Cher(e) ami(e) de la Santé,
Maxime Beltra avait 22 ans.
Il voulait partir en Grèce, avec sa petite amie, pour son anniversaire.
Mais trois semaines plus tôt, Emmanuel Macron a imposé le « passe sanitaire ».
Pour faciliter son voyage, Maxime envisage alors de se faire vacciner.
Son père le lui déconseille. Pour lui, on manque de recul sur ces vaccins. Et Maxime est allergique, ce qui est un facteur de risque en cas de vaccination.
Mais Maxime entend le ministre de la Santé dire à la télévision que le vaccin est sûr.
Alors, le 26 juillet 2021, en début d’après-midi, le jeune homme reçoit le vaccin Pfizer.
Le soir-même, vers 22 heures, il meurt brutalement.
Immédiatement, les médias font un tir de barrage pour innocenter le vaccin : Maxime serait mort de son allergie à la cacahuète, et non du vaccin !
Dès le départ, pourtant, c’était extrêmement improbable.
Maxime n’a pas pu ingérer de cacahuète par erreur, car son odeur même lui est répulsive. De plus, il a réussi à esquiver sans problème la cacahuète depuis l’âge de 7 ans – il n’y a aucune raison qu’il se fasse « piéger » à 22 ans.
Quand un jeune homme décède 8 heures après avoir reçu un vaccin expérimental, le simple bon sens voudrait qu’on s’intéresse à la responsabilité du vaccin.
Surtout que l’autopsie a détecté une myocardite – soit précisément un effet indésirable reconnu des vaccins à ARNm, qui, de surcroît, touche particulièrement les hommes jeunes.
Mais les autorités, les médias et le corps médical font TOUT pour innocenter Pfizer.
D’abord, le médecin légiste a émis l’hypothèse que Maxime avait déjà sa myocardite avant la vaccination – une hypothèse qui ne repose sur rien, car Maxime se sentait très bien avant son vaccin.
Pire : un médecin est allé jusqu’à trafiquer son rapport d’expertise.
Un des experts a écrit qu’il n’y avait pas de réaction allergique sur le bras de Maxime, au point d’injection.
C’est un point important. Car si l’on trouve une réaction allergique au point d’injection, il est très vraisemblable que le vaccin a pu causer, aussi, une réaction forte dans tout l’organisme – et causer la mort.
Mais croyez-le ou non, l’expert s’est « trompé de bras » !
Au bras droit, en effet, il n’y avait pas de réaction allergique. Mais au bras gauche – là où il a reçu le vaccin, il y avait bien une réaction allergique massive[1].
Personnellement, je ne crois pas à une « erreur » aussi grossière.
Tout, absolument tout est fait pour innocenter les vaccins.
Si vous en doutez, sachez que l’histoire de Maxime n’est pas isolée.
Son père, Frédéric Beltra, a fondé l’association Verity France, qui a rapidement été rejointe par des centaines de familles de victimes des vaccins anti-Covid.
Parmi elles, la famille de Sofia, une lycéenne de 17 ans, morte onze jours après son vaccin Pfizer.
Cette jeune fille pleine de vie voulait devenir puéricultrice, pour s’occuper des enfants[2].
Passe sanitaire oblige, elle a eu peur de ne pas pouvoir faire ses stages obligatoires sans vaccin anti-Covid.
Elle reçoit donc le vaccin Pfizer, malgré ses réticences. Onze jours plus tard, à l’école, elle fait une crise cardiaque et décède rapidement. L’autopsie révèle une embolie pulmonaire massive[3].
Inutile de dire qu’on ne meurt pas d’embolie pulmonaire massive, sans raison, à 17 ans. Le vaccin est donc particulièrement suspect.
Mais le corps médical, va tout faire pour l’innocenter.
Pendant des mois, les médecins vont réaliser toutes les analyses possibles et imaginables : « sanguines, anatomopathologiques (examen des organes, tissus ou cellules pour repérer et analyser des anomalies), toxicologiques ou bactériologiques »[4].
Ils cherchaient une infection, une anomalie… quoi que ce soit qui puisse leur permettre de conclure que c’était « ça » qui a tué Sofia, et non le vaccin.
Ils ont même demandé aux grands-parents de Sofia de faire des analyses sanguines, pour voir s’il n’y avait pas de problème de coagulation sanguine dans la famille.
Mais, ils n’ont rien trouvé…
…et ils ont quand même innocenté le vaccin !
« On nous dit que ma fille est décédée de mort naturelle, et ça, je ne peux pas l’entendre », a déploré la mère de Sofia.
Commentaire de Frédéric Beltra, fort de son expérience avec des centaines de familles :
« C’est systématique : ils font tout ce qui est bon pour écarter la responsabilité du vaccin, et à l’inverse, ils se jettent sur tout ce qui pourrait amener un doute[5] ».
Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que cela ne date pas des vaccins Covid.
Pour le vaccin Gardasil, contre les papillomavirus, il s’est produit le même phénomène.
L’histoire d’Annabelle en est un exemple criant :
Annabelle : officiellement morte de « noyade »… alors que c’est impossible !
Le drame qui a frappé Annabelle a été décrit par le journal canadien Toronto Star, qui a publié en 2015 une enquête complète sur la « face obscure du Gardasil »[6].
(Notez que Big Pharma et ses affidés ont fait un puissant lobbying pour forcer le journal à s’excuser et à « retirer » son enquête – mais les faits restent parfaitement avérés).
Annabelle Moren a reçu le Gardasil à l’âge de 14 ans.
Deux semaines après sa deuxième dose sa mère l’a retrouvée morte dans sa baignoire.
Officiellement, Annabelle est morte de noyade – c’est ce que vous pouvez lire un peu partout sur Internet.
Mais j’ai eu accès aux « Rapports périodiques actualisés de sécurité » (PSUR) concernant le Gardasil.
Ces documents officiels, publiés par l’Agence du Médicament, donnent une précision capitale – et troublante.
Selon le médecin légiste, il n’y avait pas assez d’eau dans les poumons d’Annabelle pour causer une mort par noyade[7].
Alors, de quoi est-elle morte ?
Si l’on écarte la responsabilité du vaccin, c’est totalement mystérieux !
Mais il n’y a aucune raison d’innocenter le vaccin.
En effet, dès les essais cliniques, il y a eu plusieurs morts suspectes après vaccination au Gardasil.
L’autorité sanitaire – la FDA – a donc été obligée de se pencher sur ces décès.
Mais à chaque fois, elle a innocenté le vaccin, sans raison valable.
Par exemple, dans le cas de deux morts causées par une phlébite (thrombose veineuse), la FDA a déclaré que c’était la faute de la pilule contraceptive prise par les jeunes filles.
Ce qui est invraisemblable, car l’un n’empêche pas l’autre !
D’ailleurs, quelques années plus tard, une étude scientifique publiée dans le prestigieux JAMA a montré que le Gardasil cause bien un surcroît de cas de phlébites chez les jeunes filles[8].
De même, toujours dans les essais cliniques, un jeune garçon est mort d’arythmie cardiaque 27 jours après la première dose.
Qu’a dit la FDA ? Il y a de l’arythmie cardiaque dans sa famille ! Donc, circulez, cela n’a rien à voir avec le vaccin.
Ce qui est un raisonnement absurde, une fois de plus.
Même en admettant que le jeune garçon ait eu une vulnérabilité cardiaque (ce qui n’est pas prouvé), cela ne dégage en rien la responsabilité du vaccin.
Peut-être que ce jeune aurait vécu avec son arythmie jusqu’à 70 ans !
Donc, même si l’on supposait que le Gardasil ne tue que les personnes ayant une vulnérabilité préalable, il faudrait tout de même reconnaître que le Gardasil est, au minimum, un « cofacteur » dans leur décès.
Et cela pointerait plutôt vers la nécessité de bien s’assurer de l’état de santé de chacun avant d’injecter un vaccin – ce qui est totalement incompatible avec la volonté de « faire du chiffre » en vaccinant massivement !
Au total, avec nos autorités de santé, ce n’est jamais la faute du vaccin.
J’ai contacté l’association de victimes REVAV, qui m’a confirmé que c’était ce que vivent beaucoup de familles :
« Nous avons par exemple le témoignage d’un garçon de 20 ans. Il venait de recevoir le vaccin covid. Il s’est effondré, mort dans sa cuisine. Ils ont indiqué à sa mère qu’il avait trop bu mais il n’avait pas d’alcool dans son organisme.
Systématiquement ils détournent volontairement l’attention sur un décès en parlant d’autres causes pour éviter d’incriminer le vaccin. »
Vous comprenez, maintenant, pourquoi j’ai un GROS doute sur la mort récente d’Elouan, ce collégien de 12 ans décédé une semaine après avoir reçu le Gardasil ?
Certes, l’autopsie a conclu que sa mort était liée au « traumatisme crânien » causé par sa chute (il a fait un malaise 15 minutes après sa vaccination et est tombé de sa chaise).
Mais peut-on croire l’autopsie sur parole, quand il s’agit de décès post-vaccinal ?
La réponse est non – surtout quand on sait à quel point il est rare qu’un garçon meure d’une chute banale.
Espérons que l’enquête judiciaire fera toute la lumière sur cette mort tragique.
Les parents ont le droit à la vérité sur la mort de leur enfant.
Bonne santé,
Xavier Bazin
32 réponses
Comme d’habitude , excellente analyse . Merci !