Les nouveaux variants du coronavirus sont une preuve de plus qu’il faut se focaliser sur le renforcement des défenses immunitaires (vitamine D, quercétine, zinc etc.) et la diffusion des traitements qui marchent (protocole Raoult, ivermectine, colchicine).
Car ces solutions-là marchent contre tous les variants, ce qui n’est pas le cas du vaccin !
Au contraire, ce qui se passe en Israël est la preuve que le programme de vaccination actuel est voué à l’échec, et pourrait même être potentiellement dangereux.
Israël a déjà vacciné plus de 4 millions de personnes, sur une population de 9 millions d’habitants.
L’immense majorité des plus de 60 ans a déjà été vaccinée.
Si la réalité vaccinale était toute rose, Israël devrait se réjouir de cette performance, et attendre patiemment d’en voir les résultats.
Mais non : Israël a soudainement décidé d’étendre la vaccination aux 16-18 ans.
C’est étrange, car cette tranche d’âge n’a rien à craindre du coronavirus. Quant au risque du vaccin pour les adolescents, on ne le connaît pas, faute de test !
Alors pourquoi s’affole-t-on en Israël ?
En fait, ce pays est terrifié par le risque d’apparition d’un nouveau mutant, qui échapperait à l’efficacité du vaccin.Même les médias officiels comme le Nouvel Obs en parlent :
De fait, il est très probable que la vaccination crée de nouveaux variants, résistants aux vaccins.
Pensez à la résistance aux antibiotiques. C’est le même phénomène : la vaccination crée une pression qui pousse le virus à muter et devenir résistant au vaccin – comme les antibiotiques donnés sans retenue conduisent les bactéries à devenir résistantes au traitement.
Voilà pourquoi on utilise les antibiotiques qu’en cas de nécessité – « c’est pas « automatique », vous a-t-on répété à la télévision !
Mais le vaccin, lui, va être automatique pour tout le monde, ou presque, avec les programmes de vaccination généralisée.
Et comme le coronavirus mute très vite, des variants qui échappent aux vaccins vont forcément apparaître.
En Israël, tous les ingrédients sont réunis pour que la catastrophe annoncée se produise.
D’abord, la vaccination généralisée a eu lieu en plein pic épidémique, comme vous le voyez sur l’image ci-dessous (la vaccination a commencé mi-décembre) :
C’est très imprudent.
« Israël joue avec le feu avec la stratégie vaccinale qu’ils mènent actuellement », a déclaré Eric Billy, chercheur en immuno-oncologie. Normalement, il faut « faire une campagne de vaccination massive quand le virus circule très faiblement » [1].
De fait, plus il y a d’infections en cours, plus le virus a de risques de muter, c’est mathématique.
Éviter de vacciner en pleine épidémie est encore plus important quand le vaccin se donne en deux doses, comme c’est le cas pour les vaccins actuels.
Car il n’y a rien de plus propice, pour provoquer des mutations, qu’une première dose de vaccin à moitié efficace, qui crée des anticorps insuffisamment neutralisants.
Ce n’est pas moi qui le dis, mais l’Académie de Médecine, qui pour cette raison s’est prononcée fermement contre le fait d’allonger le délai entre les deux doses :
« Au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination » [2].
En Israël donc, toutes les conditions sont réunies pour l’apparition d’un « super-variant israëlien » qui échappe totalement aux vaccins.
Le problème n’est pas seulement que le vaccin devienne inefficace contre la Covid-19.
Avec des nouveaux variants, le vaccin pourrait même devenir dangereux, et aggraver la maladie chez les personnes infectées ! Pour bien comprendre le problème, il faut examiner la différence entre l’immunité acquise naturellement et celle acquise via le vaccin.
Les vaccins ARN n’empêchent pas d’être infecté à nouveau (contrairement à l’infection naturelle)
On sait désormais que l’immunité naturelle est très protectrice.
Toutes les études récentes montrent qu’avoir été infecté par le coronavirus crée une protection efficace et durable [3] [4] [5].
Ceux qui ont eu un test PCR positif au coronavirus (ou un test sérologique positif) possèdent une excellente protection contre le risque de réinfection.
Certes, il existe quelques cas de réinfection. Il est arrivé que des personnes testées positives à la Covid-19 au printemps soient à nouveau testées positives à l’automne.
Mais ces cas sont l’exception, et non la règle.
Le grand avantage de l’infection naturelle, c’est qu’elle crée des défenses immunitaires dans votre nez, c’est-à-dire à l’endroit clé où le virus entre dans votre corps et se multiplie.
Or c’est bien l’immunité au niveau du nez (du nasopharynx pour être précis) qui permet de stopper net une nouvelle infection.
Les vaccins, eux, sont incapables de créer cette « immunité mucosale », au niveau des muqueuses du nez. Pour une raison simple : ils sont injectés dans le muscle.
« Le vaccin est effectué de manière intramusculaire, il induit donc une réaction immunitaire généralisée. Celle-ci réduit le risque de développer des symptômes, mais n’empêche pas forcément l’entrée du virus et sa multiplication au niveau des muqueuses nasales », a expliqué le Pr Blaise Genton, au journal Le Temps [6].
Cela veut dire que le vaccin ne réduit probablement pas le nombre d’infections. Dans le meilleur des cas, il limite vos symptômes si vous êtes infecté.
C’est la raison pour laquelle les spécialistes honnêtes comme le Pr Alain Fischer (le « Monsieur Vaccin » du gouvernement) reconnaissent que le vaccin pourrait ne pas empêcher la transmission du virus : « il y a des cas connus de vaccins où un vaccin protège contre la maladie mais n’empêche pas qu’on soit toujours porteur d’un virus » [7].
Voilà pourquoi on vous dit de continuer à porter le masque, même si vous êtes vacciné.
Voilà pourquoi, aussi, l’Institut Pasteur et beaucoup d’équipes de recherche dans le monde essaient de créer un vaccin nasal [8]. Si les scientifiques réussissent, ce serait une excellente façon d’empêcher les infections et la transmission du virus.
Mais en attendant ce vaccin nasal, il est clair que le vaccin ARN est moins protecteur que l’infection, car il ne permet pas de développer une immunité dans le nez ! Et il y a une deuxième raison capitale qui fait que le vaccin est beaucoup moins protecteur que l’infection :
Avec les nouveaux variants, les vaccins ARN sont BEAUCOUP MOINS protecteurs qu’une infection naturelle !
Le gros problème des vaccins ARN Pfizer et Moderna est qu’ils créent dans votre corps des anticorps dirigés uniquement contre une petite partie du virus.
Ils n’ont rien à voir avec les vaccins classiques, où l’on vous injecte un virus inactivé (tué) ou atténué (légèrement modifié). Avec les vaccins ARN, votre système immunitaire va réagir à une seule protéine du coronavirus, la protéine S, et non à la totalité du virus.
Le problème est évident : il suffit que cette partie-là du virus connaisse une mutation importante pour que le vaccin devienne inefficace (voire dangereux, comme on va le voir).
Comme l’a expliqué le Pr Raoult, c’est un peu comme si vous jouez à la roulette dans un casino et que vous misez tout sur un seul numéro, plutôt que de miser sur le rouge, le noir, le pair ou l’impair. En vous concentrant sur un seul numéro – ou une seule protéine du virus – vous prenez beaucoup plus de risques [9].
Ce n’est pas un risque théorique : on observe déjà que les vaccins ARN sont moins efficaces contre certains nouveaux variants !
Tout récemment, le laboratoire Moderna a avoué que son vaccin marchait beaucoup moins bien contre le variant Sud-Africain.
Moderna est tellement inquiet qu’il est en train de créer une troisième dose de vaccin, afin de protéger aussi contre ce fameux variant venu d’Afrique du Sud.
Mais c’est une fuite en avant, car les variants vont continuer à se multiplier… surtout avec la vaccination généralisée, dont on sait déjà qu’elle va accélérer les mutations !
Encore une fois, c’est une grande différence avec l’infection naturelle.
Si vous avez déjà été infecté, vous avez beaucoup moins de risques d’être vulnérable à un nouveau variant.
Car en cas d’infection, votre système immunitaire crée des anticorps contre plusieurs éléments du virus (les infectiologues parlent d’épitope), et pas seulement ceux de la protéine S.
Donc si un de ces éléments du virus subit une mutation, vous continuez d’avoir une protection grâce à aux anticorps dirigés contre les parties qui n’ont pas muté !
Il n’y a que dans un scénario catastrophe, très peu probable, où le virus connaîtrait de gigantesques mutations, que les personnes déjà infectées n’auraient plus aucune immunité.
Heureusement, on n’en est pas là.
Entre parenthèses, tout cela pose une grosse question sur la logique vaccinale du gouvernement : pourquoi n’exclut-on pas du programme de vaccination ceux qui ont déjà été infecté ??
C’est un vrai mystère, car comme on l’a vu, l’infection produit presque toujours une meilleure réponse immunitaire, qui commence au niveau du nez et qui est efficace contre de multiples parties du virus, et non pas une seule de ses protéines.
Alors pourquoi vacciner les personnes déjà testées positives à la Covid-19 ? Peut-être parce qu’on ne fait pas confiance aux tests PCR ? Dans ce cas, pourquoi ne fait-on pas une simple prise de sang pour vérifier si le patient a déjà des anticorps contre le virus ?
C’est d’autant plus étrange qu’on vous dit qu’il n’y a pas assez de vaccins… et que les personnes déjà infectées représentent 20 à 30 % de la population, donc 15 à 20 millions de Français. Et c’est même très risqué, car les essais cliniques n’ont pas testé le vaccin sur des patients qui avaient déjà eu la Covid-19, et il y a des raisons de penser que cela pourrait être dangereux chez certains patients [10] (si vous voulez vraiment vous faire vacciner, faites impérativement un test sérologique au préalable pour voir si vous avez déjà des anticorps !).
Mais il y a pire.
Avec les programmes de vaccination généralisée, en pleine épidémie, le risque n’est pas seulement que le vaccin devienne inefficace.
Le risque majeur, c’est que le vaccin puisse se retourner contre nous. Et qu’au lieu de nous protéger, il nous rende plus vulnérable à la maladie.
Le terrifiant problème des anticorps facilitateurs
Ce n’est pas de la science-fiction, et encore moins un raisonnement « anti-vax ».
Dès le mois d’avril, le grand spécialiste des maladies infectieuses, le Dr Anthony Fauci, avait reconnu devant le Sénat américain que la vaccination comportait le risque d’aggravation de la maladie :
« Une source de préoccupation, qu’il faut lever en faisant des tests correctement, est de savoir si on a un effet “d’augmentation”. […] On sait qu’il y a de nombreux vaccins pour lesquels le vaccin induit une réponse « sub-optimale », et quand une personne vaccinée est exposée au virus, elle subit une aggravation de la maladie [11]. »
Cela s’est produit à plusieurs reprises dans l’histoire de la vaccination. Un article très bien fait de Futura Science donne plusieurs exemples [12] :
« L’exemple le plus connu est celui d’un vaccin contre le virus respiratoire développé par Pfizer dans les années 1960, et qui avait entraîné plusieurs cas de graves pneumonies chez les enfants, aboutissant à la mort de deux d’entre eux.
Le même phénomène a été signalé avec un vaccin contre la dengue de Sanofi ou le virus du Nil occidental. On l’observe aussi chez l’animal pour la grippe, le virus Zika, et les coronavirus comme le Sras. »
Ce qui s’est passé avec le coronavirus du Sras en 2003 n’est pas du tout rassurant :
« Peter Hotez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de Sras en 2003, a constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus, en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. »
Ce terrible phénomène peut se produire quand les anticorps produits par les vaccins ne sont pas assez efficaces – quand la réponse est « sub-optimale », selon les termes d’Anthony Faucy.
Cela se produit quand les anticorps créés par le vaccin, sont :
- En nombre insuffisant ;
- Et/ou insuffisamment adaptés au virus (parce qu’il a muté).
C’est pourquoi il était décidément très imprudent d’injecter le vaccin ARN aux plus de 85 ans, sans avoir fait le moindre essai clinique sur cette tranche d’âge [13].
Car on sait que les plus de 85 ans créent peu d’anticorps en cas de vaccin contre la grippe (ou tout autre vaccin), étant donné que leur système immunitaire est affaibli.
Il est donc théoriquement possible que ce nombre insuffisant d’anticorps les prédisposent à une Covid-19 plus sévère en cas de contamination !Quant au deuxième cas, celui où les anticorps ne sont pas bien adaptés au virus, on est peut-être en train de le vivre en ce moment même, en Israël, avec les variants :
Israël est-il en train de faire la preuve que le vaccin pourrait être risqué ?
Répétons-le : en Israël, la plupart des personnes âgées ont reçu leur première dose du vaccin ARN.
Précisons aussi que le pays subit un confinement ultra-strict depuis un mois. Et pourtant, pendant de longues semaines, jusqu’à ces derniers jours, il y a eu un pic énorme de mortalité :
Peut-être que la situation va s’améliorer drastiquement dans les jours qui viennent, et que l’effet du vaccin est simplement retardé.
Mais a minima, ces chiffres montrent que le vaccin n’est pas la baguette magique à court terme.
Même en vaccinant 90 % des personnes à risque, dont on est encore très loin en France, il faut au moins un mois et demi pour espérer avoir des résultats !
Et le vaccin n’est pas non plus une baguette magique à moyen terme, car les variants risquent très rapidement de rendre le vaccin inefficace !
Et figurez-vous que les autorités israéliennes le reconnaissent désormais ouvertement !
Selon une dépêche de Reuters, le ministre de la santé israélien reconnaît que les vaccins n’ont pas fait la preuve de leur efficacité contre les variants qui circulent en ce moment !
C’était bien la peine de vacciner 4 millions de personnes, avec un vaccin risqué !
Le premier ministre Benjamin Netanyahu l’a dit encore plus brutalement, devant le Forum économique mondial :
« Nous sommes dans une course aux armements, une course entre la vaccination et les mutations.
Les gouvernements du monde entier devraient demander aux laboratoires qui fabriquent les vaccins de les adapter aux nouveaux variants » [14].
Et M. Netanyahu a même avoué que ce n’était plus qu’une question de temps avant « qu’un nouveau variant rende les vaccins inefficaces » [15].
Sa solution ? Re-vacciner régulièrement la population, avec de nouveaux vaccins adaptés aux variants.
En France aussi, on commence à proposer cette « stratégie ». Écoutez bien le généticien Axel Kahn, grand défenseur du gouvernement, pro-vaccin sans nuance et pro-confinement :
« Il est assez probable que lorsque les personnes seront vaccinées, cela créera une pression de sélection et que des virus qui résistent aux anticorps produits seront favorisés et qu’on soit obligé de re-vacciner régulièrement tous les ans ou tous les deux ans comme on le fait pour la grippe » [16].
Mais il faut le dire et le répéter : le gros problème de cette « stratégie », c’est qu’en cas de mutation, le vaccin pourrait aussi devenir dangereux ! Si vous avez des anticorps mal adaptés à cause d’un vaccin trop spécifique, dirigé contre une partie d’un virus un peu différent (qui a muté) vous pouvez risquer d’avoir une maladie encore plus grave.
Donc vous voyez bien que la vaccination généralisée pourrait créer un énorme problème de santé publique !
Et dans l’immédiat, je vois mal l’intérêt de se vacciner avec un vaccin dont on sait qu’il est déjà largement inefficace contre certains variants… et dont tout le monde admet qu’il sera totalement inefficace dans 3 ou 4 mois, avec les nouveaux variants résistants qu’il aura contribué à créer !
Tout cela, sans même parler ici des effets indésirables de ces vaccins, détaillés dans ma dernière lettre.
Je rappelle tout de même que la deuxième dose des vaccins ARN produit encore plus d’effets indésirables que la première. On l’observe en ce moment en Israël : sur 1735 soignants vaccinés avec la deuxième dose du vaccin Pfizer, 5 ont dû être emmenés aux urgences [17] !
Qui avait raison, dans tout ça, une fois de plus ?
Le Pr Raoult.
Alors qu’il est très favorable à de nombreux vaccins, il dit depuis le début de l’épidémie que le vaccin ne sera jamais une « baguette magique ».
C’était évident, car on sait que les virus ont tendance à muter et à rendre les vaccins inefficaces. Et pourtant, c’est sur le vaccin, et pas sur la prévention ni les traitements, qu’on a dépensé 40 milliards d’euros.
C’est un vaccin expérimental, non testé sur les plus de 85 ans, qu’on a distribué massivement dans les Ehpad… plutôt que la vitamine D ou l’ivermectine, qui sont pourtant des remèdes efficaces contre tous les variants, et sans risque.
N’y a-t-il pas un problème quelque part ?
37 Responses
Bonjour monsieur
Je viens de lire votre article certes très intéressant… Pourquoi ne faites vous pas d’interventions télévisées pour expliquer votre point de vue afin que la population soit averti de cette situation dangereuse !
je pense qu’il est nécessaire que vous puissiez trouver une chaîne de télévision ou des médias pour relayer votre discours ! La liberté d’expression existe en France et vous ne me ferez pas croire que ce n’est pas possible…Il y a toujours une solution… Je compte sur vous cordialement
Patti liaboeuf
Merci pour ces informations que suis de pres. Ou trouver l ivermectine ?
Bonjour, mes parents âgés de 88 et 90 ans ont reçu leur 1ere dose, ma mère en plus a été déjà positive au virus il y a quelque mois, puisque vous dites que le vaccin n’est pas efficace dois-je annuler la 2ème dose.
Merci de votre réponse
Bonjour surtout pas. L’efficacité du vaccin a été mesurée avec une deuxième dose à trois semaines. La première dose ne protège que peu ou pas. Les premiers résultats scientifiques pour Israël montrent déjà 40% de chute de cas chez les plus de 60 ans par rapport au plus de 40 ans (qui eux n’ont pas encore eu deux doses). Vos parents vont enfin bientôt pouvoir socialiser sans crainte (faible% de risque de contracter une forme grave de la Covid grâce au vaccin).
Pourquoi n insistez vous pas sur la manière de rester en bonne santé quand c est possible.
(avec deux fautes d’orthographe en moins…) Bonjour, un lien de vos références parcouru : Vidal. Allez vers la fin, point 2. Il est écrit que les vaccins arn orientent justement la réponse immunitaire de manière adéquate et sans adjuvant. Tout médicament ou vaccin nécessite une surveillance, c’est simple. Vous souhaitez que vos lecteurs ne se vaccinent pas. Mais vous écrivez en même temps »plus il y a d’infections en cours, plus le virus a de risques de muter, c’est mathématique ». Ah donc se confiner strictement ? Et recommencer, jusqu’à ce que tout le monde soit immunisé en ayant contracté la maladie plutôt que de se vacciner qui est une immunisation avec beaucoup de moins de risques de mourir ? Par ailleurs vous parlez de la colchicine, produit ultra dangereux. Que de contradictions, que de jeu sur l’émotionnel pour manipuler. Pour ne citer que quelques points sur cette lettre. Merci de ne pas avoir cité cette fois France Soir, canal d’extrême droite, comme » référence scientifique ». Mais bon il y en a d’autres. Enfin, les premiers articles scientifiques sur Israël montrent une chute spectaculaire des cas chez les plus de 60 ans. Le choix des 16-18 ans c’est pour qu’ils puissent passer leurs examens de fin d’études dans les meilleures conditions.
Le lien vers les articles scientifiques, SVP.
Je constate depuis quelques jours que tout le monde peut se faire vacciner, et je ne cesse de réclamer une aide au moins une fois par semaine à ma Mairie ou service sociale de ma résidence, et je n’obtient aucune réponse,
mais uniquement « on vous recontactera » ? quand ? peut être que je serais vaccinée ? qu’à la porte du cimetière…PS je réside à VENCE (06140)
Je vous admire et vous encourage pour le combat que vous menez pour le bien de l’humanité. Bravo, de tout cœur avec vos propos!
On est en fevrier, non le 1 janvier
La santé des gens ne les interessent pas : ce qu’ils veulent AGGGRAVER LA SITUATION .
L’ivermectine est pas ce médicament qui est employee contre les microfilaires et aussi connu pour les réactions fortes allergiques ?
Merci…c’est clair et passionnant…et on voit bien qu’il y a de gros enjeux financiers derrière toutes ces incohérences…