Vaccins : comment le Figaro vous désinforme

Pris la main dans le sac, cet article de désinformation sur les vaccins ! 

Il est paru dans le Figaro, mais j’aurais pu tout aussi bien m’attaquer à un article du Monde ou de Libération, car tous les grands médias nous enfument, en ce moment.

L’article s’appelle : Ces huit idées reçues qui circulent sur les vaccins anti-Covid[1].

Il s’attaque donc à 8 idées qui, selon le Figaro, seraient « fausses » ou « trompeuses ».

Prenons-les une par une : 

Idée reçue 1 : « le développement des vaccins a été bâclé donc on ne peut pas leur faire confiance »

Le Figaro commence très fort, car il est difficile de nier que ces vaccins ont été mis sur le marché dans un temps record, sans avoir été correctement testés !

Leur argument phare : « les vaccins n’ont pas échappé aux différentes étapes réglementaires ».

Formellement, ce n’est pas faux : il y a bien eu une phase 1, une phase 2 et une phase 3.

Mais elles ont été faites quasiment en même temps, dans l’urgence – normalement, il faut au moins 10 ans pour mettre un vaccin sur le marché, et non pas 1 an !

Et surtout, Le Figaro oublie de vous dire que la phase 3 n’est pas finie, loin de là !!

La phase 3 se finit en 2022 ou 2023 selon les vaccins – ce qui veut dire que nous sommes encore en phase d’expérimentation.

C’est d’ailleurs pour cela que les vaccins n’ont qu’une autorisation « conditionnelle » (et non définitive), liée à l’urgence de la pandémie.

Le Figaro se veut rassurant en disant que le vaccin Pfizer a été « testé sur 43 000 volontaires », mais c’est en réalité un chiffre très faible, non seulement : 

  • Pour juger de l’efficacité : dans cet essai clinique, seules 200 personnes ont été infectées par le coronavirus, ce qui est un chiffre ridiculement bas pour savoir si le vaccin fonctionne ou non sur les formes graves (souvenez-vous qu’on a moqué le Pr Raoult pour avoir fait une étude sur 80 malades – là il n’y en a que 200 et on a déjà vacciné plus d’un milliard de gens sur cette base !) ;
     
  • Mais aussi pour évaluer les effets indésirables : avec seulement 43 000 cobayes, il est impossible de détecter 1 effet indésirable grave sur 10 000 – donc vous ne pouvez pas savoir si le produit testé ne tue pas un vacciné sur 10 000 (ce qui ferait tout de même 4 000 morts sur 40 millions de vaccinés).

Et bien sûr, mettre sur le marché aussi rapidement des vaccins veut dire qu’on n’a aucune idée de leurs effets indésirables à moyen et long terme, après 6 mois ou 1 an.

Idée reçue 2 : « Les vaccins à ARN reposent sur une technologie totalement nouvelle qui n’avait encore jamais été testée chez l’humain »

Là encore, il faut un « exploit » au Figaro pour parvenir à réfuter cette simple vérité.

Certes, le tout premier prototype de vaccin à ARN messager a été testé sur des animaux il y a une trentaine d’années.

Mais ces vaccins ARN posaient tellement de problèmes qu’ils n’ont jamais obtenu d’autorisation malgré de nombreux essais sur différents virus, y compris celui de la grippe.

Il a fallu la crise de la Covid et « l’urgence » pour autoriser ces vaccins à la technologie totalement nouvelle.

Mais rassurez-vous, « la technologie était prête à être utilisée », dit le Pr Autran dans le Figaro. Ce qui n’est pas très convaincant : peut-être qu’elle était « prête », mais elle n’avait encore jamais été testée à grande échelle sur des êtres humains !

« Elle repose sur des recherches sérieuses », insiste le Pr Autran. 

Je n’en doute pas ! 

Mais le fait est qu’on n’a strictement aucun recul sur cette technologie totalement nouvelle, et de ses effets quand on l’injecte à des millions de personnes.

Idée reçue 3 : « Les vaccins donnent le Covid-19 »

Cette idée-là paraît farfelue à première vue – et c’est donc une cible facile pour le Figaro.

Comme le dit l’article à juste titre, « les vaccins anti-Covid ne peuvent pas transmettre le virus pour la simple raison qu’ils ne contiennent pas le virus entier activé ».

Mais le Figaro ajoute que « seul le virus entier peut provoquer la maladie ».

Et cela, on sait maintenant que c’est faux ! 

On commence à comprendre qu’il y a deux maladies dans la Covid-19 : 

  • La « Covid-1 », la maladie respiratoire « classique », avec envahissement des poumons, tempête inflammatoire et détresse respiratoire ;
     
  • Et la « Covid-2 », qui se manifeste par des troubles de la circulation et de la coagulation : caillots, hémorragies, thromboses, myocardites, péricardites, etc.

Or si le vaccin ne peut pas causer la Covid 1, il est maintenant très probable que le matériel génétique contenu dans le vaccin peut causer la Covid-2 !

Je rappelle que le vaccin crée dans votre organisme une petite partie du virus – la protéine spike – dont on sait maintenant qu’elle peut provoquer à elle seule des troubles de la circulation et de la coagulation[2] !

Plusieurs études ont montré que la protéine spike seule – donc sans le reste du virus – peut causer des dégâts aux vaisseaux sanguins !

Il est donc faux de dire que « seul le virus entier peut provoquer la maladie » – et il semble que le vaccin donne au contraire une partie de la maladie, que l’on peut appeler Covid-2 !

Et puis, il y a une autre manière de comprendre cette idée que « les vaccins donnent le Covid-19 ».

Il est maintenant bien établi que les vaccinés ont un risque beaucoup plus important d’être testés positifs à la Covid-19 dans les deux semaines qui suivent la première dose[3].

Cela a été observé dans presque tous les pays qui ont vacciné massivement : il y a un pic de contaminations après la première dose.

Une étude danoise l’a confirmé, en observant une augmentation de 40 % des infections dans la semaine qui suit l’injection du vaccin Pfizer[4]

Le Pr Raoult l’a également observé dans son IHU : « Nous avons maintenant un nombre de gens qui est significatif, on a 46 patients qui ont fait un Covid dans la semaine qui a suivi l’injection (…) C’est très frappant »[5].

On ne sait pas exactement à quoi c’est dû.

Personnellement, je pense que la première dose du vaccin détourne le système immunitaire de sa mission principale et rend les vaccinés plus vulnérables aux infections, pendant quelques jours.

Donc si le vaccin ne « donne pas la Covid » stricto sensu, il peut la favoriser !

Idée reçue 4 : « Les vaccins à ARN messager peuvent modifier notre code génétique »

Le Figaro dit que c’est faux… et nous désinforme encore !

Car il n’y a absolument aucun doute scientifique sur ce point : il est possible (même si peu probable) que les vaccins ARN messager modifient notre code génétique, notre ADN !

Le Figaro prétend que c’est impossible car l’ARN ne peut pas se transformer en ADN, puisque cela nécessite « des enzymes très particulières, les transcriptases inverses », qui ne « ne sont pas présentes dans nos cellules, ou pas en capacité d’agir avec l’ARNm ».

C’est inexact, et le Pr Raoult a été un des premiers spécialistes à le dire publiquement : « Les scientifiques le savent depuis plusieurs dizaines d’années, certaines séquences humaines ont une activité endogène de rétrotranscriptase »[6].

D’ailleurs, une publication récente publiée dans la prestigieuse revue PNAS (Journal de l’Académie des Sciences des Etats-Unis) l’a confirmé s’agissant du virus lui-même : « L’ARN du SRAS-CoV-2 transcrit à l’inverse peut s’intégrer dans le génome des cellules humaines cultivées »[7].

Donc le risque existe bien pour le vaccin, même si sa probabilité est faible (et pour tout vous dire, ce n’est pas ce risque-là qui me fait le plus peur avec les vaccins ARN, il y en a d’autres beaucoup plus sérieux et avérés).

Idée reçue 5 : « Les vaccins sont dangereux et ont entraîné des décès »

Le Figaro reconnaît que « des effets indésirables graves surviennentc’est le cas avec le vaccin AstraZeneca pour lequel le lien avec des thromboses atypiques est désormais établi ».

De fait, il est difficile de camoufler certains décès, comme celui de l’étudiant en médecine de 24 ans, en pleine santé jusqu’à son injection du vaccin, qui l’a tué en lui causant une thrombose abdominale.

Mais, nous rassure le Figaro, « ces cas sont très rares » et le risque d’avoir ce genre de mésaventure est « bien moins élevé que celui de faire une forme grave de la Covid-19 quand on a plus de 55 ans ».

C’est une manière de reconnaître que le risque de mourir du vaccin existe bel et bien – même si on vous dit qu’il est inférieur au risque de mourir de la Covid-19.

C’est ainsi qu’on passe sans le dire de l’assurance que « le vaccin est sûr » à l’idée que « le bénéfice-risque est positif », ce qui n’est pas la même chose. 

Et d’ailleurs, rappelons que nos autorités n’avaient eu aucun problème à autoriser AstraZeneca pour les moins de 55 ans, au départ.

N’est-ce pas la preuve que les essais cliniques avaient bien été « bâclés » (« idée reçue » numéro 1 !), puisqu’il a fallu attendre les premiers morts d’AstraZeneca pour revenir en arrière sur la vaccination des jeunes avec ce vaccin ?

Dès lors, qu’est-ce qui nous garantit qu’on ne va pas avoir d’autres mauvaises surprises ?

Déjà, les autorités israéliennes, américaines et françaises reconnaissent que le vaccin Pfizer cause des myocardites, c’est-à-dire des inflammations du cœur parfois mortelles.

Pire : le nombre de morts rapportées après vaccination anti-Covid est très inquiétant[8].

On en compte près de 1 000 en France, plus de 10 000 en Europe et plus de 5 000 aux États-Unis.

Le Figaro essaie de nous rassurer en disant que ces morts sont des « coïncidences », qu’elles seraient « survenues même sans vaccination ».

Mais il y a toutes les raisons de penser que c’est faux, et que ces milliers morts ont bien été causées par la vaccination.

Comment expliquer, sinon, qu’il y ait 100 fois plus de morts signalées après ces vaccins qu’après les vaccins contre la grippe ?

Comment expliquer qu’il y ait, aux États-Unis, plus de morts rapportées après vaccination en quelques mois qu’en trente ans, comme le montre ce graphique que je vous ai déjà montré ?

Nombre de morts signalées à la pharmacovigilance US après vaccination, de 1990 à 2021

Ces chiffres ahurissants ne sont-ils pas la preuve qu’il se passe quelque chose de très inquiétant ?

Idée reçue 6 : « Les vaccins rendent magnétiques »

 « Depuis plusieurs semaines, nous dit le Figarodes vidéos affirmant que des aimants peuvent se fixer sur des personnes vaccinées, en particulier au niveau du site d’injection, circulent ».

J’ai vu passer ces vidéos, et au départ, comme toute personne raisonnable, j’ai cru à un canular.

Le Figaro est en certain : « cette idée est évidemment fausse », car « les vaccins ne contiennent aucun composant métallique susceptible d’attirer des aimants ».

Sur ce coup-là, le Figaro a peut-être raison.

Mais au risque de vous surprendre, je ne n’en suis même plus aussi sûr qu’au départ !

Après avoir cru à un gag, j’ai vu deux informations qui m’ont fait douter :

  • Une petite étude (dont je ne peux toutefois pas attester de la validité), faite par une association, a trouvé que 29 personnes sur 30 vaccinés ont bien un effet d’aimant à l’endroit où l’on vaccine habituellement (contre 0 sur 30 chez les non-vaccinés)[9] ;
     
  • Et surtout, j’ai découvert que la magnétisation de nanoparticules était bien un procédé médical étudié très sérieusement, notamment pour sa capacité à améliorer la distribution dans l’organisme de messages génétiques ARN[10] ou d’un vaccin à ADN[11] ! 

Il n’est donc pas totalement impossible que les fabricants de vaccins ARN aient incorporé cette technologie dans les nanoparticules lipidiques qui entourent le message ARN – sans la rendre publique, peut-être pour des raisons de « secret de fabrication ».

Bref, restons sceptiques, c’est-à-dire ouverts à toutes les possibilités (et ne soyons pas bornés comme le Figaro qui écarte l’hypothèse sans même l’avoir considérée sérieusement).

Idée reçue 7 : « L’immunité obtenue après avoir eu le Covid est meilleure que celle conférée par la vaccination »

Il faut beaucoup de culot au Figaro pour contester cette idée.

Il est à peu près évident que l’immunité obtenue après infection est meilleure que celle du vaccin, comme je vous l’ai expliqué en détail dans ma lettre sur l’absurdité de vacciner les gens qui ont déjà eu la Covid[12] .

Et d’ailleurs, si vous lisez bien, Le Figaro ne le conteste même pas frontalement !

L’article cite le Pr Lelièvre, qui ne peut pas nier l’évidence : « il est vrai que pour la plupart des infections, l’immunité naturelle est meilleure ».

Mais, ajoute-t-il, « il ne faut pas oublier qu’elle peut s’acquérir au prix d’une infection grave conduisant en réanimation ou au décès ».

C’est vrai, et cela pourrait être un argument pour préférer se faire vacciner plutôt que se faire infecter… mais cela ne veut pas dire que le vaccin protège mieux que l’infection !

Le Figaro cite aussi une autre Professeure, Brigitte Autran, qui prétend que « l’immunité naturelle liée à la maladie est trop irrégulière d’un sujet à l’autre pour qu’on lui fasse confiance ».

C’est simplement faux, car il y a toutes les preuves que l’infection à Covid-19 produit une immunité robuste et durable[13]… une étude récente n’a d’ailleurs pas trouvé le moindre cas de réinfection sur plus de 1300 patients qui avaient eu la Covid-19[14].

Idée reçue 8 : « La vaccination ne fonctionne pas, la preuve, l’épidémie est repartie dans plusieurs pays ayant une des meilleures couvertures vaccinales »

Au moins, Le Figaro commence par reconnaître les faits : « Le Chili a connu sa plus forte vague épidémique de Covid-19 en avril dernier alors que la moitié de la population adulte chilienne avait déjà reçu une dose ».

Mais pour le journal, ce serait dû à « un relâchement trop précoce des restrictions sanitaires », et non pas à l’échec de la vaccination !

C’est absurde, car les très mauvais résultats du Chili se sont poursuivis en mai et en juin, malgré « une vaccination record »[15] !

Le Figaro aurait mieux fait de préciser que le vaccin utilisé au Chili est très majoritairement le vaccin chinois CoronaVac, qui est manifestement peu ou pas efficace.

Autre fait reconnu par le Figaro : « idem au Royaume-Uni, où les cas repartent à la hausse depuis quelques semaines sous l’influence de la présence grandissante du variant dit indien »

Mais selon le Figaro, ce n’est pas une preuve de l’échec des vaccins, car « le système hospitalier n’est pas saturé ». 

Pour le coup, je suis d’accord : ce n’est pas parce qu’il y a une hausse des cas que les vaccins sont en échec : il faudrait une hausse des hospitalisations et des morts pour prouver l’inefficacité de ces vaccins.

Or pour le moment, on n’a observé ces dégâts qu’au Chili, aux Seychelles et aux Maldives, des pays qui n’ont pas ou peu utilisé les vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca.

Donc, on n’a pour l’instant aucune preuve que les vaccins occidentaux sont un échec manifeste. Mais il faudra surveiller la situation à l’automne : avec l’apparition possible de nouveaux variants, il n’est pas certain que les vaccinés seront nettement mieux protégés que les non vaccinés. 

Le Figaro conclut, avec le Pr Lelièvre, qu’il faut « 80 à 90 % de la population vaccinée pour faire disparaître cette maladie ».

C’est faux, une fois de plus, car il est impossible de faire disparaître ce genre de maladie virale – les coronavirus mutent et se recombinent facilement, ce qui fait qu’ils ne peuvent pas disparaître : ils s’adaptent et deviennent endémiques mais peu graves, grâce à l’immunité collective, comme les autres coronavirus de l’hiver.

Et je rappelle que cette histoire de couverture vaccinale qui doit atteindre 80 à 90 % de la population est une fable de statisticien déconnecté du terrain. Cela n’a jamais été confirmé dans les faits – la Mongolie a par exemple connu une épidémie de rougeole malgré une couverture vaccinale à plus de 95 %…

Bref, voilà de la belle désinformation : quasiment rien de vrai sur 8 points !

Transférez cet article autour de vous, il est important de dénoncer la propagande et les contre-vérités de nos grands médias.

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  1. Merci ?? infiniment pour toutes ces précisions, il est certain qu’avec tout le ramdam qui tourne autour des vaccins, des questions sans réponses, c’est avec un plaisir non caché que je cède ma place.

    Si je dois finir prochainement au cimetière alors cela sera tout simplement la vie et non décédée des suites d’une injection.

    merci à vous pour tous vos articles et précisions.

    Marylou

  2. pour la protection des vaccins phizer/moderna, le cas de l’Israël a de quoi interpeller, 40% des nouveaux contaminés sont des vaccinés…… en Angleterre, dans les +50 ans hospitalisés, on retrouve 39% de vacciné 2 doses…..

    on a droit un fact checking mensonger de la par de « LeParisien » sur la chose :

    « Covid-19 : non, la part croissante de vaccinés parmi les cas infectés ne remet pas en cause l’efficacité du vaccin »

    https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-non-la-part-croissante-de-vaccines-parmi-les-cas-infectes-ne-remet-pas-en-cause-lefficacite-du-vaccin-29-06-2021-WV3GF2TSJJHDDLKHOL5JPGSOHY.php

    C’est un bel article, on y parle et « explique » le taux élevé de contaminés vaccines en Israël, on y parle du taux élevé d’hospitalisés vaccinés en Angleterre mais sans l’expliquer…. (pas de parade possible ? ) :

    Comme vous le constaterez, tout est mathématiquement explicable…

    C’est très mathématique de parler du cas anglais mais de ne pas de l’expliquer mathématiquement….
    Ça écrit dans l’article que +- 50/60% des personnes sont vaccinées en Israël/Angleterre mais mathématiquement dans leur calcul, ça préfère considérer que 90% de la population est vaccinée……

    Ça sent + la fausseté intellectuelle qu’une erreur mathématique… Au final leur calcul se rapproche du constat israélien de 40% avec 47.4%, plus qu’un hasard ?….

    Bref leur calcul se base sur une erreur monumentale et il laisse planer qu’en Angleterre c’est aussi normal qu’en Israël…, de plus, les 10.000 personnes devraient être divisé en 4 catégories et non pas 2 ;

    Les vaccinés une dose avec un certain profil de risque d’infection
    Les vaccinés 2 doses avec leur profil de risque d’infection
    Les non-vaccinés mais immunisés port infection avec leur profil de risque d’infection
    Les non-vaccinés et non-immunisés post infection

    je pense qu’Il y a plein d’autre chose à prendre en compte mais petit calcul pour l’Israël :

    -population : 9.327.000 (*1)
    -personnes vaccinées 2 doses : 5.169.775 (*2) (55.43% de la population)
    -personnes vaccinées en attente recevoir la deuxième dose : 5.598.954 (*2) – 5.169.775 = 429.179 (4.60% de la population)
    -vaccination moyenne de la population (1 + 2 doses) 60.03%

    donc sur 10.000

    5543 personnes vaccinées 2 doses
    460 personnes vaccinées 1 doses
    3997 personnes non vaccinées à décomposer :

    avec seulement 841.777 (*3) tests positifs sur 9.327 millions de personnes et une immunité post infection de 2.5 % sur base d’une étude sérologique (*4), sur 3997 non vacciné, il y a :

    100 personnes non vaccinées mais immunisés naturellement
    3897 personnes non vaccinées et non immunisés

    donc sur 10.000

    -5543 vaccinés 2 doses
    -460 vaccinés 1 doses
    -100 non vaccinés mais immunisé
    -3897 non vacciné et non immunisé

    Si on part de leurs postulats : que le risque d’infection général est 1% pour les non-vaccinés et qu’il est réduit de 90% pour les vaccinés 2 doses,

    j’estime que c’est pareil pour les personnes immunisées post infection, elles ont aussi un risque d’infection réduit de 90%, et pour les vaccinés une dose, disons 45%…:

    5543 x 0.001 = 5.543==> 6
    460 x 0.0055 = 2.53==> 3
    3897 x 0.01 = 38.97==>39
    100 x 0.001 = 0.1 ==> 0

    Les vaccinés représentent 9 infections, les non vaccinés 39, le total des infections étant de 48 infections, les vaccinés avec 9 contaminations représentent 18.75% des infections, les non vaccinés 81.25%, on est donc très loin de la réalité du terrain où 40% des contaminations constatés concernent des vaccinés

    la protection contre l’infection est-elle 2 fois moins bonne qu’annoncée ( 40% constaté contre 18.75% théorique)

    *1 http://jerusalemfutee.com/les-derniers-chiffres-sur-la-population-israelienne-en-avril-2021
    *2 https://datadashboard.health.gov.il/COVID-19/general
    *3 https://news.google.com/covid19/map?hl=fr&mid=%2Fm%2F03spz&gl=BE&ceid=BE%3Afr
    *4 https://www.israelhayom.co.il/article/766595

    Pour l’Angleterre, saviez vous que l’immunité collective est évalué à 85% (*5), cela devrait dont suffire pour arrêter la propagation mais une fois n’est pas coutume, c’est un mythe, l’Angleterre subit une nouvelle vague de cas(*6)…..

    cette nouvelle vague est sur 1 mois, 2 fois plus forte que la vague n°2 de septembre, il faut prendre en considération qu’il y a 2 fois plus de tests qu’en septembre mais que le testing est stable depuis des semaines et donc cette nouvelle vague est bien réelle et non due aux tests voyages

    pour l’instant, malgré un début de vague de cas 2 fois + forte (sur un mois) que la vague 2 de septembre, les hospitalisations sont à peut prêt à la moitié de celles de septembre, on pourrait donc y avoir un effet vaccinal de 75% max ( si le nombre de test de la vague 2 était aussi correcte que maintenant ) et de 50% minium si on ne regarde uniquement que les hospitalisations parce que les cas réels détecté sont influencer

    mais 50% ou 75% de réduction c’est sans compter, l’immunité post infection joue aussi sur les hospitalisation et elle est forte (*5) et la période estivale joue aussi

    au final on est semble t-il loins des 90% d’efficacité sur tout ( être contaminé, être contaminant, hospi/décès ) et vu ce qui ce passe en UK, faudra peut être pas attendre l’automne pour juger de l’efficacité, dans un mois on devrait y voir plus claire !

    *5 https://www.ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/healthandsocialcare/conditionsanddiseases/bulletins/coronaviruscovid19infectionsurveyantibodyandvaccinationdatafortheuk/22june2021
    *6 https://coronavirus.data.gov.uk/details/healthcare

  3. Bonjour,
    Merci pour cet article très intéressant, pourriez vous nous donner le traitement à suivre en prévention contre le covid ?
    Merci

  4. La fille (45 ans) d’une amie a été mise sous anti-coagulant après sa 1ère dose de vaccin Astrazeneca et avant de faire la 2ème injection avec le vaccin Moderna, on lui a fait une prise de sang : aucun anti-corps !!
    Super efficace les vaccins.

  5. Bonjour,

    Lorsque j’ai lu le paragraphe 6 sur la magnétisation, étant de formation scientifique, ma 1ère réaction a été naturellement de croire à un canular. Mais, lorsque vous avez parlé de nanoparticules, j’ai eu une idée: je me suis dit qu’étant Electronicien très expérimenté, s’il y avait bien 1 point de votre article sur lequel je pouvais avoir un petit avis, c’était bien le n°6…..et j’ai voulu vérifier quelque chose. Je suis allé chercher l’aimant le plus puissant dont je dispose et surtout le plus léger (Un aimant NéodymeFerBore de 2grammes pour une taille de 15mm x 5.5 x 2). Je ne m’attendais pas à trouver quelque chose ayant eu de plus ma 1ère injection de Pfizer il y a 4 semaines. J’ai donc promené cet aimant au contact de ma peau pour remonter vers la zone d’injection. Autant dire qu’avant la zone d’injection l’aimant ne faisait que tomber lorsque j’entrouvrais les doigts (je n’ai jamais cherché à appuyer l’aimant sur la peau). Quelle ne fut pas ma surprise lorsque l’aimant n’a pas voulu tomber de la zone d’injection! je n’en croyais pas mes yeux. Je l’ai d’abord retiré pensant à une adhésion par de la sueur. je l’ai essuyé ainsi que mon bras et recommencé…..et même comportement. j’ai alors pris des photos avec mon portable. puis j’ai essayé plusieurs position pour le bras pour m’assurer d’être bien vertical. J’ai fait en tout 3 essais dont le dernier avec le bras en dévers. Pour aucun de ces 3 essais l’aimant n’est tombé. Bien sûr, je n’ai pas eu de mal à le retirer, ce n’est pas non plus la même force que sur un frigo. J’étais stupéfait car :
    1) ça veut quand même dire que la force était suffisante pour compenser les 2g de poids de l’aimant, donc une bonne quantité de nanoparticules.
    2) Les nanoparticules aimantables étaient toujours présentes en quantité autour de la zone d’injection, et donc pas encore éliminées par l’organisme au bout de 4 semaines.

    Suite à cette expérience, j’ai pensé à des nanoparticules de fer. J’ai appris par des recherches sur internet le soir même qu’il s’agirait de nanoparticules de magnétite. Je ne sais pas à quoi elles peuvent servir dans le cas précis de ce vaccin, mais il semble que ce soit une technologie qu’on utilise dans certains traitements pour un ciblage précis d’un point d’arrivée à l’aide de puissants aimants ou champs magnétiques. Je n’ai pas d’appréhension particulière par rapport à ça, mais ça laisse rêveur.

    Je ne vous cache pas que je suis impatient d’avoir la 2ème dose pour doubler la quantité de magnétite. Je n’attendrai pas 4 semaines avant de tester à nouveau. Je n’essayerai pas non plus sur le champ car sinon les particules vont se répartir en 2 zones aux 2 pôles de l’aimant; je veux laisser le vaccin agir comme il a été conçu pour la réaction immunitaire.

    Je vous donne ma parole que ce que j’ai écrit correspond bien à la réalité, je n’aime ni les canulars ni la manipulation. je dispose de 6 photos.

  6. Pourquoi ces soi disant journaliste ne se vacine pas eux et qui prouve qui sont vaccinés avant de faire la morale au autres

  7. — ll semblerait que la vaccination cause 0,03 % de décès soit un chiffre analogue à ce que cause la maladie, pour autant qu’on connaisse exactement le nombre de morts du COVID et non de morts avec COVID. En novembre 2020, le site de l’INSERM fournissait sur son graphique un grand point d’interrogation en fait de résultat pour l’année en cours.
    — Personne (parmi les « scientifiques ») ne soutient que le vaccin (qui n’en est pas un au sens commun) empêche ni de contracter la maladie, ni de la transmettre, le vaccin se bornerait à limiter les cas graves à un pourcentage de l’ordre de 90%.
    — Le nombre de morts du COVID en France est — en gros– inférieur de moitié au nombre de morts par « accident » domestique .
    — Aucun des vaccins n’a achevé sa phase de test et la reconnaissance par les autorités médicales d’un (ou plusieurs) traitement alternatif ferait tomber l’AMM provisoire.
    Compte tenu de ces considérations (auxquelles, on pourrait ajouter des considérations morales sur la méthode d’élaboration du produit en question), comment un état prônant les libertés individuelles, peut-il envisager d’obliger tout ou partie de sa population à se faire vacciner dans ces conditions ? Puisque le vaccin n’empêche pas la contamination, comment peut-on prétendre éradiquer la maladie par ce moyen ? Enfin , quel phénomène psychologique peut entraîner une majorité de la population à être favorable à une telle mesure coercitive ?
    Avez-vous des réponses à toutes ces questions ? Si oui, je vous serais reconnaissant de bien vouloir m’en faire part (j’ai bien une petite idée là-dessus).
    Cordialement

  8. Merci infiniment pour ces informations tellement importantes pour notre santé personnelle et collective.

  9. Courrier passionnant et précis comme d’habitude – par contre, si je transfère votre courrier par Mel, sans changer l’entête, tous les serveurs de courrier refusent votre courrier ! sympa, la censure, vous êtes bien repéré – j’ai fait le test, en changeant l’entête du courrier de transfert, pas de refus des serveurs – donc un conseil peut-être à donner à vos lecteurs.
    Docteur Leterme Loïc, médecin rhumatologue retraité – un ancien gros prescripteur de plaquenil !

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