Ça y est, le Pr Raoult saute dans l’arène à pieds joints !
Il vient de publier un nouveau livre choc : Au-delà de l’affaire de la chloroquine : comment l’industrie pharmaceutique pervertit nos systèmes de santé et met la nôtre en péril.

Il y dénonce le plus grand scandale de cette crise du Covid : le refus de soigner les malades avec des molécules efficaces comme l’hydroxychloroquine.
De fait, avec plus de 200 études scientifiques publiées, il ne fait plus aucun doute aujourd’hui que l’hydroxychloroquine réduit un peu le risque de contamination (en prévention), et réduit nettement le risque d’hospitalisation et de mort (en traitement précoce)[1].
C’était ce qu’avait prévu le Pr Raoult, dès le 27 février 2020, lorsqu’il avait annoncé au monde entier l’efficacité probable de la chloroquine, sur la base des essais chinois.
Et pourtant… vous connaissez la suite :
- Non seulement l’hydroxychloroquine ne sera pas retenue, le 11 mars 2020, par nos « scientifiques officiels » chargés de tester des remèdes anti-Covid (ils ont privilégié des médicaments moins prometteurs et beaucoup plus chers)…
- Mais l’hydroxychloroquine sera interdite aux médecins généralistes le 27 mars 2020, en pleine épidémie, et réservée aux cas critiques à l’hôpital.
J’ai déjà raconté cette affaire abracadabrante dans mes lettres, et en détail dans mon livre Big Pharma démasqué – donc je n’y reviens pas ici.
Gardez simplement en tête ceci : sans cette « erreur » dramatique, la pandémie aurait été ressentie comme un épisode de « mauvaise grippe », un peu comme la grippe de Hong-Kong en 1968.
Car en généralisant l’hydroxychloroquine dès le mois de mars 2020, comme le proposait le Pr Raoult, on aurait probablement pu :
- diviser par deux le nombre de morts Covid ;
- réduire de moitié au moins le nombre d’hospitalisations et réanimations ;
- et donc éviter les confinements ravageurs, sans le moindre risque d’engorgement des hôpitaux.
C’est donc une erreur criminelle, mais ce n’est pas la seule, loin de là.
D’autres erreurs majeures dans le choix des traitements ont aggravé l’épidémie.
Elles sont moins connues, mais vous allez voir, elles sont extrêmement choquantes également :
- L’usage massif du rivotril pour abréger les souffrances en Ehpad plutôt que d’essayer de soigner les malades
L’affaire du médicament injectable « rivotril » en Ehpad est assez inouïe.
Fin mars 2020, un décret autorise l’utilisation exceptionnelle du rivotril dans les Ehpad.
L’objectif est de plonger en « sédation profonde » les patients gravement malades du Covid, pour les soulager au moment où leurs poumons sont défaillants, en détresse respiratoire.
En soi, l’utilisation de « soins palliatifs » n’est pas choquante si l’objectif est d’atténuer les souffrances de malades en état critique, trop âgés pour être acceptés en réanimation.
Mais ce qui est plus que troublant, c’est que le rivotril ne se contente pas de « soulager » : il conduit aussi à abréger la vie des malades en accélérant le décès !
Ce n’est pas de la « théorie du complot ».
La notice d’utilisation du médicament le précise en toutes lettres[2] :
« N’utilisez jamais Rivotril 1 mg/1 ml, solution à diluer en ampoules si vous avez une insuffisance respiratoire grave (maladie grave des poumons). »
N’y avait-il aucun autre médicament disponible pour améliorer le confort des patients Covid gravement malades ?
Et plutôt que faire des injections mortelles, pourquoi ne pas essayer de soigner et guérir ?
Il faut savoir que le « décret rivotril » est paru fin mars, deux jours après le décret interdisant aux médecins de prescrire de l’hydroxychloroquine, y compris en Ehpad !
Cette affaire est tellement choquante que même France Info a diffusé des témoignages accablants de médecins, comme celui-ci :
« En fait, c’étaient des injonctions paradoxales. J’ai pas le droit de prescrire quelque chose qui pourrait soigner les personnes si elles étaient atteintes (NDRL : l’hydroxychloroquine).
Par contre, je suis autorisée à les faire partir, en douceur comme ils disent.
Je suis encore choquée. Qu’on ait osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite, c’est insupportable. C’est un sentiment d’horreur. »[3]
Oui, c’est « l’horreur » : on a préféré « achever » des patients plutôt que d’essayer un médicament qui avait une chance de les soigner !
Et comme si cela ne suffisait pas, on n’a pas non plus essayé de donner aux patients en Ehpad un remède préventif aussi simple et efficace que… la vitamine D !
- Criminel : refuser de recommander la vitamine D aux personnes âgées
Ce qui s’est passé sur la vitamine D est au moins aussi grave.
Dès le 3 mars 2020, j’ai invité tous mes lecteurs à faire le plein de vitamine D.
J’avais placé ce conseil en numéro 1 de mon protocole naturel anti-covid :
- Parce que de nombreuses études ont montré que la vitamine D réduit le risque d’être infecté par des virus respiratoires ;
- Et parce que la vitamine D est indispensable au bon fonctionnement du système immunitaire, ce qui est précieux pour éviter les formes graves et les fameuses tempêtes immunitaires (ce que l’Académie de Médecine confirmera deux mois plus tard).
L’énorme avantage de la vitamine D, c’est que l’on peut en prendre de fortes doses sans le moindre danger à court terme. Il n’y a donc « rien à perdre ».
Chez les personnes âgées, on a même « tout à gagner », car la plupart sont carencées, particulièrement dans les Ehpad… et particulièrement en mars, à la sortie de longs mois d’hiver sans soleil.
Bref, face à l’épidémie qui arrivait, il était évident qu’il fallait recommander cette vitamine à tout le monde… et tout particulièrement en maison de retraite où elle aurait pu être distribuée massivement, à moindres frais.
Sans surprise, son efficacité contre la Covid a par la suite été confirmée par des dizaines d’études scientifiques[4].
Je ne citerai que deux études : l’une, française, qui a montré que les résidents de maison de retraite qui avaient eu la chance de recevoir une grosse dose de vitamine D (80 000 UI) dans le mois précédent leur infection ont été deux fois moins nombreux à mourir du Covid[5].
Et une étude espagnole qui a montré une diminution drastique du risque de passage en réanimation quand les patients avaient reçu de la vitamine D dès leur entrée à l’hôpital[6].
Au total et comme on pouvait s’y attendre, on aurait pu réduire les dégâts du Covid de façon considérable rien qu’en donnant de la vitamine D en prévention et dès les premiers symptômes.
Et pourtant :
…non seulement nos hôpitaux n’ont jamais donné de vitamine D à leurs patients Covid…
…non seulement nos autorités n’ont jamais prononcé le mot de « vitamine D » pour encourager les Français à renforcer leur système immunitaire, en prévention…
…mais nos autorités ont même activement découragé les gens à se supplémenter !
La preuve avec ce qui s’est passé en janvier 2021.
À ce moment-là, les preuves scientifiques sont tellement flagrantes que 6 sociétés savantes et 73 médecins hospitaliers font un appel solennel dans la presse française en faveur de la vitamine D[7].
Eh bien croyez-le ou non, plutôt que de suivre cette recommandation , c’est le moment choisi par l’Agence du Médicament pour alerter de quelques cas de surdosages (sans gravité) chez les nourrissons…
….ce qui a été relayé par les médias pour dissuader les Français de prendre cette vitamine :

Ce phénomène aberrant n’est pas franco-français.
Au Canada, un rapport officiel d’avril 2020 demandait aux médecins en Ehpad de « Minimiser le nombre de prescriptions », notamment celles de « Vitamine D » sous prétexte de limiter les contacts avec les patients.
Donc, au moment où les personnes âgées avaient le plus besoin de vitamine D – ainsi d’ailleurs que de zinc, sélénium, magnésium, vitamines B, C et E (etc…) – la plupart des autorités sanitaires occidentales ont refusé de lever le petit doigt pour les supplémenter massivement !
Et ce n’est pas tout.
Non seulement on a refusé de soigner et de prévenir avec des traitements qui marchent…
…mais les « traitements » utilisés massivement en mars 2020 ont causé plus de dégâts que de bienfaits :
- Doliprane plutôt que l’ibuprofène, aspirine et cortisone : une recommandation catastrophique
Le 14 mars 2020, Olivier Véran fait cette déclaration assez inouïe :
« La prise d’anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone, …) pourrait être un facteur d’aggravation de l’infection.
En cas de fièvre, prenez du paracétamol »[9]
Cette recommandation a probablement causé à elle seule des milliers de morts en France.
D’abord parce que le paracétamol a aggravé la maladie Covid… mais aussi parce que les anti-inflammatoires classiques auraient peut-être pu sauver des vies !
Voyons ceci, en détail.
D’abord, rappelons que ni le paracétamol ni les médicaments anti-inflammatoires ne sont à recommander face à une infection virale, dans les premiers jours.
Car l’inflammation et la fièvre sont des réponses naturelles qui permettent de freiner la multiplication et la dissémination du virus dans notre corps.
Mais attention : dans la deuxième phase de la maladie Covid, certains anti-inflammatoires peuvent être salvateurs, car le danger ne vient plus tellement du virus que du risque de dérèglement inflammatoire !
Et cela, on commençait déjà à le savoir au moment où Olivier Véran a demandé d’éviter soigneusement les anti-inflammatoires.
Dès le début de l’année 2020, des spécialistes avaient pointé les dégâts du Covid liés à une inflammation incontrôlée – ce qui justifiait d’envisager des « anti-inflammatoires » :
- Dès le mois de février, un article publié dans le National Geographic observait que, dans la Covid-19, on observait également que « la réponse immunitaire (processus inflammatoire) cause plus de dégâts qu’elle n’en corrige »[10] ;
- Le 16 mars, une lettre d’experts publiée dans The Lancet décrit les ravages causés par la tempête inflammatoire et demande des traitements adaptés[11].
Or quel était, à l’époque, le remède le plus connu et le plus puissant contre les tempêtes inflammatoires pouvant causer une défaillance généralisée des organes ?
Les corticostéroïdes, comme la cortisone déconseillée par Olivier Véran[12] !
De fait, c’est bien un médicament de cette famille-là, la dexaméthasone, qui sera quelques mois plus tard le premier traitement « validé scientifiquement » pour les patients gravement atteints de Covid[13].
Bref, lutter contre la tempête inflammatoire était une piste majeure, dès le début.
Dès le 26 mars, des chercheurs canadiens ont lancé une étude pour « tester les effets d’un anti-inflammatoire, la colchicine », contre la fameuse tempête inflammatoire – et les résultats confirmeront plus tard son efficacité[14].
Et ce n’est pas un hasard si de nombreuses molécules ayant des effets sur l’inflammation ont montré une efficacité contre la Covid, comme l’hydroxychloroquine, l’ivermectine ou encore la curcumine.
Au total, recommander au mois de mars 2020, comme l’a fait O. Véran, le paracétamol plutôt que l’ibuprofène ou la cortisone était le pire choix possible contre le coronavirus.
D’abord parce que le paracétamol n’a pas les effets potentiellement bénéfiques des anti-inflammatoires classiques dans la phase la plus critique de la maladie.
Mais aussi parce que le paracétamol a un inconvénient majeur : il vide nos réserves en glutathion, une substance indispensable pour assurer l’efficacité de la réponse immunitaire et faire face aux risques de tempête cytokinique[15] !
S’il fallait absolument donner un médicament de « confort » contre des maux de tête et douleurs, il fallait plutôt recommander des petites doses d’aspirine, qui ont le grand mérite de fluidifier le sang, ce qui peut éviter les caillots et thromboses mortelles parfois causées par la Covid-19 !
Mais non. Olivier Véran n’est d’ailleurs jamais revenu sur sa recommandation, même après coup.
C’est ainsi que le seul médicament qui a été autorisé, recommandé officiellement et donné massivement aux patients, à domicile comme à l’hôpital, à savoir le paracétamol :
- N’avait aucune chance de les guérir – il était donné uniquement par confort ;
- Avait le grand tort de casser la fièvre en début de maladie, qui est pourtant le premier rempart face aux infections virales ;
- Ne possédait pas les effets bénéfiques des alternatives médicamenteuses (en phase critique, effet anti-inflammatoire de l’ibuprofène et de la cortisone / effet anti-thrombotique de l’aspirine) ;
- Avait l’effet dramatique de vider les réserves de glutathion, substance essentielle pour lutter efficacement contre les « tempêtes inflammatoires » ;
- Et, ne l’oublions pas, a des effets toxiques pour le foie à haute dose, ce qui était imprudent quand on sait que le virus de la Covid s’attaque aussi à cet organe.
Bref, on ne pouvait pas faire pire…
…sauf en réanimation, où l’on a fait un choix thérapeutique désastreux, au début de l’épidémie :
- L’intubation trop systématique a causé des morts et amplifié la panique
Sur ce point précis, je ne jette pas la pierre aux médecins ni aux autorités, car c’était une nouvelle maladie, et l’erreur est humaine.
Mais il faut revenir sur cette affaire d’intubation, car elle a largement contribué à alimenter la psychose irrationnelle autour de l’épidémie.
En mars 2020, les personnels des hôpitaux étaient terrifiés à l’idée d’attraper eux-mêmes le virus – pour leur propre santé, mais aussi pour éviter de contaminer leurs autres patients.
Et ils ont cru que l’intubation massive des patients était la meilleure protection pour eux-mêmes, pour éviter l’aérosolisation du virus[16].
Mais au bout de quelques semaines, on a réalisé que l’intubation quasiment systématique avait causé au contraire trois problèmes majeurs :
- Loin d’aider les patients, elle a au contraire augmenté le nombre de morts, car on s’est rendu compte que l’intubation causait la mort de nombreux patients qui auraient survécu avec de l’oxygène à haut débit ;
- Elle a de surcroît conduit à une suroccupation des lits de réanimation, car un patient intubé y reste plusieurs semaines avant de s’en sortir ou de mourir ;
- Et elle a créé une angoisse sur le nombre de « respirateurs » disponibles, avec la crainte qu’on n’en ait pas pour tout le monde !
Je vous rappelle les grands titres de la presse à la fin du mois de mars :

Dans la tête de tout le monde, l’intubation était salvatrice, et des malades risquaient de ne pas pouvoir en bénéficier, faute de place en réanimation ou de respirateurs en nombre suffisant !
En réalité, c’était l’inverse : intuber trop systématiquement causait des morts et une surcharge artificielle des places en réanimation !
Cette terrible affaire a été parfaitement résumée par Marc Garnier, anesthésiste-réanimateur à l’hôpital Saint-Antoine (Paris), interrogé dans la Revue du Praticien :
« Au tout début de l’épidémie, il était recommandé – notamment pour protéger le personnel – d’intuber le patient dès qu’il avait une forme grave et des besoins très importants d’oxygène.
Toutefois, l’intubation (et le coma artificiel induit) sont associés à une augmentation de la durée de séjour, des risques de complication et de la mortalité, quelle qu’en soit la cause.
Avec l’expérience de la première vague de Covid, aujourd’hui, on propose systématiquement des techniques non invasives en première intention (…) Le bénéfice est aussi collectif, car cela permet de garantir plus de places en réanimation. »[17]
De fait, les chiffres de survie en réanimation se sont nettement améliorés lorsqu’on a abandonné l’intubation systématique[18] et qu’on a fini par donner des corticoïdes salvateurs.
Donc, la surmortalité énorme du mois de mars en Italie du Nord, dans le grand Est, en Ile-de-France et à New York, était une anomalie, largement liée à des choix médicaux contre-productifs.
Encore une fois, je ne jette pas la pierre au système médical sur ce point.
Mais une chose est sûre : cela a installé durablement la psychose.
Après l’épisode dramatique des mois de mars et avril 2020, la population entière a été convaincue que la Covid-19 était une sorte de peste noire, justifiant les restrictions les plus drastiques.
…alors que, bien gérée, elle aurait pu être un épisode de « mauvaise grippe », sans panique ni mesures liberticides.
D’ailleurs, même avec toutes ces erreurs désastreuses (sur l’hydroxychloroquine, la vitamine D, le rivotril, le paracétamol et les intubations)…
…était-il vraiment nécessaire de confiner, en mars 2020 ?
Sans même parler de ses ravages collatéraux, est-ce que le confinement a été utile sur le coup pour éviter l’explosion des hôpitaux… ou bien au contraire est-ce que cette mesure aussi a été contre-productive ?
Je vous réponds dans une prochaine lettre – préparez-vous à être surpris !
Bonne santé.
141 réponses
Excellent résumé de tout cet épisode désastreux, on retiendra surtout la mauvaise foi de certains acteurs au plus stade comme M. Véran, mais aussi l’impréparation à ce virus alors que depuis des années les services de santé mondiaux étaient alertés de ces risques…. les années qui vont suivre ne seront pas tendres pour certains, je l’espère
Fallait-il confiner en mars 2020? Je pense que ce confinement est acceptable à ce moment. Il l’est moins lors de l’hiver qui a suivi. Plus encore, comment faire cesser toutes les restrictions encore en vigueur maintenant que l’on a tout ce résumé ?et ce recul. La folie est encore en cours : masques, injections, boosts, vaccination sous contrainte, distanciation, restrictions de circulation, passe sanitaire. Cela doit maintenant cesser !
Merci de conforter la pensée et le savoir de chacun afin de garder le libre arbitre et la liberté d agir autant que faire ce peut dans ce monde devenu fou !! Manipulation mentale et pression du système on fait des français des moutons sans plus aucun sens critique !!restons attentif la suite pourrait être pire !!
Merci de nous expliquer comment a été gérer cette crise sanitaire, et l’obligation des medecins à appliquer les directives de cette ménagerie d’experts médicaux et de fonctionnaires. Mais comment peuvent ils continuer à exercer sans état d’ame.
je sais pas quoi dire mais merci
Bravo pour votre travail et vos explications très claires et pertinentes.
Vous avez oublié un détaille important: Fermeture d’une usine de masques par un ancien Président. Destruction d’un stock de masques par le Président actuel. Déconseiller le port du maque au lieu de donner des cours à la télé sur la confection de ces masques. On sait que plus les postillons sont gros plus ils transportent des virus. ET, que, tous les masques ont un pourcentage d’efficacité. Et, qu’il vaut mieux un masque en tissus artisanal que rien du tout.
En ce qui concerne ces laboratoires qui s’occupent des virus, soit disant pour mieux savoir les combattre… Ils n’ont pas brillé par leur efficacité… On pourrait les fermer.
Depuis le début de cette crise, TOUS les gouverne et ment ont fait exactement le contraire de ce qu’ils fallait faire. Mais moi ce qui m’a le plus surpris c’est que le monde a tout cru dans se poser de questions, pourtant c’était flagrant que tout était fait pour faire mourir le plus de monde possible !
Le monde a perdu son sens critique, ils sont devenu des zombies obéissants!
Quel horreur!
Christiane, je suis impressionné par la profondeur abyssale et la forme ciselée de votre analyse !
Merci pour votre courage en nous informons comme ceci. Je demande de la vitamine D chaque fois que je vois mon medecin traitant grace a vous et d’autres revues medicales, mais le seule qui me l’a proposé, c’etait un homeopathe!
C’est dramatique! Qu’en sera-t-il à l’avenir? Les réseaux sociaux ont multiplier la peur dans tous les pays et donner un « blanc sein » à cette uniformité de pensé et de peur. qui voudra admettre les erreurs? Qui sera juge sans à-priori? Qui sera capable d’entendre ce qui a été si fortement rejeté? Je ne suis pas optimiste pour les prochaines années à venir.