Cher(e) ami(e) de la Santé,
Le Danemark a récemment annoncé que les moins de 50 ans ne se verront plus proposer de vaccin contre le Covid-19.
C’est une avancée, mais c’est encore extrêmement timide.
Interdire ces vaccins aux moins de 50 ans en bonne santé aurait dû être la règle dès le premier jour de la campagne vaccinale lancée il y a plus d’un an et demi.
Il était évident début 2021 que le Covid ne posait pas de risque mortel aux moins de 50 ans (sauf rares exceptions).
Il était donc très imprudent de leur proposer un vaccin expérimental, dont on ne savait rien des effets indésirables après 2 mois.
Il était évident, aussi, dès le départ, qu’un vaccin injecté dans le muscle ne pouvait pas empêcher la transmission d’un virus qui se multiplie dans le nez[1].
Cela veut dire que le vaccin ne pouvait pas freiner l’épidémie.
Donc, il n’y avait strictement aucune raison de vacciner les moins de 50 ans – et encore moins de les forcer à le faire via les pass sanitaires ou vaccinaux.
Ce qu’on a vécu était une folie – la plus grande folie sanitaire de ces 50 dernières années.
Heureusement, la raison commence à revenir.
Des scientifiques prestigieux osent désormais pointer du doigt les faits qui dérangent.
Ainsi, une étude publiée cet été dans la revue Vaccine montre que les risques du vaccin Pfizer étaient supérieurs à son bénéfice depuis le début[2].
Les auteurs – dont Peter Doshi, éditeur associé au prestigieux British Medical Journal – se sont penchés attentivement sur les données des essais cliniques Pfizer et Moderna.
Ils ont étudié les données que nos autorités de santé avaient en main, au moment où elles ont autorisé les campagnes de vaccination de masse.
Et ils n’ont pas été déçus du voyage.
D’abord, ils ont découvert que ces vaccins sont associés à des effets indésirablesgraves fréquents – de l’ordre de 1 pour 800 vaccinés[3] – en particulier des troubles de la coagulation.
1 pour 800 ! Sachant que les troubles graves de la coagulation peuvent causer infarctus, AVC, embolies pulmonaires, etc.
C’est de la roulette russe. Et ça, c’était uniquement avec 2 doses – pas avec 3 ou 4 doses !
Que ce soit pour Pfizer et Moderna, le rapport bénéfice-risque global était négatif : dans les essais cliniques, le vaccin causait plus d’effets indésirables graves qu’il n’évitait d’hospitalisations liées au Covid.
Dans l’essai Pfizer, écrivent les auteurs, « l’excès de risques d’effets indésirables sérieux (10 pour 10 000) est plus élevé que la réduction du risque d’hospitalisation pour Covid-19 (2,3 pour 10 000) ».
Ce qui signifie : 4 fois plus d’effets indésirables graves que d’hospitalisations Covid évitées !!
Et ces chiffres sont tirés de l’essai clinique Pfizer, dont on sait par ailleurs qu’il a été amplement manipulé pour masquer des effets indésirables graves[4] !
Le vaccin : 98 fois plus dangereux que le virus pour les jeunes !?
Une autre étude fracassante confirme l’ampleur du scandale sanitaire, au moins pour les jeunes.
L’article n’a pas encore été publié dans une revue médicale, mais cela ne saurait tarder, car ses auteurs sont prestigieux et issus des plus grandes universités de médecine : Harvard, Oxford, John Hopkins, etc.
Leur conclusion est sans ambiguïté : pour les jeunes adultes de moins de 30 ans, le rappel (booster) de vaccin anti-Covid est 18 à 98 fois plus dangereux que le virus.
Pour 1 hospitalisation Covid évitée, il faut donc compter 20 à 100 fois plus d’effets indésirables graves.
Et encore, ce calcul ne vaut que pour des jeunes qui n’ont jamais été infectés par le virus – les autres n’ayant aucun bénéfice à attendre du vaccin, du fait de leur immunité naturelle !
Tous ceux – et ils sont les plus nombreux – à avoir attrapé le Covid n’ont donc que des effets indésirables graves à attendre de ces vaccins.
« C’est la jeunesse qu’on assassine », s’est indigné à juste titre le journaliste Yves Rasir[5].
(Je précise que c’est aussi la vieillesse qu’on a assassinée avec ces campagnes de vaccination de masse – ce sera plus long à démontrer, et plus difficile à admettre, mais cela ne fait plus aucun doute sachant qu’on disposait par ailleurs de traitements préventifs et curatifs efficaces, comme la vitamine D, l’ivermectine et le protocole Raoult).
Comment une telle catastrophe a pu se produire, sans que personne, ou presque, ne bouge le petit doigt ?
À part quelques grands médecins courageux (Raoult, Perronne, Fouché, Ménat, etc.), quelques journalistes indépendants, une petite minorité de citoyens éclairés, tout le monde a laissé faire : les autorités de santé, le monde médical dans son ensemble, les médias, les politiques et les juges.
Comment est-ce possible ? Et comment éviter que cela ne recommence, à l’avenir ?
C’est LA question qu’il est urgent de se poser, désormais.
PLUS JAMAIS ÇA ! Tirer les leçons du passé pour ne pas revivre ce cauchemar
La vérité est que l’horreur n’a pas surgi de nulle part.
Il y a un précédent à cette campagne désastreuse de vaccination Covid.
Cela s’est passé dans les années 1990.
À l’époque, les dégâts n’ont pas été aussi graves – il est impossible d’égaler la dangerosité des vaccins anti-Covid expérimentaux.
Mais il y a tout de même eu des dizaines de milliers de victimes d’effets indésirables graves… pour un vaccin qui ne pouvait pas apporter de bénéfice à des jeunes en bonne santé, sauf cas rare et exceptionnel.
Je veux parler de la campagne de vaccination contre l’hépatite B, notamment dans les collèges.
Elle a commencé en 1994-1995, à l’initiative du ministre Philippe Douste-Blazy.
Des élèves de 6ème ont été massivement vaccinés, au sein même des collèges, jusqu’à ce que Bernard Kouchner arrête les frais en 1998.
Pendant plusieurs années, des Français de tous les âges ont aussi été invités à se vacciner contre l’hépatite B.
Rapidement, près de 30 millions de Français ont reçu 3 ou 4 injections !
Pourtant, ces campagnes vaccinales n’avaient strictement aucun sens médical :
- La maladie visée était rare et ne concernait que certaines populations à risque ;
- Le simple coût financier de l’opération dépassait de beaucoup le gain espéré en termes de santé publique ;
- Surtout, d’innombrables signaux très inquiétants ont montré que ces vaccins pouvaient causer de graves dégâts.
Comme aujourd’hui, une toute petite minorité a alors essayé de résister contre cette campagne vaccinale absurde et dangereuse.
Quelques médecins et experts courageux. De très rares journalistes éveillés. Un ou deux juges isolés.
Et un certain nombre de victimes de ces injections, bien placées pour savoir de quoi elles parlent.
Mais tout a été oublié. On n’a tiré AUCUNE LEÇON de ce qui s’est passé.
On a même fait encore pire.
Au lieu d’arrêter les frais, on a généralisé le vaccin contre l’hépatite B pour les plus fragiles !
En 1995, le vaccin contre l’hépatite B a été recommandé pour tous les nourrissons – et il est devenu obligatoire en 2018.
Or il suffit d’un minimum de bon sens pour comprendre l’absurdité de cette vaccination :
Quel peut être l’intérêt de vacciner un bébé en bonne santé contre une maladie d’adultes (qui se transmet essentiellement par des aiguilles contaminées et/ou partenaires sexuels multiples) …
…sachant que la durée de protection du vaccin ne dépasse probablement pas 10 ans ???
Et pourtant, cela ne fait pas de vague, chez les parents.
Alors que les bébés en bonne santé n’ont strictement aucun bénéfice à attendre de ce vaccin.
Et qu’il existe d’énormes suspicions d’effets indésirables très graves liés à ce vaccin.
L’affaire du vaccin hépatite B vaut vraiment la peine d’être revisitée.
Dans mes prochaines lettres, je vous montrerai qu’elle contenait, en germe, tous les ingrédients du scandale Covid.
Il y a une seule solution, pour éviter que le cauchemar ne recommence : REGARDER EN FACE LES ERREURS DU PASSÉ, S’AGISSANT DES VACCINS.
C’est ce que nous allons faire ensemble – restez connecté.
PS : si vous avez un témoignage personnel ou un éclairage à apporter sur cette affaire de la vaccination hépatite B, n’hésitez pas à me le transmettre, en commentaire (si vous préférez que votre message reste privé, précisez-le-moi dans votre commentaire et je ne le publierai pas – tous les commentaires sont validés par mes soins avant publication).
113 Responses
Merci pour cette lettre qui me fait me sentir moins seule dans ma résistance mais quand même très impuissante à éveiller les consciences, je ne comprends pas que devant l’échec de la vaccination , les gens n’ouvrent pas les yeux! Continuez votre action d’information et je continuerai à vous lire tout en essayant de convaincre autour de moi MERCI
Bonjour
Vous ne parlez pas du vaccin astra Zenecca.
Atteinte d’une polyneuripathie, je me pose des questions.
Merci.
Bonjour
Tout d’abord, merci infiniment de toutes les informations que vous nous donner, elles sont extrêmement précieuse.
Y aurait-il une corrélation entre le vaccin contre l’hépatite B est la sclérose en plaques qui s’est multiplié ces dernières années ?
Merci vivement par avance de votre éclairage si possible.
Bien cordialement
Mal voyantes, message dicté
Bonjour,
Je suis tellement d’accord avec vous!!!
Quelle tristesse de voir tout ça et que les seuls à avoir la parole juste n’aient pas été entendus.
Je me demandais si vous vous étiez également sur le vaccin que l’on propose aux jeunes filles aujourd’hui pourvles protégerdu cancer du col de l’utérus. Ma fille est en âge de le recevoir et sa pédiatre essaie de me convaincre de lui faire faire !!!
Merci pour tous vos conseils.
Bonne journée
Ps: j’aimerais que ce commentaire reste privé, merci
Si je peux me permettre… livre de Michel Georget vaccinations les vérités indésirables : « Bien que de conception récente, les vaccins contre l’infection du col de l’utérus ont déjà présenté de nombreux effets secondaires. »… « Plusieurs décès ont également été signalés en Europe (Autriche, Allemagne, Grande-Bretagne. Ne faites pas vacciner votre fille. Votre toubib ne veut pas savoir. Et si votre fille décède ou ne peut plus avoir d’enfants, elle niera de bonne foi sa responsabilité… Chacun d’entre nous doit prendre des décisions pour nous et par nous même.
C’est très important d’être informé sur ces vaccinations qui normalement doivent nous protéger contre une épidémie et non l’inverse ! Merci Mr et à toute votre équipe pour toutes ces informations !! Bravo !
Quand cessera-t-on dappeler « vaccins » des produits qui n’en sont pas, qui n’en n’ont jamais été et qui sont toujours des produits expérimentaux n’ayant pas reçu d’AMM ?
Pour moi, ça fait partie de la désinformation !
Et le gardasyl?
C’est bien de dénoncer les faits mais cela ne suffit pas faut pouvoir agir contre le gouvernement par des dépots de plaintes pour mise en danger volontaire de la vie d’autrui
ENCORE UN SCANDALE DE PLUS ET ON Y PLONGE RIEN RIEN DIRE, QUAND EST6CE QUE LES GENS VONT UVRIR LES YEUX ???
La logique du système de santé et le but à atteindre n’a rien à voir avec la santé des citoyens, au premier degré, il est au service des actionnaires des laboratoires qui ont le pouvoir sur les politiques et médias achetés…ensuite moins il y aura de monde sur terre, plus ils seront satisfaits….l’agro-alimentaire travaille t-il pour la santé des citoyens NON c’est pareil :conservateur, pesticides, insecticides pub pour la malbouffe..macdo….les animaux plein d’hormones et antibiotiques
L’école est elle là pour enseigner à penser où pour nous dire ce que l’on doit penser
Les médias sont elles là pour nous instruire des News Non ils sont aux ordres…..etc on peut regarder tous les domaines de notre civilisation c’est presque partout identique et ce sont les braves gens aux commandes qui s’occupent de nous rendre service et la vie plus facile ….elle est pas belle la vie ????