En Suisse, les médecins sont libres de dire ce qu’ils pensent.
Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas d’Ordre des Médecins,
L’Ordre des Médecins en France, c’est un peu la police de la pensée.
Même un Professeur de Médecine réputé comme Henri Joyeux ne peut pas y échapper.
Il a suffi qu’il soit un peu critique vis-à-vis des vaccins pour que l’Ordre des Médecins le poursuive en Justice !
Le Professeur Joyeux n’a pourtant RIEN contre le principe de la vaccination.
Tout ce qu’il demandait, c’était le retour du DTPolio sans aluminium – ce qui est la moindre des choses, quand on connaît les dégâts causés par l’aluminium.
Mais cela ne l’a pas empêché de se retrouver à devoir se justifier devant un tribunal, comme un vulgaire délinquant.
Voilà comment on réduit les médecins au silence, au « pays de droits de l’homme ».
Notre Ministre Agnès Buzyn peut donc dire tous les mensonges qu’elle veut sur les 11 vaccins obligatoires, elle est sûre de ne jamais être contredite !
Mais en Suisse, cela ne se passe pas comme ça.
La preuve : voici une interview récente d’un médecin suisse, qui dit publiquement ses « 4 vérités » sur le vaccin contre la rougeole. [1]
Il s’agit du Dr Jean-Paul Ecklin, membre du Groupe médical de réflexion sur les vaccins.
« La gravité de la maladie a été exagérée à l’introduction du vaccin »
Je vous livre ses propos en intégralité en italique, avec mes commentaires en dessous :
« Jusqu’à l’introduction du vaccin, la rougeole était, chez nous, considérée comme bénigne, avec certes des complications connues, mais rares.
La baisse spectaculaire de la mortalité de la rougeole au siècle passé est due aux conditions de vie et d’hygiène et non au vaccin arrivé plus tard.
La gravité de la maladie a été exagérée à l’introduction du vaccin, comme l’efficacité de ce dernier. C’est une constante en la matière.
En 1987, on prétendait qu’une seule injection protégeait à vie.
C’est précisément parce que cette affirmation est fausse que la rougeole est devenue un problème de santé publique. »
De fait, 10 % environ des enfants vaccinés contre la rougeole ne développent pas d’anticorps contre la maladie. [2]
Il est donc illusoire d’imaginer éradiquer la maladie… et ce n’est peut-être même pas souhaitable, car il est possible que la rougeole soit utile pour notre santé (voir ci-dessous) !
C’est le vaccin qui a fait de la rougeole un problème de santé publique
Suite de l’interview du Dr Jean-Paul Ecklin :
En introduisant la vaccination systématique, la maladie s’est déplacée vers d’autres catégories d’âge, comme les nouveau-nés, les adolescents et les adultes.
Habituellement, la maladie se fait entre 2 et 12 ans.
Au-delà, elle risque d’entraîner des complications potentiellement plus graves.
En Suisse, la rougeole n’a jamais été un problème de santé publique.
En 1987, les sceptiques prédisaient que la vaccination systématique provoquerait un problème de santé publique, ce qui est le cas aujourd’hui.
Eh oui, tout ceci avait même été prévu dès 1950.
A cette époque, l’Organisation mondiale de la Santé avait mis en garde contre la vaccination :
« Un vaccin contre la rougeole assurant une immunité de quelques années seulement aurait pour effet de retarder l’apparition de la maladie (alors que c’est pendant la seconde enfance qu’elle présente le moins d’inconvénients et de dangers) jusqu’à l’âge adulte, où elle a un caractère plus sérieux. »
C’est exactement ce qu’on vit en ce moment…
C’est même pire que ça, puisque la rougeole touche aussi les enfants de moins d’un an, pas encore vaccinés, et très vulnérables.
Pourquoi ? Parce que la maman n’a pas eu la rougeole du fait de la vaccination généralisée… et ne transmet donc plus suffisamment d’anticorps à son bébé !
Le vaccin ne protège pas contre les épidémies
Le Dr Ecklin continue :
Depuis trente ans, nous nous posons les mêmes questions : quelle est la nécessité d’éliminer la rougeole ?
Est-ce utile, et avec quelles conséquences sanitaires ?
Le vaccin contre la rougeole, même pratiqué deux fois, ne garantit pas obligatoirement une immunité.
Et un vacciné peut transmettre la maladie, ce qui rend probablement illusoire la volonté d’éradication de cette maladie.
Et en effet, des épidémies de rougeole apparaissent chez des populations parfaitement vaccinées.
En 1989, par exemple, 1363 cas de rougeoles se sont déclarés à Québec, dans une population vaccinée à 99 % ! [3]
Ne pas « faire de rougeole » a des conséquences nuisibles
A la fin de l’interview, Jean-Paul Ecklin enfonce le clou :
Les Européens nous envient d’abord notre liberté vaccinale… et d’opinion !
En France, nos propos nous vaudraient des sanctions.
Clamer que la fréquence de la rougeole diminue avec le vaccin ne suffit pas.
Plus convaincante serait la preuve de l’utilité de son élimination.
Les bons élèves en Europe n’ont peut-être plus de rougeole, mais ont-ils davantage d’autres maladies ?
Qu’en est-il de la sous-déclaration des effets secondaires et du cumul incessant de vaccins ?
Plusieurs études démontrent que l’absence d’éruption rougeoleuse augmenterait le risque de maladie immunitaire et d’allergies.
Voilà un autre tabou dont on ne parle pas jamais : les « maladies de l’enfance » seraient-elles utiles pour stimuler le système immunitaire ?
Certains immunologistes pensent que OUI.
Il se pourrait même qu’un enfant qui a eu la rougeole pourrait avoir moins de risque de faire un cancer ! [4]
Je laisse le dernier mot au Dr Ecklin :
Nous ne sommes pas des anti-vaccinalistes, mais des médecins favorables à la réflexion critique, nuancée et indépendante sur la question des vaccins. Un tabou en médecine.
Moi aussi.
Mais pas le gouvernement français, ni l’Ordre des Médecins.