Laurent Joffrin, ancien patron de Libération et du Nouvel Obs, a craché le morceau !
Cela s’est passé en direct, sur CNews, le 6 juillet dernier[1].
Sur le plateau, un Professeur de médecine déclare qu’on n’a aucun recul sur les risques des vaccins anti-Covid.
Cri du cœur de Laurent Joffrin, qui lui coupe la parole :
« Si vous dites que c’est dangereux, les gens ne vont pas se faire vacciner » !
Tout était dit.
Il faudrait éviter à tout prix de parler publiquement des risques du vaccin !
Pour une raison simple : nos médias et autorités croient (à tort !) que les vaccins sont la seule solution pour sortir de l’épidémie.
Dans cette logique, il ne faudrait donc surtout pas parler des effets indésirables graves, car on risquerait de décourager les gens de se vacciner… ce qui serait catastrophique (toujours dans leur vision déformée de la situation).
Et c’est ainsi que, pour l’élite qui nous dirige, il est légitime de vous cacher la réalité des effets indésirables de ces vaccins : c’est pour « la bonne cause ».
Et c’est ce qu’ils font : en Occident, les politiques, les autorités, les médias, et les réseaux sociaux (Google, Facebook, YouTube…) se sont coalisés pour occulter les risques de ces vaccins.
Heureusement, il y a dans le monde des centaines de chercheurs, médecins et citoyens honnêtes, qui n’ont pas peur de dire les choses comme elles sont.
En réalité, on sait depuis le début qu’il y a un sérieux problème avec ces vaccins.
Écoutez le Pr. McCullough, un des cardiologues les plus respectés au monde[2] :
« Dès le 22 janvier dernier, nous savions que nous avions un problème de mortalité avec ces vaccins.
Il y avait déjà 182 décès signalés pour 27 millions de doses de vaccins Covid, contre 158 décès par an en moyenne signalés pour 500 millions de doses de 72 autres vaccins ».
Ce Professeur nous dit qu’en janvier, aux Etats-Unis, il y avait déjà autant de morts suspectes en 1 mois après injection des vaccin ARN… qu’en 1 an avec 72 vaccins différents !
Depuis, cette tendance sidérante n’a fait que se confirmer.
Voici l’évolution du nombre de décès signalés à la pharmacovigilance américaine depuis 1990[3] :
En quelques mois, plus de 9 000 décès ont été rapportés suite aux vaccins Covid… soit davantage qu’en 30 ans de vaccination !
Et on a le même phénomène en Europe : plus de 10 000 morts rapportés à la pharmacovigilance après la vaccination Covid (base Eudravigilance), un record absolu[4].
Il se passe quelque chose de grave avec ces vaccins !
Le gros problème de la « pharmacovigilance »
Et pourtant, on arrive à vous le cacher – voici comment.
D’abord, je rappelle que les essais cliniques ne nous disent rien des effets indésirables graves relativement rares.
Avec 40 000 patients testés, il était impossible de détecter 1 décès sur 5 000 (ce qui ferait tout de même 6 000 morts en France avec 30 millions de vaccinés !)
De plus, les essais cliniques comportaient surtout des personnes âgées entre 40 et 70 ans donc :
- Peu de jeunes de 18 à 40 ans, pourtant particulièrement à risque d’effets graves – c’est ainsi que les essais cliniques n’ont pas détecté les myocardites ;
- Et peu de personnes très fragiles (vieillards, insuffisants rénaux, etc.), pour qui des effets indésirables « modérés » (une grosse fièvre de quelques jours) peuvent suffire à causer l’irréparable.
Bref, les essais cliniques ne peuvent pas vraiment nous informer des risques réels, ce qui est très dommage car c’est la seule méthode pour être certain du nombre d’effets indésirables du vaccin.
Reste donc la « pharmacovigilance », c’est-à-dire l’examen des effets indésirables après-coup, une fois vaccination de la population entamée.
Le problème est que cette pharmacovigilance est très imparfaite.
Voici comment cela fonctionne.
On demande simplement aux professionnels de santé et aux patients vaccinés de signaler des effets indésirables potentiels observés après la vaccination.
Or, c’est le meilleur moyen de passer à côté de la grande majorité des effets indésirables !
Prenez une hausse de la tension artérielle, un effet souvent rapporté après le vaccin Pfizer.
Une hausse brutale de tension n’a rien d’anodin, car cela peut notamment causer des AVC mortels.
Imaginez Monsieur Dupont, qui va voir son médecin deux semaines après avoir reçu le vaccin Pfizer, parce que sa tension est soudainement plus élevée.
Croyez-vous que le médecin va faire de lui-même le lien avec le vaccin, qui lui est partout présenté comme sûr et efficace ? Et s’il fait le lien avec le vaccin, croyez-vous qu’il va prendre 10 minutes de son temps précieux pour remplir un dossier en ligne et signaler ce cas à la pharmacovigilance ?
Dans la plupart des cas, il ne le fera pas, évidemment.
Et c’est ainsi que la plupart des effets indésirables, même graves, ne sont jamais rapportés à la pharmacovigilance !
Des études scientifiques très sérieuses ont été réalisées sur le sujet, avec cette conclusion : seulement 1 à 20 % des effets réels graves sont signalés en moyenne[5] !
Ce qui signifie qu’au moins 8 effets indésirables graves sur 10 ne sont jamais signalés.
Donc ne vous laissez pas impressionner par les gens qui vous disent qu’on a déjà vacciné plus de 30 millions de Français (et plusieurs milliards d’humains !) et que si le vaccin était dangereux, on s’en serait aperçu.
Vous allez voir que le vaccin EST dangereux, et que ceux qui ont les yeux ouverts s’en sont déjà aperçu depuis des mois !
Ce n’est que par une pirouette indécente que les autorités arrivent à cacher les milliers de morts et effets indésirables du vaccin.
Elles vous disent – et elles ont raison sur ce point – que certains effets indésirables « signalés »… n’en sont pas !
C’est vrai : il est tout à fait possible qu’un patient qui subit une crise cardiaque 4 jours après son vaccin aurait eu cette crise cardiaque de toute façon !
Pour en savoir plus, il faudrait réaliser une autopsie : si on découvre alors que la crise cardiaque a été causée par une thrombose anormale, ou une réaction immunitaire spécifique, alors le vaccin est certainement en cause.
Mais notez bien que, même après autopsie, si la crise cardiaque est « banale », on ne peut pas savoir si elle a été causée par le vaccin ou par « la faute à pas de chance ».
C’est tout le problème de la plupart des effets indésirables signalés à la pharmacovigilance : il est impossible de savoir avec certitude si c’est le vaccin qui les a causés ou non.
Il n’y a que dans des cas très rares qu’on peut aboutir à une conclusion certaine : quand l’effet indésirable est tellement rare et spécifique qu’il ne peut raisonnablement pas avoir d’autre explication que le vaccin.
C’est ainsi que les autorités ont été obligées d’admettre que le vaccin AstraZeneca a tué un jeune homme de 24 ans en pleine santé[6] :
- D’abord parce qu’il est très rare de mourir à 24 ans, quelle qu’en soit la cause ;
- Mais aussi et surtout parce que la cause de la mort est ultra-inhabituelle, avec une thrombose abdominale rarissime.
A contrario, il est impossible d’attribuer au vaccin avec certitude la mort d’un homme de 60 ans d’une crise cardiaque :
- Parce que les crises cardiaques et les décès ne sont pas si rares après 60 ans ;
- Et parce qu’une « simple » crise cardiaque n’est pas suffisamment spécifique pour être liée avec certitude au vaccin.
Et le pire, c’est qu’on ne réalise quasiment aucune autopsie !
Prenez le cas de cet homme Landais de 75 ans, mort d’un « arrêt cardio-respiratoire » 12 jours après la vaccination Pfizer.
Sans autopsie, on ne peut pas savoir s’il s’agit d’un banal infarctus ou d’une thrombose plus rare et spécifique.
Pourtant, suite à la plainte de la famille, le Procureur de la République n’a pas jugé utile de faire une autopsie, concluant que le décès est une « coïncidence »[7].
Alors qu’il n’en sait strictement rien !
Autre exemple frappant, rapporté par l’avocat Me Di Vizio : sa voisine de 65 ans est morte dans son bain par noyade, 2 jours après l’injection du vaccin… et pourtant, l’autopsie est refusée, et la cause officielle de la mort est la « noyade » !!
Et voilà comment on balaie d’un revers de main les chiffres effarants rapportés à la pharmacovigilance sur les vaccins Covid !
Il leur suffit de nous dire que ces morts sont des « coïncidences », sans faire la moindre enquête !
Et même après enquête, je répète qu’il est extrêmement difficile de prouver qu’un vaccin est en cause dans un infarctus ou un AVC en apparence « banal » !
C’est ainsi que l’Agence du Médicament, dès le mois de janvier, a écarté la possibilité que le vaccin Pfizer soit en cause dans le sort tragique d’un homme pourtant décédé deux heures après la vaccination !!!
Vous le voyez : la charge de la preuve est totalement déséquilibrée.
Souvenez-vous du vaccin AstraZeneca : le 15 mars dernier au matin, le premier ministre Jean Castex exhortait encore à « avoir confiance » dans ce vaccin[8] et « se faire vacciner », malgré des alertes graves et évidentes de thromboses mortelles ultra-spécifiques (l’après-midi-même, ce vaccin était suspendu, puis déconseillé aux moins de 55 ans).
En cas d’effets indésirables graves signalés après vaccination, les autorités ont systématiquement tendance à innocenter les vaccins… et ils ne reconnaissent de problème que lorsque les preuves sont absolument irréfutables.
Mais dans la plupart des cas individuels, on ne peut pas savoir… et plutôt que de reconnaître qu’il y a un vrai doute, les autorités ont tendance à conclure faussement que les vaccins ne sont pas en cause.
Voilà pourquoi il faut comparer les vaccins ENTRE EUX !
Alors, avec cette incertitude, comment mesurer précisément le nombre d’effets indésirables de ces vaccins ?
Eh bien il faut faire ce qu’a fait le Pr McCullough : il faut comparer les effets indésirables des différents vaccins entre eux.
Le vaccin contre la grippe, est par exemple donné chaque année à environ 100 millions d’Américains adultes – en priorité les personnes âgées et vulnérables.
Cela fait un bon point de repère pour mesurer le risque du vaccin contre la Covid.
Logiquement, il ne devrait pas y avoir beaucoup plus de signalements après un vaccin Covid qu’après un vaccin contre la grippe[9].
Et pourtant : on trouve au moins 50 à 500 fois plus de morts signalées après les vaccins Covid qu’après les vaccins contre la grippe[10][11] !
Et c’est la même chose avec les effets indésirables graves.
Beaucoup de médecins ont vécu la même histoire que ce docteur canadien, qui n’avait jamais observé d’effets indésirables graves du vaccin contre la grippe en 29 ans de carrière… mais qui a vu 15 effets indésirables sérieux sur 600 patients vaccinés contre la Covid… dont 5 hospitalisés[12] !
Voilà encore un signal extrêmement fort et inquiétant !
On peut toujours nous dire qu’il n’y a pas de preuve de « cause à effet » entre les vaccins et les milliers de morts rapportés à la pharmacovigilance européenne…
…mais il faut encore expliquer pourquoi il y a eu au moins 50 fois plus qu’après le vaccin contre la grippe !
Et il y a aussi une autre raison de prendre ces milliers de morts très au sérieux.
Près de la moitié des décès signalés après vaccination ont lieu dans les 48 heures après l’injection !
Vous le voyez dans ce graphique présenté par le Pr McCullough : la plupart des décès se sont produits juste après le vaccin !
Et je rappelle qu’au moins 80 % des effets indésirables graves ne sont jamais signalés.
Beaucoup de morts apparemment « banales », 5 à 30 jours après le vaccin, n’ont pas été signalées alors qu’elles pourraient être liées au vaccin.
Un exemple parmi mille : je vous avais parlé de cette étudiante de 23 ans, morte d’une dissection aortique (déchirure de l’artère) un mois après sa vaccination. Son cas n’a jamais été rapporté à la pharmacovigilance, alors qu’il est plus que troublant de mourir de cette façon aussi jeune[13] !
C’est pourquoi le nombre de 10 000 décès en Europe liés au vaccin Covid me paraît un minimum :
- Certes, peut-être que 20 à 50 % de ces morts sont des « coïncidences » (les personnes seraient mortes de toute façon) ;
- Mais il y a énormément de décès suspects non signalés (peut-être 5 à 10 fois plus), ce qui compense largement !
Et voilà pourquoi j’en conclus que les morts signalées à la pharmacovigilance sont le minimum des morts causées par la vaccination !
Et je ne parle pas ici du nombre énorme d’effets indésirables graves que tous les médecins honnêtes ne peuvent que constater dans leur cabinet chez les patients vaccinés.
Au total, comme le disait le Pr McCullough le 11 juin dernier :
« Il y a en ce moment, aux États-Unis, plus de décès et de blessures causées par les vaccins que d’hospitalisations et de décès liés aux infections respiratoires.
Le vaccin cause plus de dommages que le problème initial ».
Tout cela, pour une efficacité plus que discutable face aux variants !
Restez connecté, la semaine prochaine on fera le calcul final de la balance des risques et des bénéfices des vaccins…
…préparez-vous à être surpris !
107 réponses
Merci beaucoup pour ces informations qui confirment ce que je constate dans mon cercle de connaissances.
Bonsoir,
Merci pour tous ces articles très intéressants.
Je suis sage-femme …. je suis donc dans l’obligation de me faire vacciner avant le 15 Septembre (je n’ai toujours pas fait ma 1ere dose).
J’ai 30 ans, je n’ai ni diabète ni HTA.
Je ne consens pas à faire ce vaccin mais étant célibataire et ayant des charges à payer tous les mois, je ne peux me permettre une suspension de salaire.
Quelles solutions s’offrent à moi ?
Je suis furieuse après 1 an et demi de bons et loyaux services auprès des femmes en période covid.
Bonjour LENDA,
Je n’ai malheureusement pas de réponse à vous apporter, je lisais juste votre témoignage et je partage la même colère que vous. Je vous souhaite bon courage et restons solidaires !
Sebastien
Bravo de vos commentaires en espérant que cette vaccination va bientôt s’arrêter et qu’il trouve un médicament
A PARTAGER URGENT & MERCI POUR TOUTES CES INFORMAYIONS PRÉCICIEUSES.