Cher(e) ami(e) de la Santé,
Je voudrais vous raconter une histoire un peu plus ancienne.
Elle se passe aux Etats-Unis, en 2005[1].
Un garçon de 15 ans en pleine santé reçoit un vaccin contre l’hépatite B.
Quelques minutes plus tard, il s’évanouit et se cogne la tête sur un sol recouvert d’une fine moquette.
Quand il reprend connaissance, il se plaint de douleurs à la poitrine et au bras.
Puis il entre en convulsions. Son cœur s’arrête.
Les secours ne réussissent pas à le réanimer – le garçon meurt.
À l’autopsie, on ne trouve pas de fracture du crâne (signe que le choc à la tête n’était pas très violent).
On ne trouve pas non plus d’hématome au cerveau.
C’est pourtant ce que l’on trouve le plus fréquemment, en cas de traumatisme crânien (en revanche, on a trouvé dans son cerveau un œdème et une hémorragie cérébrale[2]).
Et pourtant, le corps médical a conclu que la mort du garçon était liée à sa chute.
Ainsi, de manière très contestable, le vaccin a été innocenté : on a mis la chute du garçon sur le compte d’un « malaise vagal », et on a dit que sa mort a été causée par cette chute.
L’histoire est-elle en train de se répéter, 18 ans plus tard ?
Le 19 octobre dernier, le jeune Elouan, 12 ans, a reçu le vaccin Gardasil.
15 minutes après son injection, il s’est évanoui et cogné la tête contre le sol.
Hospitalisé, il est décédé une semaine plus tard.
Selon la version officielle, sa chute est liée à un malaise « psychologique », et sa mort est liée à sa chute – le vaccin n’y serait donc pour rien.
Une enquête pour « homicide involontaire » a été ouverte. Et le Procureur a promis d’enquêter sur « l’origine du malaise » [3].
Espérons que l’enquête sera honnête et indépendante, car sur la cause du malaise, déjà, la version officielle ne tient pas debout.
Comme je l’ai expliqué dans ma dernière lettre (et dans mon interview chez le média Tocsin), il est absurde de prétendre que le malaise du garçon était lié à la « peur de l’aiguille »[4].
Les malaises vagaux liés à l’angoisse d’une injection se produisent avant, pendant ou juste après l’injection… pas 15 minutes après ! En plus, le garçon a déclaré ne pas se sentir bien dans les secondes qui ont suivi l’injection, bien avant de s’évanouir, ce qui pointe un problème lié à l’injection elle-même.
Bref, il y a déjà un premier mensonge officiel, dont le but manifeste semble « d’innocenter » le vaccin à tout prix.
Mais ce n’est pas tout.
Comme pour l’enfant de 15 ans décédé après son vaccin contre l’hépatite B, on peut s’interroger, aussi, sur les conclusions de l’autopsie.
Si l’on en croit le Procureur de la République, l’autopsie aurait révélé que le garçon serait mort « d’un traumatisme craniocérébral ».
Donc, il serait mort du trauma crânien causé par sa chute – et le vaccin n’y serait pour rien.
Ce n’est pas impossible, certes, mais ce serait franchement une malchance inouïe.
Tous les jours, des centaines d’enfants tombent sur la tête, avec généralement une grosse bosse, et au pire une hospitalisation de quelques jours.
Ce serait une sorte de première mondiale qu’un garçon de 12 ans meure du fait d’être tombé d’une chaise de 40 centimètres.
C’est d’autant plus étonnant qu’il a été pris en charge médicalement très vite – et hospitalisé sans délai.
Il a donc reçu les meilleurs soins médicaux pour éviter que son trauma crânien ne dégénère.
Pourtant, dans les jours qui ont suivi, « la situation s’est dégradée dans tout son organisme »[5].
Ce qui pointe davantage un dommage toxique que les conséquences d’un traumatisme crânien.
Mais peut-être me rétorquerez-vous qu’il n’y a pas d’autre explication possible que le choc à la tête.
Peut-être me direz-vous qu’un vaccin ne peut pas tuer.
Si c’est le cas, c’est que vous n’avez pas lu la notice du Gardasil.
Parmi les effets indésirables officiels du Gardasil : la MORT
Je rappelle que les notices des médicaments sont réalisées sous le contrôle des agences de santé. Les effets indésirables mentionnés dans les notices sont toujours vraisemblablement causés par le produit.
Or, la notice américaine du Gardasil mentionne la mort parmi les effets indésirables possibles. Donc, d’après l’agence de santé américaine, la FDA, le Gardasil peut tuer.
Et en effet, il y a énormément de signes – pour ne pas dire de preuves – que le Gardasil a causé des milliers de décès d’adolescents.
Prenez la pharmacovigilance américaine (VAERS) : en 15 ans, plus de 500 décès suspects après injection du Gardasil ont été officiellement signalés[6].
On répondra que toutes les morts suspectes après un vaccin ne sont pas forcément causées par le vaccin – et c’est exact : certaines des morts suspectes sont certainement de vraies « coïncidences ».
Mais il est tout aussi exact – et reconnu par nos autorités de santé – qu’une fraction seulement des effets secondaires graves est signalée à la pharmacovigilance (entre 1 à 20 % selon la littérature scientifique)[7].
Donc, pour 500 morts suspectes signalées, il y en a en réalité entre 2500 et 50 000 !
Peu importe, donc, qu’il y ait des « vraies coïncidences » dans toutes ces morts suspectes.
Même si la moitié de ces morts était des coïncidences, sans lien avec le vaccin, il reste tout de même plusieurs milliers de morts causées par le Gardasil !
On parle ici, dans le meilleur des cas, d’1 décès pour 500 000 adolescents vaccinés, et dans le pire des cas, d’1 décès pour 15 000 adolescents vaccinés[8]… ce qui reste relativement rare, dieu merci… mais encore beaucoup trop !
Et si vous avez encore un doute, sachez que plusieurs tribunaux ont reconnu le lien de cause à effet entre le Gardasil et la mort d’adolescents.
Ainsi, dès le milieu des années 2015, on a su que les familles de deux adolescents décédés suite au vaccin ont été officiellement indemnisées aux États-Unis, ce qui signifie que la mort de leur enfant a été considérée par un tribunal comme liée au Gardasil[9].
Et après 2015, il y a encore eu d’autres indemnisations.
L’histoire de Christina et Joël, reconnus comme décédés des suites du Gardasil
L’une des premières victimes du Gardasil s’appelle Christina Tarsel.
18 jours après sa dernière injection, en 2007, elle est morte brutalement.
C’était une jeune étudiante américaine de 21 ans, grande sportive et en pleine santé.
En 2018, après des années d’enquêtes médicales et de procédures judiciaires, un tribunal a reconnu que le Gardasil était responsable de sa mort et a accordé à la mère de Christina une indemnisation[10].
De fait, après sa deuxième dose de Gardasil, Christina avait commencé à souffrir d’arythmie cardiaque.
Puis, quelques jours après sa troisième dose, Christina s’est plainte d’une fatigue anormale, ainsi que de vertiges.
Quand on a retrouvé Christina dans sa chambre d’étudiante, cela faisait plus de 36h qu’elle était morte – décédée brutalement d’une arythmie cardiaque.
L’histoire de Joël Gomez, un garçon de 14 ans, est tout aussi tragique.
Lui est mort subitement le lendemain de sa deuxième dose de Gardasil.
Un expert médical a écrit un long rapport[11] montrant que sa mort était liée à une forme de tempête immunitaire causée par le Gardasil (plus précisément par les fragments ADN contenus dans le vaccin).
Le tribunal a suivi cet avis et a accordé une indemnisation de 200 000 dollars aux parents de Joël[12].
Des morts tragiques comme celles-là, il y en a des milliers à travers le monde.
Et en réalité, dès les essais cliniques, on pouvait deviner que le Gardasil tuait.
Pendant les essais cliniques du Gardasil, le nombre total de morts était de 8,5 pour 10 000.
Cela fait beaucoup de morts d’adolescents – surtout quand on sait que le nombre attendu de décès de jeunes filles sur une période comparable était de 3,9 pour 10 000 – soit deux fois moins[13].
Vous comprenez l’importance d’une l’enquête judiciaire honnête sur la mort tragique d’Elouan.
On ne peut pas balayer la responsabilité du vaccin d’un revers de main.
Les parents ont le droit à toute la vérité sur la mort de leur enfant.
Bonne santé,
Xavier Bazin
23 réponses
Ils le savent très bien que c’est le vaccin qui a provoqué la mort du jeune mais on continu à nous mentir il y a trop d’argent à gagner même s’il y a des décès ils sont coupable mais pas respponsable
je suis tout à fait d’accord avec vous. J’ai partagé plusieurs documents concernant ce vaccin, et tout dernièrement je me suis vu bloquer par « les soit disant médias contrôleurs » sur facebook. J’ai bien sur laissé un message leur demandant de quel droit il me bloquait ? est ce qu’ils étaient médecins ? et vu ce qui était arrivé avec la piquouse covid j’avais le droit de me poser des questions et que ce n’était pas à des merdias de me dicter ma conduite.
bien sur je n’ai pas eu de réponse.
Je suis rendue au point que je ne fais plus confiance aux médecins ni au traitement.
Ni en Facebook…
« On parle ici, dans le meilleur des cas, d’1 décès pour 500 000 adolescents vaccinés, et dans le pire des cas, d’1 décès pour 15 000 adolescents vaccinés[8] ». Certes mais quel le nombre d’adolescents non vaccinés ayant succombé à l’hépatite B? Alors oui, la vaccination, quelle qu’elle soit n’est pas sans risques, mais en médecine nous parlons de bénéfice/risque, autrement dit combien de personnes pouvons-nous sauver, au risque que quelques unes ne supportent pas le traitement (ce qui est très difficile à prévoir en amont de l’injection).
Dr DEGUERCY
Sans oublier les effets secondaires qui ne manqueront pas d’apparaître à l’avenir.
La situation devient de plus en plus critique, le décès du jeune Elouan, chutant de sa chaise à quarante centimètres du sol, entrainant un traumatisme intracrânien étant la cause de son décès, devient totalement grotesque.
Aussi grotesque que la balle dans la poitrine qui tua le jeune Nahel, sous prétexte d’une légitime défense mettant en danger la population civile, qu’un policier, faisant l’usage de son arme, accomplissait dans l’exercice de ses fonctions.
Et nous connaissons la suite des évènements, n’est-ce pas !
À considérer le nombre de victimes mortel lié à l’injection de vaccins Gardasil, depuis de nombreuses années, et pas seulement en France, qui a aucun moment de leurs responsabilités, les acteurs politiques de santé publique, tous autant qu’ils le sont, comédiens tragiques, ne se sentent d’une quelconque manière responsable.
Il faut mettre à l’arrêt définitif à leurs arrogances et impunités leurs prérogatives et les traduires en justice.
« Le Peuple Français » n’est pas assez réactif aux crimes dont ils sont pleinement responsables, judiciairement et juridiquement.
Ils ne perçoivent à aucun moment la relation de décès des centaines de milliers de personnes en France, et millions de personnes à travers le monde victimes des effets secondaires mortels des vaccins.
Tous les vaccins aujourd’hui sont des poisons mortels, et ils comptent introduire dans tous les vaccins pour adultes et pédiatriques, si ce n’est déjà réalisé, la technologie ARNm, ainsi que dans tout l’agro-culture, d’élevage et agricole, dans toute notre alimentation de transformation et sans compter l’insectivorisation forcées, qui entrainera une contamination de l’organisme par la « CHITINE » éléments toxiques sécrété par les insectes, toxiques et cancérigènes pour l’homme, en cours de normalisation et distribution dans nos hypermarchés.
Ce ne sont plus de simples vaccins dont ils ont banalisé l’obligation, mais un modificateur cellulaire de thérapie génique de notre ADN, irréversible et mortel. Toutes informations virales contenues dans ces poisons se dupliqueront à l’infini, la réponse immunitaire en sera affaiblie et les gens décèderont de maladies auto-immunes multiples, vous les connaissez mieux que je ne saurai les décrires.
« Vaccins COVID Pfizer, Moderna et BioNTech basé sur la technologie ARNm : après son déploiement en janvier 2021, nous constatons une augmentation MASSIVE des lymphomes, des leucémies, des glioblastomes, du sein, du côlon, des poumons, des testicules, des ovaires et des sarcomes… »
« Nous voyons des cancers se métastaser rapidement comme jamais auparavant, nous constatons des décès du diagnostic au décès en jours, semaines et non en années comme avant. « TURBO RAPIDE » » – Dr Paul Alexandre – 15 octobre 2023 –
Le Gardasil comme les autres vaccins covid, grippaux et tous les autres sont des Chevaux de Troie, qui blessent et tuent les gens, sur le court, moyens et longs termes, tous âges confondus.
Si les gens n’arrivent pas à faire le lien qui cause la mort de leurs proches, de leurs enfants, de leurs amis(es), collègues de travail et des anciens avec ces injections mortelles. (G.I.R.)
« Le Peuple Français » a un véritable problème de compréhension, d’information, de pédagogie et de réactivité, c’est clair ! Le réveil des endormis va être brutal. POINT FINAL !
(Groupe Intervention Rapide : inscrit au journal officiel de la ripoux-blique, oui, ils ont reçu tous les agréments officiels pour assassiner les personnes âgées en EPHAD et maisons de retraites.)
La technologie vaccinale doit être réservée aux affections mortelles ou à celles qui laissent de lourds handicaps en cas de guérison (Poliomyélite par ex.) . Dans ces cas le taux de bénéfices est largement supérieur au risques .
ils nous mentes depuis le début ,tout c’est vaccins en causé des problèmes a des personnes proches ,malaise problème a marcher ,différents organes qui ne suis plus et c’est personnes était en bonne santé avant !,, soit disons les protégés du COVID -19 , et ce fut la catastrophe pour eux , et j’ai pas plus confiance de c’est vaccins pour les adolescents ?? AUX PARENTS DE FAIRE ATTENTIONS ET SAVOIR QU’ELLE PEUT ETRES LES CONSEQUENCE ET DE BIEN CE RENSEIGNER AVANT DE PRENDRE CETTE DEDECISIONS !!
merci à vous pour cette alerte, de toutes façons après le vaccin contre le covid on peut très clairement douter de la « sincérité » des pouvoirs publics qui de surcroit font fi encore à ce jour , des effets indésirables !
En 2020 lors d’une vaccination collective,mon fils a fait une myocardite quelques jours après être vacciné. Son coeur battait à 180 coups par minute tout en étant couché au lit depuis déjà 4 jours à l’hopital. le lendemain 2 heures avant d’être transporté vers l’hopital central pour recevoir des chocs,tout était rentré dans l’ordre.
très choquée par tant de mépris de la vie et d’ hypocrisie