Déjà deux maladies graves chez les volontaires testés
Le 9 septembre dernier, une petite « bombe » a été lâchée dans les médias :
AstraZeneca, c’est le laboratoire pharmaceutique qui développe le vaccin de l’Université d’Oxford.
Dès cette annonce, son cours de Bourse s’est effondré.
Mais ne vous inquiétez pas AstraZeneca, ce « Big Pharma » a déjà sécurisé les ventes de son vaccin.
Eh oui, avant même que son vaccin ne soit testé correctement, Astrazeneca a réussi à vendre :
- 300 millions de doses à l’Union européenne, qui a même avancé la somme 336 millions d’euros, rubis sur l’ongle[1] ;
- 300 millions de doses également aux États-Unis, pour 1,2 milliards de dollars au total[2] ;
- et des millions de doses à d’autres pays encore, comme l’Australie ou la Grande-Bretagne.
Vous le voyez, des sommes colossales sont en jeu, ce qui ne présage rien de bon pour notre santé.
Tenez-vous bien : quelques jours seulement après cette annonce choc, AstraZeneca a décidé de reprendre son essai clinique, comme si de rien n’était !
Cela paraît fou, mais c’est bien ce qui s’est passé.
Une maladie neurologique grave, manifestement causée par le vaccin
Pourtant, il faut savoir que les personnes courageuses qui se portent volontaires pour tester le vaccin anti-Covid sont en excellente santé au départ !
Ces « cobayes » sont des personnes jeunes, en bonne forme, qui n’ont pas peur de se faire injecter un produit expérimental.
Ils ont donc très peu de risques a priori de développer un effet secondaire grave, suite au vaccin.
Voilà pourquoi l’annonce par AstraZeneca d’un malade grave suite à la vaccination est très inquiétante.
Il s’agit d’une femme britannique, qui a été frappée par une myélite transverse, une maladie inflammatoire grave du système nerveux central.
Cette maladie peut causer des douleurs, des brûlures, des spasmes, et surtout une paralysie dans les jambes ou les bras.
Voilà ce qu’a subi cette femme vaccinée… et il est clair que le vaccin est responsable :
- car il s’agit d’une maladie auto-immune, donc liée à un dérèglement du système immunitaire (les vaccins, par définition, interfèrent avec le système immunitaire) ;
- car la médecine officielle reconnaît que cette maladie est causée par la vaccination dans au moins 60 % des cas[3] ;
- et c’est une maladie rarissime : 1 à 5 cas pour 1 million de personnes !
Ce n’est donc pas par hasard que cette maladie a frappé une femme en bonne santé, quelques jours ou semaines après avoir reçu le vaccin expérimental d’AstraZeneca[4] !
Mais bizarrement, AstraZeneca a annoncé la reprise de ses tests !
« Les essais cliniques du vaccin d’AstraZeneca contre le coronavirus ont repris au Royaume-Uni après que l’Autorité de réglementation sanitaire des médicaments (MHRA) a confirmé qu’il ne présentait pas de danger », a annoncé le laboratoire !
Pas de danger, ce vaccin qui cause une myélite transverse ??
Pourrait-on connaître les conflits d’intérêts des membres de la MHRA, s’il vous plaît ?
Franchement, cette affaire sent le scandale sanitaire à plein nez.
Du coup, j’ai regardé attentivement comment les essais cliniques sur le vaccin anti-Covid ont été organisés… et cela fait froid dans le dos !
Stupeur : comment les Big Pharma testent réellement leur vaccin
Figurez-vous que le vaccin d’AstraZeneca n’est pas testé contre un placebo.
Non, il est testé contre l’un des vaccins les plus « réactogènes » au monde : le vaccin contre la méningite[5] !
Sur ce vaccin méningite, voici ce que dit la fiche officielle, réalisée par l’Autorité de santé américaine :
« La moitié des personnes à qui l’on administre un vaccin antiméningococcique ACWY souffrent d’effets indésirables légers après la vaccination, tels que des rougeurs ou des douleurs au site d’injection. Si ces problèmes apparaissent, ils durent en général 1 à 2 jours.
Un faible pourcentage des personnes à qui l’on administre le vaccin souffrent de douleurs musculaires ou articulaires. »[6]
Ce vaccin fait donc partie de ceux qui causent le plus d’effets indésirables.
Et c’est manifestement pour ça qu’il a été choisi !
Cela permet de masquer les effets indésirables du vaccin anti-Covid !
Je prends les paris : ils vous diront sans doute que le vaccin anti-Covid n’a pas causé plus d’effets secondaires que le placebo… mais cela ne voudra pas dire qu’il n’en cause pas !
Cela voudra simplement dire qu’il n’est pas plus « dangereux » que le vaccin contre la méningite, qui cause énormément de mauvaises réactions !
Je rappelle que ce vaccin contre la méningite n’est pas recommandé par la Haute Autorité de Santé, sauf exception[7] !
Il est donc totalement irresponsable de comparer un vaccin anti-Covid qui s’apprête à être injecté au monde entier à un vaccin réservé à des cas très précis, et très rares !
Et ce n’est pas tout.
Ce qui est au moins aussi inquiétant, c’est que ces essais cliniques sont faits dans le secret, par les laboratoires pharmaceutiques, sans la transparence minimale qu’on pourrait exiger !
Ce n’était pas le premier cas grave, mais on ne vous a rien dit !
Figurez-vous que ce n’était pas la première fois, mais la deuxième fois que l’essai a été interrompu !
La première fois, c’était en juillet dernier, après un cas de sclérose en plaques après vaccination[8] !
La sclérose en plaques, comme la myélite transverse est une maladie auto-immune et démyélinisante.
C’est aussi une maladie rare et il est très peu probable, une fois de plus, que ce soit un hasard si un cobaye l’a attrapée après vaccination.
Surtout que cet « accident » a eu lieu au mois de juillet, au moment où il y avait encore très peu de volontaires testés.
Et pourtant, après une brève interruption, le comité « indépendant » a conclu que cette sclérose en plaques n’était pas causée par le vaccin.
Et on n’en a rien su.
Ce sont des informations cachées, non officielles, alors que l’argent public finance ces vaccins !
D’ailleurs, savez-vous comment on a appris que les tests avaient à nouveau été interrompus ?
Pas parce que AstraZeneca l’a révélé publiquement… mais parce que ses dirigeants l’ont avoué à leurs investisseurs, au cours d’une réunion privée[9] !
Rendez-vous compte : les financiers sont mieux informés que les scientifiques et les autorités de santé !
C’est un scandale qui a même fait réagir le New York Times, qui s’est alarmé du manque de transparence des essais cliniques des vaccins contre la Covid.
« Les producteurs de vaccins passent sous silence les données de sécurité, ce qui alarme les scientifique », a titré ce journal peu suspect de « complotisme »[10] !
Et il n’y a pas que AstraZeneca qui est dans le viseur. C’est le même problème avec le vaccin développé par Pfizer et les autres grands groupes pharmaceutiques.
Aucune de ces firmes n’a révélé le détail de leur protocole clinique !
Même Eric Topol, un des médecins les plus influents aux Etats-Unis et grand défenseur des labos pharmaceutiques, s’en est ému :
« Les fabricants de vaccin contre le Sars-Cov-2 n’ont pas été transparents, alors que les enjeux sont énormes. J’appelle Pfizer et Moderna à publier le détail de leur essai clinique. Nous devons savoir. »[11]
Ce manque de transparence est d’autant plus inacceptable que l’argent public a largement subventionné ces multinationales pour fabriquer le vaccin !
« Nous avons payé pour ces essais cliniques, a déclaré Saad B. Omer, directeur de l’Institut pour la santé globale de l’Université de Yale. Il est donc raisonnable de demander ces informations. »
Ce n’est pas seulement « raisonnable », c’est vital !
Surtout que les producteurs de vaccin n’ont RIEN À CRAINDRE en cas d’effets indésirables graves.
Car l’Union européenne s’est engagée à indemniser elle-même les victimes, à la place des labos, avec de l’argent public !
Je n’invente rien : « Il est dans notre intérêt d’avoir des vaccins le plus rapidement possible et c’est pourquoi nous avons inclus dans ces contrats la possibilité d’indemniser les fabricants », a déclaré la porte-parole de la Commission européenne Vivian Loonela[12].
Bref, les laboratoires ont tout intérêt à mettre sur le marché ces vaccins quoi qu’il en coûte et quels qu’en soient les effets indésirables !
Encore une fois, c’est un énorme scandale sanitaire en devenir.
C’est du bon sens, et pas du tout une idéologie « anti-vaccin ».
Comme l’a très bien dit le Professeur Raoult, « je dénie à quiconque le droit de me traiter de pro-vaccin ou d’anti-vaccin ».
C’est comme si on disait de quelqu’un qu’il est « pro-médicament » ou « anti-médicament » : cela n’a aucun sens, cela dépend des médicaments, de la maladie et de l’état du malade !
Pour le vaccin anti-Covid, les choses sont claires : ce qui se passe est TRÈS INQUIÉTANT !
44 réponses
Vous ayant suivis durant des années et grâce aux Revues qui m’ont aidée à me sortir des produits chimiques, j’ai réussi à vivoter jusqu’à ce jour au mieux(89) J’aurais aimé expliquer un parcours de malade cruel pouvant être un exemple d’encouragements à lutter sans cesse, mais le temps fait défaut à vous tous, reste à souhaiter à tous courage et confiance à l’avenir de vos travaux ; Merci
N.T.
Que les Femmes et Hommes de bon sens réagissent enfin en masse devant cette gigantesque mascarade et défendent leur Liberté aujourd’hui gravement menacée.
Sans être ni médecin ni chercheur, grâce aux déclarations de tous les spécialistes honnêtes et courageux (qu’on a essayé de faire taire), et aux « lanceurs d’alerte » qui ont pris le temps de rechercher les infos sérieuses concernant ce sujet, depuis le début on pouvait analyser la situation et se faire une opinion que je crois avisée. Le temps nous apporte désormais les preuves. Mais le mal est fait !
Peut-on blâmer les personnes qui ont eu peur de mourir avec tous les épouvantails qu’on a agités devant elles à longueurs de programmes ?…
Merci à vous pour votre implication dans cette « guerre » (sic notre Président) . Votre honnêteté sur ce sujet et sur bien d’autres est un pilier rassurant.