Cher(e) ami(e) de la Santé,
Depuis quelques mois, il se passe des choses troublantes.
On dirait que les vaccins anti-Covid ont désormais une efficacité… négative !
- Une étude publiée dans le JAMA montre que des adolescents vaccinés, 4 mois après leur injection, ont plus de risques d’attraper le Covid que les non-vaccinés[1] ;
- Les chiffres britanniques montrent depuis le début du printemps que les vaccinés ont systématiquement plus de risques d’être testés « positifs » que les non-vaccinés ;
- Et les chiffres de la DREES, en juin 2022, montraient que les triples vaccinés étaient deux fois plus souvent testés positifs que les non-vaccinés !
Au même moment, fin juin 2022, les deux pays les plus vaccinés au monde, le Portugal et Taïwan, comptaient le plus de morts Covid de la planète !
Et puis, il y a encore d’autres signaux inquiétants :
- Une étude conduite par une équipe de Harvard suggère que, face au variant BA-1, les vaccinés mettent plus de temps à se débarrasser du virus que les non-vaccinés[2];
- Une étude allemande sur des patients décédés du Covid a montré, après autopsie, que les vaccinés avaient plus de virus dans leurs voies respiratoires que les non-vaccinés[3], signe que leur système immunitaire a eu davantage de difficultés à s’en débarrasser.
Peut-être tout ceci est-il un hasard.
Mais il y a de très nombreux signaux d’alarme.
Le spectre des vaccins qui aggravent la maladie
Peut-on imaginer qu’un vaccin puisse aggraver la maladie, plutôt qu’en réduire la gravité ? Est-il pensable que les autorités aient pu nous faire prendre le risque de subir une forme plus grave du Covid, suite à la vaccination, en cas de mutation du virus ?
Cela peut paraître choquant, mais la réponse est oui. C’était même un risque reconnu tout au long de l’année 2020, au moment où il était encore permis de poser des questions sur la vaccination.
Au mois d’avril 2020, le spécialiste des maladies infectieuses, le Dr Anthony Fauci, avait reconnu devant le Sénat américain que la vaccination contre le Covid comportait bien le risque d’aggravation de la maladie :
« On sait qu’il y a de nombreux vaccins pour lesquels le vaccin induit une réponse « suboptimale », et quand une personne vaccinée est exposée au virus, elle subit une aggravation de la maladie[4]. »
C’était un risque d’autant plus manifeste que cela avait été observé sur son plus proche cousin, le virus du SRAS, en 2003[5] :
« Peter Hotez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de Sras en 2003, a constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus, en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. » (Futura Science)
Peut-être vous imaginez-vous que les scientifiques ont formellement écarté ce risque pour les vaccins Covid. Mais ce n’est pas le cas, car cela leur était strictement impossible !
Même si on pouvait écarter ce risque d’aggravation au départ, personne ne pouvait garantir que cette terrible menace n’apparaîtrait pas avec les variants !
Il faut savoir qu’un vaccin crée une sorte « d’empreinte » immunitaire, qui habitue notre système immunitaire au contenu spécifique du vaccin… mais peut aussi le rendre plus vulnérable face à un virus un peu différent.
C’est étonnant, mais c’est réel : il est parfois pire d’avoir des anticorps mal adaptés au virus… que de ne pas avoir d’anticorps du tout ! Comme si les anticorps tapaient « à côté », et que cela laissait libre cours au virus pour faire des dégâts !
Le précédent des vaccins anti-grippe
Ce phénomène a été illustré de façon tragique dans le cas de la dengue : le vaccin de Sanofi a tué des dizaines d’enfants aux Philippines dans les années 2010, parce qu’il avait rendu ces enfants plus vulnérables au virus au moment où ils ont été infectés par la dengue (les autorités philippines ont poursuivi Sanofi au pénal pour cela)[6].
C’était prévisible dans le cas de la dengue, car il existe quatre souches différentes de ce virus, et on savait déjà qu’une seconde infection était souvent plus grave que la première. Précisément à cause de ce fameux phénomène d’empreinte immunitaire et d’anticorps qui « tapent à côté ».
Et la dengue n’est pas un cas isolé. On a observé un phénomène similaire avec le virus de la grippe.
On se souvient de l’épidémie mondiale de grippe A (H1N1) en 2009. Eh bien, plusieurs études ont montré que ceux qui se sont vaccinés cette année-là contre la grippe saisonnière habituelle (donc ne visant pas le nouveau variant) ont été davantage infectés par le variant que ceux qui n’avaient pas été vaccinés[7]. Les anticorps contre le virus habituel de la grippe semblent avoir été contre-productifs contre le nouveau variant. De même, parmi ceux qui ont reçu le vaccin visant spécifiquement le nouveau variant H1N1, ceux qui avaient, dans les mois précédents, reçu également le vaccin habituel contre la grippe, ont développé moins d’anticorps : « l’empreinte immunitaire » causée par le premier vaccin a réduit l’efficacité du second.
Et ce n’est pas tout. Je suis désolé d’accumuler les études, mais ce phénomène capital mérite d’être étayé avec précision. Personne ne pourra dire qu’il ne « pouvait pas savoir », dans le cas du Covid.
Ainsi, une étude canadienne a démontré qu’à l’hiver 2018, les jeunes de 35 à 55 ans vaccinés contre la grippe avaient quatre fois plus de risques d’attraper le virus de la grippe que les non-vaccinés[8]. Pourquoi ? Parce que le vaccin contenait un sous-type du virus de la grippe (3C.2a) légèrement différent de celui qui a circulé (3C.3a), ce qui a créé des anticorps qui ont tapé « à côté »… et qui ont donc renforcé l’infection plutôt que d’exercer un effet protecteur !
Les vaccins, comme les premières infections, peuvent créer une « empreinte immunitaire » très durable. On sait maintenant que la toute première infection grippale de votre vie a une grande influence sur votre capacité à lutter contre la grippe par la suite[9]. Si vous avez été infecté en premier avec H1N1, vous serez mieux armé, toute votre vie, pour lutter contre les virus H1N1… et moins bon pour lutter contre les virus H3N2 (et inversement si vous avez été infectés en premier par H3N2).
À cette lumière, on voit qu’il était extrêmement risqué d’injecter 2 doses, puis 3 doses, puis 4 doses, puis 5 doses visant la protéine spike du virus de 2019 (de Wuhan), alors que cette protéine du virus a considérablement muté entre-temps.
Il y avait là un risque criant de « fixer » le système immunitaire sur un virus qui n’existe plus (celui de Wuhan), et donc le rendre particulièrement mal adapté à combattre les nouveaux variants (de ce point de vue, il est particulièrement dangereux de vacciner des enfants en bas âge, car leur système immunitaire pourrait être fixé « à vie » à combattre un virus qui n’existe plus, les rendant beaucoup plus vulnérables aux variants).
Tout cela n’a pas totalement échappé aux autorités sanitaires. En janvier 2022, le chef de la stratégie vaccinale de l’Agence européenne du médicament l’a reconnu implicitement : « Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les quatre mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire. Nous devons donc veiller à ne pas surcharger le système immunitaire par des vaccinations répétées »[10].
Qu’à cela ne tienne ! Ces avertissements ont été vite balayés et la 4ème dose a été recommandée massivement au printemps, en attendant la cinquième.
Pourtant, des preuves manifestes de ce phénomène d’empreinte et d’aggravation avaient déjà commencé à apparaître pour le Covid[11]. Au printemps-été 2022, comme on l’a vu, les vaccinés avaient beaucoup plus de risques d’être testés « positifs » que les non-vaccinés.
Heureusement que les variants Omicron, BA-1, BA-4 et BA-5 sont particulièrement peu graves.
Si un variant plus méchant devait apparaître, les triples ou quadruples vaccinés pourraient se retrouver en grande difficulté.
On leur a vendu une super-protection… et ils pourraient se retrouver avec des anticorps qui aggravent la maladie.
Ont-ils été informés de ce risque, quand ils ont fait leur vaccin ?
66 Responses
Merci pour votre publication qui nous donne un point de vue objectif de la situation sanitaire au sujet du Covid 19 ; très étonnant ce grand silence des médias !
Avec le vaccin H1N1 en 2009 j’ai tout de suite développé une inflammation de la luette (uvulite). Et en 2013 on m’a opéré d’un cancer de la prostate….. Depuis je suis anti-vaxx !
Preuve a l appui mon épouse a été presque paralysée après la 3dose
Bonjour
Ce commentaire me paraît
Intéressant, mais suivie a
L’hôpital il est prévu une 4eme dose, j’ai des problèmes d’anticorps avec
maladie Gougerot Sjogren,
Polyarthrite rhumatoïde
IMETH, alors que faire, refuser ce vaccin ? Je suis perdue
Merci de me dire.
Cordialement
Merci pour votre clarté et aussi le courage d’écrire des vérités qui sont encore bâillonnées par la presse sous le dictat du gouvernement … ceci dit, pour ma part je souhaiterais des explications plus poussées concernant le mécanisme de formation des anticorps non neutralisants voire facilitants, l’ARNm artificiel portant le code de fabrication de la spike, la réplication de cette spike en continu ou pas dans l’organisme, ses effets nocifs …. le retour possible ou pas de cet ARNm vers le noyau et les risques que cela suppose …
Merci
Bien à vous
Formidable, cette potion magique ! Et exit le principe de précaution de la part de nos chères autorités qui continuent de faire leur propagande mensongère ! J’ai du mal à comprendre que les gens se soient rués sur ces vaccins comme sur une universelle panacée, sans la moindre réflexion. Comme quoi la peur est mauvaise conseillère…
On nous racontent n’importe quoi tout ça pour engraisser les labos…
Votre article est très intéressant il faudrait partager toutes ses vérités aux plus grand nombre de gens possible. Il faut que les gens face leur propre opinion et non croire tous ce qu’on leur dit.
Excellente alerte, au niveau de la politique de santé, sur les dégâts du retour au stalinisme pur et dur. Ce retour au stalinisme pur et dur est constaté par ailleurs dans tous les domaines du fonctionnement politique: affaire de Sciences Po Grenoble, saccage de l’Ukraine, livraison de l’Afrique francophone et de l’Afghanistan aux terroristes islamistes, etc.
Merci une fois de plus pour vos informations qui sont justes car observables dans notre entourage.N’étant pas vaccinée pour des raisons de bénéfice/risque étant porteuse d’une maladie auto immune, je ne regrette pas mon insistance de ne pas avoir accepté qu’on joue et perturbé mon système immunitaire déjà fragile…
On ne joue pas avec la santé des gens.
Ces périodes de pénurie m’ont donné de fortes allergies et mépris pour certains,médecins, scientifiques et journalistes qui n’avaient en tête que de diffuser, mensonges et peur.
Je me demande encore aujourd’hui comment ils peuvent se regarder dans une glace et avoir bonne conscience des conséquences de leurs affirmations non fondées. Par contre certains comme mon homéopathe n’étant pas vaccinés ont eu le courage et la dignité d’aller au bout de leur convictions.Ils sont restés intègres et malheureusement on leur a imposé une fermeture de leur cabinet..HONTE à de telles pratiques..
J’espère que l’état prendra conscience de toutes les conneries et mensonges déblatérés aux citoyens depuis 2ans et que nous ne sommes pas aussi cons et vulnérables qu’ils peuvent le penser…