Cher(e) ami(e) de la Santé,
L’histoire est difficile à croire, mais entièrement vraie.
Elle a été relatée en détail à la télévision néo-zélandaise, dans l’émission d’enquête « 60 minutes »[1].
C’est l’histoire de la guérison sidérante d’Alan Smith, un Néo-Zélandais de 56 ans.
L’histoire commence en 2009.
À l’occasion d’un voyage, Alan Smith contracte une mauvaise grippe (H1N1).
Cette infection dégénère en pneumonie, ce qui le conduit à l’hôpital d’Auckland.
Il est plongé dans le coma car ses poumons, ses reins et son foie ne fonctionnent plus.
Il n’est alors plus maintenu en vie que par une machine très spéciale.
Cette machine, nommée ECMO, extrait le sang du patient, oxygène ce sang, puis le réinjecte dans la circulation sanguine.
Elle permet de prolonger la vie, le temps de « trouver une solution ».
Mais les médecins ne trouvent aucune solution.
Pire : ils découvrent qu’Alan Smith souffre aussi d’un cancer (une forme rare de leucémie, dite à tricholeucocytes).
Bref, pour ses médecins, la messe est dite.
Au bout de trois semaines, ils décident de « débrancher » Alan Smith.
Sa mort, disent-ils, est « inévitable ».
Mais sa femme – une ancienne infirmière – et ses trois garçons ne sont pas d’accord.
Ils ont eu vent d’une thérapie particulière, promue par le Dr Thomas Levy aux États-Unis, qui semble fonctionner contre les infections les plus graves.
Et ils souhaitent que les médecins essaient cette thérapie en « dernier recours » – d’autant qu’elle ne coûte quasiment rien.
Il s’agit d’administrer à Alan Smith de la vitamine C à haute dose, en perfusion.
« Qu’avez-vous à perdre à essayer ? », supplie un des fils d’Alan Smith.
Mais les médecins ne croient pas une seconde à l’intérêt du traitement. Le compte-rendu de leur délibération est formel :
« Nous sommes tous d’accord que la vitamine C n’apportera aucun bienfait, et que M. Smith ne survivra pas ».
Toutefois, pour faire « plaisir » à la famille, ils accordent encore « trois jours » de répit à Alan Smith. Trois jours avec de la vitamine C, puis il sera débranché.
Nous sommes le mardi 21 juillet.
Si Alan Smith ne montre aucune amélioration, il sera débranché le vendredi.
Première dose… et le miracle se produit !
Dès le mardi soir, il reçoit sa première perfusion de 25 grammes de vitamine C.
Le lendemain matin, on lui administre à nouveau 25 grammes de vitamine C.
L’après-midi même, un scan de ses poumons montre déjà une amélioration.
Au bout de deux jours de perfusion, les progrès sont spectaculaires !
Ses poumons, qui étaient désespérément remplis d’un fluide opaque, s’éclaircissent nettement :
Ainsi, quand arrive le jour fatidique – le vendredi – il est manifeste qu’Alan Smith est en voie de se rétablir !
Les médecins sont bien obligés de le reconnaître.
Mais, disent-ils, cela n’a strictement « rien à voir » avec la vitamine C. Si leur patient va mieux, c’est parce qu’il a été placé sur le ventre à l’occasion des perfusions !
Ce à quoi un des fils d’Alan Smith a rétorqué, à juste titre : « si c’est le cas, pourquoi n’aviez-vous pas essayé de le placer dans cette position avant de proposer de le débrancher » ?
Hélas, la mauvaise foi médicale ne fait que commencer – et elle va bientôt devenir franchement criminelle.
Alan Smith reçoit maintenant 100 grammes de vitamine C par jour (2 fois 50 g).
En moins d’une semaine, son état s’est tellement amélioré qu’il n’a plus besoin de machine ECMO.
Le dimanche, donc, on le débranche – pas pour le faire mourir, mais pour le faire vivre !
Il parvient même à faire quelques respirations tout seul, sans assistance.
Toutefois au moment précis où la famille aussi commence à respirer, l’état d’Alan Smith se détériore à nouveau.
C’est alors que son épouse se rend compte que les perfusions de vitamine C ont été stoppées !
Stoppées net, sur décision d’un nouveau médecin totalement opposé à la vitamine C.
Les trois fils d’Alan interviennent alors, avec, disons, fermeté.
Sous pression, le médecin est obligé céder, et recommence les perfusions de vitamine C…
…mais à très faible dose (seulement 2 grammes par jour, contre 100 grammes précédemment).
Commentaire d’un des fils d’Alan :
« Il faut vraiment être un peu limité pour ne pas comprendre ce qui s’est passé.
Mon père recevait 100 grammes par jour, et son état s’est amélioré très rapidement.
Puis son état s’est détérioré quand ils ont arrêté brutalement les perfusions de vitamine C.
Puis, après la reprise de la vitamine C (à faible dose), son état s’est de nouveau amélioré, mais cette fois beaucoup plus lentement. »
L’action de la vitamine C paraît évidente, en effet.
Pourtant, le cauchemar « médical » est loin d’être terminé.
Alan Smith, toujours sous assistance respiratoire, est transféré dans un nouvel hôpital.
Et là, à nouveau, on lui refuse des perfusions de vitamine C !
Cette fois, la famille d’Alan Smith fait appel à l’avocat le plus puissant du pays (un seul courrier de sa part coûte 10 000 euros).
Cela fonctionne et l’hôpital doit céder. Les perfusions de vitamine C reprennent, mais toujours à faible dose (2 grammes par jour).
Son état s’améliore alors progressivement.
Deux mois et demi après son entrée dans le coma, Alan Smith est désormais capable d’avaler des nutriments par lui-même.
Il prend alors, en plus, par voie orale, 6 grammes de vitamine C liposomale.
Et l’amélioration de son état s’accélère nettement.
Quand il arrive dans le centre de rééducation pour réapprendre à marcher, on lui dit qu’il en aura pour 3 mois.
À la stupéfaction des médecins, il rentre chez lui au bout de deux semaines seulement.
À son retour chez lui, son voisin lui lance, le sourire aux lèvres :
« Allan, tu me dois 15 dollars, j’ai fait faire un nettoyage à sec de mon costume pour ton enterrement, et toi, coquin, tu es revenu ! »
De fait, Alan devait mourir. Mais une sorte de miracle l’a sauvé.
Et pour couronner le tout, Alan n’a plus le moindre signe de cancer.
Tout cela devrait faire réfléchir les médecins, n’est-ce pas ?
Mais non.
Pour eux, son rétablissement n’a rien à voir avec la vitamine C.
Comme l’a rapporté le Dr Alain Dumestre, un « expert » néo-zélandais est même allé jusqu’à conclure ceci :
« Nous ne pouvons expliquer la guérison d’Alan Smith. Mais la vitamine C n’a pas eu plus d’importance dans sa guérison que le passage d’un bus devant l’hôpital »[2].
C’est d’autant plus sidérant qu’il existe des centaines d’études scientifiques qui démontrent l’intérêt de la vitamine C contre les infections.
Il faut lire à ce sujet le livre La vitamine C, la panacée originelle, édité en France par le Dr Alain Dumestre – vous y trouverez notamment des « cas » de guérison assez extraordinaires avec des perfusions de vitamine C.
Et il suffit de jeter un coup d’œil à la littérature scientifique pour voir des signaux évidents de l’intérêt de donner de la vitamine C aux patients qui sont dans un état critique :
- Dans un essai randomisé en double aveugle publié en 2002, les 300 patients en réanimation à qui on a donné 3 grammes de vitamine C par jour en intraveineuse (ainsi que de la vitamine E), ont vu leur mortalité divisée de moitié par rapport aux 300 patients du groupe de contrôle[3] (il y a également eu deux fois moins de défaillances d’organe dans le groupe supplémenté en vitamines) ;
- Une revue de 12 essais cliniques contrôlés, publiée en 2019, conclut que la supplémentation en vitamine C réduit le temps passé en service de réanimation[4] (et plus l’état initial du patient est grave, plus la durée en réanimation est réduite grâce à la vitamine C) [5] !
La guérison d’Alan Smith n’a donc rien d’incompréhensible.
En réalité, il faut vraiment être :
- Aveugle
- Obtus
- Arrogant
- Stupide
- Ou corrompu
… pour ne pas percevoir dans tout cela l’immense potentiel de la vitamine C.
Le problème est que la plupart des médecins ne sont pas au courant, tout simplement.
Heureusement, il y a des exceptions.
Comme le Dr Jean-Philippe Labreze, qui prescrit régulièrement des hautes doses de vitamine C.
Récemment, je vous ai écrit qu’il a été condamné par l’Ordre des Médecins pour avoir tenté de sauver la vie d’une vieille dame, avec des perfusions de vitamine C.
Je suppose que vous mesurez encore plus, à présent, le caractère scandaleux de cette décision.
Bonne santé,
Xavier Bazin
18 réponses
J’ai aussi été atteint du virus H1N1 et mis dans le coma artificiel et au bout de trois semaines l’inflammation de la grippe ne régressant pas les medecins voulaient eux aussi me debrancher et c’est tout simplement la cortisone qui m’a remis en vie .
Si je savais dans quel hôpital je pourrais recevoir ces d’osés de vitamine C je le ferai pour soigner un cancer du sein récidivant et hormono dépendant
Il y a 12 ans mon mari avait un cancer du foie. Mon médecin allemand avait conseillé aussi la vitamine C. Les médecins français ne voulaient pas. Nous avons quand même trouvé un moyen de lui donner des perfusions jusqu’au jour ou le grand chef de l’hôpital a dit à mon mari que la vitamine C était même nuisible. Donc mon mari a arrêté malheureusement.
En 1974 ou 75, la mère d’un copain me parlait d’un médecin Néerlandais, colombophile qui avait innocule des cellules cancéreuses à ses pigeons. Ceux qui avaient développé un cancer avaient été divisés en deux groupes, le premier fut traité par vitamine C, le second laissé sans traitement. Les pigeons du groupe traité guérirent contrairement au 2ème groupe.
La Doctoresse Kousmine soignait déjà avec les vitamines de nombreuses maladies. Merci pour vos informations qui donnent de l’espoir à de nombreuses personnes.
il faut bien lire certaines informations, surtout en médecine on ne connait pas tout quelque fois il vaut mieux écouter son corps…