Cher(e) ami(e) de la Santé,
Avez-vous déjà entendu cette histoire intrigante ?
Nous sommes en Inde. Un astrophysicien anglais donne une conférence sur le Big Bang et l’histoire de l’univers.
Un vieil homme vient le voir, à la fin de sa conférence et lui dit : « Ce n’est pas comme ça que cela se passe ; d’après nos livres anciens, l’univers repose sur la carapace d’une tortue ».
L’astrophysicien, amusé, lui rétorque : « d’accord, mais sur quoi repose cette tortue ? »
Le vieil homme répond qu’elle est posée « sur la carapace d’une autre tortue ».
« Mais sur quoi est posée cette autre tortue », demande le scientifique ?
Le vieil homme répond, triomphant : « eh bien des tortues, il y en a jusqu’en bas » !
Croyez-le ou non, mais la « science des vaccins » est parfaitement illustrée par cette histoire de « tortues jusqu’en bas ».
C’est d’ailleurs le titre d’un des livres les plus importants jamais écrits sur les vaccins (Turtle all the way down, Vaccine Science and Myth, bientôt traduit en français[1].
Pourquoi ? Quel rapport ?
Cela peut paraître bizarre, mais vous verrez…
…à la fin de cette lettre, non seulement vous aurez compris le lien avec les tortues…
…mais vous ne verrez plus jamais la science vaccinale du même œil.
Pour résumer : la plupart des vaccins n’ont JAMAIS été testés de façon acceptable.
Ils ont été approuvés sur la base d’études peu fiables et incomplètes…
…qui renvoient elles-mêmes à d’autres études peu fiables et incomplètes…
…et ainsi de suite, « jusqu’en bas ».
Ainsi, aucun des vaccins infantiles n’a été testé contre placebo – ce qui est pourtant la méthodologie de base pour évaluer correctement un traitement.
C’est extrêmement choquant car :
- on les donne à des bébés en bonne santé et non à des malades comme c’est le cas des médicaments ;
- les dommages causés par les vaccins peuvent être irréversibles, contrairement à la plupart des médicaments dont la toxicité s’arrête à l’interruption du traitement.
Cela paraît difficile à croire, mais c’est vrai : les vaccins infantiles ne sont pas testés avec la même rigueur que la plupart des médicaments.
En voici la preuve formelle.
Elle a été révélée au grand public dans le documentaire récent d’Arte, Des Vaccins et des hommes[2].
Dans cet excellent reportage, le tableau ci-dessous a été montré à l’écran :
Ce tableau dresse la liste (colonne de gauche) des principaux vaccins infantiles actuellement injectés aux nourrissons : DTP, rougeole, etc..
Et la colonne de droite en rose le montre clairement : aucun de ces vaccins n’a été testé contre placebo, c’est-à-dire une seringue contenant de l’eau salée.
Ni le vaccin conjugué contenant le DTP, ni le vaccin ROR (rougeole, oreillon, rubéole), ni même le Prevenar 13 (contre les pneumocoques), pourtant plus récent.
Ces vaccins ont été testés contre d’autres vaccins (ou bien des substances contenant des adjuvants).
Et c’est tout simplement calamiteux, car cela ne permet pas de savoir si ces vaccins sont sans danger.
Si cela ne vous paraît pas évident, je vous recommande vraiment de lire attentivement l’explication ci-dessous.
EXPLICATION (un poil technique) : pourquoi un vrai placebo est CAPITAL !
Prenons un exemple fictif, pour bien comprendre.
Imaginez qu’on teste un nouveau produit dans un essai clinique randomisé contre placebo – comme c’est la règle pour les médicaments.
Des investigateurs donnent une nouvelle pilule médicamenteuse à 1 000 patients, et donnent un placebo (une pilule contenant de l’eau et du sucre) à 1 000 autres personnes.
Au bout d’un an, on évalue les risques du médicament – l’apparition d’éventuels effets indésirables.
Imaginons que sur les 1 000 patients traités avec le nouveau médicament, 10 ont développé un grave problème de santé.
Est-ce une coïncidence ? Ou bien est-ce le médicament lui-même qui a causé ces dégâts ?
Ces patients auraient-ils développé ce problème de santé de toute façon, ou bien est-ce le médicament qui est en cause ?
Si l’on n’avait pas de groupe placebo, il serait impossible de répondre à cette question avec certitude.
Mais dans notre exemple, le produit a bien été testé contre un vrai placebo : la pilule contenant de l’eau et du sucre, donné à 1 000 personnes également.
Si l’on trouve, dans ce groupe aussi, 10 problèmes de santé graves, alors on peut innocenter le médicament.
Ces 10 problèmes de santé étaient certainement une coïncidence : ils seraient apparus de toute façon, médicament ou pas.
Mais la conclusion est très différente si l’on trouve :
- 30 problèmes graves de santé dans le groupe traité
- et 10 seulement dans le groupe placebo.
Dans ce cas, on peut affirmer avec un haut niveau de confiance que le traitement a très probablement causé les 20 effets indésirables graves supplémentaires.
Cela donne alors une bonne idée du risque du médicament : 20 sur 1 000, cela représente un effet indésirable grave pour cinquante patients traités (ou 2 %).
Et grâce à ce taux d’effet indésirable connu, vous pouvez maintenant calculer le « bénéfice-risque », en regardant si le médicament a apporté des bienfaits dans le groupe qui l’a reçu.
Mais si vous n’utilisez pas de « vrai placebo », vous avez un gros problème.
Vaccins testés sans placebo : on ne sait RIEN de leur dangerosité !
Imaginons qu’on injecte 1 000 personnes avec un nouveau vaccin… et que le groupe « placebo » reçoive, non pas un vrai placebo (une injection d’eau salée)… mais un autre vaccin.
Voici, au bout d’un an, ce qu’on observe :
- 30 problèmes de santé graves dans le groupe qui a reçu le nouveau vaccin…
- Et 30 aussi dans le groupe qui a reçu l’ancien vaccin.
Que pouvez-vous en conclure sur les dangers éventuels du nouveau vaccin ?
Rien du tout !
Sans test contre vrai placebo, tout est envisageable : peut-être votre nouveau vaccin est-il sans risque… mais peut-être est-il aussi très toxique.
Si vous avez encore un doute, je vais vous montrer pourquoi, avec deux hypothèses.
Première hypothèse : votre nouveau vaccin est sans danger.
Si c’est le cas, en cas d’essai clinique contre un vrai placebo, on trouvera certainement ceci :
- 30 problèmes de santé dans le groupe qui a reçu le vaccin
- Et 30 également dans le groupe placebo.
Avec ce résultat-là, on a de bonnes raisons de penser que le vaccin est globalement sûr.
Les 30 problèmes de santé dans le groupe vacciné peuvent être attribués au « hasard », et non au vaccin.
Mais une deuxième hypothèse est possible aussi.
Peut-être qu’en cas d’essai clinique contre vrai placebo, on aurait trouvé :
- 30 problèmes de santé dans le groupe qui a reçu le vaccin
- Et 10 problèmes de santé seulement dans le groupe placebo.
Dans ce cas, on devrait conclure que le nouveau vaccin est risqué.
On pourrait même quantifier ce risque.
Sur 30 problèmes de santé observés dans le groupe vacciné, 10 n’ont probablement rien à avoir avec le vaccin (puisqu’observés également dans le groupe placebo), mais 20 sont probablement causés par le nouveau vaccin.
20 problèmes de santé sur 1 000 vaccinés, cela fait 1 problème sérieux pour 50 bébés vaccinés !
Dans ce cas votre nouveau vaccin serait problématique – et vous devriez prévenir les parents de l’ampleur du risque.
Mais si vous n’avez pas fait ce test contre un vrai placebo, vous êtes dans le brouillard total sur la dangerosité de votre vaccin.
Quand vous comparez votre nouveau vaccin avec un ancien vaccin, vous ne pouvez jamais conclure que votre nouveau vaccin est « sans danger ».
Peut-être l’ancien et le nouveau vaccin sont-ils simplement tous les deux aussi dangereux !
Et pourtant, c’est sur la base de ce genre d’études qu’on met des vaccins sur le marché !
Des tortues, sur des tortues… « jusqu’en bas » !
Vous me direz : d’accord, mais le problème disparaît si l’on sait avec certitude que l’ancien vaccin (utilisé à la place d’un vrai placebo) est parfaitement sûr et sans danger.
Et c’est vrai… en théorie.
Certes, si l’on sait que l’ancien vaccin utilisé pour « comparer » ne pose jamais le moindre problème de santé, alors tout va bien. On peut utiliser ce vaccin comme « placebo » sans fausser les résultats de l’étude.
Mais le problème, en pratique, est qu’il n’existe aucun vaccin dont on est sûr à 100 % de l’innocuité !
Déjà, il s’agit d’un principe de base de la médecine : toute substance active va forcément causer certains effets secondaires, même s’ils sont très rares.
Donc aucun vaccin actif ne peut avoir 100 % d’innocuité. Même l’injection d’une solution saline peut poser des soucis, dans de très rares cas.
Il n’y a donc pas la moindre justification possible à utiliser comme « placebo » un ancien vaccin, même s’il était extrêmement « sûr ».
Mais surtout, la triste vérité est qu’on ne dispose d’aucune certitude sur l’innocuité de ces anciens vaccins.
Pour pouvoir dire avec un haut niveau de confiance qu’ils sont « sûrs », il faudrait disposer de grands essais cliniques… contre de vrais placebos !
Or, les anciens vaccins utilisés pour « comparer »… n’ont jamais été testés correctement, eux non plus !
Vous comprenez, maintenant, l’histoire des « tortues jusqu’en bas » ?
On compare des nouveaux vaccins à des anciens vaccins, que l’on suppose être « sûrs ».
Mais en réalité, on n’en sait rien, car ces anciens vaccins n’ont jamais été testés correctement !
Bref, la science vaccinale repose sur la carapace d’une tortue (la comparaison avec un autre vaccin X)…
… qui repose souvent sur la carapace d’une autre tortue (le vaccin X ayant été comparé à un autre vaccin Y)
… qui repose encore sur la carapace d’une tortue (le vaccin Y n’ayant jamais été testé contre un groupe de contrôle, placebo ou autre !).
L’édifice vaccinal entier est construit sur du sable !
Quelques exemples si vous n’arrivez pas à le croire
Deux incroyables illustrations de ce phénomène sont le vaccin contre l’hépatite B, et le vaccin contre les pneumocoques (Prevenar), tous les deux obligatoires aujourd’hui en France pour les nourrissons.
Je vous en parlerai en détail dans de prochaines lettres – c’est ÉDIFIANT.
Mais prenons encore d’autres exemples ici.
Prenons l’Infanrix hexa, de GSK, le principal vaccin donné aux bébés français, à 2, 4 et 6 mois.
Ce vaccin contient 6 « maladies » : DTP, l’hépatite B, la coqueluche et l’Haemophilus influenzae de type b (Hib).
Eh bien ce vaccin combiné a été testé, non pas contre un placebo… mais contre le vaccin DTP et les autres vaccins inoculés séparément !
Et le DTP lui-même n’a jamais été testé, car il date d’une époque où les grands essais randomisés contre placebo ne se faisaient pas !
On trouve exactement le même problème avec l’Hexyon de Sanofi Pasteur (qui est l’équivalent de l’Infanrix). Devinez contre quoi il a été testé, avant sa mise sur le marché ? Pas contre un vrai placebo, mais… contre le vaccin concurrent, l’Infanrix hexa de GSK[3] !
Tout cela est d’autant plus inquiétant qu’une grande étude suédoise conduite au début des années 1990 a comparé 3 vaccins de type « DTC » (diphtérie, tétanos, coqueluche)…
…et a observé l’apparition d’un effet indésirable grave pour deux cents vaccinés[4], et même l’hospitalisation d’un bébé sur vingt-deux.
1 problème de santé grave pour 200 bébés vaccinés ! Et 1 bébé sur 22 hospitalisé !
S’agit-il d’une coïncidence ? Ou d’un effet lié au vaccin ?
Si vous m’avez suivi jusque-là, vous connaissez la réponse :
IL EST IMPOSSIBLE DE LE DIRE, FAUTE D’AVOIR TESTÉ CES VACCINS CONTRE PLACEBO !
En tant que parent, vous devez alors vous poser des questions.
Voulez-vous vraiment jouer à la roulette russe avec votre bébé ?
Certes, le vaccin qu’on vous propose a peut-être des bienfaits ; peut-être protégera-t-il votre bébé contre des maladies sérieuses.
Mais comment pouvez-vous savoir si le rapport « bénéfice-risque » est POSITIF – donc que le vaccin a plus de bienfaits que de dangers…
…si vous n’avez absolument AUCUNE idée des risques que le vaccin fait courir à votre bébé ?
C’est l’énorme problème des vaccins… et un terrible dilemme pour les parents.
Ma philosophie personnelle, c’est D’ABORD NE PAS NUIRE (Hippocrate).
Donc, tant qu’il n’y a pas d’étude fiable sur les RISQUES, il ne me paraît pas acceptable d’injecter quoi que ce soit à un bébé en bonne santé.
A minima, il est clair que les parents devraient avoir LE CHOIX.
Aucun parent ne devrait être forcé de vacciner son enfant avec des produits dont le profil de risque est largement INCONNU.
Si vous n’en êtes pas encore convaincu, rendez-vous la semaine prochaine.
Car si les révélations de cette lettre vous ont étonné, attendez-vous à être franchementchoqué.
Bonne santé,
Xavier Bazin
34 Responses
Édifiantes informations mais je me mets à la place des parents qui doivent mettre les enfants en crèche …notre médecin nous faisait une contre indication …mais pas certaine que se soit possible aujourd’hui
REPORTAGE D ARTE (chaîne de propagande) « OBJECTIF » POUR UNE FOIS !
Il faut DONC le noter : ce discours n’aurait jamais passé des deux dernières années !
NOTONS qu’ils se sont bien gardés néanmoins de parler des vaccins anti covid.
Il y a des limites à la liberté.
Je vous remercie infiniment pour cette lettre. J’espère qu’un jour il sera donné vraiment aux parents la possibilité de choisir, d’être libre de vouloir ou de ne pas vouloir vacciner ses enfants.
Ma propre sœur après le vaccin de la variole a fait une encéphalite et est restée « débile profonde « pour le restant de ces jours….!!
Merci également pour cette lettre. Je suis dans le même cas : ma soeur après le vaccin de la variole a fait une encéphalite, prenait des « absences », n’a pas pu suivre une scolarité normale, n’a pas pu apprendre un métier et maintenant, âgée de 74 ans est en fauteuil roulant depuis une vingtaine d’année. Une vie gâchée et une famille meurtrie.
Etant favorable aux vaccins qui ont fait leurs preuves depuis Pasteur en sauvant nombre de gens de la mort je n’apprécie pas cette prise de position contre et opte pour mes connaissances contre vos convictions.
Bonjour. Cette fois-ci, je ne suis pas d’accord avec vous, en tout cas sur le fond. Car le rapport bénéfice-risque ne se résume pas à la présence ou non d’effets secondaires importants, mais en comparant aussi avec la baisse de morbidité et de mortalité liée à la maladie que l’on veut contrer. Et là, à grande échelle, que ce soit pour le mortel tétanos (paralysie des muscles respiratoires, séjour longs et douloureux en réanimation), la diphtérie (asphyxies survenant très rapidement par l’importance de l’atteinte de la gorge, et les antibiotiques peuvent échouer), la rougeole avec ses complications neuro sévères et sa mortalité, les complications de la banale rubéole sur le foetus , l’hépatite B ( hépatites fulminantes qui évoluent très vite, et à long terme cirrhose et cancer du foie, le Japon a vu fortement décroître l’incidence l’incidence du cancer du foie de longues années après avoir vacciné à grande échelle), la méningite à méningocoque qui peut aussi foudroyer un enfant en quelques heures, et j’en oublie… Tout ceci nous n’avons pas le droit de l’ignorer. Alors d’accord pour exiger un placebo pour toute nouveauté vaccinale, mais il faudra que ce délai d’observation soit mis en proportion avec la gravité de la maladie que l’on veut contrer. Ensuite la pharmacovigilance doit jouer pleinement son rôle d’alerte, pour exemple, autant je défendais le vaccin au début de la covid, autant maintenant, je rechigne devant cette obsession des « rappels » rapprochés alors que l’incidence des formes sévères a bien baissé, et concerne en priorité les personnes à risque de formes graves. Maintenant, oui, nous avons le droit d’exiger plus de recul, surtout que l’on dispose de moyens thérapeutiques améliorés. Par ailleurs, vous critiquez l’usage d’ un produit ayant des années d’ancienneté et de recul, mais ne faisiez-vous pas partie de ceux qui défendaient la chloroquine justement parce qu’elle est ancienne et bien connue???? Vous vous emballez sur une seule partie du problème et jouez un rôle d’influenceur…..Attention danger!!!
Merci pour votre message. Sur la chloroquine, la différence est qu’il s’agissait de la donner à des malades uniquement, et qui plus est à des malades à haut risque de faire une forme grave de Covid (personnes âgées avec commorbidité). Cela n’a rien à voir avec un vaccin injecté à tous les bébés en bonne santé.
Merci pour toutes ces évidences
Bonjour,
Il y a quelques années de celà à la télé j’ai entendu dire à propos des vaccins:
que les peuplades d’enfants non vaccinés etaient en meilleurs santé que les peuplades d’enfants vaccinés.
un vaccin agresse toujours un organisme, alors quand il y en a treize d’un coup!!!!!!!imagimez l’agression qui se passe dans le corps de tous ces bébés!!!!!!!!!!! ils faudrait que tous les parents decident de la vie, et, de la santé de leurs enfants (à condition que les medecins leurs disent toute la verité sur les vaccins,et, à condition qu’il la connaisse! et qu’on leurs perméttent de la dire!et ça :c’est une autre histoire. Et les bons medecins :(c’est comme dans tous les metiers) ils se font rares, et, les trés, trés bons,aucun doute il y en a,mais on me sais pas ou les trouver.
prenez bien soin de votre santé.
Bonjour, je me permet de vous écrire car je vais être papa dans quelques mois et ma plus grosse inquiétude à ce sujet sont les vaccins obligatoires pour les nouveaux né, car pour moi il est hors de question que mon enfant doive se faire vacciner avec toutes ces saloperies! À l’époque ma maman s’est déjà battue pour que je n’ai pas de vaccins non plus et je la remercie grandement, j’ai un système immunitaire en béton. Mais aujourd’hui c’est encore pire car 11 vaccins obligatoires, et les medecins ne veulent plus se mouiller, ils vaccinent et c’est tout.
Donc je dois avouer que je me sens totalement impuissant car aujourd’hui en France sans vaccins ça veux dire pas de crèche et pas d’école non plus, ainsi que tout ce que je ne sais pas encore… J’ai vraiment peur pour mon futur enfant et je m’en remet donc à vous pour toute information utile qui pourrait nous aider s’il vous plait, vraiment.
bonjour,
je suis inquiète pour mon petit fils de 9 mois car sans vaccin aucun, il ne peut aller à la crèche
comment passer outre l’obligation vaccinale pour les petits, je n’ai trouvé de réponses à ma question. Y a t’il des médecins qui sont contre ces 11 vaccins et qui peuvent faire un certificat afin de pouvoir s’en passer ?
merci
on doit reserver le terme de placebo uniquement a l eau salée;les autres doivent etre intitules « témoin ».Credible ou non,c est à chacun de vérifier.