Pourquoi cette hystérie, alors que le PIRE de la crise est passé ?

Côté gouvernement et grands médias, c’est l’hystérie et la psychose : 

  • Masques obligatoires à l’école, dans la rue, sur la plage ;
  • Annonces répétées d’une augmentation « exponentielle» du nombre d’infections ;
  • Sonnette d’alarme tirée dans certains hôpitaux ;
  • Appels à rendre le vaccin anti-grippe obligatoire, pour soulager les hôpitaux cet hiver.

Et le Premier Ministre qui nous dit, tranquillement, que l’on restera comme ça tant que le vaccin anti-Covid ne sera pas trouvé.

Tout cela, alors qu’il n’y a aucun argument, au moment où je vous parle, pour justifier cet affolement.

Au contraire, beaucoup de signaux sont positifs.

Voici donc les 5 arguments anti-panique, à transmettre autour de vous !

Argument n° 1 : la mortalité reste au plus bas

On veut vous faire peur avec ce graphique, qui montre une augmentation du nombre de cas positifs :


Évolution du nombre de cas positifs en France, du 1er mars au 12 septembre 2020


Mais on oublie de vous montrer ce graphique-là, sur le nombre de morts :

Vous le voyez, malgré l’explosion apparente du nombre de cas, la mortalité reste au plancher, malgré un très léger relèvement.

Quant aux passages en réanimation, ils n’indiquent rien d’inquiétant non plus.

Il n’y a qu’une seule région de France (PACA, en violet sur le graphique) où ce nombre augmente un peu :

Bref, pour l’instant, absolumentrien n’indique une recrudescence inquiétante de l’épidémie.

Mais alors, comment expliquer qu’on ait autant de cas « positifs » et aussi peu d’hospitalisations et de morts ?

Argument n° 2 : beaucoup de cas « positifs » sont totalement factices

En fait, un nombre incroyable de tests révèlent une infection passée, et non une infection en cours !

Oui, les tests « PCR » sont si puissants qu’ils peuvent détecter chez vous un virus mort depuis des semaines !

Donc vous pouvez avoir été infecté il y a 1 mois, vous en être sorti sans le moindre symptôme… et être diagnostiqué positif !

Cela dépend entièrement de la façon dont vous faites votre test.

Je n’entre pas dans les détails du fonctionnement des tests par PCR, mais retenez que plus vous faites des cycles d’amplification, plus vous avez des risques de trouver un cas positif à tort !

Avec 25 cycles, le minimum, vous êtes sûr à 100 % que la personne positive est bien en cours d’infection, et probablement contagieuse[1].

Mais avec plus de 40 cycles, comme cela se pratique un peu partout en France, vous avez d’énormes risques d’identifier un virus mort, donc une infection déjà ancienne.

Cela signifie que la grande majorité des personnes testées positives en France ne sont ni infectées, ni contagieuses !

La preuve : à l’IHU de Marseille, l’équipe du Pr Raoult réalise 35 cycles, ce qui est beaucoup plus raisonnable que 40 cycles.

Résultat : lorsque des cas testés positifs ailleurs se font re-tester à l’IHU de Marseille, ils sortent « négatifs » dans 30 à 40 % des cas !

Cela veut dire qu’au moins 30 à 40 % des cas positifs en France ne font que signaler une ancienne infection, avec un virus qui n’est plus du tout actif !

Et si on adoptait une norme encore plus stricte, à 25 cycles, il est probable que 90 % des cas positifs disparaîtraient, purement et simplement[2] !

Donc, s’il y a beaucoup de cas et peu de morts, c’est d’abord parce que certains cas positifs… n’en sont pas !

Argument n° 3 : le virus a muté, et semble moins dangereux

Mais il y a probablement une deuxième raison… et c’est que le virus a muté !

C’est le Pr Raoult lui-même qui l’a annoncé dans une vidéo postée le 8 septembre sur Youtube.

C’est manifestement une vérité qui dérange car :

  • Youtube a immédiatement censuré cette vidéo – puis accepté, finalement, de la republier ;
  • L’inénarrable Pr Karine Lacombe, égérie de Big Pharma, s’est empressée de contredire le Pr Raoult : « Le virus n’a pas muté et est exactement le même»[3] ;
  • Et le Premier Ministre a enfoncé le clou, dans son allocution du 11 septembre : « Tout confirme que le virus n’a pas baissé en intensité».

C’est un mensonge du Premier Ministre, probablement destiné à maintenir la vigilance des citoyens (et à avoir une rentrée tranquille).

Car l’équipe de chercheurs de l’IHU de Marseille sait de quoi elle parle.

Depuis février, elle a séquencé près de 700 génomes entiers du virus[4].

Et leur conclusion est formelle : « les séquences de l’épidémie de février à mai ont majoritairement disparu, et celles de l’épidémie actuelle (juin-août) appartiennent à de nouveaux génotypes ayant un taux de mutation beaucoup plus élevé ».

En clair, le virus qui circule aujourd’hui est très différent du virus de Wuhan de février dernier.

C’était parfaitement prévisible : dans la plupart des épidémies virales, le virus tend à muter vers une forme moins agressive.

Et pour le Pr Raoult, c’est clairement ce qui est en train de se passer :

« Depuis juillet, et l’apparition de ce deuxième acte, les génomes que nous avons ne sont pas les mêmes que ceux que nous avions avant, et ce n’est probablement pas une mauvaise nouvelle.

« Les mutations que nous voyons sont associées avec la dégradation des organismes du virus. Quand ça se passe, c’est que ça va mal pour la bestiole »[5].

Donc, le virus a bien muté, et il est certainement moins dangereux qu’avant.

Ce qui est une double mauvaise nouvelle pour les fabricants de vaccin, soit dit en passant.

Argument n° 4 : la majorité de la population a probablement DÉJÀ été infectée

Cela dit, même si le virus n’avait pas muté, il ne faudrait pas craindre une deuxième vague géante.

Pour une raison simple : c’est qu’une grande partie de la population a déjà été infectée !

Officiellement, on vous dit que 5 à 10 % des Français ont été infectés[6].

Ces chiffres viennent des mesures des anticorps anti-Covid, réalisés en mai-juin dernier.

Le problème de ces chiffres, c’est que beaucoup de gens n’ont pas d’anticorps dans le sang même, même s’ils ont bien été infectés par la Covid :

  • Soit parce qu’ils ont été très peu touchés, sans symptôme, et qu’ils n’ont même pas eu besoin de développer d’anticorps ;
  • Soit parce que les anticorps ont disparu – ce qui est le cas pour la majorité des gens, qui perdent leurs anticorps au bout de quelques semaines (encore une mauvaise nouvelle pour le vaccin)[7].

Bref, on est probablement très proche d’une immunité collective en France, surtout là où le virus a déjà beaucoup circulé, notamment en Ile-de-France et dans le grand Est !

On le voit déjà dans les chiffres actuels : les hospitalisations Covid sont au plus bas à Paris et à Strasbourg, alors qu’elles remontent dans les villes qui ont été peu touchées par la vague de mars-avril, comme Nice, Marseille, Toulouse ou Bordeaux.

Rappelons aussi que beaucoup de gens – les enfants en particulier – ont certainement déjà une immunité croisée, grâce aux coronavirus qui circulent habituellement et donnent des rhumes.

Bref, cela fait beaucoup d’arguments contre la possibilité d’une deuxième vague aussi mortelle que la première !

Certes, les régions de France où le virus a peu circulé ne sont pas à l’abri d’une relative résurgence, surtout avec l’hiver qui approche.

Mais il n’y a aucune raison de penser qu’on pourrait revivre la gravité de la pandémie de mars-avril dernier.

Aujourd’hui, « quand on teste et qu’on traite les malades, la mortalité est extrêmement faible », a résumé le Pr Raoult[8], qui n’est pas inquiet pour un sou.

Cela n’empêche pas d’être vigilant et prudent.

Avec les épidémies et les virus, on n’est jamais sûr de rien.

Mais c’est une raison suffisante pour arrêter de créer l’hystérie et la psychose dans la population !

Surtout qu’on a sous les yeux l’exemple réussi d’un pays qui n’a pas cédé à la panique : la Suède !

Argument n° 5 : la preuve par la Suède

La Suède a refusé de céder à la panique, et n’a pas confiné sa population.

Là-bas, tout est resté ouvert : les écoles, les restaurants, les cinémas.

Bien sûr, le gouvernement suédois a recommandé les gestes barrières élémentaires, et a interdit les rassemblements de plus de 50 personnes.

Mais la Suède n’a pas imposé le masque dans les transports en commun… et encore moins à l’air libre.

Et le résultat est là : la Suède n’a pas eu plus de morts de la Covid par habitant que l’Italie ou l’Angleterre, qui ont méchamment confiné.

De plus, on fera les comptes à la fin de l’année, mais je parie que la Suède a eu beaucoup moins de morts causées par le confinement – comme des crises cardiaques non prises en charge, des suicides causés par l’isolement, etc.

Quoi qu’il en soit, l’épidémie semble terminée en Suède.

Ces derniers jours, la Suède avait 13 personnes en réanimation, et environ 2 morts par jour, en moyenne.

Voici l’évolution du nombre de morts :

Les cas positifs sont aussi en train de disparaître : sur plus de 100 000 tests réalisés en une semaine, seuls 1,3 % sont revenus positifs[9].

Autrement dit, le virus a quasiment disparu en Suède.

Encore une preuve que l’immunité collective peut être atteinte beaucoup plus vite que prévu !

Alors stop à l’hystérie, stop à la panique.

Arrêtons de faire subir l’enfer à nos enfants (et nos enseignants), avec le masque 8 heures par jour, 5 jours sur 5.

En Allemagne, cela fait plus d’un mois que les écoles ont rouvert, sans distanciation (les enfants sont deux par bureau) et sans masque obligatoire… et il n’y a eu aucun foyer infectieux[10] !

Arrêtons l’absurdité du masque obligatoire dans la rue : à l’air libre, les risques de contaminations sont extrêmement faibles !

Respirez, vivez, aimez, avec SÉRÉNITÉ !

PS : si vous avez apprécié cette lettre, transférez-la à vos contacts, c’est le seul moyen d’agir contre la psychose médiatique.

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  1. je ne partage pas votre optimisme. Le nombre de personnes hospitalisées et en réanimation a beaucoup augmenté. Non seulement en PACA mais aussi en Aquitaine. Plusieurs services disent être à la limite de la saturation. Au mois d’Août il y avait également beaucoup de commentaires optimistes disant que si le nombre de personnes contaminées augmentaient il n’y avait aucune tension en réanimation. maintenant la tension dans ces services se fait sentir. Fin Février le nombre de personnes en réanimation était également faible avant d’exploser 3 semaines plus tard. C’est tout à fait logique. Pendant l’été beaucoup (surtout chez les jeunes) se sont relâchés. Chez ces personnes il y a eu peu de cas graves. Maintenant ces personnes contaminent les plus vulnérables. D’où les arrivées en réanimation.
    La grosse différence entre la France et la Suède est que les Suédois sont beaucoup plus responsables et ont plus de sens civique que nous. Ils ont vu lors de la 1ere vague que les personnes âgées avaient été très atteintes. Cela s’est traduit pas un taux de mortalité très élevé. Ils font donc le maximum pour protéger ces personnes. Ils respectent également beaucoup plus que nous les gestes de distanciation. L’Allemagne est un exemple de réussite à contenir l’épidémie: tests avec des résultats rapides, traçage, port du masque (voir l’exemple de la ville d’Iéna qui lors de la 1ere vage a imposé le port du masque et a ainsi cassé la contamination).
    Je comprends tout à fait que les gens ont envie de liberté et que porter le masque peut gêner. Il en est exactement de même avec la limitation de vitesse. Certains ont envie de se lâcher et de rouler aussi vite qu’ils le peuvent. Le problème est que s’ils sont libres de risquer leur vie ils risquent aussi de tuer d’autres personnes.
    Je pense que le port du masque en espace clos et dans les lieux où la proximité est forte est une mesure acceptable et de bon sens.
    Dans les bars il suffit d’éviter de transformer les bars en discothèques avec des tas de personnes debout, les unes contre les autres, qui risquent de contaminer toute la salle. Si une minorité de personnes est inconsciente ou égoïste, on en arrive a des mesures autoritaires comme toujours malheureusement

    1. Je suis allé au urgence pour mon doigt qui c est arrachè j’ étais 8 h a attendre pour 5 minutes croyait moi ou non je n’ ai pas vu des personnes atteint du virus vous croyez ça que les médias disent allez par vous même et vous verrez surtout mettre un masque

  2. Je ne partage pas votre avis. Sans vouloir alimenter une psychose, la prudence reste de rigueur. Savez-vous combien de personnes ont dds conséquences graves suite au COVID.
    Même si les plus jeunes sont davantage asymptomatique il faut penser aux personnes âgées et à celles qui sont fragiles par ailleurs.
    Je n’etais personnellement pas d’accord avec ce confinement qui nous a privé de nous ressourcer dans la nature. Mais je ne suis pas d’accord non plus avec les anti tout.
    Voilà mon avis.

  3. On aimerait vous croire, mais comment interprétez-vous la situation d’autres pays : pour la seule journée du 15 septembre :
    – Espagne : 156 décès COVID
    – USA : 475 décès COVID
    – Inde : 1.054 décès COVID
    – Israël : reconfinement général
    Etc….

  4. Foutaise votre lettre.
    Arrêtez de défendre Raoult cet imposteur
    Je me désabonne de votre lettre et je ne pensais vraiment pas que vous pouviez autant jongler sur le populisme et le complotisme

  5. Pourquoi cet hystérie autour du Covid ? Mais pour des raisons politiques et financières…….tout le reste n.est que blabla …
    Et parceque la population française est lâche. ..un bon terreau pour tous les abus..

  6. Bonjour,

    Merci pour vos communications éclairantes.

    J’espère que les français auront compris que le n° d’infections lié au nombre de tests effectués + les fausses infections n’est pas le chiffre à regarder, mais bien ceux des admissions et de la mortalité, idéalement par tranche d’âge.

    Je réside en IDF et ai été longuement malade du COVID-19 : alité mi-mars à mi-avril, je reste fatigué ce jour.
    J’ai fait une sérologie qui est négative comme beaucoup : donc à priori pas d’anticorps.
    Je ne comprend pas votre argument n°4 sur l’immunité collective qui serait déjà en place :
    Si on est beaucoup de personnes à être tombées malades, toujours fragilisées, sans anticorps, comment tend t’on vers l’immunité collective qui dépend de la présence d’anticorps?
    Je suis juste très fragilisé et ai peur être facilement raflé par une 2nde passe du virus si mes enfants le ramènent de l’école où des cas ont déjà été identifiés dans d’autres classes.
    –> je me repose au maximum et continue prendre de la vitamine D et des aliments riches en Omega 3, mais sent bien rester faible.

    Ce ne sont pas les anticorps (pas du tout répandus statistiquement dans la population) qui font qu’on a une immunité collective?

  7. Bonjour, je suis assez d’accord avec vos arguments mais il est toujours plus facile d’être dans la peau de »l’opposant »que dans celle du décideur qui engage l’avenir du pays. Même improbable une seconde vague aussi intense que celle de mars avril serait catastrophique pour notre économie et si les autorités émettent un langage rassurant ils n’auront pas à le répéter deux fois pour que la population écarte le coronavirus de ses préoccupations et abandonne tout geste barrière.

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