Que valent les témoignages extraordinaires de patients (et les observations de médecins minoritaires) ?

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Il y a une dizaine d’années, en pleine psychose au sujet d’Ebola, j’ai assisté à une étonnante passe d’armes au sujet du chlorure de magnésium.

Une sorte de « combat de boxe » entre deux titans de la santé naturelle.

Il faut dire que le chlorure de magnésium est un traitement spécial.

D’un côté, il a la réputation d’être « miraculeux » pour guérir certaines infections…

… et de l’autre, il n’y a aucune étude scientifique, ou presque, à son sujet.

Tout ce dont on dispose, ce sont des témoignages de médecins et de patients.

Résultat : en 2014, quand le journaliste scientifique Pierre L. a suggéré que les victimes d’Ebola pourraient bénéficier du chlorure de magnésium…

… un autre journaliste, Thierry S., s’est fendu d’un billet incendiaire pour rappeler que ce remède ne dispose d’aucune preuve d’efficacité.

Pourtant les deux hommes s’étaient faits connaître pour avoir défendu des remèdes naturels contre les lobbys pharmaceutiques.

Mais entre eux, il y avait aussi un « choc des cultures ».

Voyez plutôt comment Pierre a réagi à la critique de Thierry :

« Aussi j’imagine très bien M. Thierry S. au pied du lit d’un agonisant frappé par Ebola et lui déclarant ‘’J’ai quelque chose dans ma poche qui, d’après certaines personnes crédibles, pourrait peut-être vous sauver, mais je ne peux pas vous le donner, car ce produit n’a pas fait l’objet d’études scientifiques contrôlées. Alors, je suis désolé, mais vous pouvez tout de même me confier votre dernier soupir, j’en ferai bon usage’’ ! »

Ce à quoi Thierry répliquait, « droit dans ses bottes » :

« Si j’ai quelque crédibilité comme journaliste scientifique, auteur et éditeur, je la dois au souci constant de la rigueur et du respect des lecteurs. Grâce à d’autres de mes amis comme Jean-Paul Curtay ou David Servan-Schreiber, le domaine (de la santé naturelle) s’est assaini.

On y vante de moins en moins les poudres de perlimpinpin qui nous ont valu d’être si longtemps moqués par la médecine officielle. »

En lisant ceci, de qui vous sentez-vous le plus proche ? De Thierry ou de Pierre ?

Thierry S est un cartésien qui a besoin d’études scientifiques rigoureuses pour faire des recommandations.

Pierre L., lui, se fie davantage à son bon sens médical dans un monde où l’on manque cruellement d’études honnêtes sur les remèdes naturels.

Les deux approches ont leurs avantages et inconvénients.

De mon côté, au fil des années, je dois admettre que j’ai fini par « changer de camp ».

Les études, c’est bien, mais que fait-on quand il n’en existe pas ?

Pendant des années, je me suis senti nettement plus proche de la pensée de Thierry.

Vous l’avez sans doute remarqué : à chaque fois que c’est possible, je m’appuie sur des études scientifiques.

Et pas sur n’importe quel type « d’étude » ! Car il n’est pas difficile de trouver des études qui disent à peu près tout et son contraire.

Comme Thierry, je fais davantage confiance aux études « contrôlées ».

Ce sont les études dans lesquels on sépare en deux un groupe de patients, puis on donne le remède testé à un seul des deux groupes.

L’autre groupe est le groupe de « contrôle ».

On l’appelle comme cela, car il permet de « contrôler » que le remède a bien eu un effet bénéfique.

Sans groupe de contrôle, il y a toujours un doute : même si l’on observe des guérisons dans le groupe traité, cela pourrait être des guérisons spontanées, qui auraient eu lieu de toutes façons.

En revanche, quand le groupe qui a reçu le remède se porte mieux que le groupe de contrôle, on commence à avoir une preuve sérieuse que le remède fonctionne.

Jusqu’ici, tout le monde est à peu près d’accord – et je suis certain que le regretté Pierre L. le serait aussi.

Le problème se pose de savoir ce qu’on fait quand on n’a pas d’étude solide.

Que fait-on quand on n’a quasiment que des « témoignages » de patients ?

Est-ce qu’on se refuse à émettre la moindre recommandation, de peur de se faire traiter de « charlatan » ?

Ou bien est-ce qu’on essaie tout de même de faire fonctionner son cerveau, pour le bien des malades ?

C’est là-dessus que mon opinion a beaucoup évolué depuis 10 ans.

Et le chlorure de magnésium en est un excellent exemple.

Lorsque Pierre L. écrit qu’il pourrait avoir une utilité contre Ebola, ce n’est pas par hasard.

Dans son article, il rappelle l’incroyable effervescence en faveur du chlorure de magnésium dans l’île de la Réunion, au moment de l’épidémie de chikungunya (une autre infection virale).

« Marie-France Billi, ancienne conseillère municipale de Nice, s’était déjà illustrée lors de l’épidémie de chikungunya qui désola la Réunion en 2006.

Cette femme de cœur et de courage connaissant depuis trente ans les vertus thérapeutiques du chlorure de magnésium, s’était dit qu’il pourrait bien être efficace contre le chikungunya. (Le chlorure de magnésium est reconnu pour son action anti-stress, pour le renforcement du système immunitaire et la stimulation de l’organisme.)

Elle expédia à la Réunion des dizaines de télécopies conseillant son utilisation contre cette maladie, que les médecins impuissants regardaient progresser les bras ballants. Et elle reçut quelques jours plus tard des dizaines d’appels et de messages de remerciement de Réunionnais guéris grâce à elle.

Aussi continua-t-elle ses envois. La nouvelle du remède-miracle se répandit dans l’île et tous les pharmaciens furent bientôt en manque de chlorure de magnésium.

Le corps médical, pour sa part, continua de traiter par le mépris l’emploi de ce magnésium. »

Pour mesurer le caractère exceptionnel des témoignages de patients, il faut écouter Marie-France Billi raconter cette histoire elle-même (dans cette vidéo par exemple[1]).

Beaucoup de patients disent avoir été guéris du chikungunya en 24h grâce au chlorure de magnésium.

Et comme c’est une maladie particulièrement douloureuse, ils ont tenu à exprimer leur immense reconnaissance envers Marie-France Billi.

Tous ces patients guéris du chikungunya ont-ils affabulé ?

Mais que valent réellement ces témoignages ? Il y a deux possibilités :

  • Soit il s’agit d’une forme « d’hystérie de masse » de patients terrifiés par cette maladie pour laquelle la médecine conventionnelle ne leur proposait rien, et qui se sont raccrochés de façon irrationnelle au premier remède qui leur a été proposé (l’auto-suggestion et l’effet placebo ayant fait le reste).
  • Soit le chlorure de magnésium aide effectivement à guérir le chikungunya.

Les deux explications sont plausibles.

Mais quand on y regarde de plus près, la possibilité que le chlorure de magnésium fonctionne réellement me paraît nettement plus probable.

De façon générale, le bouche-à-oreille des patients entre eux est rarement « irrationnel ».

Pensez aux usages traditionnels des plantes médicinales : dans la plupart des cas, leur efficacité a été confirmée, bien plus tard, par des études randomisées contre placebo.

De plus, le chlorure de magnésium est loin d’être un remède « inconnu au bataillon » :

  • Depuis plus d’un siècle, plusieurs médecins (y compris le Pr Delbet de l’Académie de médecine) ont observé et documenté sa capacité à guérir rapidement des infections – pneumonies et angines notamment, et même polio et diphtérie[2](d’ailleurs, la « delbiase » est encore vendue de nos jours en pharmacie[3] !)
  • Son efficacité est biologiquement plausible: outre les nombreuses vertus du magnésium pour le système immunitaire, le Pr Delbet a décrit la capacité spécifique du chlorure de magnésium à améliorer la capacité des globules blancs à digérer les microbes ;
  • Et surtout, on dispose depuis une cinquantaine d’années de nombreux témoignages de patients qui jurent que ce remède leur permet de guérir très rapidement leurs infections (syndromes grippaux, gastro, etc.) – tout cela malgré un goût peu agréable et un effet laxatif.

D’ailleurs, si vous utilisez vous-même du chlorure de magnésium, je vous invite vivement à me dire en commentaire quels bienfaits vous en retirez.

Donc, connaissant l’innocuité du chlorure du magnésium, je n’hésiterais pas à conseiller son utilisation à mes proches, s’ils étaient frappés par le chikungunya.

Pour Ebola, il faut reconnaître que les signaux d’efficacité sont beaucoup plus ténus.

Tout ce dont on dispose, c’est le récit de Marie-France Billi, qui s’est à nouveau mobilisée dès le début de cette épidémie :

« Connaissant le pouvoir exaltant du chlorure de magnésium sur les globules blancs macrophages (les premiers en ligne de défense en cas d’attaque virale de l’organisme), j’ai bien sûr tout de suite pensé au chlorure de magnésium dans cette épidémie d’Ebola. J’ai donc envoyé deux infirmiers maliens avec 40 kg de nigari sur le terrain… (Le nigari est le nom japonais du chlorure de magnésium peu raffiné sous forme de poudre blanche ou de cristaux).

Ils sont arrivés en Guinée et après moult contacts avec les autorités et les médecins, qui n’ont bien sûr rien voulu donner (je m’y attendais), il y a quand même un soignant de la Croix Rouge qui a entendu le message et distribué le nigari sans aucune autorisation officielle et qui a constaté les résultats !!! Et ça marche sur EBOLA !!! »

L’enthousiasme de Marie France Billi fait plaisir à voir, mais je serais beaucoup plus prudent.

Pour moi, le témoignage d’un seul soignant ne peut pas suffire à dire que « ça marche ».

Mais cela reste un petit espoir.

Et une chose est sûre : jamais je n’aurais réagi comme Thierry. Il ne me serait pas venu à l’idée de dégainer un article à charge contre cette « solution », qui a tout le même le mérite d’exister face à une maladie mortelle.

Et en y réfléchissant bien, je crois avoir compris pourquoi Thierry a « mal réagi ».

Entre Thierry d’un côté et Pierre et moi de l’autre, il y a désormais un fossé presque infranchissable.

C’est, je pense, une question de confiance dans le « système ».

Pour Thierry, il est peu vraisemblable qu’un remède incroyablement efficace contre les infections virales puisse avoir été totalement négligé par la médecine et la recherche scientifique.

Et pourtant…

J’ai beau ne pas avoir de certitude sur le chlorure de magnésium…

… mon enquête sur la puissance de la vitamine C m’a prouvé que le système pouvait « négliger » magistralement un traitement efficace et sans danger contre la plupart des infections !

Je vous en reparle très vite.

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : Si vous avez déjà utilisé le chlorure de magnésium, je compte sur vous pour me dire quels effets vous en avez ressenti (y compris, bien sûr, si ça n’a pas marché pour vous !)

Rendez-vous en commentaire de cet article pour livrer votre témoignage, je les lirai tous très attentivement et vous dirai les leçons que j’en tire !

Sources

[1] https://www.youtube.com/watch?v=AIRV61anlPg

[2] Auguste Neveu, Traitement cytophylactique des maladies infectieuses par le chlorure de magnésium, la poliomyélite, Première éditions : 1957.

[3] https://universpharmacie.fr/12936-delbiase-magnesium-2×24-comprimes.html

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  1. Un grand mystère pour moi : pourquoi, quand on est démuni devant une maladie, ne pas essayer un traitement avec l’accord eclairé du patient surtout quand il d’agit d’une substance déjà connue et jusque là sans danger ??? N’est ce pas ce qu’on fait d’ailleurs pour toutes les nouvelles molécules quand elles sont évaluées par des études en randomisées en double aveugle ? Le fait est qu’on n’a pas l’expérience de leur efficacité et pourtant on les teste !
    Si on avait attendu ces études ( gold standard !) qu’en serait-il de la pénicilline, du vaccin contre la rage, etc…..???

  2. bonjour, j’ai 60 ans quand j’étais enfant c’était le remède à tout pour mes parents, que ce soit pour les humains ou les animaux de la ferme, tout le monde y avait droit ! je garde le souvenir que c’était pas bon du tout à boire mais par contre on n’allait jamais chez le médecin…

  3. Je suis médecin et il y a 40 ans, j’ai développé une allergie sévère aux pollens (avec écoulement nasal permanent, prurit et oedème des conjonctives). Ma seule solution était de prendre quotidiennement des anti histaminiques pendant 4 mois par an. Ma belle-mère, qui n’est pas médecin, m’a conseillé de prendre du chlorure de magnésium au début du printemps et de l’automne. Je l’ai écoutée. Première année: aucun résultat. Deuxième année: allergie moins sévère. troisième année: plus besoin d’anti histaminiques. Depuis, je fais deux fois par an une cure de chlorure de Mg et je n’ai plus jamais eu d’allergie aux pollens !! Je n’ai en effet retrouvé aucune étude scientifique prouvant l’efficacité du produit, mais d’innombrables témoignages de son efficacité. Depuis des dizaines d’années, je constate que MgCl2 est aussi très efficace en cas d’infection aigue (angine, sinusite, bronchite), à posologie plus forte. Là comme ailleurs, l’absence d’étude scientifique est regrettable et ne permet pas des recommandations officielles, mais il serait dommage de se priver d’un traitement efficace, non toxique et peu coûteux. Rappelons-nous qu’aucun laboratoire pharmaceutique ne dépensera de l’argent pour financer une étude sur un produit non brevetable, qui ne rapporte rien et évite de prendre des médicaments !

  4. J’en prend dilué dans un verre d’eau lorsque j’ai des crampes. Elles disparaissent au bout de quelques minutes.
    Cela m’arrive quelque fois la nuit , et c’est le seul remède que j’ai trouvé à quelques € le kilo et pour des années seulement.

  5. Bonsoir, je me permets de prendre ma plume informatique pour vous relater mon expérience sur le chlorure de magnésium. Lorsque nous étions jeunes, mon père nous donner du chlorure de magnésium sous forme de poudre achetée en sachet. J’ai 4 frères plus âgés ! Il mettait cette poudre dans des cachets emboîtants type pain azyme (qui n’existent plus aujourd’hui). Il se relevait la nuit pour nous en donner toutes les 3 heures environ lorsque la grippe ou autres maladies hivernales étaient présentes dans la maison. J’ai souvent pesté étant petite car je n’ai jamais loupé une seule journée d’école !! Plus tard, le médecin homéopathe qui me suivait ainsi que mes enfants me donner toujours une cure de Magnogène (chlorure de magnésium qui n’existe plus non plus) lors des intersaisons : 2 cp / 3 fois / jour. Je n’ai eu qu’une seule fois la grippe dans ma vie, j’ai 65 ans aujourd’hui. Depuis ces 4 dernières années, j’ai été testée positive au Covid, et j’ai dû me recoucher 2 heures un matin car j’avais mal à la tête. Vous imaginez bien que j’ai pris du Delbiase à ce moment-là et du zinc et vitamine C à haute dose. J’étais infirmière à l’hôpital et le chlorure de magnésium m’a toujours accompagné pendant ma vie professionnelle. Lorsque j’étais en terminale, je m’étais abonnée au journal L’Impatient et je me souviens d’un article qui disait que le chlorure de magnésium était un activateur du complément, substance facilitatrice de la réaction antigène/anticorps. Aujourd’hui, j’ai pris le sel de magnésium de 3ème génération, le bisglycinate. je ne trouve pas du tout la même efficacité, tant sur la fatigue, les problèmes de sommeil ou la fatigue musculaire ! Lorsque je faisais des cures, je m’arrêtais lorsque je commençais à avoir un peu de diarrhée, signe que j’avais rechargé mes batteries de magnésium !

  6. A lire sans aucune hésitation. Le contenu aide à avoir une distinction plus claire entre la médecine officielle et la médecine ancestrale, notamment au niveau méthodologies de recherche (ce qui est fondamentale). Merci Dr. Xavier Bazin pour cet éclairage.

  7. j’ai 77ans. quand j’avais une dizaine d’année mon à acheté des sachets de chlorure de magnésium.
    pourquoi?parce qu’à la pharmacie une éleveur de vache en achetait et à dit à mon père : puisque c’est bon pour mes vaches ca doit être bon pour moi. et nous avons toujours eu une bouteille de dilution sur l’évier avec un brin de laine autour du goulot pour ne pas se tromper de bouteille .
    j’en prends par cure une ou 2 fois l’an

  8. Bonjour, j’utilise régulièrement le Nigari, dès qu’un début de mal de gorge, rhume, gastro, pointe le bout de son nez… et avec beaucoup de succès, d’autant plus qu’il est pris dès l’apparition des symptômes, une fois l’infection virale installée, il paraît moins efficace ou beaucoup plus long à agir… Car souvent, pris très tôt, une prise suffit, quitte à le renouveler le lendemain si c’est encore fragile et essaie de revenir. Je dirais qu’il est efficace, là où la médecine n’a pas de solution, les virus… Une fois, pour un début de pneumonie (bactérienne), j’en ai pris au moins 5 fois par jour pendant 3 jours, la pneumonie continuait, par contre, j’avais des verrues plantaires et sur la main, elles ont « séché » et disparue en 3 jours, la peau était comme neuve, plus de traces… J’en ai déduit que la chlorure à plus forte dose avait « écrasé » le virus des verrues, j’en suis sûre puisque je me suis demandé si ce n’était pas l’application d’huile essentielle avec mes doigts qui avait donné ce résultat mais celà ne pouvait pas être celà puisque mes verrues plantaires avaient aussi disparues et je n’appliquais pas les huiles essentielles avec mes pieds… Je ne suis pas sujette aux boutons de fièvre, mais je conseillerais bien la même chose pour voir… En tout cas, sur ce qui est virale type grippe intestinale, autres, virus en tout genre de l’hiver, rhume, angine virale, c’est très efficace et d’autant plus qu’on en prend dès le tout début d’un symptôme et verrues, si elles revenaient, je n’hésiterai pas, 5 fois par jour pendant 3 j…

  9. Bonjour,
    Je connais le Chlorure de Magnésium, une amie me l’avait conseillé voilà plusieurs années au changement de saison, hiver et printemps. Je le dilue dans un 1.5L d’eau et j’en bois un verre tous les matin, le gout n’est pas terrible mais bon je me sens bien surtout au niveau de l’hiver, pas de rhume rien de tout ces petits maux.
    Je remercie cette amie qui a sût me conseiller.
    Un grand merci à vous Mr Bazin pour les infos que vous nous partagez.
    Cordialement.

  10. Bonjour et merci pour votre lettre. Je prends du Nigari depuis 5 ans au moins. J’avais, auparavant, des rhumes à répétition chaque hiver, notamment ; puis, sur conseil de notre fils, nous avons pris du Nigari (1 cuillère à soupe pour 1 litre d’eau) au changement de saison, surtout à l’approche de l’automne : un petit verre chaque matin pendant une dizaine de jours. Puis, nous recommençons si nous sentons venir un rhume ou quelque infection.
    Depuis ce temps, nous ne sommes plus malades, sauf exception rare. Nous le conseillons beaucoup autour de nous. Mais il semble que les personnes qui ont des problèmes de foie ne doivent pas en prendre. Nous ne savons si c’est vrai.
    Avec nos remerciements. Jean-Pierre

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