Une nouvelle étude vient d’en donner la preuve DÉFINITIVE !
La vitamine D est LE grand traitement préventif et curatif de la Covid-19 (avec l’ivermectine).
Cela fait longtemps que je vous le dis, et on avait déjà plus de 40 études scientifiques qui pointaient l’efficacité de la vitamine D…
… mais la dernière en date est vraiment SPECTACULAIRE.
Désormais, il est certain que l’épidémie pourrait être vaincue définitivement avec 3 gestes simples : vitamine D, spray nasal et ivermectine – je vous explique pourquoi et comment.
Vous verrez que nous n’avons pas besoin d’un vaccin expérimental, qui cause des effets indésirables et dont l’efficacité ne saute pas aux yeux.
Mais d’abord, revenons sur l’étude magnifique sur la vitamine D :
L’étude qui clôt définitivement le débat sur la vitamine D
C’est une étude espagnole, randomisée, réalisée dans un hôpital de Barcelone entre mars et mai 2020, lors de la première épidémie.
L’étude a porté sur 930 patients hospitalisés pour Covid-19 :
- 551 ont reçu de la vitamine D3 immédiatement à leur entrée à l’hôpital, puis à nouveau sur plusieurs semaines ;
- 379 ont seulement reçu les « soins standards » de l’époque, sans vitamine D à l’admission.
Les résultats sont éblouissants pour la vitamine D.
Ceux qui ont reçu cette précieuse vitamine ont eu :
- 82 % de risque en moins de passer en soins intensifs/réanimation ;
- 60 % de risque en moins de mourir.
Pour le dire autrement :
- La proportion de patients envoyés en soins intensifs est de 5 % seulement avec vitamine D contre 21 % sans vitamine D
- La proportion de patients décédés est de 6,5 % seulement avec vitamine D contre 15 % sans vitamine D.
Ces résultats sont d’autant plus spectaculaires que dans cette étude, la vitamine D arrive UN PEU TARD !
Au minimum, il faudrait donner de la vitamine D dès les premiers symptômes !
Mieux encore : il faudrait prendre de la vitamine D en prévention, avant d’être infecté !
Car l’idéal est d’avoir un excellent taux de vitamine D en permanence (> à 40 ng/mL).
Voilà pourquoi je vous conseille depuis le 3 mars 2020, depuis le tout début de l’épidémie, de prendre 2 000 à 5 000 UI de vitamine D tous les jours.
Si vous êtes une personne à risque de Covid-19, je vous invite, même si ce n’est pas remboursé par la Sécurité sociale, à faire une prise de sang pour doser votre vitamine D… et à vérifier que vous êtes au-dessus de 40 ng/mL !
C’est une des meilleures protections contre la Covid-19, c’est désormais PROUVÉ !
Bien sûr, cela fait des mois qu’on pouvait en avoir la certitude :
- Car on sait depuis 2017 que la vitamine D préventive réduit drastiquement le risque d’infections respiratoires (revue d’études publiée dans le British Medical Journal[1]) ;
- Et on sait depuis au moins mai 2020, grâce au communiqué de l’Académie de Médecine, que la vitamine D a toutes les chances d’empêcher la très dangereuse « tempête inflammatoire » liée à la Covid-19 !
On le savait… mais bizarrement, le ministre et les médecins qui le conseillent n’en veulent pas !
Ce qui s’est passé ce jour-là, sur BFM-TV, est tout simplement CRIMINEL
Prenez la Pr Karine Lacombe, chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital Bichat à Paris.
Elle était invitée le 20 janvier dernier chez Jean-Jacques Bourdin, sur BFM-TV[2] :
Voici le dialogue, mot pour mot – préparez-vous à être CHOQUÉ :
Jean-Jacques Bourdin :
« Hier matin ici-même, Nicolas Dupont Aignan affirmait que des traitements étaient efficaces dans de nombreux pays du monde contre la maladie et faisaient disparaître ce Covid-19.
Qu’en est-il véritablement, y a-t-il aujourd’hui des traitements qui permettent de soigner cette maladie ? »
Karine Lacombe :
« Évidemment non.
Probablement que M. Dupont Aignan pensait à l’ivermectine, à la vitamine D comme moyen de prévention.
Vous pensez bien que la France, comme d’autres pays occidentaux, si ces traitements miracles existaient comme l’ivermectine, comme en son temps l’hydroxychloroquine, la vitamine D, évidemment qu’on les utiliserait et que l’épidémie n’existerait plus.
Donc non, bien sûr que non, ni l’hydroxychloroquine, ni l’ivermectine, ni la vitamine D en moyen de prévention ne sont efficaces en tant que tel sur la Covid-19. »
Jean-Jacques Bourdin :
« Il y a eu pourtant beaucoup d’études scientifiques sur la vitamine D. Il pourrait y avoir un effet protecteur. Donc c’est faux ? »
Karine Lacombe :
« Attention, corrélation ne veut pas dire causalité. C’est extrêmement important
L’état actuel des connaissances montre que la vitamine D n’est pas un moyen efficace de prévention de la Covid-19. »
Voilà… le reste de l’interview a porté sur les vaccins.
Et c’est tout simplement hallucinant.
Car plusieurs jours avant cette interview, 6 sociétés savantes et 72 médecins hospitaliers avaient lancé un appel, dans la Revue du praticien[3], pour l’utilisation de la vitamine D contre la Covid-19.
Ils avaient recensé toutes les preuves scientifiques en faveur de la vitamine D, et elles étaient éclatantes.
Et aujourd’hui, on a EN PLUS l’étude espagnole, qui confirme au-delà de tout soupçon l’efficacité extraordinaire de la vitamine D !
Croyez-vous que Karine Lacombe va s’excuser publiquement ?
Elle devrait, car non seulement elle a eu tort sur la vitamine D, mais elle a également dit n’importe quoi sur l’ivermectine !
L’ivermectine est la pilule « miracle » qu’on attendait depuis le début
L’ivermectine est l’alliée parfaite de la vitamine D :
- La vitamine D permet à votre organisme de réagir efficacement à l’infection, et d’éviter les tempêtes inflammatoires dangereuses ;
- L’ivermectine, elle, est une sorte « d’antibiotique » qui vient tuer le virus si vous prenez ce médicament au début de l’infection, et limiter les dégâts inflammatoires si vous le prenez plus tardivement.
Je précise que l’ivermectine est une substance produite par un processus naturel de fermentation.
Ce n’est donc pas une molécule de synthèse concoctée de toutes pièces par un chimiste en laboratoire, et c’est peut-être ce qui en fait une molécule sans le moindre effet indésirable, aux doses recommandées.
Surtout, son efficacité contre la Covid-19 saute aux yeux.
Dans la ville de Mexico, le nombre d’hospitalisations et de morts s’est effondré depuis qu’on donne de l’ivermectine gratuitement à tous les patients testés positifs :
Regardez le résultat :
Depuis que la ville de Mexico traite tous les cas positifs avec de l’ivermectine, la courbe des hospitalisations (à gauche) et des morts (à droite) s’est rapidement effondrée
Entre parenthèses, ces courbes sont beaucoup plus convaincantes que celles observées en Israël, où le nombre d’hospitalisations et de morts ne baisse pas aussi vite, malgré la vaccination généralisée.
Le nombre d’hospitalisations (à gauche) et de morts (à droite) recule en Israël, mais sans diminution drastique, malgré la vaccination généralisée des plus de 60 ans (et le confinement de janvier)
Bref, il apparaît clair que la vitamine D + l’ivermectine sont nettement plus efficaces que le vaccin, sans effet secondaire… et sans dépenser des milliards d’euros !
L’ivermectine a fait l’objet de plus de 16 études randomisées convaincantes, à tous les stades de la maladie : en prévention, en traitement précoce, en traitement à l’hôpital, et même en réanimation[4].
La Slovaquie l’a déjà adopté officiellement, en plus de plusieurs États de l’Inde et du Mexique.
Au Japon, l’association médicale de Tokyo vient de recommander publiquement ce médicament[5].
Et les études continuent de s’accumuler en sa faveur, récemment en Bulgarie[6] et Israël[7].
La dernière étude du Pr Schwartz en Israël montre, au-delà de tout doute possible, une excellente réduction de la charge virale en cas d’infection.
C’est bien simple, dès le sixième jour de l’infection, les patients qui ont reçu l’ivermectine ont trois fois plus de chances que ceux sous placebo de ne plus avoir la moindre trace de virus dans leur corps !
Attention : autant la vitamine D est accessible sans ordonnance (en gouttes), autant vous avez besoin d’un médecin pour vous prescrire de l’ivermectine.
Donc si vous cherchez un médecin favorable aux traitements précoces, je vous invite à regarder cette liste des médecins qui ont signé le manifeste de la 4ème voie et qui sont donc partisans d’un traitement plus énergique de la maladie : https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/
Ce n’est pas une garantie absolue qu’ils vous prescriront l’ivermectine ou le protocole Raoult, mais il y a peu de chances qu’ils vous renvoient chez vous avec du Doliprane.
Vitamine D, ivermectine.. ET AUSSI spray nasal + bains de bouche
Dernière chose : de plus en plus d’études montrent aussi l’excellente efficacité d’un spray nasal et des bains de bouche dès le début de l’infection, pour détruire le virus avant qu’il ne fasse de gros dégâts.
Cela marche particulièrement bien avec de la bétadine[8], un antiseptique, mais une simple solution saline fonctionne également[9], donc utilisez ce que vous avez à votre disposition (solution saline, spray de propolis, bain de bouche aux huiles essentielles, etc.), dès les premiers symptômes.
Et il y aura d’ailleurs bientôt un produit officiel, accessible dès début mars et déjà annoncé dans la presse[10] :
Bref, TOUTES LES SOLUTIONS SONT LÀ POUR ÉVITER ET TRAITER LA COVID-19.
Vu leur efficacité, je ne vois pas l’intérêt de se faire injecter un vaccin expérimental, aux effets indésirables non négligeables et à l’efficacité incertaine face aux variants.
Mais justement, peut-être ces solutions ont-elles le tort de faire de l’ombre aux vaccins, un marché de dizaines de milliards d’euros ?
En tout cas, le vent commence à tourner, et on peut s’en réjouir.
La preuve avec cet aveu incroyable du Pr Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l’Hôpital de la Pitié Salpêtrière :
« Je pense qu’on a complètement négligé le traitement. Cela a été une erreur stratégique de tout miser sur le vaccin. » [11]
On ne saurait mieux dire !
59 réponses
J’ai posté ce document sur FB et il a été censuré avec menaces de fermeture de compte
Nous n’avons plus le droit de s’exprimer en toute liberté sur certains réseaux sociaux
Merci beaucoup pour vos écritures,lu régulièrement par moi! Bravo pour votre courage de dir la vérité, malheureusement caché par plusieurs spécialistes. Plusieurs médecins corrects mondiaux ont déjà annoncé les vertus curatifs des vit.D2+D3(Cholécalciférol) vit.E, vit. A et vit.C. En ajoutant et quelques minéraux(le magnésium, le zinc, et selen) ils assurent un bon immunité. L’ Ivermectine a déjà donné aussi beaucoup de bon résultats. Au sujet de vaccinations contre Covid-19 on peu dir: Le virus a fait déjà plusieurs mutations- presque tous les jours- nouvelle mutation dans le génome viral- donc actuellement plusieurs( on peut dir> milles).Les vaccins proposés aujourd’hui contre Covid- 19 ne peuvent pas être efficaces contre tous souches car: c’est une contradiction avec toutes connaissances scientifiques genetiques et médicaux. En ajoutant la période courte pour ses créations et la période très court et incomplet d’expérimentation, comme normalement est prévu pour chaque nouveau médicament, l’effet de protection et très douteux. Il faut bien comprendre:Il y a de vaccins, qui ont sauvé le Monde(contra Variole, contra Tuberculose, contra Rage, contra Tétanos, contra Diphtérie et etc.) et il ne faut pas se méfier, en si besoin des utiliser.En comparaison les vaccins actuelles proposées contra le Covid-19 ne seront pas bâton magique sauveteur.
quand est-il des intoxications ressentes à la vitamine D ?
Quelles sont les normes à ne pas dépasser
Le professeur Caumes fait ou a fait de la comédie… sINON Lacombe mériterait la prison comme nos journalistes !
« ces courbes sont beaucoup plus convaincantes que celles observées en Israël, où le nombre d’hospitalisations et de morts ne baisse pas aussi vite, malgré la vaccination généralisée. »
Méfions nous TOUJOURS des comparaisons, surtout avec des pays d’autres continents par principe.. car une épidémie n’a pas commencé au même moment, et elle a une une fin…
Et un vaccin – même si il é tait efficace – aurait du mal à prouver son efficacité en pleine épidémie.. comme c’est le cas en Israel
Ca se mesure AVANT.. le commencement. La, on peut affirmer que ce n’est pas un succès.. mais on ne peut pas dire non plus que c’est uné chec, car il aurait du être donné 1 à 2 mois avant..pour savoir
J’ia survolé l’article.. fatigué, je le reliais a tête reposé des que possible !
Bonjour, quelle est la source des diagrammes sur Mexico city? Je n’arrive pas à la lire. Merci de votre retour. Et du travail de synthèse accompli
Un énorme merci pour toutes les infos que vous nous communiquez. Depuis le début de l’épidémie, je n’avais pas confiance aux stratégies du gouvernement. Je me conforte donc dans ma prise de position, à savoir, le refus du vaccin. Je préfère suivre vos excellents conseils bien fondés. C’est avec grand plaisir et beaucoup d’intérêt que je vous lis.
En effet la vitamine D3 renforce le système immunitaire.
Néanmoins cette lettre comporte quelques mensonges ou erreurs volontaires ou non.
Sur Israël ce qui est dit est faux. Les courbes officielles qui préfigurent les revues scientifiques les plus réputées montrent que la contamination et l’hospitalisation des personnes ayant reçues les 2 doses sur 28 jours sont en chute libre.
le nombre d’hospitalisation est essentiellement sur des personnes inférieures à 65 ans infectées par le variant Anglais.
Deuxième erreur est que le vaccin ARN messager n’est pas expérimental, puisqu’il est utilisé depuis 25 ans dans certains cancers, sur le sida avec une efficacité relative et sur le virus Ebola dont l’épidémie est contenu grâce à L’ARN messager. toutes les revues scientifiques faisaient état de l’utilisation de cet ARN messager dans une pandémie car sa mise en oeuvre est rapide et sûre pour contenir une pandémie.
De plus ce vaccin est une avancée scientifique majeure, car à l’inverse des vaccins à virus désactivé comme la grippe qui ne protègent que 50 à 70%, l’ARN s’attaque non plus au virus mais à la protéine Spyke qui permet au virus de pénétrer dans les cellules.
La lettre ne mentionne pas non plus une étude très sérieuse mais peu diffusée pour éviter une confusion est celle faite sur RH sanguins et qui dit que les RH O+ et O- et les RH B+ sont 25 fois plus protecteurs que RH négatifs A et B.
Nous avons un certain nombre de nos amis qui ont reçus les 2 doses sans aucun effet indésirable hors mis une douleur à l’endroit de la piqûre pendant 24H, ce qui se produit aussi avec le vaccin anti grippe normal.
Sincèrement on peut se tromper, mais je pense en mon âme et conscience que c’est le seul moyen de sortir de cette crise humanitaire et qui risque de durer encore 2 ou 3 ans selon le niveau mondial de vaccination.
Pour le vaccin Astrazeneca je suis moins confiant et notre voisine qui s’est fait vaccinée en tant que dentiste et personne vulnérable a ressentie des symptômes grippaux durant une journée maxi et elle a repris son travail.
Mais elle est plus jeune et n’a pas eu accès à L’ARN réservé aux plus de 65 ans.
Voilà. J’ai été un peu long mais je pense qu’il faut se méfier de tout ce qui se dit sur internet, même s’il y a un fond de vérité.
De plus si un traitement était véritablement efficace, il n’y aurait plus 300 décès par jour, de la COVID19 et personnellement nous avons des proches qui sont touchés et certains ne sont plus là.
De quoi flipper sérieusement.
Merci tout de même pour cette lecture instructive.
Article très intéressant. En ce qui concerne la vitamine D, même sans avoir eu recours à des expérimentations, j’ai toujours cru que les effets du soleil à travers la vitamine D et les rayons UV ont un impact réel sur cette maladie. Certainement c’est ce qui explique que chez nous, en Afrique subsaharienne, le taux de contamination et de mortalité est moindre, comparé aux autres continents. Et chose bizarre, j’ai comme l’impression que les populations les plus défavorisées sont les moins atteintes par le COVID car souvent exposées au soleil.
Très GRAND MERCI, MERCI, M E R C I , pour toutes vos informations, gentilles, de grand cœur toute ma sympathie et mon admiration.
Cordialement, votre lectrice
L’ivermectine est un médicament inoffensif et sans danger sauf pour les gens qui ont beaucoup de vers ! Le problème n’est pas l’ivermectine mais les cadavres de vers qui se retrouvent en masse dans le corps. Le problème est bien connu chez les chevaux, c’est la molécule qui se trouve dans l’Eqvalan, vermifuge que la plupart des chevaux reçoivent depuis environ 40 ans chaque année sans le moindre problème. Si un cheval est bourré de vers (situation très rare), et qu’on lui donne une dose entière, il risque un choc septique suite à la mort subite de tous les vers. On y va alors par petites doses.