Cher(e) ami(e) de la Santé,
Je n’ose pas encore y croire.
Mais c’est presque fait.
Sauf mauvaise surprise, Robert Kennedy Junior devrait être le prochain ministre de la Santé des États-Unis.
C’est fou, révolutionnaire, fantastique.
Cela pourrait tout simplement changer notre vie.
Je vais vous expliquer pourquoi.
Et ce sera ma façon de vous souhaiter une très belle année 2025, sous le signe de l’espoir.
Car derrière tous les nuages gris du moment, il y a bien un rayon de soleil « Kennedy ».
Kennedy : un pionnier de la défense de l’environnement, apprécié de (presque) tous
Robert Kennedy a d’abord connu son heure de gloire comme avocat pour la protection de l’environnement.
Ses succès sont multiples et remarquables :
Il a contraint la multinationale General Electrics à dépolluer la rivière Hudson.
Il a empêché la création d’un vaste parc d’éoliennes au large de Cape Cod, qui aurait causé des ravages pour l’environnement local et contribué à l’extinction des baleines noires.
Il a combattu Monsanto et défendu les victimes du Round-Up (glyphosate).
Compétent et populaire, il a failli être choisi par le démocrate Barack Obama en 2008 pour diriger l’Agence de l’environnement (EPA) aux États-Unis.
Mais un article qu’il avait publié en 2005 sur les vaccins a empêché sa nomination.
Trop controversé.
Pourtant, Kennedy n’a jamais été un « antivax ». Il a vacciné ses enfants sans se poser la moindre question.
Mais un jour, alors qu’il se battait contre les centrales à charbon qui rejettent du mercure…
… des parents d’enfants victimes de vaccins l’ont interpellé.
Monsieur Kennedy, vous qui vous inquiétez du mercure dans l’environnement, trouvez-vous normal qu’on injecte ce poison à des bébés qui viennent de naître ?
C’était au début des années 2000.
À l’époque, plusieurs vaccins infantiles contenaient en effet du mercure (thimerosal), utilisé comme conservateur.
Alors Kennedy s’est penché sur ce sujet.
Et très vite, il a rendu publique une véritable bombe.
Coup de tonnerre : Kennedy dénonce la supercherie de Simpsonwood
En 2005, Robert Kennedy Junior publie dans la presse un article choc intitulé Immunité mortelle[1].
Il y dénonce l’énorme scandale de la « conférence de Simpsonwood ».
Je l’ai raconté en détail ici, mais je le résume ici en quelques mots.
À la fin des années 1990, un chercheur nommé Thomas Verstraeten fait une terrible découverte.
Il travaillait au sein de la principale agence de santé américaine sur les maladies infectieuses (les CDC). Celle qui émet les recommandations vaccinales pour les Américains.
Et il découvre que le vaccin contre l’hépatite B, contenant du mercure, est associé statistiquement à une augmentation dramatique du risque d’autisme.
Dans son rapport final, il va même jusqu’à trouver une multiplication par onze du risque d’autisme pour les nourrissons les plus exposés au mercure vaccinal dès l’âge de 1 mois.
Mais savez-vous comment l’agence a réagi à ces résultats dramatiques ?
En l’an 2000, les CDC convoquent un séminaire secret de deux jours à Simpsonwood, en Géorgie. L’agence réunit les plus grands experts des vaccins, des représentants de Big Pharma et des autorités de santé du monde entier.
Cinq ans plus tard, Robert Kennedy mettra la main sur la retranscription de ce qui s’est dit et le publiera dans la presse.
En fait, tout ce beau monde a décidé d’étouffer l’affaire.
Le docteur Bob Chen, chef de la sécurité des vaccins aux CDC, a exprimé son soulagement que, « vu le caractère sensible de ces informations, elles ne soient pas tombées dans des mains, disons, moins responsables » (sous-entendu, les méchants antivax qui auraient pu s’en servir).
Dans la foulée, le CDC a supprimé le rapport de Verstraeten, et fait comme s’il n’avait jamais existé. Quant à Verstraeten, il a été engagé par le géant des vaccins GSK, manifestement pour acheter son silence.
Mais cette affaire a permis à Robert Kennedy de découvrir de ses propres yeux le niveau invraisemblable de corruption dans le monde vaccinal.
Sa carrière en a souffert, mais pas sa détermination.
Dans les années 2010, Kennedy s’engage pour la santé des enfants
En 2018, il annonce la création d’une organisation vouée à la défense de la santé des enfants (Children Health Defense).
Le communiqué de presse de l’époque montre l’ampleur du désastre aux États-Unis :
« Les taux d’autisme atteignent jusqu’à 1 garçon sur 28 dans certains États ; 1 enfant sur 6 présente un trouble de l’apprentissage ou du comportement ; 1 enfant sur 9 souffre de troubles du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).
Les allergies alimentaires, y compris les réactions anaphylactiques graves, ont augmenté de 50 % entre 1997 et 2011. L’année dernière, plus de 15 000 enfants ont été diagnostiqués avec un cancer. Il y a une épidémie de maladies auto-immunes comme le diabète, la polyarthrite rhumatoïde et l’eczéma, et la moitié des adolescents américains ont souffert de troubles mentaux, émotionnels ou comportementaux. »
Ces chiffres sont terrifiants – et la tendance est la même en France, même si la situation est moins dramatique.
D’où cette interpellation de Robert Kennedy Jr, au moment de créer son organisation de défense des enfants :
« Pourquoi nos agences fédérales ne posent-elles pas la question essentielle : ‘Qu’est-ce qui rend les enfants malades ?’
Nous avons besoin de connaître cette réponse, et nous devons cesser d’exposer nos enfants à ces dangers dès aujourd’hui. »
Ces dangers, ce sont certainement la malbouffe, les pesticides et les perturbateurs endocriniens. Probablement aussi les ondes électromagnétiques, notamment in utero.
Mais ce sont aussi les vaccins infantiles, en particulier ceux qui contiennent de l’aluminium.
Le problème est que les études sur ce sujet sensible sont éludées ou étouffées[2].
Jusqu’à présent, en tout cas.
En 2025, Robert Kennedy sera le « chef » de toutes les agences de santé aux États-Unis.
Il pourra donc faire enfin toute la lumière sur ce qui « rend les enfants malades ».
Et il pourra forcer les agences comme les CDC à livrer toutes les informations sensibles, celles que l’agence prenait garde à ne pas faire « tomber dans des mains moins responsables ».
Nous en saurons donc beaucoup plus sur les effets indésirables des vaccins.
Nous en saurons aussi davantage sur les dégâts causés par les multiples produits chimiques dispersés dans notre environnement.
Rien que ça serait un progrès immense pour notre santé.
Mais ce n’est pas tout.
Avec Kennedy, c’est l’emprise de Big Pharma sur la santé mondiale qui pourrait se desserrer.
Pendant le Covid, Robert Kennedy Jr s’est radicalisé – comme moi !
Fin 2021, Robert Kennedy a publié un ouvrage extraordinaire sur la période Covid.
Traduit par Marco Pietteur, ce pavé de plus 500 pages est intitulé en français : Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique.
On peut difficilement choisir un titre plus « complotiste », n’est-ce pas ?
J’avais lu ce livre en quasi-intégralité à l’époque, mais j’ai demandé à mon assistant ChatGPT de vous faire une synthèse des positions les plus controversées de ce livre.
Jugez-en plutôt : cela va exactement dans le même sens que mon livre Big Pharma démasqué, que j’avais publié 6 mois plus tôt :
Voici donc les thèses principales du livre de Robert Kennedy Jr :
- Critique de la gestion des maladies infectieuses:
Kennedy accuse Anthony Fauci d’avoir orienté la recherche et les politiques de santé publique vers des solutions lucratives (comme les vaccins) au détriment de traitements moins coûteux mais potentiellement efficaces.
Il critique une approche qu’il juge dominée par des intérêts financiers, notamment la dépendance à Big Pharma pour le financement de la recherche et des essais cliniques.
- Conflits d’intérêts entre Big Pharma et les agences de santé publique :
Kennedy met en lumière des liens financiers étroits entre les agences gouvernementales (telles que le NIAID dirigé par Fauci) et les grandes entreprises pharmaceutiques.
Il souligne que les agences, dont le rôle devrait être de réguler, possèdent souvent des brevets sur des médicaments ou vaccins, créant un conflit d’intérêts systémique.
- Répression des traitements alternatifs :
L’auteur affirme que des traitements précoces comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont été délibérément discrédités, non pas en raison de preuves d’inefficacité, mais pour protéger le marché des vaccins et des médicaments brevetés.
Il critique ce qu’il considère comme une suppression de données scientifiques favorables à ces traitements.
- Bill Gates et son influence mondiale sur la santé :
Kennedy critique Bill Gates pour avoir utilisé sa Fondation comme un moyen de promouvoir des vaccins à l’échelle mondiale, parfois au détriment d’autres approches (comme les investissements dans l’infrastructure sanitaire locale).
Il allègue que Gates a contribué à une dépendance croissante des systèmes de santé mondiaux à l’égard des entreprises pharmaceutiques.
- Gestion de la pandémie de COVID-19 :
Kennedy critique la réponse mondiale au COVID-19, la qualifiant de centralisée et autoritaire.
Il s’oppose aux confinements, qu’il perçoit comme des mesures qui ont enrichi les grandes entreprises (notamment technologiques et pharmaceutiques) tout en appauvrissant les classes moyennes et les petites entreprises.
Il dénonce également la censure des voix dissidentes sur des sujets liés aux vaccins et à la gestion de la pandémie.
- Politique des vaccins :
Kennedy critique le développement accéléré des vaccins qu’il considère comme insuffisamment testés.
Et il critique le manque de transparence sur les effets secondaires.
- Influence des médias et censure :
Kennedy accuse les grands médias et les plateformes technologiques d’avoir participé à une campagne coordonnée pour censurer les voix critiques de la gestion de la pandémie et des vaccins.
Il allègue que cette censure sert les intérêts financiers des grandes entreprises et des élites mondiales.
Waouh !
Vous vous rendez compte que c’est cet homme-là qui pourrait bientôt diriger la Santé aux États-Unis !?
Kennedy, beaucoup mieux que Raoult ?
Selon certains, c’est comme si le Pr Raoult devenait ministre de la Santé.
Mais si vous voulez mon avis, c’est encore beaucoup mieux !
- Car le Pr Raoult est d’abord un immense chercheur et médecin, sans véritable attrait ou compétence pour la « politique ». De son côté, Robert Kennedy Jr, neveu de JFK et fils de Robert Kennedy, sait parfaitement comment naviguer dans les eaux troubles du pouvoir, ce qui est capital pour réussir à faire changer les choses !
- De plus, le Pr Raoult n’est pas indemne de la religion vaccinale : il soutient des vaccins douteux comme le Gardasil, contrairement à Robert Kennedy qui a démontré point par point à quel point ce vaccin était risqué et mal évalué[3].
Et surtout, Robert Kennedy est davantage ouvert aux médecines naturelles que le Pr Raoult !
Dans un éditorial publié en septembre dernier, il a déclaré vouloir que :
« La moitié du budget de la recherche en santé soit consacrée aux approches préventives, alternatives et holistiques »[4].
S’il y parvient, ce serait une véritable révolution !
Car il faut savoir que les budgets publics consacrés à la recherche sont considérables aux États-Unis.
Ils influencent la recherche scientifique dans le monde entier.
Or, jusqu’à présent, les « approches préventives, alternatives et holistiques » étaient totalement négligées.
L’industrie pharmaceutique, qui n’avait rien à y gagner, n’investissait pas un kopeck sur ces approches.
Et les agences gouvernementales, largement influencées par Big Pharma, ne les finançaient qu’au compte-goutte.
Libérer les financements sur la santé holistique pourrait être un tournant historique.
Le monde entier pourrait se rendre compte, enfin, de l’impact thérapeutique majeur :
- De l’alimentation et de certains régimes spécifiques (jeûne, régime Seignalet, cétogène)…
- De l’activité physique, de la méditation et des techniques de gestion du stress ;
- De la micronutrition (vitamines B, C, D, minéraux comme le zinc et magnésium, etc.) ;
- Des plantes médicinales et des huiles essentielles ;
- Etc.
C’est tout simplement magnifique, inespéré !
Bien sûr, Big Pharma ne se laissera pas faire.
Robert Kennedy Jr devra surmonter de gros obstacles pour réussir.
Mais en ce début de nouvelle année, rêvons un peu.
2025 pourrait vraiment être l’année du renversement de la médecine « Big Pharma », au profit de la médecine intégrative – la médecine qui intègre la puissance des médecines naturelles !
Avec cet immense espoir en tête, je vous souhaite à tous une merveilleuse année !
Prenez soin de vous,
Xavier Bazin
PS : Et vous, comment abordez-vous cette année 2025 ?
Avec crainte ? Avec espoir ? Pourquoi ?
Dites-moi tout, en commentaire de cet article !
Merci et bonne année !