Parmi les manip’ qui masquent l’efficacité de la vitamine D, voici la plus « grosse » (et c’est le cas de le dire)

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Toutes les preuves sont là pour montrer que la vitamine D a un effet ÉCLATANT contre le cancer.

Et pourtant, les autorités sanitaires ne vous recommandent pas d’avaler de la vitamine D.

Ce n’est pas seulement qu’elles n’en parlent pas… elles vont jusqu’à vous le DÉCONSEILLER^[1] !

Donc, si je parviens à vous montrer que les autorités (et les médias) vous privent d’un remède naturel aux résultats ébouriffants contre le cancer…

… j’aurai fait d’une pierre, trois coups :

• J’aurai prouvé que nos autorités et médias sont « capturés » par l’industrie pharmaceutique ;
• J’aurai montré que des scientifiques peuvent tirer des conclusions à l’opposé de ce que montrent leurs propres recherches – signe que le monde scientifique est lui aussi sous emprise de la pharma ;
• Et les sceptiques pourront commencer à envisager que ce qui vaut pour la vitamine D vaut pour beaucoup d’autres remèdes, naturels (comme la quercétine, la mélatonine, la curcumine…), ou peu coûteux (comme l’ivermectine, l’hydroxychloroquine…). 

La vitamine D est à la fois une « exception » et un « grand révélateur ».

Elle est exceptionnellement efficace contre de très nombreuses maladies (cancer, maladies infectieuses, maladies auto-immunes, diabète, dépression, maladies cardio-vasculaires, etc.).

Et grâce à cette efficacité hors norme, la vitamine D a bénéficié d’un nombre lui aussi exceptionnel d’essais cliniques.

Exceptionnel, car les remèdes naturels sont généralement négligés par les chercheurs, pour la bonne raison que la recherche scientifique est financée en majeure partie par l’industrie pharmaceutique.

Mais la vitamine D est tellement prometteuse qu’elle a suscité l’intérêt de nombreux scientifiques indépendants à travers le monde, qui ont réalisé de nombreux essais cliniques.

Et ces études, en retour, ont permis de prouver scientifiquement son incroyable efficacité, au-delà de tout soupçon.

Oui, au-delà de tout soupçon, même si les autorités sanitaires et les médias disent le contraire.

Et si vous avez encore le moindre petit doute, ma lettre d’aujourd’hui devrait le balayer définitivement.

CHOQUANT : on a donné la même dose de vitamine D aux maigres et aux obèses !

Croyez-le ou non, mais dans la plupart des essais cliniques réalisés sur la vitamine D, on a donné la même dose à tout le monde.

Par exemple, les personnes qui mesurent 1 mètre 70 reçoivent la même dose de vitamine D :

• S’ils pèsent 60 kilos…
• Ou s’ils pèsent 100 kilos !

Avec 60 kilos, on a un indice de masse corporelle (IMC) de 21, c’est à dire « normal » (situé entre 20 et 25).

Avec 100 kilos, en revanche, on a un IMC de 35, c’est à dire une situation d’obésité (car supérieur à 30).

Est-il logique de donner la même dose de vitamine D dans ces cas si différents ?

Pas du tout !

C’est expliqué, noir sur blanc, par notre fameux « Haut Conseil de la Santé publique »… celui-là même qui vous déconseille d’avaler de la vitamine D.

Je vous cite ici l’intégralité de la section « surpoids et obésité » de leur rapport sur la vitamine D, car c’est crucial pour la suite de mon raisonnement :

« Les niveaux plus faibles de 25OHD sérique (c’est-à-dire la vitamine D dans le sang) observés chez les personnes obèses seraient dus au stockage de la vitamine D dans le tissu adipeux.

À exposition solaire ou supplémentation en vitamine D identique, la 25OHD augmenterait donc moins chez les personnes obèses que chez les personnes de poids normal.

Les personnes obèses auraient donc des besoins plus importants en vitamine D pour atteindre un niveau similaire de 25OHD »

On peut difficilement être plus clair : comme la vitamine D a tendance à être stockée dans la graisse, les personnes obèses ont besoin de davantage de vitamine D que les autres.

Je continue la lecture du rapport :

« Une étude récente a montré que la supplémentation en vitamine D devait être 2 à 3 fois plus élevée chez les individus obèses et 1,5 fois plus élevée chez les personnes en surpoids par rapport aux sujets de poids normal. A noter que ces doses plus élevées ne s’accompagnaient pas de risque d’hypercalcémie. »

Donc, on apprend ici qu’une personne obèse devrait prendre 2 à 3 fois plus de vitamine D que les personnes en poids normal ! Et que ces doses plus élevées sont sans danger !

Et pour finir :

« Chez les adultes obèses, l’US Endocrine Society recommande des apports compris entre 3000-6000 UI/j (soit 2 à 3 fois supérieur aux sujets de poids normal) pour une cible de 30 ng/mL.

Il n’y a pas à notre connaissance de politique de supplémentation médicamenteuse en vitamine D concernant les personnes obèses ou en surpoids en France mais ces études soulignent l’importance de prescrire des doses de vitamine D plus importantes chez ces sujets pour obtenir une cible identique. »

Il y a donc un consensus scientifique TOTAL : les personnes obèses ont besoin de PLUS de vitamine D que les autres.

Et pourtant, dans la plupart des études sur la vitamine D, on a donné la même dose à tout le monde… y compris dans la plus importante de toutes, l’étude VITAL.

Voici les VRAIS résultats de la vitamine D : ils sont à couper le souffle

Ces dernières semaines, nous avons disséqué en détail le plus grand essai clinique jamais réalisé sur la vitamine D où l’on a donné de la vitamine D à 13 000 participants, et un placebo 13 000 autres participants.

Le résultat global s’est avéré décevant : tous gabarits confondus, on n’a pas trouvé d’effet significatif de la vitamine D sur le risque de cancer.

Mais l’étude VITAL a fait apparaître un autre résultat, spectaculaire : la vitamine D a permis de réduire de 17 % le risque de mourir du cancer (et même de 25 % au bout de 2 ans).

De plus, en lisant bien, on se rend compte que ces 17 % à 25 % de réduction sont un strict minimum – la réalité étant certainement beaucoup plus favorable, vu le nombre de biais dans l’étude qui défavorisent la vitamine D^[2].

C’est déjà excellent, mais nous allons voir aujourd’hui que la réalité est encore plus belle.

Car dans l’étude VITAL, on a donné 2 000 UI de vitamine D à tous les participants, quel que soit leur poids.

Or notre Haut Conseil de la Santé public lui-même précise bien que les personnes obèses ont besoin de 2 à 3 fois plus de vitamine D que les autres (« 3 000 à 6 000 UI par jour ») !

Cela veut dire que les résultats de l’étude VITAL sur les personnes obèses ou en surpoids ne sont pas valables.

Autrement dit, le seul groupe qui a reçu une dose adéquate de vitamine D, c’est le groupe des personnes ayant un poids normal (IMC entre 20 et 25) !

Ces personnes sont au nombre de 8 000 en tout (4000 dans le groupe qui a reçu de la vitamine D, et 4 000 dans le groupe placebo) ce qui est suffisant pour avoir des résultats très représentatifs !

Et ces résultats sont… à couper le souffle.

Tenez-vous bien : les 4 000 participants qui ont reçu de la vitamine D ont eu 24 % de cancers en moins que les 4 000 membres du groupe placebo (et c’est statistiquement significatif)^[3] !

Donc, 1 cancer sur 4 évité avec 2 000 UI de vitamine D par jour pendant 5 ans, si vous n’êtes pas en surpoids !

C’est une formidable nouvelle ! (sauf pour l’industrie pharmaceutique)

Mais il y a encore plus beau.

Chez les participants ayant un poids normal, la mortalité par cancer est presque divisée par 2 !

Mais bizarrement, cette information ne figurait pas dans l’étude publiée !

Ils ont PLANQUÉ le fait que la vitamine D divise par 2 le risque de mourir du cancer !

J’ai bien regardé, et je n’ai trouvé cette information nulle part dans le fameux papier publié dans le « prestigieux » New England Journal of Medicine en 2018.

Ni dans le texte de l’étude, ni dans les graphiques, ni même dans les annexes^[4].

On a fait disparaître ces résultats exceptionnels, comme s’ils étaient… gênants !

Heureusement, tous les chercheurs ne sont pas corrompus.

Certains ont encore une conscience morale et professionnelle.

Et c’est ainsi que, parmi les 16 auteurs de l’étude, 7 d’entre eux se sont rebellés…

…et ont rédigé, de leur côté, une nouvelle analyse des résultats de VITAL, qu’ils ont publiée deux ans plus tard^[5].

Cette fois, ils y révèlent les chiffres « cachés »… et ils sont SPECTACULAIRES !

Parmi les 8 000 personnes ayant un poids normal, il y a eu :

• 24 cancers avec métastase dans le groupe vitamine D
• 39 cancers avec métastase dans le groupe placebo

Soit une réduction de 37 % du risque d’avoir un cancer métastatique !

Et sur la mortalité par cancer, les résultats sont encore meilleurs :

• 38 personnes sont mortes d’un cancer dans le groupe vitamine D
• 68 personnes sont mortes d’un cancer dans le groupe placebo

Ce qui fait une réduction de 42 % du risque de mourir du cancer ! (et pour les spécialistes, je précise que cette réduction est hautement significative – « p-value » = 0,007)

Donc, si vous avez un poids normal, vous avez près d’une chance sur deux d’éviter de mourir du cancer, pour peu que vous ayez plus de 50 ans et que vous preniez 2 000 UI de vitamine D par jour pendant 5 ans !

Et je rappelle que ces 42 % de réduction sont un strict minimum, car ce résultat ne prend pas en compte les autres biais défavorables à la vitamine D dans cet essai clinique :

• Prendre de la vitamine D met du temps à agir contre le cancer – quand on prend en compte ce délai et qu’on exclut les 2 premières années de l’étude, les chiffres sont encore meilleurs (je rappelle que tous poids confondus, on passait de 17 % à 25 % de réduction de la mortalité par cancer au bout de 2 ans ; donc, on passerait peut-être de 42 % à 50 % de réduction pour ceux qui ont un poids normal – dommage que ces données ne soient pas disponibles) ;
• Les participants à l’étude VITAL avaient des taux de vitamine D très supérieurs à la moyenne – or la vitamine D a vraisemblablement davantage d’effet encore quand elle est donnée à des personnes carencées et davantage représentatives de nos populations ;
• Les participants à qui on a donné de la vitamine D ne l’ont pas tous avalée consciencieusement – or d’autres essais cliniques ont montré que les résultats étaient encore meilleurs quand on prenait en compte uniquement ceux qui avaient réellement pris les doses de vitamine D requises ;
• Enfin, les membres du groupe « placebo » ont été nombreux à prendre de la vitamine D de leur côté, ce qui biaise les résultats en défaveur de la vitamine D.

Avec tous ces biais défavorables, il est assez incroyable de voir que la vitamine D :

• Évite au moins 1 cancer sur 4 parmi ceux qui ont un poids normal ;
• et réduit de près de moitié de leur risque de mourir du cancer !

Il ne fait donc strictement AUCUN DOUTE que la vitamine D a des résultats exceptionnels sur le cancer !

Mais bizarrement, on ne le crie pas sur les toits.

Pire, on a essayé de vous le cacher, en dissimulant les résultats exceptionnels trouvés chez ceux qui ont un poids normal !

Comprenez-vous dans quel monde on vit ?

Comprenez-vous qu’il faut vous informer par d’autres sources que celle des « autorités de santé » ?

Et parvenez-vous à vous imaginer la puissance sous-estimée des autres remèdes naturels dont je vous parle ici depuis des années ?

Bonne santé,

Xavier Bazin