Cher(e) ami(e) de la Santé,
Je vous résume l’épisode précédent :
Une jeune Bretonne fait vacciner son bébé de trois mois au printemps dernier.
Quelques heures après, la petite, nommée Camélia, subit de graves convulsions.
Le SAMU dépêche un hélicoptère pour l’emmener au plus vite à l’hôpital, où elle est prise en charge.
Par la suite, les examens sont rassurants : Camélia ne semble pas avoir de séquelles.
Reste une question cruciale, pour la maman : son bébé doit-il continuer à se faire injecter les autres vaccins infantiles ?
Comme on l’a vu, les convulsions post-vaccinales sont un phénomène avéré et connu médicalement.
On sait aussi que, chez une petite minorité d’enfants, ces convulsions liées aux vaccins sont suivies de très graves problèmes de santé (encéphalopathie épileptique, retard mental et parfois décès).
Toutefois, des scientifiques ont essayé de faire croire que les vaccins seraient « innocents » – et que ces conséquences fâcheuses se seraient produites avec ou sans vaccin.
En réalité, ils n’en savent strictement rien (j’ai expliqué pourquoi dans ma dernière lettre). Ils cherchent simplement à défendre à tout prix le principe de la vaccination, sans jamais reconnaître que ces injections peuvent causer des dégâts.
Le bon sens, lui, nous dit qu’il est déraisonnable de vacciner à nouveau un enfant qui a fait une réaction aussi grave.
Si cela s’est produit une fois, après un vaccin, cela peut se reproduire, avec de très graves conséquences.
Et on ne doit pas jouer à la roulette russe avec la vie d’un enfant.
C’est d’autant plus inacceptable que les bienfaits attendus des vaccinations infantiles sont globalement minimes, aujourd’hui en 2023, car elles visent des maladies éteintes, rares ou bénignes[1].
Libérer Camélia de ses obligations vaccinales ne comporte donc pas de risque sérieux (c’est plutôt l’inverse : il faut savoir que la grande masse des études comparant des enfants vaccinés à des enfants qui n’ont jamais reçu le moindre vaccin concluent que les enfants non-vaccinés jouissent d’une meilleure santé à tous points de vue[2]).
Donc, il n’y a aucune raison de forcer ce bébé à continuer à recevoir le moindre vaccin.
C’est pour cela que la suite de l’histoire est aussi CHOQUANTE.
Sidérant : la pédiatre de l’hôpital refuse d’admettre la responsabilité du vaccin !!
Camélia va être obligée de faire les vaccins suivants – avec les conséquences que vous allez voir.
Il faut savoir que la pédiatre de l’hôpital est allée jusqu’à NIER que le vaccin soit en cause !
Et c’est franchement invraisemblable.
Je répète que la petite a fait des convulsions 5 heures après son vaccin « Bexsero » (contre la méningite B) – et que les convulsions post-vaccinales sont un phénomène parfaitement connu dans la littérature médicale.
Et pourtant.
Voici le message qu’un officier de police judiciaire a envoyé à Jeanne, la jeune maman, le lendemain du drame :
« Je suis très contente pour Camélia, nous avons tous eu très peur.
Néanmoins je suis surprise de ce revirement de diagnostic concernant le Bexsero. Je fais le point demain avec le procureur. »
En effet, d’après ce que Jeanne a compris, le procureur était à deux doigts de stopper la distribution de ce lot de vaccins, suite aux convulsions très graves subies par sa fille.
Mais il en aurait été dissuadé par la pédiatre de l’hôpital, qui a prétendu que le vaccin n’était pas en cause !
« Ce n’est pas le vaccin qui a causé les convulsions, c’est une réaction immunitaire », a-t-elle dit.
Ce qui est une ABSURDITÉ SANS NOM !
Imaginez le meurtrier du petit Gregory expliquer à la barre du tribunal : « ce n’est pas moi qui l’ai tué, monsieur le juge, c’est la rivière qui l’a noyé ! »
Et le pire, c’est que ce n’est pas seulement cette pédiatre qui a dit cela.
Presque tous les médecins que la jeune maman a vus par la suite lui ont répété la même chose !
À chaque fois qu’elle parlait du vaccin (en lien avec les convulsions), elle se faisait reprendre : « je vous arrête tout de suite, ce n’est pas le vaccin, c’est une réaction immunitaire ».
Résultat…
La petite fille retourne donc se faire vacciner, 1 mois après, et…
Bref, le corps médical est unanime : la petite Camélia doit continuer à se faire vacciner.
Donc, un mois seulement après cette grave crise, elle doit retourner chez le médecin pour ses vaccins des « 4 mois » (Hexyon et Prevenar).
Et voilà que la petite se remet à convulser, après les injections.
C’est d’autant plus inquiétant que cela faisait un mois qu’elle avalait tous les jours un puissant médicament antiépileptique destiné à prévenir de nouvelles convulsions.
Cette fois, la crise ne dure « que » 7 minutes.
Mais une chose est désormais certaine : les vaccins causent bien des convulsions chez ce bébé.
Et je rappelle que toute convulsion, à cet âge, peut causer des dégâts irréversibles dans le cerveau.
Donc, faut-il continuer à vacciner la petite Camélia ?
BIEN SÛR QUE NON, nous dit notre bon sens.
BIEN SÛR QUE SI, lui ont dit les blouses blanches !!!
Enfin, pas toutes les blouses blanches.
Le médecin de Camélia, lui, refuse de lui administrer le moindre vaccin supplémentaire.
Il a bien compris que cette petite avait un problème avec les vaccins, et ne veut pas être tenu responsable des conséquences d’une nouvelle injection.
En même temps, il n’ose pas faire un certificat de contre-indication, qui permettrait à Camélia d’éviter d’autres vaccins, même obligatoires.
(On peut juger que c’est lâche de sa part, mais il faut mesurer à quel point l’Ordre des médecins traque sans ménagement les rares médecins qui osent encore faire ce genre de certificats.)
Donc, la petite sera obligée de faire un nouveau vaccin, quelques semaines plus tard.
Mais cette fois, ce sera à l’hôpital, puisque son médecin refuse de la vacciner.
Vaccination à l’hôpital : la scène pourrait faire rire si elle n’était pas TRAGIQUE
Cette fois, le bénéfice-risque d’une nouvelle vaccination est extrêmement défavorable.
Vu ce qui s’est passé avec les deux précédents vaccins, les probabilités de nouvelles convulsions sont extrêmement élevées – et les bénéfices de ces vaccins toujours aussi minces.
Mais arrive le moment du vaccin obligatoire « Neisvac C », contre la méningite C.
C’est ce vaccin-là qu’elle va se faire injecter à l’hôpital à l’âge de 6 mois.
De fait, quitte à refaire un vaccin (ce qui est une mauvaise idée), il est exact qu’il vaut mieux le faire à l’hôpital.
En Australie, les enfants qui ont déjà convulsé après un vaccin bénéficient d’un protocole hospitalier très complet, pour limiter le risque et les conséquences des convulsions[3] (on prévoit des médicaments à prendre une heure avant l’injection, et d’autres médicaments à donner immédiatement en cas de convulsions).
C’est la preuve, encore une fois, que les convulsions post-vaccinales sont connues et que leurs conséquences sont généralement prises très au sérieux.
Mais l’hôpital qui prend en charge Camélia, lui, ne croit pas aux accidents vaccinaux.
Voici ce qui s’est passé.
D’abord, les médecins ont mis la pression à Jeanne pour qu’elle accepte de faire, en plus, un autre vaccin à son enfant, pourtant non obligatoire.
Et ce vaccin facultatif, je vous le donne en mille…
… c’est la deuxième dose du Bexsero (méningite B).
Oui, c’est bien le même vaccin qui avait causé les premières convulsions très graves et conduit à son hospitalisation par hélicoptère !
La jeune maman, évidemment, est réticente.
Mais la pression a été trop forte : « si vous ne le faites pas, votre fille risque de mourir de méningite, le nombre de cas augmente en ce moment », lui a-t-on dit (alors que la probabilité réelle de mourir d’une méningite B est infime et que ces vaccins n’ont jamais fait la preuve qu’ils réduisaient ce risque).
Jeanne s’est senti mise en accusation, comme si elle était une « mauvaise mère » – elle est allée jusqu’à imaginer qu’on pourrait lui en retirer la garde, si elle ne se soumettait pas.
Alors, Jeanne a accepté ce vaccin facultatif, administré en même temps que le Neisvac.
Et ce qui devait arriver arriva.
Quelques heures après les injections, la petite Camélia subit de graves convulsions.
Et la crise, tenez-vous bien, a duré 30 minutes !
Quoi, 30 minutes, alors qu’elle était dans un hôpital ??
Eh bien oui, car figurez-vous que les blouses blanches n’avaient pas pris son cas au sérieux !
Ils ne croyaient pas que cet enfant convulserait à nouveau (ils y croyaient d’autant moins qu’elle était toujours sous traitement antiépileptique quotidien)… et ne s’y sont pas préparés correctement !
Les infirmières qui s’occupaient d’elle n’étaient même pas formées au traitement des crises convulsives.
Elles ont bien essayé de lui faire avaler un médicament (Buccolam), mais la convulsion était si grave qu’elle a tout recraché…
Elles ont alors dû faire deux allers-retours aux urgences pour chercher les médicaments et le matériel nécessaires !
Puis l’enfant s’est calmé, enfin.
Mais avec quelles conséquences pour le développement de son cerveau ?
Pour l’instant, tout semble normal, fort heureusement.
Mais que se passera-t-il quand arrivera la date des prochains vaccins – à l’âge de 11 mois ?
Personne ne lui a dit qu’elle devait impérativement éviter de refaire la moindre vaccination.
Donc, selon toute probabilité, cela va recommencer – à moins que la maman ne trouve une solution entre-temps.
Voilà le monde dans lequel on vit.
Vous comprenez, j’imagine, pourquoi je parle régulièrement de « religion vaccinale ».
Pour le corps médical, c’est le vaccin qui est « sacré », pas la vie de nos enfants.
C’est une inversion grave des valeurs, et cela doit cesser.
Bonne santé,
Xavier Bazin
EDIT : ce commentaire d’une maman, Véronique, reçu le 4 février 2024, vaut la peine d’être lu
J’ai vécu le même problème avec ma fille qui a fait des convulsions très graves juste après avoir reçu un vaccin Tétracoq en 1996.
Ces convulsions on démarré 1h après le vaccin. Important : elle n’avait pas du tout de fièvre.
Un premier urgentiste est venu et a donné un médicament pour arrêter les convulsions mais en vain, il a fait venir une équipe supplémentaire qui a injecté d’autres médicaments mais les convulsions ne s’arrêtaient pas et ma fille a arrêté de respirer et le cœur s’est arrêté. Une troisième équipe de secouriste est venu pour la réanimer et ils ont réussi à faire repartir le cœur. Elle a ensuite été encore dans le coma pendant 48h avant de reprendre vie.
Tous les 6 secouristes qui étaient présents avaient constaté qu’elle n’avait pas du tout de fièvre et donc que ce n’étaient pas des convulsions suite à une température élevée. A l’entrée à l’hôpital cela a encore une fois été reconfirmé.
Les convulsions ont donc bien clairement été provoquées par le vaccin, mais finalement sur le rapport de conclusion de l’hôpital il a été noté par le chef de service : « convulsions fébriles » sans faire aucune allusion au vaccin qui avait été injecté une heure avant !!! .
Quand j’ai lu cela j’ai dit au médecin que ma fille n’avait pas eu de fièvre du tout et que le responsable était surement le vaccin, mais il a répondu que c’était impossible qu’un vaccin provoque cela et qu’il y avait forcément eu une forte fièvre !
Donc il affirmait là que ni moi, ni les six urgentistes qui étaient venus chez moi pour réanimer ma fille, ni le personnel d’accueil de son service ne savaient se servir d’un thermomètre pour prendre la température !!
Il a refusé de modifier ce rapport et la majorité des médecins à qui j’en ai parlé après ne me croyaient pas quand je disais qu’elle n’avait pas eu de fièvre.
Quelques mois plus tard il fallait faire la dose de rappel. Je ne vous dit pas l’angoisse, le doute, la réflexion pour savoir si oui ou non on se mettait hors la loi en ne faisant pas ce vaccin ou si on reprenait ce risque.
Mais finalement j’ai trouvé enfin un médecin qui m’a écouté et cru et il m’a dit qu’il pensait que c’était surtout le vaccin contre la coqueluche qui est compris dans le tétracoq qui avait pu provoquer ce problème, car la coqueluche est une maladie qui provoque des convulsions justement. Donc il m’a prescrit le vaccin mais sans la coqueluche, juste avec les autres maladies (4 autres maladies étaient comprises dans le vaccin de l’époque + la coqueluche = Tetra-coq).
Ma fille a eu ce rappel de vaccin sans la coqueluche et elle n’a eu aucun problème, pas de convulsions.
Par la suite ma fille a eu d’autres vaccins qui ne lui ont plus reprovoqué de convulsions mais c’est l’angoisse terrible à chaque fois avant.
Ma fille a eu de la « chance » de ne pas mourir à cause de ces convulsions très graves suite à ce vaccin, ou bien d’avoir le cerveau complétement ravagé et de devenir un légume ce qui est le résultat habituel de convulsions très graves. Elle a finalement « juste » quelques problèmes neurodéveloppementaux (TDAH) mais on ne sait pas si elle n’aurait pas eu ça de toute façon sans ces convulsions.
Ce qui est très grave dans cette histoire c’est d’une part que ma fille a failli mourir ou être handicapée lourdement à vie, mais surtout c’est que les médecins ont nié totalement la réalité et ont totalement refusé de réfléchir au problème et qu’ils ont continué comme si de rien n’était sans se poser aucune question ni faire de recherches !
Je ne suis pas une anti-vaccins de façon générale, mais je pense qu’il faut que les médecins reconnaissent et admettent quand même que dans quelques cas ces vaccins peuvent provoquer des problèmes très graves et qu’il ne faut pas les nier, même si ces cas sont rares, mais chercher à les résoudre pour faire avancer la science et protéger des vies.
72 Responses
Avez-vous lu les notices du Gardasil ?
https://odysee.com/@Sacr%C3%A9sVaccins:7/NoticesGardasil:5
C’est sacrificiel.
mon Dieu ! ça me rendrait méchante !
je leur ferais signer un papier officiel avant l’injection en disant que si le moindre problème arrive à mon enfant, ils doivent payer et aller en prison. et ce serait un faible châtiment face à la vie de mon enfant ??
le vaccin infantile ne devrait dans ce cas être autorisé que si il était scientifiquement reconnu exempt de toute nocivité et effets secondaires dans le protocole d’autorisation de mise sur le marché.
Qu’à defaut et suite à l’imposition du reglement par l’autorité chargée de l’exercice du protocole concerné soit associée et prévue une indemnité forfaitaire et légale obligatoire et de droit pour troubles de toute nature consecutifs à la vaccination imposée, permettant donc sans nécessité d’action judiciaire spécifique l’indemnisation du patient, à la charge de la puissance publique par son obligation d’assurance responsabilité civile.
Que chacun prenne ses responsabilités,
Car la puissance publique, pour qu’elle ne transforme pas la population en bétail, et les médecins en simples veterinaires pourvoyeurs intéressés d’actes médicaux dangereux, devrait pour chaque cas et en priorité se pencher sur ces réflexions.
Merci
monsieur bazin, il faut une association de jeunes femmes qui proclament ouvertement ne plus vouloir faire des enfants ! (problème démographique à l’horizon)
L’ALU TOTAL ! Dangers des Adjuvants Aluminiques des vaccins
https://odysee.com/@Sacr%C3%A9sVaccins:7/L'ALU-TOTAL-DEF:8
C’est honteux – Et je pense que l’on nous cache encore beaucoup d’aautres choses !
Une connerie incommensurable…
Quelle inversion de valeurs en effet!
Et pauvre petite jeune femme d’être obligée de subir ces violences sans pouvoir protéger sa fille.
Il est où le consentement libre et éclairé?
La médecine d’aujourd’hui marche sur la tête !
Leur leitmotiv « Il faut vacciner » même pour des maladies qui ont été éradiquée ?
Pauvre Camélia ! J’espère que sa maman va refuser tous les vaccins !
Courage, il faut tenir bon si on ne veut pas une génération de « zombis »