Un rédacteur en chef de BFM TV juge que je n’ai pas la « légitimité » pour mériter d’être invité. Voici ma réponse.
Mon éditeur m’a transmis un message qui m’a fait chaud au cœur.
Ce message vient d’un professeur de médecine, Romain Gherardi.
Le Pr Gherardi, c’est lui :
Le Pr Gherardi, interviewé sur France 5 en 2016, à la sortie de son livre Toxic Story[1]
Romain Gherardi a dirigé un prestigieux centre hospitalier français sur les maladies neuro-musculaires. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans des revues médicales de premier plan (The Lancet, The New England Journal of Medicine, Brain, etc.).
Au début des années 2000, il s’est spécialisé dans la vaccination. En particulier dans les dégâts causés par l’aluminium contenu dans beaucoup de vaccins.
Son livre Toxic Story est une petite merveille (j’en avais fait un compte-rendu à sa sortie en 2016[2]).
Bref, le Pr Gherardi est un très grand expert des vaccins.
Voilà pourquoi j’ai vraiment été heureux de lire ce message qu’il a adressé à mon éditeur :
« Je viens de terminer la lecture d’« Antivax toi-même » que vous m’avez adressé et je tiens à féliciter Xavier Bazin pour ce remarquable travail.
Aucun lecteur s’il est informé et sincère ne pourra nier la pertinence des critiques formulées sur le système mis en place pour promouvoir le tout vaccinal et museler tout débat contradictoire sur le sujet.
Je mesure la somme énorme de travail que cet ouvrage a demandé à son auteur pour compiler une documentation rare et hyperpointue et polir un ouvrage parfaitement clair et passionnant à lire.
Bravo ! Et vive la liberté d’expression !
Romain Gherardi. Professeur émérite »
L’une des forces du Pr Gherardi est qu’il est totalement indépendant de l’industrie pharmaceutique.
C’est extrêmement rare dans le monde vaccinal. Mais il n’est pas totalement seul.
C’est le cas aussi du Dr Michel de Lorgeril, épidémiologiste chevronné, chercheur CNRS, qui a écrit plus de 10 livres sur les vaccins.
Et comme le Pr Gherardi, Michel de Lorgeril a eu des mots très élogieux sur mon livre Antivax toi-même !, dans la préface qu’il a bien voulu rédiger.
Cela fait déjà deux bonnes raisons de reconnaître que j’ai une « légitimité ».
Si deux grands experts indépendants comme le Pr Ghérardi et le Dr de Lorgeril défendent mes travaux, c’est qu’ils sont sérieux.
A minima, cela veut dire qu’ils sont bien argumentés, bien sourcés et sans faille évidente.
Mais je voudrais aller un cran plus loin.
Je voudrais vous expliquer pourquoi, même si je ne suis ni docteur en médecine, ni expert en immunologie, je suis capable de parler de la vaccination avec compétence, sans rougir devant les grands « pontes ».
Mais d’abord, peut-être vous posez-vous la question : pourquoi est-ce que je ressens soudain le besoin de me justifier ?
BFM TV ne m’invitera jamais, au prétexte que je n’ai pas de « légitimité »
A la sortie de mon livre, j’ai subi une attaque en règle de Raphaël Grably, rédacteur en chef adjoint au sein du groupe BFM TV.
Suite à mes critiques du vaccin Gardasil contre les papillomavirus, il a violemment réagi sur Twitter, écrivant que mon propos « peut littéralement coûter la vie à des jeunes femmes potentiellement touchées par le cancer du col de l’utérus »[3].
Un peu plus tard, un brin provocateur, je lui ai demandé quand BFM TV comptait m’inviter pour parler de mon nouveau livre, Antivax toi-même.
Voilà sa réponse, toujours sur Twitter :
Le sujet de ma « formation » me paraît vraiment à côté de la plaque.
Quel pourrait être l’intérêt de savoir quelle formation j’ai suivie à l’âge de 20 ans, si mes écrits, aujourd’hui, reçoivent la caution de grands experts indépendants ?
Cela dit, je vais quand même lui répondre.
J’ai fait Sciences Po Paris, et en suis sorti dans le top 10 %. Cela ne me donne pas de légitimité particulière (j’observe avec désolation que la majorité de mes anciens camarades n’ont AUCUN esprit critique), mais cela suggère que j’ai la capacité d’analyser des données complexes.
Ce n’est pas ma « formation » qui me donne la légitimité, mais une compétence spécifique que la plupart des médecins n’ont pas.
Pourquoi 99,9 % des médecins ne connaissent RIEN à la vaccination
Si j’avais un « Dr » devant mon nom – Dr Bazin ? – cela ferait « bien », certes, mais dans la réalité, cela ne me donnerait pas une once de légitimité supplémentaire.
Pour une raison simple : les médecins n’ont dans leur cursus qu’une poignée d’heures de cours[4] sur la vaccination en tout et pour tout !
Moi qui ai passé des milliers d’heures à étudier le rapport bénéfice-risque de nombreux vaccins, cela me donne une légère longueur d’avance sur la plupart des médecins !
Le pire est que les médecins croient savoir : la plupart d’entre eux sont certains que les vaccins sont « sûrs et efficaces »… mais ils ne l’ont jamais vérifié par eux-mêmes, ils se contentent de croire sur parole l’establishment médical !
D’accord, mais… les médecins ne sont-ils pas des spécialistes du corps humain ? Cela ne leur donne-t-il pas une légitimé pour parler vaccination ?
NON ! Pas du tout ! Je sais que c’est contre-intuitif, mais voici l’explication.
S’agissant des vaccins, le savoir médical de base est totalement inopérant pour déterminer s’ils sont sûrs et efficaces.
Ni la biochimie, ni la physiologie, ni la connaissance des maladies.
Pour évaluer un vaccin, il existe UNE SEULE compétence reine.
Certains médecins/chercheurs la possèdent, mais pas tous, loin de là.
Et à l’inverse, il n’y a pas besoin d’être médecin pour la maîtriser.
LA grande compétence nécessaire pour parler vaccin avec sérieux
Cette compétence, c’est de savoir lire et analyser les études scientifiques qui évaluent l’efficacité (et l’innocuité) des vaccins sur des êtres humains, et en particulier les essais cliniques et les études observationnelles.
C’est tout !
Aucune connaissance physiologique, aucune connaissance biochimique, aucune connaissance immunologique ne peut vous dire en soi si tel ou tel vaccin est sûr ou efficace.
En réalité, les seules données réellement utiles sont :
- celles issues des essais cliniques (quand on teste le vaccin sur des patients volontaires) ;
- et celles issues des études observationnelles, celles qui examinent ce qui s’est passé en « vie réelle », après avoir vacciné un certain nombre de personnes dans la population.
Donc, pour évaluer le bénéfice-risque de la vaccination, il suffit d’être particulièrement aguerri dans la lecture des essais cliniques et des études observationnelles.
Ce n’est pas facile, mais c’est à la portée de la plupart des gens ayant fait des études supérieures.
Je répète : il n’y a pas besoin d’avoir fait médecine pour cela, et ce n’est pas en fac de médecine qu’on apprend cela !
En revanche, cela exige du travail – beaucoup de travail – et de l’expérience.
Car pour se faire un avis sérieux sur un traitement médical, il ne suffit pas de lire les « résumés » (abstracts) des études publiées.
Prenez la fameuse étude frauduleuse du Lancet, concluant faussement à l’inefficacité et même dangerosité de l’hydroxychloroquine.
Elle est parue le 22 mai 2020. Trois jours plus tard, le 25 mai, je vous ai écrit que c’était une étude « poubelle » (en vous expliquant pourquoi[5]).
Au même moment, les grands pontes des plateaux de télé nous assuraient du contraire. Par exemple, le Pr Philippe Juvin expliquait sur CNews que l’étude était « très bien faite »[6].
Quelques jours après, le pot aux roses a été dévoilé : toutes les données de l’étude avaient été purement et simplement falsifiées.
Voilà ce qui me donne de la légitimité : je sais reconnaître une bonne d’une mauvaise étude.
Et c’est un savoir fondamental, surtout dans le monde des vaccins dans lequel il existe d’énormes pièges à connaître et à éviter.
Le piège le plus énorme : le biais des « vaccinés en bonne santé »
Le piège le plus basique – mais aussi le plus pernicieux – est de croire sur parole les études qui vous disent qu’un vaccin est efficace… simplement parce qu’on a observé que les personnes vaccinées sont moins souvent infectées par la maladie visée.
Bien sûr, si on observe cela dans le cadre d’un essai clinique bien conduit, c’est un argument fort en faveur de l’efficacité du vaccin.
Mais je vous rappelle que, s’agissant des vaccins, il n’existe quasiment aucun essai clinique bien conduit : la plupart des vaccins n’ont fait l’objet d’aucune étude randomisée contre placebo (c’est choquant, mais c’est un fait avéré[7]).
Donc, la plupart des études dont on dispose sont « observationnelles » : ce sont celles qui examinent si, au sein de la population, ceux qui ont choisi de se faire vacciner sont moins affectés que les non-vaccinés par la maladie visée.
Or cela se heurte à un biais ÉNORME.
Un biais ignoré par la plupart des médecins et chercheurs, qui oublient un fait capital, un fait qui change tout : le fait que ceux qui choisissent de se faire vacciner sont en moyenne en meilleure santé que les autres.
Quand on y réfléchit une seconde, c’est parfaitement logique : ceux qui respectent le plus les recommandations vaccinales sont ceux qui s’informent le plus auprès des médias dominants et font le plus confiance au « système », à savoir les catégories socio-professionnelles les plus favorisées… qui sont aussi en meilleure santé en moyenne.
(Certes, il y a une catégorie à part… dont vous faites peut-être partie, chers lecteurs : une catégorie d’un bon niveau socio-professionnel ET critique vis-à-vis de la vaccination… mais cette catégorie-là est très minoritaire et n’affecte pas vraiment la statistique moyenne).
A l’extrême opposé, parmi ceux qui se vaccinent le moins, on trouve majoritairement les personnes les plus en rupture avec la société ou la médecine (SDF, toxicomanes) – ou les plus isolées (pensez aux personnes âgées pauvres éloignées du système médical, qui ignorent qu’ils ont du diabète ou de l’hypertension).
De plus, pour prendre le temps de se faire vacciner, il faut avoir de l’énergie et se préoccuper de sa propre santé. A l’inverse, ceux qui sont déjà très affaiblis ou ceux qui n’attachent aucune importance à leur santé (en multipliant les comportements à risque, sexuels, alimentaires, addictifs, etc…) vont rarement faire l’effort de se vacciner.
Tout ceci a clairement été démontré pour le vaccin contre la grippe. Voici la conclusion de chercheurs qui ont examiné le profil de ceux qui choisissaient ce vaccin[8] : « ceux qui se vaccinent le plus sont ceux qui en ont le moins besoin », c’est-à-dire ceux qui sont en meilleure santé et moins vulnérables.
Pour enfoncer le clou, d’autres chercheurs ont eu la bonne idée d’examiner le nombre de morts de vaccinés et de non-vaccinés avant la saison grippale, donc au moment il n’y avait encore aucun cas de grippe[9]. Résultat : ils ont trouvé qu’il y avait déjà plus de morts chez les non-vaccinés, preuve que les non-vaccinés étaient plus fragiles que les autres dès le départ (et figurez-vous que, quand on retirait ce biais, on ne trouvait plus aucune efficacité au vaccin contre la grippe !).
Je pourrais multiplier les exemples.
Ainsi, dans la plupart des cas, on juge inutile de vacciner (contre la grippe ou le Covid) les patients en phase terminale de leur maladie.[10]. C’est du bon sens médical, mais cela biaise les statistiques d’efficacité vaccinale, car cela augmente artificiellement le nombre de morts « Covid » non vaccinés.
Donc, il faut avoir une méfiance immense vis à vis des études « observationnelles ». Surtout quand elles sont financées par l’industrie pharmaceutique, ou rédigées par des experts en conflit d’intérêts.
C’est pourquoi je n’ai jamais pris au sérieux les nombreuses « études » publiées en 2021 clamant l’efficacité des vaccins anti-Covid contre les « formes graves ».
Car il est très facile pour des statisticiens expérimentés de tordre les chiffres pour obtenir le résultat désiré – et d’autres que moi ont démontré les nombreux biais qui ont effectivement été utilisés pour faire croire à une haute efficacité vaccinale[11].
A l’inverse, les essais cliniques contrôlés – le meilleur niveau de preuve scientifique – n’ont démontré aucune efficacité des vaccins anti-Covid sur les formes graves.
Donc l’argumentaire vaccinaliste reposait uniquement sur des études comportant un haut risque d’être biaisées, avec souvent des auteurs en conflit d’intérêts avec Pfizer[12].
On manquait cruellement d’études fiables, et c’était une bonne raison de rester sceptique sur l’efficacité réelle de ces vaccins.
Voilà pourquoi il est crucial de bien connaître les « biais » des études scientifiques : c’est la condition sine qua non pour évaluer correctement l’intérêt des traitements médicaux et des vaccins.
Et sur ce sujet, je prétends avoir acquis au fil des années une compétence très significative – et c’est ce qui me donne ma principale légitimité.
Je le répète : ce n’est pas parce qu’on a étudié pendant 10 ans le fonctionnement du système immunitaire que l’on peut se permettre le moindre jugement crédible sur l’efficacité d’un vaccin.
Les « théories » sur ce qu’est « censé » faire un vaccin ne pèsent rien par rapport aux résultats réels observés sur des êtres humains.
Dois-je rappeler ces paroles incroyables du Dr Saluzzo, expert auprès de l’OMS et directeur de production des vaccins chez Sanofi pendant 10 ans ?
« Comment faire un vaccin ? C’est très intéressant, car on ne sait pas le faire. Il n’y a pas de recette. Chaque fois qu’il y a un virus nouveau qui arrive, c’est un problème. (…)
Pourquoi ? Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins est que l’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. (…) Quand un virus nouveau apparaît, on ne sait pas comment les autres vaccins ont marché et si on peut s’en inspirer »[13].
Cela paraît fou, mais c’est logique : le système immunitaire est le système le plus complexe de notre organisme… et il est encore largement incompris par la science moderne !
Rendez-vous compte : même le nombre d’anticorps que vous avez dans le sang ne peut pas vous dire de façon fiable si vous êtes protégé ou non de la maladie concernée[14].
C’est pourquoi, je le répète, le guide le plus sérieux en matière d’évaluation vaccinale, ce sont les essais cliniques et les études observationnelles qui évaluent la réalité des conséquences vaccinales sur des patients en chair et en os… et c’est bien cela qu’il faut savoir parfaitement lire et analyser.
Et voilà pourquoi, même si je ne suis ni chercheur, ni docteur, ni professeur, je prétends pouvoir vous parler vaccin avec sérieux et compétence !
Bonne santé,
Xavier Bazin
377 réponses
Vous n’avez pas à vous justifier même si j’adhère largement à votre argumentaire. Et puisque vous parlez d’études scientifiques, on pourrait élargir la remarque dans bien d’autres domaines.
Il est extrêmement difficile de produire une étude sans biais. D’autre part, une étude n’est valable que dans le scope qu’elle a choisi. Ainsi, si une étude porte sur la vitesse du vent dans l’oeil du cyclone, elle ne nous apprendra pas grand chose sur ce qui se passe en périphérie.
Finalement, les données et leur qualité sont un sérieux problème. Sans compter celles qui manquent tout simplement: on prétend par exemple qu’il n’y pas d’effets secondaires à long terme. Comment le savoir si la pharmacovigilance ne porte que sur une période entre 3 et 8 semaines au maximum ?
Mais on peut toutefois en tirer des enseignements à condition de garder un esprit critique. Et parfois on apprend le contraire de ce que l’étude souhaite démontrer.
N’étant pas médecin, tout comme vous, mais de formation scientifique supérieure dans un autre domaine, j’ai compilé des centaines d’études sur les vaccins Covid suite à des évènements graves dans mon entourage (je partage volontier si ça vous intéresse). Et j’ai beaucoup appris. Mon médecin aussi est tombé de sa chaise quand j’ai partagé avec lui certaines données.
D’autre part, si nous ne sommes pas médecins, nous gardons nos droits de patients dont celui au consentement éclairé.
Je vous propose donc de poser les questions suivantes à la personne qui va vous vacciner contre la Covid si vous avez opté pour une dose supplémentaire:
– Quelle est l’efficacité absolue contre une forme symptomatique avec le variant qui circule actuellement ?
– Quelle est l’efficacité absolue contre une forme grave avec le variant qui circule actuellement vu mon anamnèse ?
– Quelle est la durée de la protection ?
– Quels sont les effets secondaires potentiels et leur fréquence vu mon âge et mon anamnèse ?
Concernant le dernier point, je vous propose d’affiner:
– Combien de cellules de mon organismes vont entrer en contact avec une nano-particule lipidique contenant l’ARN messager et produire ainsi la protéine S modifiée ?
– Quelles cellules sont le plus susceptibles d’être affectées ?
– Qu’arrivera t’il a ces cellules une fois qu’elle auront produit cette protéine ?
– Si le système immunitaire devait détruire ces cellules, quels organes pourraient être affectés et quelle pourraient être les conséquences ?
Demandez des chiffres précis et prenez des notes, faites signer à la fin par le vaccineur.
S’il refuse, quittez la salle. S’il vous répond qu’il n’en sait rien, vous avez affaire à quelqu’un d’honnête.
Vous saurez alors que cette campagne vaccination manque de sérieux.
BFM TV est très ma placé pour juger les autres. Son patron, Patrick Drahi, est poursuivi en Suisse pour fraude fiscale: il risque un redressement de 7,5 milliards.
Alors patience, comme on le dit toujours, qui sème le vent finit par payer l’addition…
Monsieur Bazin, ayant passé près de 40 ans outremer, surtout en Nouvelle-Calédonie, je continue à m’intéresser à ce beau pays, et à lire en ligne le quotidien local. Quotidien non subventionné par l’Etat, précisons le, c’est important. Or, j’ai pu apprendre ainsi que le premier décès Covid dans cette île avait concerné un septuagénaire vacciné deux fois. Par la suite, le journal donnait régulièrement un suivi sanitaire, dans lequel le nombre de décès des vaccinés et non-vaccinés s’équilibrait régulièrement, à peu de chose près. Preuve, à tout le moins, de l’absence d’efficacité des vaccins.
J’ai 84 ans aujourd’hui, je n’ai accepté aucun de ces vaccins expérimentaux, la « crise » Covid m’a simplement affecté par la mise au ban relative de la société que j’ai subi, y compris de la part d’amis proches. En tant que bouc émissaire, j’ai pu ainsi approfondir les raisons qui ont poussé, pendant ma prime jeunesse, des individus apparemment normaux à s’en prendre aux boucs émissaires de cette époque là, qui eux n’étaient pas humiliés par un pass vaccinal, mais malheureusement pour eux par une étoile jaune. Et en déduire que « les heures les plus sombres de notre histoire », comme on le dit, peuvent hélas revenir à tout moment, par le fait de gouvernants avides de manipuler la société.
Le fait de ne pas avoir de titre de Dr, de Pr, de chercheur n’empêche pas d’être capable d’analyser, de comprendre, de conclure et de se faire une opinion sur les vaccins. Certains propos et certaines conclusions dérangent et ne rapportent pas d’argent à l’industrie pharmaceutique…
Des personnes comme vous sont plus légitimes que de nombreux Dr, Pr ou chercheurs – tous baignant dans la corruption !
Merci pour vos recherches et analyses !
Merci pour tout votre travail de qualité, les gens avec esprit critique savent reconnaître cette qualité, ce sera peut-être toujours une minorité mais quelle noblesse de préférer la vérité et qualité à la quantité… Je sais comme c’est sensible parfois de ne pas être reconnu, validé par plus de gens, mais si vous êtes en accord avec vous-même (et vous semblez tout à fait l’être), laissez tomber BFM :), laissez ces pauvres esprits jouer leur jeu entre eux et utilisez votre énergie pour continuer votre chemin lumineux.
Bien à vous,
Estelle
félicitation pour votre travail sérieux et honete
ma mère est décedé 8 jours après le vaccin de la grippe
on ne peut pas évaluer tous les dégats ocassioneé par les vaccins a court et long terme.
Lu, très très satisfait, dès 2020 j’ai refusé tous vaccin, oh que je suis satisfait.
Bravo et merci à Xavier Bazin.
Un seul mot me vient à l’esprit : Bravo !!! Et merci pour toutes les informations que vous nous apportez!!!
J’ai étudié la santé publique à l’EHESP et clairement on apprend que la santé a progressé grâce à d’autres politiques que celles relatives à la santé, comme l’assainissement, l’aménagement, les politiques sociales etc. Le poids de la vaccination dans l’histoire n’est pas celui que croit la plupart des médecins, malheureusement. Ce faisant, ils n’ont pas pu protéger leurs patients dans le moment critique que nous vivons. J’ai lu votre ouvrage anti vaxx toi-même que j’espère offrir à mon professeur de santé publique un jour. Pour l’heure, il reste hermétique.
Merci pour votre clairvoyance et honnêteté, c’est rassurant de savoir qu’il existe encore des gens posés et réfléchis face aux individus « achetés et cupides ».
Votre travail est exemplaire dans un monde de fake news
Pas surprenant de la part de BFM TV , mais il y a sûrement d’ autres chaînes dont l’ accès est possible ?
j’ai une amie qui s’est fait vacciner pour la première fois contre la griffe afin de protéger son époux qui est cardiaque , malheureusement suite a cette vaccination elle a contracté la maladie de guillain barré, elle a été paralysée durant 6 mois des membres inférieurs avec des difficultés d’expressions
Depuis sep 2021 après le vaccin moderna fait e juillet j’avais le pieds engourdis après le 2e vaccin en février 2022 je suis maintenant engourdie jusqu’à la taille avec des difficultés à uriner et aller à la selle tout est engourdie !!! Il paraît que ce serait pas l’effet du vaccin ??? J’ai 84 ans et étais en forme !!! Je ne conduis depuis septembre 2021 car je ne sent plus mes pieds ?? Si ce n’est les vaccins c’est quoi ??? J’ai fait de multiples examens rien !!! A part le neurologue qui vas me faire hospitaliser au Kremlin Bicêtre si ils me convoques j’attends ????