Si la vitamine D peut vous éviter le cancer, est-elle efficace pour traiter un cancer déjà apparu ?

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Nous arrivons au bout de notre petite épopée sur la vitamine D et le cancer.

Ceci est probablement ma DERNIÈRE lettre sur le sujet.

J’espère que je ne vous ai pas lassé(e), mais pour ma part, je ne regrette pas d’avoir enquêté pendant des mois, car l’histoire est extraordinaire.

Tout a commencé, on l’a vu, avec les frères Garland, dans les années 1980.

Ils sont médecins, épidémiologistes, et découvrent que les gens qui s’exposent le plus au soleil ont moins de cancer[1].

Puis, ils montrent que les gens qui ont de bons taux de vitamine D dans le sang ont moins de cancer que ceux qui sont en carence[2].

Cela crée une forme d’excitation autour de la vitamine D, à partir des années 1990.

D’autant que l’on observe que la plupart des patients cancéreux ont un déficit en vitamine D[3]

…et que les patients cancéreux qui ont de bons taux de vitamine D ont plus de chances de s’en sortir que les autres[4] !

Et puis, on découvre comment, biologiquement, la vitamine D peut agir contre le cancer.

On comprend que la vitamine D active plus de 1 000 gènes dans notre organisme, ce qui lui permet d’avoir des effets sur… à peu près tout[5].

Et l’un de ses multiples effets, c’est sa capacité à ralentir la croissance des cellules cancéreuses par ses effets « anti-prolifératifs »[6]. Un phénomène qui a d’ailleurs été observé directement in vivo, sur des souris[7].

On comprend aussi que la vitamine D pourrait agir contre le cancer par d’autres voies encore : sa capacité à promouvoir l’autophagie et à réparer l’ADN, son pouvoir antioxydant, etc. Sans oublier son action sur le système immunitaire[8], sachant que l’immunité a un rôle important pour tenir les cellules cancéreuses en respect.

Bref, au tournant des années 2000, on a ÉNORMÉMENT de preuves indirectes en faveur de la vitamine D comme agent « anti-cancer ».

Des preuves qui, à mon avis, suffisaient amplement pour adopter un comportement de précaution : vérifier son taux de vitamine D dans le sang et faire le nécessaire pour l’améliorer s’il est inférieur à 30 ng/mL (et agir en urgence s’il est inférieur à 20 ng/mL, taux de déficience universellement admis).

Quand on sait qu’environ 40 % des Français ont moins de 20 ng/mL dans le sang[9], on se demande pourquoi les autorités n’ont pas fait le nécessaire pour supprimer ces carences.

Étonnamment, c’est même plutôt l’inverse qui s’est produit : au début des années 2010, les autorités françaises décident de dérembourser l’analyse sanguine de la vitamine D, sauf exceptions très limitées.

C’est aberrant, tant la vitamine D a d’effets positifs évidents, notamment sur les os, sur notre système immunitaire, sur notre cerveau, etc.

Mais s’agissant du cancer, il faut reconnaître qu’il restait encore un petit doute.

Certes, les personnes qui ont d’excellents taux de vitamine D dans le sang ont moins souvent de cancer, et ont plus de chance de survivre en cas de cancer.

Mais est-on absolument certain que c’est grâce à la vitamine D ?

En toute rigueur, on pourrait imaginer d’autres explications possibles.

Peut-être que ceux qui s’exposent le plus au soleil sont dès le départ en meilleure santé que les autres (à l’inverse, les personnes très âgées ou très malades sortent peu de chez elles).

Ou peut-être que des bons taux de vitamine D dans le sang ne sont que le reflet d’un mode de vie sain, au grand air : ce serait alors ce mode de vie global qui protégerait contre le cancer, et la vitamine D élevée dans le sang n’en serait que le témoin.

Ou encore, peut-être que le cancer lui-même réduit le taux de vitamine D dans le sang, par un mécanisme qui nous serait encore inconnu (ce qui pourrait expliquer pourquoi ceux qui ont un cancer ont moins de vitamine D dans le sang que les autres).

Donc, il y avait un doute.

Pas un doute suffisant pour agir contre les carences en vitamine D – c’est du bon sens quand on sait que les gouttes quotidiennes de vitamine D sont sans risque à des doses raisonnables[10] !

Mais un doute suffisant pour demander des preuves directes de son action contre le cancer.

Par chance, ces preuves se sont accumulées à partir des années 2000 – grâce aux multiples essais cliniques organisés sur la vitamine D.

Les essais cliniques depuis 20 ans ont « plié le match » !

Au départ, ces études ne visaient pas forcément à étudier l’effet anti-cancer de la vitamine D, mais comme on savait si les participants avaient eu le cancer ou pas, cela a permis à des chercheurs d’examiner les données après coup.

Et ils ont trouvé un effet remarquable.

Ceux qui prenaient de la vitamine D, après 3 ou 5 ans, mourraient moins du cancer que ceux qui avaient reçu le placebo[11].

Alors, au début des années 2010, un très grand essai clinique est lancé, spécifiquement sur le cancer, pour en avoir le cœur net.

Un essai géant, avec 26 000 personnes : 13 000 participants qui reçoivent 2 000 UI par jour de vitamine D, et 13 000 qui reçoivent un placebo.

C’est le fameux essai VITAL, mené aux États-Unis, dont je vous ai beaucoup parlé.

Et les résultats sont extrêmement positifs pour la vitamine D.

L’étude confirme l’effet (déjà observé) sur la mortalité par cancer : la vitamine D réduit de 17 % le risque de mourir du cancer – et même de 25 % quand on ne prend pas en compte les deux premières années de suivi (ce qui est logique, car il faut laisser le temps à la vitamine D d’agir).

Mieux : quand on examine les 8 000 participants qui avaient un poids normal – et qui étaient donc les seuls qui avaient reçu une dose adéquate de vitamine D – l’efficacité apparaît de façon éclatante[12]. Par rapport au groupe placebo :

  • La vitamine D réduit le risque d’avoir un cancer de 24 % ;
  • Et elle réduit le risque de mourir du cancer de 42 %.

Ce sont des résultats exceptionnels. Presque ahurissants.

De mon point de vue, ils ne laissent plus de place au moindre doute.

D’autant que des méta-analyses prenant en compte la totalité des essais cliniques sont venues confirmer l’effet de la vitamine D sur la mortalité par cancer (à condition de la prendre tous les jours, et non pas tous les mois)[13].

Cela dit, il reste une dernière forme de preuve directe à examiner.

Si la vitamine D est anti-cancer en prévention, il serait logique qu’elle fonctionne AUSSI en traitement du cancer.

C’est ce que pensent les médecins compétents. Ainsi, dès 2015, dans son livre de référence, le Dr Ménat écrivait : « nous prescrivons systématiquement de la vitamine D quand un patient doit lutter contre le cancer »[14].

C’est du bon sens. Mais a-t-on des preuves directes de l’efficacité d’un traitement à la vitamine D ? Et à quelle dose ?

Quand j’ai cherché des réponses à cette question, une chose m’a beaucoup surpris :

TRÈS ÉTONNANT : peu d’essai clinique sur la vitamine D en traitement anti-cancer !

Avec tout ce qu’on sait, il serait logique de se PRÉCIPITER pour faire des études sur l’effet de la vitamine D en traitement du cancer !

Ce serait d’autant plus logique que la recherche contre le cancer est aujourd’hui dans une impasse.

Une étude parue dans le British Medical Journal a examiné de près les nouveaux médicaments anti-cancer approuvés entre 2009 et 2013. Conclusion : « la plupart d’entre eux n’ont aucun bienfait en termes de survie ou de qualité de la vie. »[15]

Quant à la petite minorité de médicaments qui avaient une certaine efficacité, l’étude du BMJ montre que leur effet est globalement dérisoire : 1 à 6 mois de survie de gagnée, souvent au prix des effets secondaires terribles de la chimiothérapie.

Dans ces conditions, pourquoi ne pas tester massivement la vitamine D, très prometteuse, sans effet indésirable… et pas chère du tout ?

Surtout qu’elle est parfaitement complémentaire des traitements du cancer, sans risque d’interaction.

La réponse, hélas, est précisément qu’elle n’est pas chère et qu’elle ne rapporte donc rien à personne.

Les cancérologues s’enrichissent en testant les traitements de Big Pharma. Et Big Pharma, qui finance l’essentiel des essais cliniques, ne s’enrichit qu’en mettant sur le marché des molécules brevetables.

Donc, dans le monde très « business » de la cancérologie, la vitamine D n’intéresse personne, ou presque.

Heureusement, çà et là, on trouve quelques essais cliniques… et ils confirment les promesses de la vitamine D !

Cancer colorectal : l’efficacité de la vitamine D est prouvée !

C’est sur le cancer colorectal que l’effet protecteur de la vitamine D apparaît le plus marqué.

C’est vrai en prévention… et c’est vrai aussi en traitement !

Ainsi, une méta-analyse de 5 essais cliniques montre que le traitement par vitamine D évite la progression du cancer colorectal ou la mort dans 30 % des cas[16].

L’un de ces essais a été réalisé par l’Institut du Cancer Dana-Farber (affilié à l’Université Harvard) et publié dans le prestigieux journal JAMA[17]. Parmi des patients victimes d’un cancer colorectal avancé, la moitié a reçu 8 000 UI de vitamine D par jour pendant deux semaines, puis 4 000 UI par jour, et l’autre moitié a reçu un placebo.

Et les résultats sont bons : 36 % de moins d’aggravations du cancer ou de mortalité dans le groupe qui a reçu la vitamine D.

Commentaire du principal auteur de l’étude, professeur à Harvard :

« Ces résultats sont extrêmement importants, car ils signalent l’existence d’une substance peu coûteuse, sans danger et facilement accessible (la vitamine D) comme nouveau traitement potentiel contre le cancer colorectal avancé. Cela pourrait avoir un impact énorme mondialement »[18].

On ne saurait mieux dire !

Et ces résultats sont d’autant plus encourageants que la dose donnée dans cet essai est franchement faible pour un traitement censé soigner une maladie grave.

En effet, dans cette étude, les patients cancéreux avaient au départ un taux de vitamine D dans le sang de 16 ng/ml en moyenne. Ce qui veut dire que la plupart étaient en situation de déficience.

Face au cancer, il était donc urgent de remonter ce taux aussi vite que possible au-dessus des 40 ng/mL. Ce qui ne peut être fait qu’avec des doses initiales de 20 000 à 50 000 UI tous les jours pendant quelques jours !

Mais les chercheurs n’ont donné aux patients comme « dose de charge » que 8 000 UI par jour pendant 14 jours (suivis de 4 000 UI), ce qui retarde considérablement la « remontée » du taux de vitamine D dans le sang – et c’est très dommage, car chaque jour compte en cas de cancer avancé !

De fait, au bout de 4 mois, un tiers seulement des participants avait atteint le seuil « protecteur » de 40 ng/mL.

Pire : un tiers des patients n’a jamais dépassé les 30 ng/mL, qui est le seuil généralement minimal recommandé par les autorités !

Donc, avec ces doses manifestement insuffisantes, il est remarquable d’avoir malgré tout trouvé une diminution de 36 % du risque d’aggravation du cancer[19] !

Franchement, si cette étude n’avait montré aucun résultat de la vitamine D, je n’aurais pas été étonné ! Donc, le fait qu’elle montre un effet est TRÈS PROMETTEUR, et confirme qu’il s’agit bien d’une vitamine anti-cancer.

D’autant que, comme souvent avec la vitamine D, les résultats étaient encore meilleurs chez ceux qui n’étaient pas obèses (or on sait que la vitamine D, aux doses habituelles, a peu ou pas d’effets chez les personnes obèses).

Au total, pour le cancer colorectal, il fait peu de doute que la vitamine D est efficace en traitement[20].

Lisons ensemble les autres essais cliniques : ils sont POSITIFS !

Pour les autres cancers, on ne dispose que de très peu d’études, mais globalement, les résultats vont dans le même sens (positif).

Ainsi, dans un essai clinique où les patients cancéreux ont reçu de fortes doses avant leur opération – 50 000 UI tous les jours pendant 7 jours, suivi de 10 000 UI par jour – on a observé une activation de certaines cellules immunitaires capables de lutter contre les tumeurs[21].

Dans d’autres études, la vitamine D a montré un effet positif sur la qualité de vie des patients cancéreux[22] – notamment sur la fatigue ressentie[23]

Dans une étude rétrospective, la supplémentation de vitamine D a amélioré la survie de patientes ayant un cancer du sein[24] (cela dit, je me dois de signaler qu’une petite étude n’a pas trouvé d’effet biologique chez des patientes ayant un cancer du sein[25]).

Une autre petite étude randomisée a montré des résultats prometteurs sur le cancer du poumon, pour ceux qui étaient en état de « déficience » avec moins de 20 ng/mL dans le sang[26].

Enfin, des hommes ayant un cancer de la prostate « à faible risque » ont obtenu des améliorations nettes avec 4 000 UI par jour, pendant un an[27].

Bref, tout pointe vers un effet positif de la vitamine D en TRAITEMENT du cancer, et ce d’autant plus que la chimiothérapie semble « consommer » une bonne partie de la vitamine D que vous avez dans l’organisme[28], ce qui fait qu’il est capital d’avoir de bonnes réserves.

Mesdames et Messieurs les sceptiques, que vous faut-il de plus ???

Donc, TOUT confirme l’efficacité de la vitamine D comme « agent anti-cancer ».

Elle est efficace en prévention et efficace en traitement.

Que faut-il de plus aux sceptiques, qui refusent de l’admettre et de la recommander largement ?

La réponse est : rien. Car beaucoup d’entre eux sont payés par Big Pharma pour « semer le doute » et éviter qu’un traitement simple et bon marché ne vienne saper le business extrêmement juteux des traitements brevetés anti-cancer.

Donc ne les écoutez pas. Vous savez ce qu’il vous reste à faire !

Faites une prise de sang, et vérifiez bien que votre taux est supérieur à 40 ng/mL. Surtout si vous avez le cancer ou si vous avez eu le cancer !

Bonne santé,

Xavier Bazin

DERNIÈRE MINUTE : si vous êtes en situation d’obésité (IMC > 30), faites attention avec la supplémentation en vitamine D – j’ai détecté dans les études un signal préoccupant, je vous en reparle très vite.

Sources

[1] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16886679

[2] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29906273/

[3] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3082978/pdf/zlj1599.pdf (parmi des patients victimes d’un cancer colo-rectal metastasé, seuls 10 % avait un taux de vitamine D supérieur à 33 ng/mL.

[4] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31548349/, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24202453/

[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24808867/

[6] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4572477/

[7] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33197518/

[8] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15585793/

[9] « En population générale, environ 40–50 % des Français ont une concentration de 25OHD inférieure à 20 ng/mL (50 nmol/L) et 80 % ont une concentration inférieure à 30 ng/mL (75 nmol/L). https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1169833019300821

[10] https://www.xavier-bazin.fr/dangereuse-la-vitamine-d-mensonge/

[11] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC150177, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22112804/, https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa055222

[12] Je détaille ce raisonnement et mes sources ici https://www.xavier-bazin.fr/parmi-les-manip-qui-masquent-lefficacite-de-la-vitamine-d-voici-la-plus-grosse-et-cest-le-cas-de-le-dire/

[13] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37004841/

[14] Cancer, un accompagnement qui change tout, La source vive, page 256.

[15] http://www.bmj.com/content/359/bmj.j4530

[16] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7686489

[17] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC6459117/

[18] https://news.harvard.edu/gazette/story/2019/04/high-dose-vitamin-d-shows-benefit-in-patients-with-advanced-colorectal-cancer/

[19] Surtout quand on comprend que le suivi a duré 2 ans… mais la supplémentation en vitamine D n’a duré que 6 mois en moyenne (elle n’était donnée qu’en accompagnement de la chimio).

[20] Une étude récente a montré qu’une partie des patients obtenaient des résultats exceptionnels avec la vitamine D en cas de cancers colo-rectal. Ce sont ceux pour lesquels on trouvait dans les cellules cancéreuses des traces de la protéine p53 (clé contre le cancer) ainsi que des anticorps contre la protéine p53. Encore une preuve que les effets de la vitamine D contre le cancer ne doivent rien au hasard https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2808569

[21] https://ascopubs.org/doi/abs/10.1200/JCO.2023.41.16_suppl.3607

[22] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31106659/

[23] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8345220/

[24] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25241299/.

[25] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31399931/

[26] https://aacrjournals.org/clincancerres/article/24/17/4089/80967/Vitamin-D-Supplementation-and-Survival-of-Patients

[27] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22508710/. Conclusions aussi prometteuses dans cet autre essai https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23463655

[28] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22493367/

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  1. J’utilise le D3 depuis 6/8mois et j’ai remarqué une amélioration
    J’ai en parlé avec un ami atteint d’un cancer !
    Bonne information
    MERCI
    CORDIALEMENT

  2. Bonjour
    Merci pour vos recherches et de nous les partager. Toujours un peu long à lire et parfois décourageant mais cette fois ci j’ai été jusqu’au bout et heureusement car c’était fort intéressant et instructif. Du coup même si l’analyse de la prise de sang n’est pas remboursée, je la demanderai ayant eu plusieurs cancers, pour contrôler si ma dose journalière est suffisante.

  3. Très intéressant.j’ai commencé une supplementation en vit D avec le covid. Et continue. J’avais un déficit immunitaire qui a disparu. Un grand merci.

  4. Bonjour,
    Je prends de la vitamine D a un bon dosage depuis 15 ans environ et j’ai pourtant eu un cancer en 2015 avec une récidive mestastasée au mois de mars de cette année bien que je continue à en prendre tous les jours 3000 u/i. Adepte de médecine naturelle depuis environ 15 ans, je ne pense pas que la vitamine D puisse à elle seule soigner un cancer, même si elle peut l’y aider.
    D’autres parts, vous ne pouvez pas dire que la recherche sur le cancer stagne en ce moment. J’avais 10 foyers de métastases osseuses sur tout la colonne vertébrale en mars, elles ont toutes disparu en 3 mois grâce à une thérapie ciblée, qui m’a permis de garder mes cheveux, là où je les ai perdus en 2015 avec des chimios intraveineuses.
    Les recherches et les traitements sur le cancer ont, au contraire beaucoup évolué et c’est grâce à ça et non à ma vitamine D que je suis là aujourd’hui.
    Où sont les commentaires des autres personnes, ils ne sont pas visibles ?
    Bien à vous.
    Nathalie

  5. Bonjour, merci pour votre lettre, je suis étonnée que vous ne parliez pas de la vitamine B17 ainsi que de l’intérieur du noyau de l’abricot qui contient du cyanure,efficaces pour aider à éradiquer les cellules cancéreuses, bien sur que ce n’est pas à 100/100 qu’il va éradiquer cette maladie mais un précieux aidant ?

  6. Merci pour cet article très intéressant. Je prends de la vitamine D tous les jours depuis 4 ans mais, ayant un IMC de 29,7 je suis très demandeuse de la suite de votre article concernant « les obèses et la prise de vitamine D ». Dois-je arrêter, continuer ou me supplémenter différemment ? Merci de revenir vers nous très vite.
    Très cordialement
    Anne GODARD

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