Cher(e) ami(e) de la Santé,
L’Agence France Presse (AFP) devrait-elle être renommée Agence Fake Presse ?
C’est la conviction du chercheur Laurent Toubiana, épidémiologiste rattaché à l’INSERM :
« Drapée dans sa dignité d’intouchable de l’information juste, vraie et bonne, cette agence, l’AFP, est en réalité un pourvoyeur officiel de « fake news ».. »[1]
De fait, la quantité de désinformations diffusées par l’AFP pendant la crise Covid a été sidérante.
Un exemple parmi cent, cette dépêche AFP datée de mars 2021, reprise par de nombreux médias en ligne (Le Point, L’Express, L’Obs, etc.), intitulée : « Dans la « complosphère », le mythe porteur des vaccins créateurs de variants ».
Cette dépêche prétend qu’il est farfelu, voire complotiste, de penser que les vaccins anti-covid pourraient favoriser l’apparition de variants : « réfutée par les immunologues », cette thèse serait juste un « nouvel angle d’attaque anti-vaccin, déployé sur des sites et comptes conspirationnistes » et un « contre-sens ».
De la part d’une agence de presse censée être « neutre », cette façon de présenter les choses est choquante… mais révélatrice. Car tous les scientifiques sérieux savent qu’un vaccin non stérilisant (qui n’empêche pas l’infection) et qui cible une seule partie d’un virus (ici la protéine spike) favorise inévitablement les mutations du virus sur cette protéine-là. Et donc des variants risquant d’échapper à l’immunité vaccinale.
C’est un mécanisme évolutionniste connu de longue date. Une étude de l’Institut Pasteur, relayée par le journal Le Monde en 2022[2], l’a montré de façon magistrale au sujet du vaccin contre la coqueluche : « Le suivi sur cinquante ans de génomes de « B. pertussis » (la bactérie de la coqueluche) a montré que l’introduction de vaccins acellulaires a favorisé l’émergence de souches leur échappant. »[3]
Traduction : quand les vaccins anti-coqueluche ciblant le germe entier ont été remplacés par des vaccins focalisés sur une petite partie de la bactérie, cela a favorisé – comme prévu – l’émergence de mutations concentrées sur les protéines visées par le vaccin.
De même, avec les vaccins anti-Covid de 2021, il y avait bien un réel risque qu’ils fassent perdurer l’épidémie en favorisant l’émergence de nouveaux variants.
Mais pour l’AFP, cette hypothèse scientifique solide n’était qu’un « nouvel angle d’attaque anti-vaccin ».
Ce n’est pas un cas isolé : on pourrait multiplier les exemples de désinformation de la part de l’AFP tout au long de la crise Covid. Ainsi en avril 2020, lorsque le Pr Montagnier déclare qu’il a découvert des inserts du VIH dans le coronavirus, preuve d’une manipulation du coronavirus en laboratoire, l’AFP dégaine une dépêche assassine contre cette hypothèse[4].
Au mépris de la vérité, l’AFP y affirme que « la théorie selon laquelle ce virus est issu de manipulations génétiques a déjà démentie d’après les analyses du génome du virus communiqué par les Chinois »[5].
En réalité, la thèse d’un virus « manipulé en laboratoire » n’a jamais été « démentie par les faits », bien au contraire. En 2022, le directeur de l’Agence du renseignement de la Défense aux États-Unis a reconnu que plusieurs agences de renseignement américaines étaient convaincues que le coronavirus a été génétiquement modifié en laboratoire[6].
Pire, dans sa dépêche, l’AFP n’hésite pas à disqualifier le Pr Montagnier : « Outre ses théories sur les ondes électromagnétiques émises par l’ADN et sur les bienfaits de la papaye, qui lui ont attiré les moqueries, il s’est affiché en 2017 aux côtés du Pr Henri Joyeux, figure de proue des anti-vaccins ».
Et voilà comment des « dépêches d’agence », supposées être neutres, construisent un « narratif officiel » résolument biaisé, notamment contre les critiques des vaccins.
L’AFP est le « dieu » des journalistes – mais qui l’influence ?
Or, les agences de presse comme l’AFP jouent un rôle absolument central dans la perception que les journalistes se font de la « réalité » dont ils sont censés rendre compte.
Tous les journalistes ont les yeux rivés sur les « dépêches AFP » (ou de Reuters, AP…), dans leur domaine de spécialité. Beaucoup d’articles publiés sur les sites des grands médias sont signés « avec AFP », preuve que le journaliste a fait essentiellement du copier-coller d’une dépêche.
Les agences comme l’AFP ont donc un pouvoir énorme sur ce que pensent les journalistes, et par voie de conséquence, sur ce qui « sort » dans les médias.
Rien que par le choix des sujets traités dans leurs dépêches, ces agences exercent une influence déterminante. Car ce qui apparaît sur le « radar » des journalistes, via les dépêches, n’est qu’une toute petite partie de la réalité, sur laquelle ces agences ont choisi de placer la loupe. Puis, dans le choix des titres, des sous-titres et du contenu, l’AFP oriente aussi clairement l’information.
Ce qui pose la question : qui « possède » l’AFP ? Qui influence ces grandes agences de presse qui ont tant d’influence sur les médias ?
Il suffit de quelques recherches pour voir qu’il y a là un problème de « neutralité ». Prenons d’abord le cas de Reuters : jusqu’en 2020, son PDG s’appelait James C. Smith… et figurez-vous que ce James Smith est membre du conseil d’administration de… Pfizer depuis 2014[7] !
Quant à l’AFP, son directeur général, Fabrice Fries, n’est autre que l’ancien patron de Publicis Consultants. Or Publicis est une grosse entreprise de publicité et de RP, proche de Big Pharma.
Certes, l’AFP est censée avoir une certaine indépendance statutaire vis-à-vis de l’État, mais les observateurs aguerris comme Claude Chollet, président de L’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique (OJIM), ne sont pas dupes :
« L’indépendance de l’AFP est un mythe ! L’AFP est financée à au moins 50 % par l’État, elle est la propriété de l’État. D’une certaine manière, c’est la voix de la France… Donc cette indépendance, elle est fictive »[8].
De fait, l’élection du directeur général Fabrice Fries a été contestée par trois administrateurs de l’AFP, qui ont dénoncé le fait – évident pour ceux qui connaissent les rouages du système – que l’État « a un poids bien supérieur à celui de ses trois voix sur les dix-huit que compte le Conseil d’administration de l’AFP »[9].
Voilà pour la fameuse « indépendance » de l’AFP. Mais pourquoi est-elle aussi biaisée sur le covid et la vaccination ?
Probablement parce que l’AFP, comme les deux autres agences mondiales AP et Reuters, participe à un très inquiétant « ministère de la vérité », appelé TNI.
La TNI : comment créer de toutes pièces l’apparence d’un consensus médiatique sur les vaccins
L’AFP l’a annoncé en septembre 2019 : « L’AFP partenaire d’une nouvelle initiative contre la désinformation »[10].
C’est l’acte de naissance de la « Trusted News Initiative » (TNI), initiée par la BBC, et à laquelle participent également de grands titres comme The New York Times, The Washington Post, The Wall Street Journal, mais aussi les grands réseaux sociaux que sont YouTube, Facebook et Twitter, ainsi que, étrangement, Microsoft.
L’objectif affiché par la TNI est de « lutter contre la désinformation ». Mais qui est l’arbitre de ce qui est de l’information ou de la désinformation ? Qui, dans les coulisses, décide du « vrai » et du « faux » qui sera ensuite retransmis à tous les journalistes via les plus grandes agences de presse au monde ?
On ne sait pas qui, dans l’ombre, décide de ce qu’est la « vérité ». Mais une chose est sûre : ces « maîtres du vrai » sont favorables, sans la moindre nuance, à la vaccination.
Ainsi, dès le 10 décembre 2020, alors même que les vaccins anti-covid n’ont pas encore été approuvés par l’autorité de santé européenne, l’EMA, la TNI dégaine déjà un communiqué titré : « La TNI s’attaque à la désinformation dangereuse sur les vaccins ».[11]
Le même jour, pourtant, le Pr Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris) déclarait sur LCI qu’il y avait « un vrai problème dans le vaccin Pfizer au niveau des effets indésirables »[12]. Il demandait des « précautions » en rappelant que les Anglais avaient déjà lancé une alerte, 24 heures après le début de la campagne de vaccination, invitant à ne plus donner le vaccin aux allergiques.
Bref, au moment où la TNI déclarait « s’attaquer à la désinformation », on avait non seulement le droit, mais aussi le devoir de conserver un esprit critique face à ces vaccins expérimentaux, fabriqués en quelques mois, contre un virus totalement nouveau, avec une technologie nouvelle.
Mais la TNI, à laquelle participe l’AFP, s’est déjà fait son avis : le grand danger, c’est la « désinformation anti-vaccin, devenue virale sur Internet », dit le communiqué.
Les vaccins ne sont même pas approuvés que la TNI s’alarme déjà de messages sur Internet qui « cherchent à minimiser les risques du coronavirus et suggèrent qu’une réalité sous-jacente se cache derrière le développement des vaccins »… comme si l’influence de Big Pharma n’existait pas !
Et le communiqué s’achève avec ces propos révélateurs de Noel Curran, directeur général d’un des partenaires de la TNI : « La confiance du public dans les vaccins est essentielle à leur adoption et à la réussite – ou non – de la lutte contre la propagation du virus. »
Bref, les dés étaient jetés pour la TNI : la vaccination était forcément la « solution à l’épidémie » et toute critique de cette « solution » allait être considérée par l’AFP, Reuters, AP et tous les partenaires de la TNI comme une dangereuse désinformation.
Quelques mois plus tard, la directrice de la TNI, Jessica Cecil, confirmera cette position en s’inquiétant que « les antivax utilisent souvent des sources fiables en apparence, comme des interviews avec des médecins. Et il y a souvent un grain de vérité dans ce qui est avancé. Ce qui rend plus difficile de démêler le vrai du faux »[13].
Ce qui revient à avouer que ces « maudits anti-vax » ont tendance à dire des vérités dérangeantes ! Mais pour la directrice de la TNI, ce serait une raison de redoubler de vigilance contre les « méchants » (je la cite : « bad guys ») qui « font de la désinformation ».
Mais encore une fois : qui sont ces gens qui croient savoir que les Pr Raoult, Perronne ou d’autres ont « tort », qu’il faut les censurer, et que ce sont les autres (provax) qui ont raison ? Personne ne sait, mais leur influence est majeure sur le paysage médiatique, car ils donnent l’apparence d’un consensus unanime et massif.
Et l’une de leurs armes favorites, pour « démêler le vrai du faux », ce sont les fameux « fact-check », comme AFP factuel.
Les « fact-checkeurs », nouveaux prêtres et gardiens du dogme
« AFP Factuel » est l’organe de « fact-checking » de l’AFP, créé en 2017 pour lutter contre les « désintox ». En plus des fameuses « dépêches AFP » (dont on a vu les biais), les articles d’AFP factuels sont devenus un levier puissant de la diffusion d’une pensée unique.
Le « fact-check » est à la mode : l’agence Reuters aussi s’est dotée de son propre site de « vérification des faits », en 2020. Le problème est que ces « fact-checkeurs » ne se contentent pas de vérifier les faits bruts, loin de là. Au contraire, ils prétendent s’immiscer dans le débat scientifique, ils distribuent aux experts les bons et mauvais points et prétendent même trancher des débats scientifiques complexes !
Et souvent, ces fact-checks sont parfois franchement mensongers.
J’avais raconté dans Big Pharma Démasqué comment j’en avais moi-même fait les frais. J’avais écrit que l’étude française Discovery avait été stoppée sans raison valable au moment où elle commençait à montrer l’efficacité de l’hydroxychloroquine. C’était irréfutable[14], mais l’AFP Factuel a réussi à pondre un article expliquant que c’était faux[15] !
L’idéologie de ces fact-check va toujours dans le même sens : contre les traitements précoces (dont l’efficacité rendait la vaccination de masse totalement inutile), et bien sûr contre tout message négatif vis-à-vis des vaccins.
Prenez ce soi-disant fact-check d’AFP Factuel, diffusé en avril 2021 et intitulé « Vaccination, contagiosité et immunité : les infox virales d’un cardiologue américain »[16].
Dès le résumé, on voit l’ampleur du parti pris : « Une vidéo d’un cardiologue américain affirmant qu’il n’existe aucune « justification scientifique » de vacciner les moins de 50 ans et les patients guéris du Covid a été partagée plus de 20.000 fois sur Facebook depuis le 29 mars. Mais ces affirmations sont erronées, expliquent plusieurs experts à l’AFP. »[17]
Or, les affirmations de ce cardiologue se sont révélées parfaitement exactes ! Quantité d’études ont prouvé que l’immunité naturelle était plus fiable que l’immunité vaccinale, comme on pouvait s’y attendre. Et dans la mesure où la vaccination n’a manifestement pas freiné l’épidémie, il n’y avait en effet aucune raison valable de vacciner les moins de 50 ans en bonne santé.
Le problème n’est même pas que ce cardiologue avait raison : le problème est que l’AFP a cru pouvoir trancher le débat scientifique de façon aussi brutale et cavalière.
Car cela a des conséquences majeures sur ce qui apparaît dans les médias, via la TNI et l’influence de l’AFP auprès des journalistes : c’est ainsi que les thèses critiques très solides, mais qui n’allaient pas dans le sens du « tout vaccin », comme celles de ce cardiologue, ont été considérées comme de la « désinformation » et n’ont été relayées sur aucune grande antenne.
Et voilà comment les dizaines de millions de citoyens français qui s’informent via les journaux de TF1, France 2, ou même RTL ou France Inter, n’ont jamais entendu ces critiques justifiées de la vaccination de masse.
C’est d’autant plus grave que l’influence de la TNI ne s’arrête pas aux médias « mainstream » : le rôle de l’AFP et des fact-checkers est aussi de faire la police sur les réseaux sociaux !
La presse et Big Tech, alliés pour étouffer les voix dissidentes
La « police des réseaux sociaux » a commencé en 2017, avec l’alliance de Facebook et de 8 sites de fact-checking français, dont l’AFP. Il s’agissait d’éliminer de Facebook les affirmations considérées comme « fausses » par ces fact-checkers « officiels ».
Puis, cette tendance « policière » n’a pas cessé de s’accélérer. La TNI, lancée en 2019 rassemble comme on l’a vu les géants Facebook, YouTube, Google et Twitter, avec l’objectif de censurer sur leur plateforme tout ce que la TNI estime être de la « désinformation ».
En avril 2020, l’AFP est allée un cran plus loin : « L’AFP lance aujourd’hui un partenariat inédit avec Facebook en France, avec une campagne de vidéos didactiques sur les fausses informations au sujet du Covid-19. »[18]
Même chose en 2021, avec Google cette fois : « l’AFP et Google France lancent un projet de lutte contre les fausses informations »[19]. Et cela va bien au-delà du « fact-checking ».
Ce partenariat vise aussi à créer « une plateforme collaborative pour échanger entre membres de l’alliance qui inclura un dispositif de signalement de contenus faux ou trompeurs pour le grand public et qui alimentera toutes les rédactions partenaires. »
Signaler le faux et « alimenter toutes les rédactions partenaires » : voilà encore les ingrédients d’un unanimisme médiatique construit de toutes pièces. De plus, il est prévu « des réunions thématiques mensuelles animées par l’AFP avec la participation d’intervenants et d’experts extérieurs ». Une belle manière de désigner aux journalistes quels experts « disent le vrai » et auront voix au chapitre dans les médias… et sur les réseaux sociaux.
Et voilà comment se construit un narratif médiatique, diffusé dans tous les organes de presse et les grandes plateformes comme YouTube, Facebook ou Twitter comme s’ils agissaient de façon indépendante.
Le résultat est dramatique pour le pluralisme de la presse et des opinions – et cela ne fait que s’aggraver avec le temps. Car la censure est de plus en plus serrée !
C’est ainsi qu’en 2022, plusieurs documentaires excellents sur les dangers de l’aluminium vaccinal ont été supprimés de YouTube sans préavis… alors qu’ils étaient hébergés sans problème sur cette plateforme depuis des années[20]. YouTube est allé jusqu’à supprimer, en 2022, une conférence du plus grand spécialiste de l’aluminium au monde, le Pr Chris Exley, réalisée au Sénat en 2017[21].
Pendant la crise Covid, on a atteint des sommets dans la censure (et le ridicule) avec la décision de Facebook de censurer un article du British Medical Journal (BMJ), simplement parce qu’un vulgaire site de « fact-checking » avait conclu qu’il s’agissait de désinformation[22].
Il faut dire que cet article du BMJ, parfaitement exact, mettait gravement en cause Pfizer et la validité de l’essai clinique sur son vaccin anti-covid, sur la base des révélations d’une lanceuse d’alerte qui a observé des « fraudes » sur l’un des sites de l’essai (Ventavia).
Le British Medical Journal, un des journaux médicaux les plus prestigieux au monde, a contre-attaqué en qualifiant le fact-checking de « inexact, incompétent et irresponsable », mais le mal était fait auprès du grand public.
Pour couronner le tout, les grands réseaux sociaux ne se contentent pas de faire la police sur leur plateforme : ils cherchent aussi à étouffer les médias indépendants qui diffusent des idées contraires au narratif officiel.
C’est ainsi que le géant Google a décidé de supprimer ses publicités de France Soir, le privant d’une source essentielle de revenus, à la suite d’une émission de France 2 dénonçant les sites soi-disant « complotistes ».
Et voilà comment une sorte de Pravda s’est installée, sur les questions vaccinales, en Occident.
On l’a vu, les rouages de cette Pravda sont variés et complexes : conformisme, influence des États et des milliardaires qui possèdent les médias, travail de l’ombre des RP payés par Big Pharma, idéologie des agences de presse, complicité des réseaux sociaux.
Mais le résultat est là : pour le citoyen lambda, il n’y a qu’une seule vérité vaccinale dans les médias et les grands réseaux sociaux.
Le résultat est bien pire que celui de la Pravda de l’URSS, dont tout le monde savait qu’elle était directement rédigée par le pouvoir soviétique.
Les médias occidentaux, eux, présentent l’apparence du pluralisme et de la diversité, ce qui donne à leur narratif une force beaucoup plus importante.
Mais, au moins sur les sujets de vaccination, il faut arrêter d’être dupe.
53 Responses
Infirmiere , je pensais au début de la pandémie que les médias disaient la vérité et peu à peu avec les effets secondaires des vaccinations le doute a commence à germer, j’ai acheté les livres du prof Raoult , et Peronne et à présent je suis le CSI et suis effarée par ce qui se passe ; même dans ma famille et avec certains de mes amis il est impossible de leur ouvrir les yeux , moi même je suis vaccinée par obligation car je vis seule et donc aurais été sans aucune ressource et avec un crédit en cours ….. Guillain barre( confirme par 2 professeurs d’un hôpital des armées , des doubles phlébites , des arrêts de règles , des AVC comme jamais , des Zonas , et reprise de cancers …….avec un silence …. De mort du corps médical pour déclarer ces cas du coup j’ai lu : the great reset et je ne peux m’empêcher de penser que cette pandémie provient artificiellement de l’homme et avec pour seule objectivité : la RENTABILITÉ
Plus rien ne m’étonne et après on vilipende Poutine lui au moins on sait ce qu’il vaut.
Je ne suis pas vaccinée et je ne risque pas de l’être de si tôt.
Merci continuez à nous informer
Tout cela est écœurant, à faire vomir et en arriver à une révolution comme pour Louis XVI.
A vous lire
on a l’impression que c’est de la faute des Agences de presse. Désolé, si elles chapeautent la diffusion d’informations, elles ne sont en aucune manière responsable de la désinformation de nos médias.
N’étant pas journaliste, j’ai pu me faire une opinion moi-même.
Il y a bien une continuité idéologique dans les médias pour qu’ils diffusent du prêt-à-penser.
Eux seuls sont COUPABLES en premier lieu
bonjour cet article parfaitement argumenté ne nous apprend rien que nous savions déjà !!ce qui démontre que les résultats de l ‘élection présidentielle a bien aussi été truquée !!!ils ont manipulé les résultats c ‘est une évidence!! avec les machines dominion achetées juste au moment où ZEMMOUR allait annoncer sa candidature novembre 2021 !!!il fallait tout faire pour le dégringoler!!!c ‘est fait !avec l ‘immense appui des merdias évidemment !!De même pour le coronavirus inventé de toute pièce à DAVOS puis en labo en CHINE financé par les budgets USA FRANCE ALLEMANGNE CHINE pour expérimenter la soumission de l ‘humanité à la puissance destructrice de quelques milliardaires illuminés en mal de sensations fortes!!!!et de recherche de pouvoir absolu!!!!c ‘est fait !!ceux qui à moins de 50 ans ont été vaccinés contre leur volonté sous peine de perdre leur job doivent se révolter contre cette inquisition sanitaro politico mondialiste dont les vaccins reconnus non fiables et portés à la charge des contribuables sans leur consentement furent l ‘arme à tuer la plus efficace au monde !!!
Dommage que l’argent passe avant la santé et que nous sommes pris pour des moutons , on nous ment sur tous les médicaments chimique
Bonjour,
Merci beaucoup pour ce travail, pour la forme et le fond de cet article, très bien écrit et qui se lit donc facilement et agréablement, et qui dresse un état des lieux du sujet clair et argumenté.
Bonne journée à vous monsieur Bazin, ainsi qu’à tous vos lecteurs.
Cordialement,
Vic.
Toulouse.
En couverture de son n° 1808, semaine du 1er au 7 Juillet 1999, le « Nouvel Observateur » disait ceci, accompagné des photos de Serge Dassaultt, de J.J. S.S. (Jean-Jax=cques Servan-Schreiber) et de ??? : « Danger pour la démocratie – ILS TIENNENT LES MéDIAS – Ces grands patrons peuvent contrôler l’information ». Plusieurs articles développaient ce sujet, signés d’auteurs divers, dont Laurent Joffrin. « Ils » ne peuvent pas, ils ne font plus ou moins que ça depuis longtemps et pas seulement ceux cités ici, sans autres précisions ici aussi, mais le passé, même lointain, doit le montrer doit le montrer. C’est bien pratique de crier « Haro sur le baudet », quand on dispose de moyens de diffusion en masse d’informations, si on peut appeler ça comme ça, pour le moins biaisées. Sauf erreur, il y a peu, il était question de la liberté de la presse parmi les journalistes. Ca n’était pas celle d’adhérer à une presse à sens unique ayant toute liberté pour diffuser n’importe quoi auprès d’un public trop facile à convaincre du bien-fondé des articles répétant comme des perroquets – qui « parlent « , qui émettent des sons, san savoir ce que ça veut dire – ce que d’autres veulent qu’ils disent et qui y trouvent (les journalistes en question et surtout, ceux ui tirent les ficelle), leur intérêt, comme ça doit avoir été le cas de Laurent Joffin en 2022 si l’on doit croire l’article qui lui est consacré sur la page Internet suivante :
» Laurent Joffrin : Le journaliste français le mieux payé en 2022
fr.mediamass.net › people › laurent-joffrin › plus-gros-salaire
D’après les calculs, le journaliste-entrepreneur pèserait près de 275 millions d’euros. Outre ses gains professionnels il devrait son immense fortune à de … »
« Vous vivez nos informations. Nous en vivons » Grassement, apparemment.
Dans une émission TV tardive des années 90, l’un des intervenants disait : « Nous sommes dans une époque de grande crédulité ». Nous y sommes toujours. Il est vrai que l’inculture (organisée ? Si le bon peuple devient aussi savant que « nous », qu’allons-nous devenir. Il ne ‘’nous ‘’ croira plus », etc., etc.) et la crédulité doivent être plus ou moins monnaie courante, ce qui, évidemment, profite aux petits et grands malins, manipulateurs de foule et d’opinion.
Mais le bon peuple n’est pas forcément aussi ignorant que ça. Quoi que, vu comment « le Mamouth » — avec des ministres qui font trois petits tours et puis s’en vont, dont certain(s) se font payer des cours dont il(s) [sont] absent(s) [« Ô Ministres intègres… »] — instruit les enfants depuis longtemps, selon l’idéologie du moment… Mais, si parmi tous les « instructibles », un plus ou moins grand nombre d’entre eux, depuis quasiment le berceau, n’y échappe pas, ça n’est heureusement pas le cas de tous.
Savoir, c’est pouvoir, mais savoir quoi et en faire quoi ? Quelque chose fait pour servir ceux au service desquels sont et devraient être absolument ceux dont c’est le métier, la fonction dans le société, qui devrait les obliger à faire et à assumer, sans restriction, ou quelque chose fait pour se servir jusqu’à plus soif en faisant du bon peuple, par ailleurs taillable et corvéable à merci, un troupeau de moutons dignes de ceux de Panurge ?
Quelqu’un a fait remarquer récemment que nos « élites » étaient, elles-mêmes de plus en plus incultes et on peut se demander pourquoi certains chefs d’Etat ont besoin de conseillers et de « nègres » pour écrire leurs discours. Quant à dire que les promesses n’engagent que ceux qui y croient, ça n’est rien d’autre qu’un aveu de culpabilité.
Par ailleurs, il est fort à parier qu’aucun de ces beaux messieurs et de ces belles dames qui veulent nous faire avaler des couleuvres à propos des pseudos-vaccins, ne sont, eux-mêmes et elles-mêmes, pas vaccinés. Ils et elles ne sont pas fous, à cet égard au moins.
Hahnemann, à qui l’on doit l’homéopathie a d’abord fait des expériences sur lui-même, pas sur ses proches ni sur autrui. : femmes, enfants, adolescents, jeunes adultes, adultes, personnes âgées… Le trop fameux dicteur Mengele n’a pas fait d’expérience sur lui-même. Rien que d’y penser, il aurait fait une crise cardiaque et en serait mort. Dommage qu’il n’en ait pas été ainsi. Ca aurait évité quelques dommages « collatéraux ».
Quid à ce sujet en ce qui concerne ces beaux messieurs et ces belles dames, responsables directs de la situation actuelle ou « followers » inconditionnels du dogme du vaccin à tout prix, quel qu’en soit et en sera justement, dans un futur peut-être pas si lointain, le prix à payer.
Mais alors, en ce temps-là, sans doute que « nous serons morts, mon frère ». Ca vaudra peut-être mieux ? Sinon, comme le disait Tiger Tanaka à James Bond (on a les références qu’on peut, mais Elizabeth II apprécie beaucoup James Bond, alors…) : « On ne vit que deux fois », ou si on vit plus que deux fois, « en ce temps-là », ça sera quand ? Dans mille ans ?
La Nature reprendra toujours ses droits. Elle nous attend au tournant et elle a tout son temps, Elle, et parler come en ce moment de « retour à la Nature » est une stupidité. On aura beau faire, on ne pourra jamais sortir de la Nature. Nous ne sommes que des fétus de paille par rapport à Elle.
On ne pourra jamais faire tourner le soleil dans un autre sens que dans celui qui est le sien, etc.
La Nature, de même que la Vérité, est, disait Francis Bacon, le philosophe pas le peintre, fille du Temps.
J.-L. Abraham
On comprend comment il a été réélu…parce qu’il nous font avaler des couleuvres et que le mensonge et la désinformation sont leurs ADN de survie
Et comment que cette lettre m’a plu ! J’ai un cher neveu journaliste photographe qui a une confiance en l’AFP et nos grands titres qui confine à la foi et pour lequel une femme, octogénaire, vivant dans un petit village paumé, ne peut être que la proie du complotisme. J’essaierai d’obtenir qu’il lise jusqu’à la fin votre lettre : je resterai dans son dos avec ma kalachnikov, mais il se peut que ça ne l’impressionne pas outre mesure, avec ce qu’il est en train d’expérimenter en Ukraine. En voilà un, du moins, qui va voir sur place !