raison que le grand Linus Pauling n’avait pas prévue !

Il y a une raison qui fait que la vitamine C est plus taboue encore que la vitamine D ou la mélatonine.

Il faut savoir que le prix Nobel Linus Pauling, qui est à l’origine de cette thérapie naturelle anti-cancer, s’est trompé sur un point crucial.

S’il défendait l’intérêt de la vitamine C contre le cancer, c’était pour renforcer la capacité de notre organisme à lutter contre le cancer.

Il ne s’agissait pas pour lui de « tuer les cellules cancéreuses ».

Tuer les cellules cancéreuses, c’est ce que fait la chimiothérapie – et au passage, elle tue beaucoup de cellules « saines », d’où ses dégâts sur l’organisme.

Avec la vitamine C, Linus Pauling voulait d’abord contenir le cancer en arrêtant sa dissémination dans l’organisme.

Il avait remarqué que les patients cancéreux avaient souvent des carences en vitamine C. Or la vitamine C est connue pour stimuler la production de collagène – la « brique » fondamentale qui permet de fabriquer nos tissus.

Donc, l’idée était de renforcer les tissus « sains » pour empêcher la tumeur cancéreuse de se propager dans le corps, « comme dans du beurre ». 

Il s’agissait aussi, avec la vitamine C, de renforcer le système immunitaire, dont on sait qu’il joue un rôle pour contenir les cellules cancéreuses.

Bref, le traitement à base de vitamine C était au départ un traitement tout ce qu’il y a de plus « doux » et « holistique » !

Là où la médecine « dure » lance un tapis de bombes toxiques (chimio) pour tuer les cellules cancéreuses, la vitamine C visait à soutenir l’action naturelle de notre organisme contre le cancer.

Sauf que…

Contre toute attente, la vitamine C en intraveineuse s’est révélée être une sorte de « chimiothérapie naturelle » !

Après avoir traité 50 patients en phase terminale, Linus Pauling a été surpris d’une chose.

Une petite poignée d’entre eux, traités à la vitamine C, ont vu leur cancer régresser.

Oui, régresser, ce qu’il n’avait pas prévu.

Et grâce aux recherches menées depuis 30 ans, on sait désormais pourquoi.

Il s’avère qu’en intraveineuse, la vitamine C n’agit pas du tout de la même manière que par voie orale.

En intraveineuse, la vitamine C agit un peu comme la chimiothérapie !

C’est-à-dire qu’elle parvient à tuer (partiellement) les cellules cancéreuses ! 

Mais la grosse différence avec la chimio, c’est qu’elle ne tue pas les cellules saines !

On a donc, sur le papier, le saint graal recherché en oncologie depuis 70 ans !

Un produit qui tue spécifiquement les cellules cancéreuses, sans endommager les autres !

Comment est-ce possible ?

Eh bien, il se trouve que la vitamine C, une fois absorbée par la cellule, est décomposée en peroxyde d’hydrogène.

C’est le nom « scientifique » de l’eau oxygénée, celle qui décolore les cheveux… et c’est une substance qui peut faire des dégâts.

Or les cellules cancéreuses sont moins armées que les cellules normales pour se défendre contre cette substance dangereuse.

Autrement dit, le peroxyde d’hydrogène est toxique pour les cellules cancéreuses, mais pas pour les cellules saines.

Et voilà pourquoi la vitamine à haute dose, en intraveineuse, pourrait aider à vaincre des tumeurs.

C’est un grand paradoxe : la vitamine C est un puissant antioxydant quand on l’avale en gélules ou en comprimés…

…mais elle devient pro-oxydante à haute dose, en intraveineuse, ce qui nuit aux cellules cancéreuses !

Tout cela, sans réelle toxicité, quand on respecte les rares contre-indications.

Mais attention, on est loin d’avoir trouvé le bon protocole pour se passer des traitements conventionnels

Cela dit, on est loin d’avoir percé tous les secrets de la vitamine C contre le cancer.

Par exemple, il apparaît que son activité anti-tumorale semble liée, aussi, à son action sur le système immunitaire (comme l’avait prévu le grand Linus Pauling !)

Une étude récente sur des souris atteintes de tumeurs cancéreuses a montré que la vitamine C marchait beaucoup moins bien lorsque les souris étaient immunodéprimées (à l’inverse, elle fonctionnait mieux lorsque leur système immunitaire était normal)[5].

Cela pose la question du bon dosage de la vitamine C en intraveineuse. Quel est le dosage idéal pour avoir un effet pro-oxydant tout en conservant ses autres vertus ?

De même, on ne sait pas encore exactement sur quels cancers ce traitement serait le plus efficace.

Car il apparaît que la vitamine C serait particulièrement efficace pour tuer certaines cellules cancéreuses – celles qui présentent des mutations dans les gènes KRAS[6].

C’est particulièrement prometteur pour le cancer du pancréas, dans lequel ces cellules sont très souvent impliquées[7].

(et c’est intéressant de noter qu’à l’inverse, la vitamine D semble moins bien agir sur ces cellules cancéreuses-là[8]).

Au total, il reste énormément de recherches à mener pour trouver le meilleur moyen d’administrer la vitamine C…

…et comment conjuguer ce traitement avec :

  • les autres molécules naturelles efficaces contre le cancer comme la vitamine D, la mélatonine, l’acide alpha-lipoïque, etc.
  • des médicaments anciens, non toxiques et très prometteurs que sont certains antiparasitaires (ivermectine et fenbendazol) ;
  • et, potentiellement, les autres approches alternatives prometteuses – régime cétogène, hyperthermie, ozonothérapie, champs électromagnétiques, et.

Sur tous ces sujets, des recherches actives sont menées aux quatre coins du monde, par des chercheurs indépendants.

Mais faute de financement massif, ces recherches restent insuffisantes et éparpillées.

Cela me rend fou, car je suis persuadé que si l’on mettait le « paquet », on trouverait en moins de 10 ans des protocoles infiniment plus efficaces et moins toxiques que ce que l’on a actuellement !

Le drame est que notre système de recherche est « confisqué » par des intérêts financiers.

Nous en sommes donc réduits à « bricoler » nos propres protocoles, avec les meilleures informations dont nous disposons.

C’est déjà beaucoup : prendre de la vitamine D, de la mélatonine ou de la vitamine C peut déjà faire une belle différence en cas de cancer.

C’est donc à vous de vous informer sur les meilleurs protocoles possibles, et de faire vos choix libres et éclairés.

Et c’est mon devoir que d’essayer de vous donner autant d’informations que possible sur les protocoles « interdits ».

Bonne santé,

Xavier Bazin

Sources

[1] https://www.scientificfreedom.dk/2023/02/04/should-i-get-chemotherapy-for-cancer-probably-not/

[2] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15630849/

[3] https://www.bmj.com/content/355/bmj.i5792

[4] https://www.xavier-bazin.fr/cela-parait-trop-simple-et-pourtant-la-vitamine-c-en-intraveineuse-peut-faire-une-belle-difference-en-cas-de-cancer/

[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32102933/

[6] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26541605/

[7] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3955735/

[8] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2730112

35 Commentaires

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35 réponses

  1. Bonsoir,
    Parfaitement d’accord sur ce sujet, la vitamine C, (Pure en poudre que je prends tous les jours depuis le début du covid 19 à raison de 7/8 Grammes matin et soir et ce jusqu’en fin 2022 et depuis 6/7 gr tous les jours le matin). Je n’ai jamais attrapé le covid j’ai toujours travaillé pendant le confinement (J’ai 74 ans) Je suis convaincu que M. Xavier Bazin a raison sur la vitamine C en injection à forte dose et je crois avoir lue qu’un hôpital à Lyon le fait pour certains cancer. Bien sûr que ce traitement très peut chers n’intéresse absolument pas la médecine traditionnelle à raison de 100000 € / patient, rien qu’en France c’est le Jack-pot!!
    Par contre c’est la Sécurité sociale qui devait mettre les pieds dans le plat!! Mais la encore beaucoup de monde sont arrosé par cette  manne….. C’est ainsi que marche ce « Système Pourrit » dans lequel nous vivons, Nous les « Pauvres Gens » sans aucuns pouvoirs mais prenez courage car je vous invites (sans aucuns engagements Bien sûr) à vérifier le Chapitre 21 et les Verset 3 et 4 de l’Apocalypse (ou Révélation) dans votre Bible. Et si vous voulez en savoir + connectez-vous sur le site le plus visité au monde ou vous pouvez obtenir une Bible gratuitement (traduite en + de 1000 langues et même en Braille) j’ai cité le site : JW.ORG
    Bien cordialement à Tous et M. Bazin.
    Jacques

  2. Merci ! Soyons lucide et cultivons le doute à bon escient ! A 84 ans vos analyses me réjouissent d’autant qu’il me faut tenir bon quant à un environnement qui me suspecte de complotisme … Je me porte de mieux en mieux ….sans vaccins ! Tout simplement en suivant vos conseils qui me confortent dans la gestion de ma santé mentale, phisique et psychologique . Je me sens moins seule ! 👏🌈

  3. Bonjour
    Je suis toutes vos interventions avec grand intérêt, je suis en nouvelle Calédonie et aucune possibilité de me faire hospitaliser ailleurs, j’ai été opéré du colon à cause d’un début de cancer sans métastases avec chimio de 6 et 5 semaines et radio pendant six semaines, convaincu de plusieurs années de l’emploi de la vitamine C en cachet, liposome, j’ai t’enter d’aller vers la perfusion de la vitamine C, mais l’ensemble des médecins qui m’ont suivi étaient contre l’emploi de cette technique, je suis contrôlé tous les trois mois apparemment pas de récidive. Y aurait-il une possibilité d’aller vers cette technique. Ne pouvant en cette période hyper difficile de se rendre hors de la Nouvelle-Calédonie étant proche de l’Australie et de la nouvelle Zélande qui implique de rester plusieurs jours à vous ne sachant pas si cette technique est toléré à vous lire Y.P.

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