Cher(e) ami(e) de la Santé,
Emmanuel Macron a annoncé la généralisation de campagnes de vaccination dans les collèges, contre les papillomavirus.
Cela s’est passé à Jarnac – et c’est un très mauvais coup porté à nos enfants.
Voici le genre de scène que l’on risque de voir désormais régulièrement, en France :
C’était en novembre dernier, en Belgique : non seulement une vingtaine d’élèves sont tombés évanouis après le vaccin, mais d’autres ont souffert de maux de tête, de vertiges et d’états grippaux[1]. Une jeune fille a dû passer la nuit entière à l’hôpital.
C’était peut-être un « mauvais lot » de vaccins. Mais une semaine après, il s’est produit la même chose dans un autre collège belge[2].
Le pire, c’est que ces réactions immédiates au vaccin ne sont pas le plus grave.
Ces vaccins ont la capacité de briser des vies entières. Et je ne dis pas cela à la légère.
Les essais cliniques – qui constituent le meilleur standard de preuve scientifique – avaient révélé une toxicité effarante de ces vaccins anti-papillomavirus.
Les jeunes filles vaccinées avaient 50 % de risque en plus de souffrir de « troubles graves du système nerveux »[3].
Au Danemark, des jeunes filles ont été officiellement indemnisées pour avoir eu leur vie anéantie par le vaccin : handicapées à vie, en fauteuil roulant, parfois criblées de douleurs[4].
En France, des dizaines de jeunes filles, dont Océane Bourguignon, ont porté plainte pour les mêmes dégâts, mais le « big pharma » Merck et son armée d’avocats semblent avoir gagné la partie[5].
Partout, dans le monde, les mêmes dégâts ont été observés.
Au Japon, deux mois seulement après avoir lancé une campagne de vaccination massive, les autorités l’ont suspendue pendant près de 10 ans, au motif que les « informations communiquées au public sur les effets secondaires et les risques potentiels étaient insuffisantes au vu des faits notifiés. »[6]
En clair, de nombreux accidents vaccinaux inattendus se sont produits, avec notamment des « douleurs corporelles chroniques », et cela a conduit le Japon à arrêter les frais.
Aux États-Unis, de grands procès contre Merck auront lieu cette année, pour les dégâts causés par son vaccin, le Gardasil[7], notamment :
- Le syndrome de fatigue chronique (encéphalomyélite myalgique)
- Le syndrome de douleur régionale complexe
- L’insuffisance ovarienne prématurée
- La fibromyalgie
- L’intolérance orthostatique / le syndrome de tachycardie posturale
Et c’est ce vaccin-là qu’Emmanuel Macron veut généraliser !
À l’école, en plus !
Et le pire, c’est la « justification » qui a été avancée.
L’objectif serait « d’éradiquer » le cancer du col de l’utérus !
Or, c’est tout simplement invraisemblable !
Déjà, éradiquer un virus, on ne sait pas faire (la variole étant une exception historique, et non la règle)…
…et on sait encore moins éradiquer un cancer, hélas !
Emmanuel Macron est manifestement DÉSINFORMÉ.
Mais je ne suis pas surpris.
Car sur ce vaccin, la propagande médiatique fait rage, depuis quelques mois !
Éradication du cancer : l’incroyable fake news du journal Le Parisien
Prenez cet article récent, publié dans Le Parisien :
J’ai d’abord cru que le laboratoire Merck (MSD) s’était acheté une pleine page de pub.
Mais non… ce n’est pas une pub… mais bien un « article de presse », signé par un « journaliste » !
Et c’est simplement effarant.
Il faut se pincer en lisant le sous-titre de l’article :
Je cite, au cas où l’image serait peu lisible : « La France est très mauvaise élève dans la vaccination contre le virus responsable de ce cancer que d’autres pays ont réussi à éradiquer ».
QUOI ! Certains pays auraient réussi à éradiquer un cancer féminin ??
Et en plus, on devrait cette révolution à un vaccin qui n’aurait « aucun effet indésirable inquiétant » (on a vu plus haut ce qu’il en était vraiment !!)
Le problème, c’est qu’à peu près tout est faux, dans cet article.
Non seulement il n’y a bien sûr pas eu la moindre « éradication » du cancer du col en Australie et en Suède…
…mais ces pays n’ont même pas connu une « chute du nombre de cancers du col »[8]… En Suède, on observe plutôt une augmentation !
Si vous avez du mal à croire que des grands médias puissent vous berner ouvertement de la sorte, lisez la suite.
Une « chute du nombre de cancers » ? Regardons les chiffres !
Prenons les données d’un site international reconnu, lié à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
En Suède, les premières vaccinations de masse ont commencé en 2007. Les recommandations visaient les jeunes filles de 13 à 17 ans.
Cela veut dire que la « toute première génération » partiellement vaccinée avait 27 ans tout au plus en 2017 (celles qui avaient 17 ans en 2007).
Sachant que les cancers du col de l’utérus sont rarissimes avant 25 ans, il est difficile de tirer la moindre conclusion solide de l’impact de cette première campagne de vaccination.
Regardons tout de même l’incidence du cancer du col de l’utérus en Suède, chez les jeunes femmes de moins de 29 ans :
Il n’y a absolument aucun « miracle » apparent lié à l’introduction du vaccin.
L’augmentation du nombre de cancers du col s’est même plutôt accélérée après 2010 !
Mais on ne peut pas vraiment en conclure quoi que ce soit (à part, répétons-le, qu’il n’y a pas la moindre trace d’éradication).
Et l’Australie ? Un peu mieux, mais ce n’est pas le Pérou !
Voyons maintenant l’Australie.
Là-bas, ils ont vacciné massivement les jeunes femmes jusqu’à 26 ans.
Contrairement à la Suède qui s’est focalisée sur les moins de 17 ans, l’Australie a offert la vaccination gratuite aux femmes de 18 à 26 ans, dès 2006.
Il faut donc regarder ce qui s’est passé pour les femmes de moins de 34 ans (les femmes les plus âgées de la cohorte vaccinée avaient 36 ans en 2016).
En plus, on sait que plus de la moitié d’entre elles ont reçu au moins une dose du vaccin (et plus d’un tiers ont fait leurs 3 doses)[9].
Ce n’est pas rien. Si ces vaccins sont miraculeux, on devrait donc voir quelque chose !
Cette fois, on constate une légère diminution du nombre de cancers du col entre 2012 et 2016 :
Est-ce que c’est lié à la vaccination ? À autre chose ?
Impossible de le dire ! Surtout quand on voit la baisse des années 1990, sans vaccin.
Dans tous les cas, on est loin, très loin, d’une « éradication ».
En réalité, il n’y a aucun signal clair en faveur du vaccin, dans aucun pays.
En Angleterre, par exemple, on vaccine les jeunes filles contre les papillomavirus depuis 2008…
…et voici l’évolution du nombre de cas de cancers du col chez les moins de 24 ans (voyez-vous l’accélération de la hausse, de 2010 à 2017 ?)
Je ne dis pas que les vaccins ont causé cette accélération (quoi que je ne dise pas non plus le contraire, on n’en sait rien).
Mais une chose est absolument certaine :
NULLE PART, ON NE CONSTATE LE MOINDRE DÉBUT D’ÉRADICATION DU CANCER DU COL, NI MÊME DE BAISSE SIGNIFICATIVE DU NOMBRE DE CAS DE CANCERS DU COL SUITE AUX CAMPAGNES DE VACCINATION.
Donc, l’article du Parisien est de la propagande pure et dure !
Et c’est probablement sur ce genre de « torchon » téléguidé par Big Pharma qu’Emmanuel Macron s’est appuyé pour prendre sa « décision » !
L’heure est grave.
Les dégâts causés par les vaccins anti-Covid n’ont manifestement pas servi de leçon !
Si nous ne faisons rien, nous allons nous retrouver avec un nouveau vaccin « généralisé » ou « obligatoire » chaque année.
Transmettez cette lettre à tous vos contacts.
Informez les parents d’enfants en âge de recevoir ce vaccin.
De mon côté, je vous enverrai très bientôt d’autres éléments plus détaillés sur ces vaccins contre les papillomavirus.
Je vous expliquerai notamment que :
- Il n’est pas démontré de façon parfaitement convaincante que les papillomavirus humains (HPV) soient une cause directe des cancers du col de l’utérus ;
- Aucun essai clinique randomisé contre placebo n’a pu montrer l’efficacité du vaccin HPV pour éviter un seul cas de cancer du col de l’utérus ;
- Le vaccin HPV est un vaccin génétique créé à partir de cellules génétiquement modifiées, avec des risques de contamination de l’ADN, pouvant occasionner cancers et maladies neuro-dégénératives ;
- Le vaccin HPV contient de l’aluminium, une substance neurotoxique dont beaucoup de travaux pointent la dangerosité potentielle en tant qu’adjuvant vaccinal ;
- En plus des effets neurologiques graves révélés par les essais cliniques, les vaccins HPV ont fait l’objet d’un nombre élevé et inattendu de signalements à la pharmacovigilance, y compris pour des effets indésirables graves, et notamment des décès.
Voilà pourquoi on ne peut pas rester les bras croisés, sans rien faire.
Je compte sur vous pour diffuser l’information.
Bonne santé,
Xavier Bazin
PS : je vous rappelle que j’ai écrit une sorte de « manuel » contre la désinformation vaccinale (mais qui « se lit comme un roman », selon certains lecteurs).
C’est un livre qui s’appelle Antivax toi-même, et je vous invite à vous le procurer et surtout à le faire connaître autour de vous.
Vous pouvez le trouver en librairie, ou bien le commander directement sur le site de la Fnac (ici) ou d’Amazon (ici).
Mes droits d’auteur sont reversés à la Fondation Hippocrate.
94 réponses
Il ne faut laisser faire. On va se battre jusqu au bout pour décider nous meme de notre corps.
Merci pour tout ce que vous faites depuis bien longtemps
La généralisation de cette vaccination ne veut pas forcément dire qu’elle devient obligatoire. Cette lettre ne dit pas non plus si cette vaccination concerne aussi les garçons,(le papillomavirus est une MST, donc les garçons sont porteurs et autant responsables de la maladie puisque transmetteurs!). Cette lettre est bourrée d’explications biaisées qui ne prouvent pas grand-chose et ne le peut pas: on ne sait pas, par exemple, si l’incidence du cancer du col (3000 cas en 2017 pour 1000 décès), lequel apparaît 20 ou 30 ans après le contage concerne des femmes vaccinées ou non, certainement pas puisque le Gardasil a été mis sur le marché en 2006 et sa nouvelle version en 2015 et Cervarix en 2008. Il n’y a donc pas de liens entre les chiffres actuels du cancer du col et la vaccination. Il n’en reste pas moins que on ne peut que se demander si ce n’est pas une nouvelle façon pour le labo Sanofi qui fabrique Gardail9 de se rattraper de son échec commercial avec son vaccin anti-covid19. Et ferait donc de Macron , ce n’est peut-être pas nouveau, le valet des labos pharmaceutiques?
Je suis contre les décisions arbitraires et horrifiée par le comportement de nos gouvernants qui prennent le pouvoir sur un domaine qui n’est pas le leur.
il faut dire qu’ils ne sont pas non plus à la hauteur de leurs tâches dans beaucoup de domaines.
ils nous ont pourri la vie pendant le coronavirus en prenant des mesures contre l’avis médical et lié les mains aux réfractaires de leurs décisions purement financières.
Et c’est encore la cas aujourd’hui.
ça ne sert qu’à remplir les poches de Big Pharma hélas…..
Une honte qui va nuire à la santé de nos enfants: ARRETONS CELA IMMEDIATEMENT,
et que les parents refusent ce scandale.
Vaccin contre le Papillomavirus : comment la campagne au collège va se dérouler.
… Des exceptions possibles jusqu’à 19, voire 26 ans
Mais comme l’a encore détaillé le chef de l’État, pas question pour autant de délaisser les classes d’âge supérieures. « La deuxième chose à partir de septembre prochain, c’est que l’on va aussi proposer que les médecins, les infirmiers, les pharmaciens, les sages-femmes, puissent vacciner en ville, hors de l’école, contre le papillomavirus », a-t-il poursuivi à ce propos.
En effet, au-delà des élèves de cinquième, et même si la tranche d’âge 11-14 ans est donc privilégiée, l’idée est que la vaccination soit toujours accessible jusqu’à 19 ans et même qu’elle reste possible jusqu’à 26 ans pour les hommes qui ont des relations sexuelles avec les hommes. Emmanuel Macron s’est d’ailleurs adressé directement aux élèves de troisième qui lui faisaient face, leur expliquant qu’il souhaitait qu’eux aussi « puissent aller soit chez le médecin, soit à la pharmacie, soit ailleurs pour se faire vacciner contre le HPV »…
https://www.huffingtonpost.fr/life/video/vaccin-contre-le-papillomavirus-comment-la-campagne-au-college-va-se-derouler_214662.html
le 28/02/2023
Mr Bazin vous n’êtes pas docteur arrêter de toutdire sur tout c’est de la propagande on ne peut pas tout soigner par les plantes
De quoi se mêle Mr Macron lui qui n’ a pas d’ enfants; il veut se mêler de la vie des familles!! Seuls les parents sont maîtres des décisions à prendre!!
Qu’ il s’ occupe de gérer la France!! et en mieux d ailleurs.
merci pour vos articles que je lis toujours avec beaucoup d’intérêt
je suis contre les vaccins a n’en plus finir……les labos se font de l’argent sur la crédulité populaire
c’est une honte.
fidèle lecttrice de corps et esprit
j’ai fait mes études au cenatho
donc inutile d’essayer de me convaincre
merci pour toutes ces infos
cordialement
Comment lutter pour protéger les enfants et adolescents contre tous ces vaccins obligatoires dont le nombre arrive à 12 avec cette dernière décision ?