Pris la main dans le sac, cet article de désinformation sur les vaccins !
Il est paru dans le Figaro, mais j’aurais pu tout aussi bien m’attaquer à un article du Monde ou de Libération, car tous les grands médias nous enfument, en ce moment.
L’article s’appelle : Ces huit idées reçues qui circulent sur les vaccins anti-Covid[1].
Il s’attaque donc à 8 idées qui, selon le Figaro, seraient « fausses » ou « trompeuses ».
Prenons-les une par une :
Idée reçue 1 : « le développement des vaccins a été bâclé donc on ne peut pas leur faire confiance »
Le Figaro commence très fort, car il est difficile de nier que ces vaccins ont été mis sur le marché dans un temps record, sans avoir été correctement testés !
Leur argument phare : « les vaccins n’ont pas échappé aux différentes étapes réglementaires ».
Formellement, ce n’est pas faux : il y a bien eu une phase 1, une phase 2 et une phase 3.
Mais elles ont été faites quasiment en même temps, dans l’urgence – normalement, il faut au moins 10 ans pour mettre un vaccin sur le marché, et non pas 1 an !
Et surtout, Le Figaro oublie de vous dire que la phase 3 n’est pas finie, loin de là !!
La phase 3 se finit en 2022 ou 2023 selon les vaccins – ce qui veut dire que nous sommes encore en phase d’expérimentation.
C’est d’ailleurs pour cela que les vaccins n’ont qu’une autorisation « conditionnelle » (et non définitive), liée à l’urgence de la pandémie.
Le Figaro se veut rassurant en disant que le vaccin Pfizer a été « testé sur 43 000 volontaires », mais c’est en réalité un chiffre très faible, non seulement :
- Pour juger de l’efficacité : dans cet essai clinique, seules 200 personnes ont été infectées par le coronavirus, ce qui est un chiffre ridiculement bas pour savoir si le vaccin fonctionne ou non sur les formes graves (souvenez-vous qu’on a moqué le Pr Raoult pour avoir fait une étude sur 80 malades – là il n’y en a que 200 et on a déjà vacciné plus d’un milliard de gens sur cette base !) ;
- Mais aussi pour évaluer les effets indésirables : avec seulement 43 000 cobayes, il est impossible de détecter 1 effet indésirable grave sur 10 000 – donc vous ne pouvez pas savoir si le produit testé ne tue pas un vacciné sur 10 000 (ce qui ferait tout de même 4 000 morts sur 40 millions de vaccinés).
Et bien sûr, mettre sur le marché aussi rapidement des vaccins veut dire qu’on n’a aucune idée de leurs effets indésirables à moyen et long terme, après 6 mois ou 1 an.
Idée reçue 2 : « Les vaccins à ARN reposent sur une technologie totalement nouvelle qui n’avait encore jamais été testée chez l’humain »
Là encore, il faut un « exploit » au Figaro pour parvenir à réfuter cette simple vérité.
Certes, le tout premier prototype de vaccin à ARN messager a été testé sur des animaux il y a une trentaine d’années.
Mais ces vaccins ARN posaient tellement de problèmes qu’ils n’ont jamais obtenu d’autorisation malgré de nombreux essais sur différents virus, y compris celui de la grippe.
Il a fallu la crise de la Covid et « l’urgence » pour autoriser ces vaccins à la technologie totalement nouvelle.
Mais rassurez-vous, « la technologie était prête à être utilisée », dit le Pr Autran dans le Figaro. Ce qui n’est pas très convaincant : peut-être qu’elle était « prête », mais elle n’avait encore jamais été testée à grande échelle sur des êtres humains !
« Elle repose sur des recherches sérieuses », insiste le Pr Autran.
Je n’en doute pas !
Mais le fait est qu’on n’a strictement aucun recul sur cette technologie totalement nouvelle, et de ses effets quand on l’injecte à des millions de personnes.
Idée reçue 3 : « Les vaccins donnent le Covid-19 »
Cette idée-là paraît farfelue à première vue – et c’est donc une cible facile pour le Figaro.
Comme le dit l’article à juste titre, « les vaccins anti-Covid ne peuvent pas transmettre le virus pour la simple raison qu’ils ne contiennent pas le virus entier activé ».
Mais le Figaro ajoute que « seul le virus entier peut provoquer la maladie ».
Et cela, on sait maintenant que c’est faux !
On commence à comprendre qu’il y a deux maladies dans la Covid-19 :
- La « Covid-1 », la maladie respiratoire « classique », avec envahissement des poumons, tempête inflammatoire et détresse respiratoire ;
- Et la « Covid-2 », qui se manifeste par des troubles de la circulation et de la coagulation : caillots, hémorragies, thromboses, myocardites, péricardites, etc.
Or si le vaccin ne peut pas causer la Covid 1, il est maintenant très probable que le matériel génétique contenu dans le vaccin peut causer la Covid-2 !
Je rappelle que le vaccin crée dans votre organisme une petite partie du virus – la protéine spike – dont on sait maintenant qu’elle peut provoquer à elle seule des troubles de la circulation et de la coagulation[2] !
Plusieurs études ont montré que la protéine spike seule – donc sans le reste du virus – peut causer des dégâts aux vaisseaux sanguins !
Il est donc faux de dire que « seul le virus entier peut provoquer la maladie » – et il semble que le vaccin donne au contraire une partie de la maladie, que l’on peut appeler Covid-2 !
Et puis, il y a une autre manière de comprendre cette idée que « les vaccins donnent le Covid-19 ».
Il est maintenant bien établi que les vaccinés ont un risque beaucoup plus important d’être testés positifs à la Covid-19 dans les deux semaines qui suivent la première dose[3].
Cela a été observé dans presque tous les pays qui ont vacciné massivement : il y a un pic de contaminations après la première dose.
Une étude danoise l’a confirmé, en observant une augmentation de 40 % des infections dans la semaine qui suit l’injection du vaccin Pfizer[4].
Le Pr Raoult l’a également observé dans son IHU : « Nous avons maintenant un nombre de gens qui est significatif, on a 46 patients qui ont fait un Covid dans la semaine qui a suivi l’injection (…) C’est très frappant »[5].
On ne sait pas exactement à quoi c’est dû.
Personnellement, je pense que la première dose du vaccin détourne le système immunitaire de sa mission principale et rend les vaccinés plus vulnérables aux infections, pendant quelques jours.
Donc si le vaccin ne « donne pas la Covid » stricto sensu, il peut la favoriser !
Idée reçue 4 : « Les vaccins à ARN messager peuvent modifier notre code génétique »
Le Figaro dit que c’est faux… et nous désinforme encore !
Car il n’y a absolument aucun doute scientifique sur ce point : il est possible (même si peu probable) que les vaccins ARN messager modifient notre code génétique, notre ADN !
Le Figaro prétend que c’est impossible car l’ARN ne peut pas se transformer en ADN, puisque cela nécessite « des enzymes très particulières, les transcriptases inverses », qui ne « ne sont pas présentes dans nos cellules, ou pas en capacité d’agir avec l’ARNm ».
C’est inexact, et le Pr Raoult a été un des premiers spécialistes à le dire publiquement : « Les scientifiques le savent depuis plusieurs dizaines d’années, certaines séquences humaines ont une activité endogène de rétrotranscriptase »[6].
D’ailleurs, une publication récente publiée dans la prestigieuse revue PNAS (Journal de l’Académie des Sciences des Etats-Unis) l’a confirmé s’agissant du virus lui-même : « L’ARN du SRAS-CoV-2 transcrit à l’inverse peut s’intégrer dans le génome des cellules humaines cultivées »[7].
Donc le risque existe bien pour le vaccin, même si sa probabilité est faible (et pour tout vous dire, ce n’est pas ce risque-là qui me fait le plus peur avec les vaccins ARN, il y en a d’autres beaucoup plus sérieux et avérés).
Idée reçue 5 : « Les vaccins sont dangereux et ont entraîné des décès »
Le Figaro reconnaît que « des effets indésirables graves surviennent, c’est le cas avec le vaccin AstraZeneca pour lequel le lien avec des thromboses atypiques est désormais établi ».
De fait, il est difficile de camoufler certains décès, comme celui de l’étudiant en médecine de 24 ans, en pleine santé jusqu’à son injection du vaccin, qui l’a tué en lui causant une thrombose abdominale.
Mais, nous rassure le Figaro, « ces cas sont très rares » et le risque d’avoir ce genre de mésaventure est « bien moins élevé que celui de faire une forme grave de la Covid-19 quand on a plus de 55 ans ».
C’est une manière de reconnaître que le risque de mourir du vaccin existe bel et bien – même si on vous dit qu’il est inférieur au risque de mourir de la Covid-19.
C’est ainsi qu’on passe sans le dire de l’assurance que « le vaccin est sûr » à l’idée que « le bénéfice-risque est positif », ce qui n’est pas la même chose.
Et d’ailleurs, rappelons que nos autorités n’avaient eu aucun problème à autoriser AstraZeneca pour les moins de 55 ans, au départ.
N’est-ce pas la preuve que les essais cliniques avaient bien été « bâclés » (« idée reçue » numéro 1 !), puisqu’il a fallu attendre les premiers morts d’AstraZeneca pour revenir en arrière sur la vaccination des jeunes avec ce vaccin ?
Dès lors, qu’est-ce qui nous garantit qu’on ne va pas avoir d’autres mauvaises surprises ?
Déjà, les autorités israéliennes, américaines et françaises reconnaissent que le vaccin Pfizer cause des myocardites, c’est-à-dire des inflammations du cœur parfois mortelles.
Pire : le nombre de morts rapportées après vaccination anti-Covid est très inquiétant[8].
On en compte près de 1 000 en France, plus de 10 000 en Europe et plus de 5 000 aux États-Unis.
Le Figaro essaie de nous rassurer en disant que ces morts sont des « coïncidences », qu’elles seraient « survenues même sans vaccination ».
Mais il y a toutes les raisons de penser que c’est faux, et que ces milliers morts ont bien été causées par la vaccination.
Comment expliquer, sinon, qu’il y ait 100 fois plus de morts signalées après ces vaccins qu’après les vaccins contre la grippe ?
Comment expliquer qu’il y ait, aux États-Unis, plus de morts rapportées après vaccination en quelques mois qu’en trente ans, comme le montre ce graphique que je vous ai déjà montré ?

Ces chiffres ahurissants ne sont-ils pas la preuve qu’il se passe quelque chose de très inquiétant ?
Idée reçue 6 : « Les vaccins rendent magnétiques »
« Depuis plusieurs semaines, nous dit le Figaro, des vidéos affirmant que des aimants peuvent se fixer sur des personnes vaccinées, en particulier au niveau du site d’injection, circulent ».
J’ai vu passer ces vidéos, et au départ, comme toute personne raisonnable, j’ai cru à un canular.
Le Figaro est en certain : « cette idée est évidemment fausse », car « les vaccins ne contiennent aucun composant métallique susceptible d’attirer des aimants ».
Sur ce coup-là, le Figaro a peut-être raison.
Mais au risque de vous surprendre, je ne n’en suis même plus aussi sûr qu’au départ !
Après avoir cru à un gag, j’ai vu deux informations qui m’ont fait douter :
- Une petite étude (dont je ne peux toutefois pas attester de la validité), faite par une association, a trouvé que 29 personnes sur 30 vaccinés ont bien un effet d’aimant à l’endroit où l’on vaccine habituellement (contre 0 sur 30 chez les non-vaccinés)[9] ;
- Et surtout, j’ai découvert que la magnétisation de nanoparticules était bien un procédé médical étudié très sérieusement, notamment pour sa capacité à améliorer la distribution dans l’organisme de messages génétiques ARN[10] ou d’un vaccin à ADN[11] !
Il n’est donc pas totalement impossible que les fabricants de vaccins ARN aient incorporé cette technologie dans les nanoparticules lipidiques qui entourent le message ARN – sans la rendre publique, peut-être pour des raisons de « secret de fabrication ».
Bref, restons sceptiques, c’est-à-dire ouverts à toutes les possibilités (et ne soyons pas bornés comme le Figaro qui écarte l’hypothèse sans même l’avoir considérée sérieusement).
Idée reçue 7 : « L’immunité obtenue après avoir eu le Covid est meilleure que celle conférée par la vaccination »
Il faut beaucoup de culot au Figaro pour contester cette idée.
Il est à peu près évident que l’immunité obtenue après infection est meilleure que celle du vaccin, comme je vous l’ai expliqué en détail dans ma lettre sur l’absurdité de vacciner les gens qui ont déjà eu la Covid[12] .
Et d’ailleurs, si vous lisez bien, Le Figaro ne le conteste même pas frontalement !
L’article cite le Pr Lelièvre, qui ne peut pas nier l’évidence : « il est vrai que pour la plupart des infections, l’immunité naturelle est meilleure ».
Mais, ajoute-t-il, « il ne faut pas oublier qu’elle peut s’acquérir au prix d’une infection grave conduisant en réanimation ou au décès ».
C’est vrai, et cela pourrait être un argument pour préférer se faire vacciner plutôt que se faire infecter… mais cela ne veut pas dire que le vaccin protège mieux que l’infection !
Le Figaro cite aussi une autre Professeure, Brigitte Autran, qui prétend que « l’immunité naturelle liée à la maladie est trop irrégulière d’un sujet à l’autre pour qu’on lui fasse confiance ».
C’est simplement faux, car il y a toutes les preuves que l’infection à Covid-19 produit une immunité robuste et durable[13]… une étude récente n’a d’ailleurs pas trouvé le moindre cas de réinfection sur plus de 1300 patients qui avaient eu la Covid-19[14].
Idée reçue 8 : « La vaccination ne fonctionne pas, la preuve, l’épidémie est repartie dans plusieurs pays ayant une des meilleures couvertures vaccinales »
Au moins, Le Figaro commence par reconnaître les faits : « Le Chili a connu sa plus forte vague épidémique de Covid-19 en avril dernier alors que la moitié de la population adulte chilienne avait déjà reçu une dose ».
Mais pour le journal, ce serait dû à « un relâchement trop précoce des restrictions sanitaires », et non pas à l’échec de la vaccination !
C’est absurde, car les très mauvais résultats du Chili se sont poursuivis en mai et en juin, malgré « une vaccination record »[15] !
Le Figaro aurait mieux fait de préciser que le vaccin utilisé au Chili est très majoritairement le vaccin chinois CoronaVac, qui est manifestement peu ou pas efficace.
Autre fait reconnu par le Figaro : « idem au Royaume-Uni, où les cas repartent à la hausse depuis quelques semaines sous l’influence de la présence grandissante du variant dit indien »
Mais selon le Figaro, ce n’est pas une preuve de l’échec des vaccins, car « le système hospitalier n’est pas saturé ».
Pour le coup, je suis d’accord : ce n’est pas parce qu’il y a une hausse des cas que les vaccins sont en échec : il faudrait une hausse des hospitalisations et des morts pour prouver l’inefficacité de ces vaccins.
Or pour le moment, on n’a observé ces dégâts qu’au Chili, aux Seychelles et aux Maldives, des pays qui n’ont pas ou peu utilisé les vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca.
Donc, on n’a pour l’instant aucune preuve que les vaccins occidentaux sont un échec manifeste. Mais il faudra surveiller la situation à l’automne : avec l’apparition possible de nouveaux variants, il n’est pas certain que les vaccinés seront nettement mieux protégés que les non vaccinés.
Le Figaro conclut, avec le Pr Lelièvre, qu’il faut « 80 à 90 % de la population vaccinée pour faire disparaître cette maladie ».
C’est faux, une fois de plus, car il est impossible de faire disparaître ce genre de maladie virale – les coronavirus mutent et se recombinent facilement, ce qui fait qu’ils ne peuvent pas disparaître : ils s’adaptent et deviennent endémiques mais peu graves, grâce à l’immunité collective, comme les autres coronavirus de l’hiver.
Et je rappelle que cette histoire de couverture vaccinale qui doit atteindre 80 à 90 % de la population est une fable de statisticien déconnecté du terrain. Cela n’a jamais été confirmé dans les faits – la Mongolie a par exemple connu une épidémie de rougeole malgré une couverture vaccinale à plus de 95 %…
Bref, voilà de la belle désinformation : quasiment rien de vrai sur 8 points !
Transférez cet article autour de vous, il est important de dénoncer la propagande et les contre-vérités de nos grands médias.
105 réponses
VOS LETTRES SONT TRÈS INTÉRESSANTE MAIS IL M’EST IMPOSSIBLE DE Partager vous n’avez que fasse de book et je n’utilise que odyssée et vk
Merci beaucoup pour vos informations, j’ai lu le livre ,il faudrait que tout le monde en fasse autant. Je fais suivre; Encore merci.
merci pour les infos
Je pense que toutes ces informations sont exactes et que vous êtes mandaté et rémunéré par l’état pour démentir ces vérités. Pour une fois que la presse en donne.
les autoritésssssss nous mentent tous les jours et les « expert » sont pour au moins moitié des politiques !!!
Merci de réveiller les comateux qui se croient à l’abri derrière ce non vaccin des plus dangereux par omission de son véritable rôle.
PARFAIT
Vous faites donc campagne pour la non vaccination !
Je trouve vos arguments assez spécieux et vos affirmations sont plus près de doctrinaires que de chercheurs.
Quelles solutions alternatives vérifiables et vérifiées(au sens scientifique du terme), proposez-vous ?
un oubli sans doute : en angleterre c’est l’AZ et de nombreux vaccinés deux doses ont été infectés par le delta !
en Israel c’est pfitzer et là c’est 40% des nouveaux vaccinés qui sont infectés, pratiquement 1 cas sur deux rendant complètement caduc le vaxxin !
alors dire que le vaccin chinois c’est de la merde alors que c’est le seul vrai vaccin fait avec un virus complet affaibli ça fait un peu mauvaise foi.
comme tout VRAI vaccin le vaccin chinois protège à 40-60%
les 90 et 94% sont une première mondiale. faut dire qu’en ne prenant que des sujets jeunes et en bonne santé qui n’ont pas besoin de vaccin , celui-ci va forcément fonctionner…
sur une population globale j’avais lu que le fitzer ne faisait pas 34% de réussite et l’AZ 27% ! donc deux fois moins que le vaccin chinois qui fonctionne sur tout le monde (à 40-60%)
Jusqu’à présent je n’étais pas intervenu dans ce débat vax/antivax, parce que je m’en fichais complètement de ce que mes congénères font avec leur corps. Idem lorsqu’est arrivée la menace « toi pas vacciné toi pas partir en vacances pas aller au stade pas aller au ciné », cela fait plus de 15 ans que je n’ai plus voyagé, je ne me sens bien que chez moi, à l’abri des ondes électriques ravageuses (de cervelle notamment, je constate de plus en plus le résultat, malgré les négations de la majorité). Mais à présent que le gouvernement envisage la vaccination obligatoire, des mois après avoir prétendu le contraire, je regrette de ne pas avoir été plus actif, car j’aurais dû me rappeler que les escalades se répètent inlassablement dans l’Histoire. Me rappeler de ce qu’ont subi les minorités dans les années 30. Toutes les lois internationales, Déclarations de droits, Constitutions interdisent formellement l’injection d’un traitement médical contre le consentement éclairé du patient, mais le gouvernement veut passer outre prétextant l’urgence contre une 4ème vague. Pour le moment ce ne sont que les professionnels de santé qui sont visés. Ouf ? Rappelez-vous : en 1940, ce n’étaient que les Juifs, ouf… C’était un « petit sacrifice » en échange de la paix. Et aujourd’hui, un petit sacrifice (les victimes d’effets secondaires) en échange de l’éradication des virus dans le monde entier. En 1940 il y a bien eu le sacrifice, mais pas la paix. En 2021 il y aura le sacrifice, mais pas l’éradication. Ce sera bientôt la faute aux Résistants : les virus continueront à ravager des populations entières à cause d’un pourcent d’antivax inciviques, dira-t-on aux infos. Ah oui, les professionnels de santé auront le choix de se réorienter dans un autre domaine. Quand vous avez mis tous vos sous dans un fauteuil de dentiste, toute votre jeunesse dans des études, il faudrait tout abandonner et repartir les poches vides si vous refusez de vous injecter un produit dont on ne sait même pas ce qu’il contient exactement, à par des protéines spike dont des études scientifiques montrent la toxicité, visible chez certaines personnes, et probablement invisible mais bien présente chez les autres. Et enfin les patients dans tout ça ? Imaginons que 10 % du personnel quitte la profession alors que les soins de santé sont déjà au bord de la saturation…